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Algérie: la date de l’élection présidentielle fixée au 12 décembre

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Dans un discours à la nation diffusé par la télévision nationale ce dimanche 15 septembre, le président par intérim Abdelkader Bensalah a convoqué le corps électoral pour le 12 décembre prochain.

Le président par intérim Abdelkader Bensalah a annoncé ce dimanche soir qu’il convoquait le corps électoral en affirmant que « les élections étaient la seule solution démocratique ». Ce scrutin aura donc lieu le 12 décembre.

C’est la deuxième fois que les autorités annoncent l’organisation d’une élection depuis la démission d‘Abdelaziz Bouteflika. Le scrutin du 4 juillet dernier avait été annulé, mais cette fois, les autorités ont lancé un processus de consultation. Il y a une semaine, un panel de médiateurs a fait un rapport après avoir écouté des partis d’opposition, des représentants des jeunes et des membres de la société civile. video ci dessous

L’autorité indépendante d’organisation des élections a été mise en place ce dimanche matin et elle sera dirigée par Mohamed Charfi, ancien conseiller d’Abdelaziz Bouteflika et ancien ministre de la Justice pendant les premier et troisième mandat de l’ex-président. Ce dernier a été reçu dans la foulée par le président par intérim.

Cette annonce n’est pas vraiment une surprise. Elle arrive après une série de décisions successives qui tendaient vers cette déclaration. Outre le rapport du panel et la mise en place de l’autorité chargée d’organiser les élections, le chef d’état-major avait annoncé une date il y a deux semaines et le Parlement avait adopté deux projets de loi, sans vraiment discuter. Il restait donc peu de doute sur la convocation du corps électoral.

Quelle réaction des Algériens ?

Si ce scrutin est clairement la volonté des autorités, la question est de savoir comment vont réagir les Algériens. Dans son allocution, Abdelkader Bensalah a appelé à faire prévaloir l’intérêt suprême de la nation. Ces arguments, similaires depuis plusieurs mois, n’ont pas convaincus les Algériens qui participent aux manifestations depuis 30 semaines.

Pourtant, il y a dans le pays des voix qui appellent à l’élection d’un président le plus rapidement possible. Reste à savoir si ces dernières ont plus de poids, ou si, comme au mois de juillet, sous la pression populaire, personne ne se portera candidat.

Salon des Banques et PME: Youpéné Hermane NAGALO au siège de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM).

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Ce Vendredi 13 Septembre 2019, le Dr Parfait KOUASSI, 1er vice-Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, par ailleurs Président du Conseil d’Administration de la BRVM, a accordé une audience au Secrétaire Permanent du Salon des Banques et PME de l’UEMOA, M. Youépéné Hermann NAGALO, accompagné de l’équipe locale de côte d’Ivoire.


L’objectif de cette rencontre était de solliciter l’implication de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire pour donner au Salon, un succès sous régional, voir international, faisant ainsi de Korhogo, le Carrefour des PME de l’UEMOA. Lr salon réunit les PME de l’UEMOA pour réfléchir au développement de celles-ci. A cet effet, dans le soucis d’une meilleure représentativité des PME des pays de l’UEMOA, des caravanes sont organisées. Notamment celle qui part de Dakar-Bamako pour regagner Korhogo, celle de Cotonou-Lomé pour joindre Korhogo, une autre, celle de Niamey-Ouagadougou pour joindre Korhogo. Quant à la caravane de Côte d’ivoire, elle aura deux points de départ, à savoir Abidjan et San Pédro pour rallier la ville de Korhogo. L’idée de la caravane est qu’elle permette aux PME d’un même pays de se connaitre et avoir des affinités, de se familiariser, de discuter avant même d’arriver à la destination Korhogo.


Le vice-Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de la Côte d’Ivoire a félicité et encouragé l’initiative ainsi que la démarche inclusive du secrétariat permanent. Il a été très attentif, notamment sur le déroulement de la caravane, le concept des villages, la journée dédiée au financement des PME et collectivités (innovative Project), et aussi sur le panel portant sur les succès et échec des PME. En rappel, la 5ème édition du Salon des Banques et PME de l’UEMOA est placée sous le « Patronage » de S.E.M le Premier Ministre de la République de Côte d’Ivoire, avec le parrainage du ministre de la Promotion des PME.


C’est une rencontre annuelle et tournante dans l’UEMOA, qui constitue un cadre pour les PME, d’apporter des réponses adéquates à l »Accompagnement, la Transformation, la Promotion, la Gouvernance des PME, l’Accès aux marchés et au Financement.
A travers le thème : <>, l’objectif global de cette 5ème édition, est de contribuer à renforcer le leadership des PME-PMI en matière de développement de l’économique locale dans nos Etats, afin qu’elles jouent pleinement leur rôle.

Par Romain Arnaud YAO, membre équipe Abidjan Côte d’Ivoire
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Le président de Telecom Italia pourrait rendre son tablier

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Fluvio Conti, le président de l’opérateur historique italien, a indiqué jeudi qu’il pourrait bientôt « se mettre en retrait » si cela pouvait permettre aux actionnaires, Vivendi et Elliott, de se rabibocher.

Il pourrait quitter le navire. Dans un communiqué publié jeudi 12 septembre, Fluvio Conti, le président de Telecom Italia, a indiqué qu’il pourrait s’en aller si son départ pouvait améliorer les relations, très tendues, entre les principaux actionnaires du groupe.

« J’ai toujours interprété mon rôle de président comme étant au service de l’entreprise, a-t-il affirmé. Avec cet esprit et à la lumière du climat de confiance et de collaboration renouvelé à l’intérieur du conseil d’administration et entre actionnaires (…), j’examine la possibilité de me mettre en retrait si cela peut contribuer à une nouvelle amélioration de l’équilibre à l’intérieur du conseil et des rapports entre les actionnaires. »

D’après Reuters, il serait même sur le point démissionner. Selon l’agence économique, qui cite deux sources proches du dossier, son départ pourrait intervenir au terme d’une réunion du conseil d’administration prévue fin septembre.

Une pomme de discorde : le devenir du réseau Internet fixe

Pourquoi cette démission pourrait-elle permettre aux principaux actionnaires de Telecom Italia, Vivendi (qui possède près de 24% du capital) et Elliott (10%) de se rabibocher ? Parce que le dirigeant est proche du fonds activiste, dont les relations avec le géant français des médias sont depuis longtemps électriques. Fluvio Conti a été nommé en mai 2018, lors d’une assemblée générale mouvementée qui a vu Elliott prendre la main sur le conseil d’administration du groupe au nez et à la barbe de Vivendi.closevolume_off

Aujourd’hui, les relations entre Elliott et Vivendi semblent un petit peu plus apaisées. Toutefois, les deux acteurs ne sont pas d’accord sur plusieurs dossiers stratégiques. L’un d’eux concernent le devenir du réseau Internet fixe de Telecom Italia. Pendant longtemps, Elliott et Vivendi se sont écharpés à ce sujet. Le fonds américain milite pour une séparation totale du réseau pour l’introduire en Bourse ou le fusionner avec celui de son rival Open Fiber. De son côté, Vivendi n’est pas contre transformer ce réseau en une entité juridique distincte du reste du groupe. Mais il souhaite que Telecom Italia en garde le contrôle.

https://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/le-president-de-telecom-italia-pourrait-rendre-son-tablier-828008.html

Régis Ravanas: «Les radios doivent rester maîtres de leur destin» (video)

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INTERVIEW VIDÉO – Le directeur général des activités audio du groupe M6 était l’invité du «Buzz Média Le Figaro».

Le nouveau patron de RTL lance le groupe dans le digital. Il s’explique sur l’intégration au sein du groupe M6.

LE FIGARO.- Vous avez lancé l’idée de la création d’un Salto de la radio. Pour quoi faire?

Régis RAVANAS. – En radio comme dans les autres médias, le digital change tout et les sujets de distribution de nos offres radios et podcasts deviennent cruciaux. Il faut rester maître de notre destin. Certes, nous augmentons notre auto-distribution mais cela ne répond pas aux besoins. Il faut aussi être diffusé sur toutes les plateformes. Ce serait donc une bonne chose que les radios françaises puissent se regrouper pour créer leur propre plateforme afin de maîtriser la qualité de la diffusion, l’exposition de leurs contenus, avoir accès aux données et surtout avoir la garantie d’être diffusé. Suivez la video en bas clique sur le liens

http://www.lefigaro.fr/medias/regis-ravanas-les-radios-doivent-rester-maitres-de-leur-destin-20190915

Le Sénégal mène la plus grande campagne mondiale de reforestation de mangrove

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Alors que la forêt tropicale est ravagée par de virulents incendies en Amazonie et en Afrique centrale, plusieurs campagnes de reforestation d’envergure sont en cours. C’est le cas au Sénégal qui prend soin de faire revivre sa mangrove à travers la plus importante campagne mondiale de plantation.  Cette forêt tropicale à haute valeur écologique rend également de nombreux services aux communautés locales. 

La mangrove, une forêt tropicale singulière et précieuse

La mangrove est un type de forêt tropicale unique située à l’interface dynamique entre terre et mer. Elle On trouve des forêts de mangrove le long des côtes et des estuaires dans l’ensemble des régions tropicales et subtropicales ; elles sont capables de s’épanouir dans l’eau salée, prospérant dans des conditions auxquelles un nombre limité d’espèces ont su s’adapter.

Les forêts de mangroves comprennent environ 80 espèces d’arbres différentes qui prospèrent dans sols pauvres en oxygène. Elles sont reconnaissables par leur enchevêtrement dense de racines qui offrent un refuge et de nourriture aux poissons et autres animaux.

Présentes dans 123 pays (90 % de mangroves sont dans des pays en voie de développement) et couvrant 152 000 km², les mangroves nourrissent et profitent à plus de 100 millions de personnes : ressources alimentaires, forestières, épuration de l’eau, protection contre l’érosion et les évènements extrêmes… Les mangroves abritent également une biodiversité exceptionnelle et séquestrent très efficacement le carbone atmosphérique.

Au niveau du changement climatique, les mangroves stockent 2 à 4 fois plus de CO2 que les forêts tropicales. En outre, les mangroves sont 1 000 fois moins chères au kilomètre que la construction de digues pour se protéger contre les tempêtes et l’élévation du niveau de la mer.

Et pourtant, notre planète a perdu 35 % des mangroves entre 1980 et 2000. En cause : la conversion des terres pour l’aquaculture et l’agriculture, l’aménagement des côtes, la pollution, la sécheresse et la surexploitation des ressources.
Selon un rapport du PNUE de septembre 2014, les mangroves sont détruites 3 à 5 plus rapidement que les forêts ! Au niveau économique, ce sont des milliards de dollars de gaspillés. Au niveau climatique, cela représente 1/5 des émissions planétaires de CO2 liées aux pertes de couvert forestier.

Le Sénégal redonne vie à sa mangrove

Au Sénégal, la mangrove occupe 185 000 hectares dans les estuaires de la Casamance et du Sine Saloum. Cependant, depuis les années 1970, environ un quart de la mangrove a disparu : 45 000 hectares ont été perdus à cause de la sécheresse et de la déforestation.

Pour endiguer cette perte inestimable, le Sénégal mène depuis plus de 15 ans la plus grande campagne mondiale de reforestation de mangrove : en 2006, plus de 100 millions de graines de palétuviers ont été plantées à la main sur 15 000 hectares. Entre 2009 à 2011, plus de 100 millions d’arbres ont été plantés sur 7000 hectares… Et chaque année des dizaines de millions de jeunes plants sont ainsi mis en terre.
En 2019, pas moins de 79 millions de palétuviers ont été plantés sur près de 10 000 hectares. Leur croissance va permettre d’absorber environ 500 000 tonnes de carbone sur 20 ans.

Soulignons l’importance de la mobilisation citoyenne : 100 000 personnes de 350 villages contribuent au succès de ces campagnes de plantation qui s’étendent sur des zones où les sols étaient devenus incultes. Et depuis, les villageois recommencent peu à peu à cultiver du riz car les terres regagnent en fertilité.
De plus, « cette nouvelle forêt de mangroves favorise la reconstitution des ressources halieutiques de la zone. Les 80 millions d’arbres replantés permettent une production supplémentaire allant jusqu’à 18 000 tonnes de poissons par an et favorisent le développement de crevettes, huîtres et mollusques », détaille Livelihoods Fund, qui finance 90 % du projet (les 10 % restant proviennent de l’Etat et des appels aux dons) en partenariat avec l’ONG sénégalaise Océanium.

Livelihoods Funds est une organisation basée à Paris est financée par 10 grandes entreprises dont Danone, Crédit Agricole, Michelin et Hermès… Leur objectif : recevoir en compensation des crédits carbone à haute valeur sociale, qu’ils peuvent ensuite utiliser pour compenser une partie des émissions dues à leurs activités, qu’ils ne peuvent éviter. Greenwashing ? Dans tous les cas, la mangrove reprend vie même si les activités de ces entreprises détruisent l’environnement à d’autres endroits…

« Créée en 1984, l’Oceanium de Dakar fut longtemps une école de plongée, avant que son fondateur Haïdar El Ali, futur ministre de l’écologie du Sénégal, prenne conscience de l’urgence de préserver les ressources naturelles. Depuis plus de dix ans, son association a ainsi permis le reboisement du littoral et la protection de la mangrove, via des pépinières communautaires. Une activité qui, au-delà de l’écologie, a permis de redévelopper l’écosystème économique, notamment la culture du riz, fragilisée par le recul de la forêt », explique Solidarum.

La mangrove reprend racine un peu partout dans le monde

Cette campagne de plantation amplifie un phénomène de régénération et d’extension de la mangrove enregistré par les satellites de la NASA depuis les années 2000. Les données satellitaires, interprétées par deux scientifiques de la NASA, Lola Fatoyinbo et David Lagomasino, montrent que de 2000 à 2016, la mangrove s’est étendue sur 4 800 hectares et s’est régénérée sur 14 800 hectares.

« Pendant des décennies il y a eu tant de mauvaises nouvelles à propos de la destruction des mangroves qu’il est facile d’oublier qu’il s’agit de plantes presque parfaitement conçues pour piéger les sédiments et coloniser les vasières vides, » rappelle Fatoyinbo. « La régénération des ecosytèmes de mangrove est une chose que nous constatons dans plusieurs parties du monde maintenant« .. Suuvez le liens

https://www.notre-planete.info/actualites/3088-Senegal-reforestation-plantation-mangrove

Le Nigéria s’enrichit de deux nouvelles compagnies d’assurance takaful

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La Commission nationale des assurances du Nigéria (NAICOM) vient d’autoriser les compagnies d’assurances Cornerstone Takaful Insurance Company Limited et Salam Takaful Insurance Company Limited a exercer sur le marché nigérian.

A noter que les deux compagnies, qui viennent d’obtenir l’accord de principe de l’organe régulateur, ont été agréés en tant qu’opérateurs composites Takaful pour les transactions commerciales tant familiales que générales de Takaful au Nigeria.

« L’approbation de principe accordée aux deux nouvelles entreprises va dans le sens de notre volonté d’inclusion visant à accroître la pénétration de l’assurance dans le pays » a indiqué NAICOM dans un communiqué publié mardi 10 septembre 2019.

L’organe précise par ailleurs, qu’une « licence d’exploitation définitive sera délivrée aux entreprises sur présentation de preuves d’un environnement commercial favorable au siège, d’une infrastructure informatique appropriée et de la nomination d’un responsable des technologies de l’information ».

Cornerstone Takaful Insurance Company Limited et Salam Takaful Insurance Company viennent ainsi  rejoindre Noor Takaful et Jaiz Takaful (autorisées en 2016), portant ainsi à quatre le nombre total d’opérateurs takaful intervenant sur le marché des assurances nigérian.

https://www.financialafrik.com/2019/09/11/le-nigeria-senrichit-de-deux-nouvelles-compagnies-dassurance-takaful/amp/

ONOMO Hotels et Air Côte d’Ivoire joignent leurs efforts pour la promotion du business et du tourisme intra Afrique

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Un partenariat stratégique pour faire bénéficier les membres de sMiles de nombreux avantages, notamment des offres uniques dans tous les hôtels ONOMO installés dans les villes desservies par Air Côte d’Ivoire.

ONOMO Hotels et la compagnie aérienne Air Côte d’Ivoire signent un partenariat stratégique au profit de leurs clients respectifs.

En effet, dans le cadre de son programme de fidélité sMiles, Air Côte d’Ivoire a noué un partenariat avec le groupe ONOMO Hotels, faisant bénéficier les membres de sMiles de nombreux avantages, notamment des offres uniques dans tous les hôtels ONOMO installés dans les villes desservies par Air Côte d’Ivoire. Ce partenariat se veut bien plus qu’une action marketing et un outil de fidélisation, il symbolise la volonté des 2 entreprises de promouvoir la destination Afrique et le tourisme sur le Continent.

D’après Sandra Dogbo Francina, directrice commerciale du groupe
ONOMO pour l’Afrique de l’Ouest et Centrale « Ce partenariat avec Air Côte
d’Ivoire s’inscrit dans la volonté du groupe ONOMO Hotels de participer au
développement de l’Afrique et de sa promotion auprès des Africains mais
aussi des autres continents. L’objectif de ce partenariat est également de
favoriser les échanges et la coopération économique en Afrique et entre
Africains ».

https://www.financialafrik.com/2019/09/11/onomo-hotels-et-air-cote-divoire-joignent-leurs-efforts-pour-la-promotion-du-business-et-du-tourisme-intra-afrique/amp/

Banques : Pourquoi WARA attribue un investment grade à Coris Holding

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Comme nous l’annoncions, WARA(West Africa Rating Agency) a confirmé la notation de long terme de Coris Holding, une société financière burkinabé opérant dans les activités de banque, d’assurance et de bourse, à « BBB », en grade d’investissement, tandis que sa notation de court terme se situe à « w-3 », ont annoncé les dirigeants de cette agence de notation. « Cette notation se situe au niveau du plafond national burkinabé, lequel s’établit –selon WARA– à… Suivez le liens

https://www.financialafrik.com/2019/09/11/banques-pourquoi-wara-attribue-un-investment-grade-a-coris-holding/amp/


Moody’s invite la RDC à revoir sa réglementation sur les matières premières

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Moody’s Investors Service prévoit que la demande des matières premières utilisées dans la fabrication des batteries des voitures électriques connaîtra une forte hausse en République démocratique du Congo (RDC), notamment le lithium, le nickel, le cobalt et le cuivre. Cette hausse devrait se poursuivre jusqu’à fin 2020 et au-delà. Moody’s alerte tout de même quant au fait que les réglementations en matière de gouvernance et d’infrastructure limiteront ce potentiel extrêmement vaste pour le pays.

https://www.financialafrik.com/2019/09/11/moodys-invite-la-rdc-a-revoir-sa-reglementation-sur-les-matieres-premieres/amp/

Notation: L’agence Bloomfield maintient la note « A » décernée à la BOA Burkina

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L’agence Bloomfield Investment Corporation a maintenu la note « A » de long terme avec une perspective stable précédemment décernée à la Bank Of Africa (BOA) Burkina Faso, filiale du groupe bancaire du même nom, ont annoncé les dirigeants de cette structure de notation basée à Abidjan.

Quant à la notation de court terme, elle est également maintenue à A1 avec une perspective stable. Cette notation est valable de juillet 2019 à juin 2020.

Selon les responsables de Bloomfield la notation de long terme  est justifiée par la qualité de crédit élevée. Ils ajoutent que « les facteurs de protection sont bons ». Cependant, ils demeurent convaincus que les facteurs de risques sont plus variables et plus importants en période de pression économique.

Sur le court terme, la notation est subordonnée à la certitude de remboursement en temps opportun très élevée. A ce titre, l’agence Bloomfield avance que « les facteurs de liquidité sont excellents et soutenus par de bons facteurs de protection des éléments essentiels ».  a cela s’ajoute le fait que les facteurs de risque soient mineurs.

Les dirigeants de Bloomfield ont par ailleurs avancé un certain nombre de facteurs positifs pour Justifier la notation de la BOA Burkina Faso. C’est le cas de « la  progression des dépôts (+8,2%) et des emplois (+20,7%) de la clientèle dans un contexte sécuritaire difficile, permettant de maintenir son positionnement sur le marché malgré le renforcement de la concurrence en 2018 ». Un autre facteur qui n’est pas des moindres est la bonne avancée dans l’implémentation du dispositif prudentiel entré en vigueur en 2018, la bonne capacité du management à atteindre les objectifs stratégiques du plan triennal de développement 2016-2018 ou encore de l’ amélioration significative du coût du risque, qui s’établit à -0,1% contre un objectif de 1,2% en 2018, contribuant au taux de réalisation de 98,9% du résultat net.

Mais de l’avis des dirigeants de Bloomfield, des facteurs de fragilité de la qualité de crédit existent. C’est le cas du  retard dans la mise en œuvre  de la stratégie orientée vers les PME, en raison de l’environnement économique peu favorable. Suivez le liens

https://www.financialafrik.com/2019/09/12/notation-lagence-bloomfield-maintient-la-note-a-decernee-a-la-boa-burkina/amp/