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A ADDIS-ABEBA, LA RECONNAISSANCE DE L’EFFORT: La présidente de l’Ethiopie décerne une Attestation d’encouragement à la présidente de l’AJCAD-MALI

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Fraîchement accréditée par le Comité des Femmes africaines dans la prévention des conflits et la médiation (FemWise-Africa) en sa qualité de jeune femme activiste, la présidente de AJCAD , Adam Dicko vient d’honorer une fois de plus le Mali au siège de l’Union africaine.
Au terme des travaux de l’AG de FemWise à Addis-Abeba, la première présidente de l’Éthiopie, Sahle-Work Zewde, membre de FemWise, a décerné des Attestations d’encouragement à cinq( 5) femmes leaders qui font bouger les lignes sur le continent africain. Parmi les cinq femmes y figurent Adam DICKO, Présidente de l’AJCAD.À sa grande surprise, elle fut appelée parmi les cinq femmes leaders pour leur remettre des Attestations.
Après lui avoir souhaité la bienvenue dans la famille FemWise, la présidente de l’Éthiopie a félicité Adam DICKO pour son engagement et son combat pour la défense des droits des jeunes .

Les membres de AJCAD ont réiteré leur felicitation à Adam Dicko « Nos félicitations à la présidente, à la jeunesse ainsi qu’à l’ensemble des femmes du Mali », se réjouit-il.

À noter que FemWise-africa est un reseau affilié à la Commission de l’Union africaine qui a été créé conformément à la décision du sommet des Chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine de juillet 2017.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

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COMMUNIQUE DE L’INPS-MALI

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La Direction Générale de l’I.N.P.S informe les retraités et rentiers de la caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) du Gabon résident au Mali que nos deux institutions ont conclu un accord de paiement des droits (pension et rente) dont l’application sera effective à compter du 4eme trimestre 2018.
A cet effet les retraités et rentiers sont priés de se présenter à la Direction des Relations Extérieures de l’INPS munis des pièces suivantes pour le paiement de leur droit :
Pour les retraités:
 Carte d’identité en cours de validité
 Certificat de vie,
 Certificat de vie et/ou de scolarité des enfants,
 Acte de mariage
 Carte CNSS ou titre de pension
Pour les conjoints survivants:
 Carte d’identité en cours de validité
 Certificat de vie,
 Certificat de vie et/ou de scolarité des enfants,
 Certificat de non remariage,
 Carte CNSS ou titre de pension :
Pour les rentiers:
 Carte d’identité en cours de validité,
 Certificat de contrôle médical,

 Certificat de vie,
 Carte CNSS ou notification de rente.

La Direction Générale de l’I.N.P.S sait compter sur la bonne compréhension de tous.

LA DIRECTION

Source: croissanceafrique.com

Mali : Le vice-président en charge des ressources humaines de la Banque mondiale échange avec le Premier ministre sur le renforcement du partenariat

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En visite de travail dans notre pays, le vice-président en charge des ressources humaines de la Banque mondiale, le Mauritanien Ousmane Diagana, a eu un entretien avec le Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga, lors d’une audience, lundi dernier à la Primature. C’était en présence de la directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Mali, le Niger, la Guinée et le Tchad, avec résidence à Bamako, Mme Soukeyna Kane et du ministre de l’Economie et des Finances, Dr Boubou Cissé.
A sa sortie d’audience, Ousmane Diagana s’est confié à la presse, exprimant ainsi sa joie de se retrouver au Mali où il a passé quatre ans de sa vie professionnelle. «L’objet de ma visite est d’échanger avec mes collègues du bureau régional de Bamako sur leurs conditions de vie et de travail», a-t-il indiqué. Avant d’ajouter que c’est surtout à la faveur de l’arrivée de la nouvelle directrice des opérations que la Banque mondiale a élargi de façon significative son portefeuille au Mali, en intervenant dans les zones qui connaissent un relèvement. Ce qui lui pose, a-t-il estimé, un autre type de défi, à savoir comment accompagner la mise en œuvre réussie de ces programmes.
« L’échange avec le chef du gouvernement s’est situé autour du renforcement du partenariat entre la Banque mondiale et le Mali, faisant en sorte que les projets importants que l’institution finance au Mali, en particulier au Nord et au Centre, puissent s’exécuter rapidement et avoir des impacts durables sur l’amélioration des conditions de vie des populations », a confié le vice-président en charge des ressources humaines de la Banque mondiale.
S’exprimant sur les relations entre la Banque mondiale et le Mali, Ousmane Diagana a estimé que celles-ci sont bonnes. Et qu’elles ont connu une continuité, sans jamais connaitre d’arrêt, rappelant que même au moment de la crise, la Banque est restée dans notre pays.
Aussi, il fait ce rappel : «Après la crise, nous avons accompagné le Mali à l’élaboration de stratégies de développement et nous accompagnons la mise en œuvre de ces stratégies à travers des financements conséquents et innovants».

Mahamane Maïga

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Lutte contre la pauvreté : Ousmane Diagana, vice-président de la Banque mondiale chargé des ressources humaines, expose l’expérience de son Institution à l’IHEM de Bamako

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Dans le cadre de sa visite officielle au Mali du 1er au 4 décembre 2018, M. Ousmane Diagana, vice-président de la Banque mondiale chargé des ressources humaines, a animé ce mardi une conférence débat à l’Institut des hautes études en management (IHEM), sis à Hamdallaye ACI 2000 de Bamako.
On y notait la présence de Mme Soukeyna Kane, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Mali, M. Abdoullah Coulibaly, président de l’IHEM, M. Moussa Alassane Diallo, président du conseil d’administration de la BNDA et vice-président du Patronat du Mali.
Portant sur le thème « Le Groupe de la Banque, une institution au service d’une cause : la lutte contre la pauvreté », cette rencontre a vu la participation massive des étudiants de l’IHEM. Aussi, nombre d’anciens étudiants ont jugé opportun d’y participer, accordant du coup un grand intérêt à ce débat.
Dans son intervention, Ousmane Diagana a rappelé son parcours depuis son entrée à Banque mondiale en 1992, puis en 2006 où il s’occupa du secteur de l’éducation à travers le programme de développement de l’éducation. « Pour moi, on ne peut avoir un programme de développement économique sans l’éducation », a dit le conférencier. Avant de faire savoir que la Banque mondiale a des valeurs basées sur l’intégrité et le respect.
Aussi, révèle-t-il, la Banque mondiale offre des possibilités à tous les ressortissants du monde. Elle tient à ce que la diversité soit un de ses mots d’ordre. Il y a la diversité sur le plan technique, racial, au niveau de l’âge. « On peut recruter à tous les âges. Il y’a des collègues qui sont entrés à la Banque mondiale à 50 ans », a dit Ousmane Diagana. Avant de livrer ce message fort aux jeunes étudiants de l’IHEM : « Soyez curieux, connectez-vous pour avoir accès à toutes les connaissances des grandes bibliothèques virtuelles du monde… ».
Il reste convaincu que la Banque mondiale est une institution d’ouverture depuis sa création en 1944 pendant la deuxième guerre mondiale. Rappelant les missions, le fonctionnement, le conférencier a fait étalage de l’appui de son institution. Ce, à travers, les ressources concessionnelles de l’Association internationale de développement (IDA). Au-delà des prêts accordés, il y a également des dons pour des pays.
S’exprimant sur la lutte contre la pauvreté, Ousmane Diagana a insisté sur le développement des secteurs de l’agriculture, de l’éducation, de la santé, des infrastructures. Toutefois, avertit-il, nous ne serons jamais satisfaits dans la lutte contre la pauvreté, si on constate des inégalités au sein de la société ». Pour lui, En Afrique, il y a des pays riches en ressources naturelles. Parfois, la défaillance dans la gouvernance, le manque de leadership font que les problèmes subsistent.

Mahamane Maïga

Lejecom.com

Source: croissanceafrique.com

Mali : « Nous devons relever le défi de l’industrialisation pour tirer le meilleur profit de la transformation de nos matières premières notamment agricoles», plaide le ministre Moulaye Ahmed Boubacar

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En réponse aux préoccupations majeures de l’Organisation patronale des industriels du Mali (OPI), le ministre du Développement industriel et de la Promotion des Investissements, a fait un plaidoyer. Moulaye Ahmed Boubacar a invité tous les acteurs du secteur à une synergie d’actions pour consolider les efforts multiformes engagés, depuis cinq ans, sous l’impulsion du président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta.
Visiblement préoccupé, le ministre Moulaye Ahmed Boubacar a indiqué que notre secteur industriel restait caractérisé par sa faible densité (le recensement industriel réalisé en 2015 dénombre 829 entreprises industrielles dont 765 en activité). Et pourtant, a-t-il plaidé, « nous devons relever le défi de l’industrialisation pour tirer le meilleur profit de la transformation de nos matières premières notamment agricoles, sur place, mais aussi pour retenir et offrir des opportunités à la population majoritairement jeune, dont une partie est victime du drame de l’immigration clandestine ».
Il a rappelé que des jalons importants du développement industriel de notre pays ont été posés, à travers notamment, la création en juillet 2016, d’un département ministériel dédié exclusivement au développement Industriel, qui a été renforcé en 2018 par la Promotion des Investissements.
Parlant du thème national retenu ‘’Made in Mali’’, le ministre a expliqué que l’objectif visé est de promouvoir « la production industrielle locale » et de mettre en exergue l’admirable génie industriel malien qu’il importe d’encourager et de soutenir par le biais d’une consommation locale accrue et plus soutenue. Aujourd’hui, dit-il, les efforts doivent être fortement orientés vers la promotion de la consommation des productions industrielles nationales : le ‘’Made in Mali’’.
S’adressant aux industriels, il a souligné la lourde tâche qu’est la leur de faire valoir le « Made in Mali » face à la rude concurrence sous régionale et mondiale. « La satisfaction de cet impératif requiert que vous releviez les défis liés notamment à la compétitivité, à la technologie, aux habitudes de consommation et à la qualité du produit », a déclaré le ministre. Avant de rassurer que le gouvernement, pour sa part, s’attèlera à créer les conditions optimales pour une industrialisation forte de notre pays.
Mahamane Maïga

Source: croissanceafrique.com

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Conférence Ease of Doing Business Initiative 2018 Abidjan, Côte d’Ivoire

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Du 26 au 28 novembre 2018, le Groupe de la Banque mondiale, en partenariat avec le gouvernement de Côte d’Ivoire, a organisé la neuvième conférence de l’Initiative pour sur la facilité de faire des affaires (Ease of Doing Business Initiative). La conférence EDBI, dont le thème pour cette édition était “Amélioration du climat des affaires et défis de la croissance économique en Afrique”, a réuni des experts et des décideurs politiques pour partager les meilleurs pratiques en matière de réformes mesurées par le rapport Doing Business du Groupe de la Banque mondiale. C’est la première fois que la conférence EDBI se tient en Afrique de l’ouest et dans un pays francophone.

La conférence EDBI en bref

Les services conseil du Groupe de la Banque mondiale soutiennent la conférence EDBI depuis 2010, afin de faciliter la promotion des meilleurs pratiques et les expériences dans la réforme des environnements des affaires, avec pour ancrage les classements du rapport Doing Business. La première conférence s’est tenue à Port Louis, en Ile Maurice, et a vu la participation de six pays. EDBI est désormais une initiative continentale. La conférence 2018 à Abidjan a accueilli 32 pays d’Afrique. Le Rwanda a été désigné pour organiser la conférence EDBI en 2019.

Principales recommandations de la conférence

Les participants à la conférence EDBI 208 ont discuté de comment intégrer les réformes favorables aux entreprises dans les plans de développement des gouvernements, comment développer des outils pour mieux mesurer la perception du secteur privé quant à ces réformes et comment mieux prendre en compte la voix du secteur privé dans le processus de réforme. Les échanges ont également souligné la nécessité d’encourager des solutions alternatives au financement des PME, parmi lesquelles ont été citées le capital-risque et les business angels.

Liste des pays participants à la conférence EDBI 2018

Benin

Botswana

Burkina Faso

Burundi

Cameroun

Cap Vert

Centrafrique

Ethiopie

Gabon

Gambie

Ghana

Guinée

Kenya

Lesotho

Liberia

Mali

Maroc

Mauritanie

Mozambique

Niger

Nigeria

Ouganda

République du Congo (Brazza)

RD Congo

Royaume d’Eswatini

Rwanda

Sénégal

Sierra Leone

Somalie

Tchad

Togo

Zambie

Citations

Sérgio Pimenta, Vice-président d’IFC pour le Moyen-Orient et l’Afrique : “Des environnements des affaires réformés et plus attractifs sont essentiels pour IFC car ils nous permettent de mettre en œuvre notre nouvelle stratégie pour l’Afrique. Les réformes mesurées par le Doing Business contribuent à créer les conditions qui permettent à IFC d’investir et de mobiliser plus de capitaux pour résoudre les défis au développement du continent. Dans cette optique, nos services de conseil travaillent avec de nombreux gouvernements en Afrique pour les aider à soutenir leur élan réformateur ”.

Adama Koné, Ministre ivoirien de l’économie et des finances : “La Côte d’Ivoire se réjouit d’accueillir la communauté des réformateurs d’Afrique. Grace aux réformes de nouvelle génération que nous mettons en œuvre, notre pays a retrouvé la liste des dix économies les plus réformatrices dans le rapport Doing Business 2019. Notre objectif est désormais de figurer, d’ici à 2021, parmi les 50 premiers pays au monde sur la facilité de faire des affaires.”

Cemile Hacibeyoglu, Spécialiste Senior en développement du secteur privé, Groupe de la Banque mondiale : “La réforme d’un environnement des affaires est un processus constant et parfois difficile. Si l’Afrique a réalisé des progrès dans ce sens récemment, il reste encore beaucoup à faire pour les pays d’Afrique sub-saharienne s’ils veulent rivaliser avec les principaux pôles d’investissement au monde. Ceci dit, les bonnes pratiques en matière de réforme existent bien sur le continent, et nos services de conseil ont constaté que les plateformes de partage de connaissances que nous soutenons sont essentielles pour disséminer ces bonnes pratiques et soutenir la progression de l’Afrique dans les classements Doing Business.”

Louise Kanyonga, Chef du Département stratégie et compétitivité, Rwanda Development Board : “C’est tout un symbole pour notre pays, qui est un réformateur reconnu, d’organiser la 10e conférence EDBI l’an prochain. Nous nous réjouissons de partager notre expérience en la matière, et ce alors que nous figurons désormais parmi les économies ayant le plus amélioré leur environnement des affaires.”

Ishaq Maiga, Chargé de mission, Ministère du Développement Industriel et de la Promotion des Investissements, Chef de délégation du Mali : ‘‘Cette rencontre nous permet de mieux nous préparer aux sauts futurs et de faire en sorte que les points que nous avons perdu par le passé puissent être à présent rattrapés grâce au partage d’expérience avec des pays avancés en matière de réformes. Cela va permettre non seulement de nous approprier ce qui a été fait et dans quelles mesures nous pouvons dupliquer les bonnes pratiques afin de pouvoir avancer dans le classement Doing Business.’’

Classement de l’Afrique sub-saharienne dans le rapport Doing Business

Les classements de l’Afrique sub-saharienne progressent régulièrement dans le rapport Doing Business. Dans l’édition 2019 du rapport, la région a mis en œuvre 107 des 314 reformes passées globalement pour faciliter les affaires, ce qui en fait la région la plus réformatrice au monde. 40 des 48 pays d’Afrique sub-saharienne ont mis en œuvre au moins une réforme pour améliorer leur environnement des affaires alors que quatre pays du continent – la Côte d’Ivoire, le Kenya, le Rwanda et le Togo- se sont hisses dans la liste des dix économies ayant les plus réformatrices au monde. L’Ile Maurice (20e) et le Rwanda (29e) sont les pays africains les mieux classés dans la facilité de faire des affaires.

Pour en savoir plus sur le rapport Doing Business, visiter le site : http://www.doingbusiness.org/

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Mali,OFFICE DU NIGER: 2 milliards 717 millions 811 mille 446 FCFA pour réhabiliter 1 140 ha à Molodo

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La salle de réunion de la Direction Générale de l’Office du Niger a abrité le jeudi 06 décembre 2018, la réunion de lancement des travaux de réhabilitation de 1 140 ha des partiteurs M3, M4 et M5 dans la zone de production de Molodo dans le cadre du Programme d’Appui à l’Office du Niger (PAON).

Participaient à cette rencontre le Président Directeur General de l’Office de Niger le Dr Mamadou M’Baré COULIBALY et son adjoint Djimé SIDIBE, le coordinateur du projet PAON Boubacar KONATE, la délégation de l’Affaires Mondiales Canada (AMC), le directeur de la zone de Molodo, le comité de pilotage dudit projet et la Direction de l’aménagement et la Gestion du Foncière. Il y’avait également, la Direction Gestion de l’Eau et de la Maintenance du Réseau Hydraulique, la Direction Administrative et Financier, la Direction de la Planification et des Statistiques, de l’Audit interne, la SCET-Mali/BRL et le Groupement EGK/EAD.
Financé à hauteur de 2 717 811 446 FCFA par l’Affaires Mondiales Canada (AMC), le projet a pour objectifs d’assurer le développement durable au niveau du monde rural par une meilleure gestion et exploitation des ressources naturelles, d’améliorer les productions et les revenues des populations par la réhabilitation des grands aménagements et la mise à disposition d’équipements agricoles modernes, d’améliorer les conditions de santé, d’éducation et d’hygiène des populations. En plus de ceux-ci, le projet va également susciter et faciliter la création et le renforcement des petites et moyennes entreprises (PME) au niveau local, promouvoir la création d’emplois et améliorer à travers l’exécution des travaux, le savoir-faire et la technicité de la main d’œuvre et exécuter les travaux dont les résultats auront un effet induit positif au plan conique et social.

Pour rappel, Molodo est situé Nord-Ouest de la région de Ségou et à environ 140 km de la capitale régionale et à 7 km de la préfecture de Niono dont il relève administrativement. Son accès se fait par la route bitumée RN23 Ségou-Markala-Niono, en très bon état et la route latéritique Niono-Molodo-Nara.
Les travaux de ce projet sont exécutés par le Groupement EGK-EAD pour un délai de 12 mois.

Aissatou Traoré

Source: croissanceafrique.com

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Mali: Les voies ferroviaires entre Bamako et Diboli opérationnelles d’ici la fin de l’année.

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C’est sur instruction du Président de la république et du Premier ministre, le Département en charge des Transports travaille progressivement sur le processus de redémarrage des activités ferroviaires et cela sur initiative du Ministre Mr Soumana Mory COULIBALY, très déterminé pour que le train siffle de nouveau, des travaux de réhabilitation ont débuté le 1er décembre dernier et se poursuivent jusqu’au 15 de ce mois.
Lesdits travaux, exécutés par le GIE Rail Kanou, concernent l’axe ferroviaire Bamako-Diboli.

Pour son exécution, près de 300 personnes sont mobilisées et travaillent quotidiennement sur ce projet. Les travaux portent sur le désherbage, le débroussaillage, le décapage, le renforcement du remblais des zones dégradées, le nivellement et dressage sur tout le long de l’axe ferroviaire. Ils concernent également l’enlèvement des ordures sur les voies ferrées. Cette initiative dénote de la détermination du ministre Soumana Mory COULIBALY.

D’ailleurs, à la fin des travaux, il entend effectuer le voyage par train de Bamako jusqu’à Diboli. Un signal fort du ministre Soumana Mory COULIBALY en attendant le grand jour, celui du premier voyage de Dakar-Bamako Ferroviaire.

Daouda Bakary koné et ccom

Source: croissanceafrique.com

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Algerie: L’armée américaine renforce sa présence en Afrique pour contrer l’influence chinoise, russe et française

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À l’opposé de ce qui a été annoncé par le Pentagone, l’armée américaine renforce sa présence en Afrique pour contrer l’influence chinoise, russe et française, a récemment révélé The Intercept, indiquant que l’Algérie, allié stratégique de la Chine et de la Russie sur le continent, était entourée de trois sites militaires américains.

Contrairement à l’annonce faite le mois dernier par le Pentagone de réduire de 10% le nombre de militaires déployés en Afrique dans les prochaines années, pour se concentrer sur les menaces russe et chinoise, un rapport publié récemment par le magazine The Intercept va à contre-pied de cette affirmation. En effet, se basant sur des documents du Commandement des États-Unis pour l’Afrique (AFRICOM), déclassifiés récemment dans le cadre de la loi Freedom of Information Act, l’enquête de ce média a montré que l’Algérie, l’un des principaux alliés de la Russie et de la Chine en Afrique, était encerclée par trois bases militaires américaines. Plus encore, les États-Unis sont en train de se déployer massivement d’un point de vue militaire sur le continent africain, a ajouté la même source.

Dans un entretien accordé le 4 décembre à l’AFP, le général Roger Cloutier, le commandant des forces de l’armée de terre américaine en Afrique (USARAF) a confirmé les conclusions de l’enquête de The Intercept. «Non, nous ne nous désengageons pas», a déclaré le haut gradé. «Nous sommes plus engagés que jamais, et nous cherchons de nouvelles occasions de nous impliquer encore davantage», a-t-il encore ajouté.

Selon l’article du média américain, les États-Unis ont déployé leurs militaires dans trois pays limitrophes de l’Algérie que sont la Libye, la Tunisie et le Niger. La Libye accueille au moins trois avant-postes de l’AFRICOM, alors que la Tunisie est l’hôte d’une base de drones, d’où l’armée US mène des opérations depuis quelques années. Quant au Niger, le Pentagone a opté pour la construction d’une base près d’Agadez, appelée à devenir le principal avant-poste de l’armée américaine en Afrique de l’Ouest, selon la même source.

Sputnik News

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Mali: Journée d’échange:‹‹ la jeunesse, la migration, l’environnement et changement climatique›› dixit un participant

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Maison du partenariat, a abrité le 06 décembre 2018, une journée d’échange sur la question jeunesse, migration et environnement. Organisée par l’ONG CAES.
Monsieur le Président de l’ONG CAES , Issa Traoré, a salué ces hommes et femmes qui ne cessent de ménager leurs efforts pour la protection de l’environnement, la lutte contre la migration et l’employabilité des jeunes du Mali.

L’emploi des jeunes et leur maintien au pays sont des préoccupations majeures pour notre gouvernement. En effet, la problématique liée à celles-ci est très complexe et nécessite une conjugaison d’efforts et tous afin d’apporter des solutions et stratégies pérennes permettant ainsi d’entrevoir de meilleures perspectives pour nos jeunes, a affirmé le président de l’ONG CAES.

CAES est une organisation non gouvernementale ( ONG ) qui a été créée en mai 2004 et intervient sur toute l’étendue du territoire malien et ayant comme siège social à Bamako avec comme domaine d’intervention la sécurité alimentaire, l’environnement et les changement climatiques, la santé, la Nutrition, l’éducation, l’agro-sylvo-pastorale, la migration, la gouvernance et la décentralisation et la santé de la production, a étayé le Président Issa Traoré.

Il a cité leurs cibles qui sont entre autres: les populations pauvres et vulnérables, les professionnelles de sexe et leur clients, les orpailleurs, les groupements de femmes, les enfants en situation difficile, les enfants de 0-7 ans et les adolescents, les organisations paysannes, les élus communaux, les migrants et les déplacés et leurs hôtes et les déplacés de retour.

L’ONG, a pour objectif principal de, renforcer les capacités des jeunes sur la prise en compte de l’environnement dans leur vie quotidienne afin d’en faire un mode de vie et d’accroître la sensibilisation à l’éthique de l’environnement et en faire tendance sociétale pour la préservation de l’environnement, a fait savoir Issa Traoré.

C’est dans le cadre de la mise en oeuvre de son plan d’actions 2016-2021 sur l’environnement et d’apporter son soutien à la protection de l’environnement et la lutte contre la migration de la couche juvénile que CAES a organisé cette journée d’échange sur ‹‹Jeunesse, migration, environnement et changement climatique››, nous a fait savoit, le président, Issa Traoré.

Abdoulaye Samoura, jigui Seme jiri, il a remercié les organisateurs pour avoir organisé un tel thème assez intéressant. Dans la lutte contre l’immigration, ce thème nous intéresse. Le programme jigui seme jiri, nous travaillons sur l’employabilité des jeunes. Nous acteurs de développement, renforçons notre capacité de sensibilisation, de communication sur le terrain, a-t-il suggéré.

Hamadoun Alphagalo

Source: croissanceafrique.com

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