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La ZLE contribue à 40% des importations et exportations de Shanghai entre janvier et octobre

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La Zone de libre-échange (ZLE) de Shanghai, d’une superficie de 120 km², a généré 42,9% du total des importations et des exportations de la municipalité sur les dix premiers mois de l’année, ont annoncé dimanche les autorités locales.

Les données sont sorties quelques jours après que le Conseil des Affaires d’Etat, le gouvernement central du pays, a dévoilé une série de mesures soutenant les ZLE pilotes à approfondir la réforme et l’innovation.
Selon les douanes de Shanghai, plus de 19.000 nouvelles entreprises ont été enregistrées depuis le lancement de cette ZLE il y a cinq ans, portant ainsi leur nombre à 28.000.
Le volume des importations et exportations de janvier à octobre au sein de la ZLE de Shanghai, a atteint 1.210 milliards de yuans (174 milliards de dollars), en hausse de 5,8% en glissement annuel.

La ZLE de Shanghai, établie en 2013, était la première ZLE pilote en Chine. Depuis, le pays a établi 12 zones de libre-échange, dont la province insulaire de Hainan, la plus récente et la plus grande ZLE chinoise.

Daouda B kone

Source: croissanceafrique.com

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Prix Sunhak de la paix : Akinwumi Adesina un sérieux prétendant au sacre

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Le président de la Banque africaine de développement (Bad) a été retenu pour le prix Sunhak pour la paix 2019 aux côtés de Waris Dirie, 53 ans, ancienne top-modèle internationale et fervente activiste dans la lutte contre les mutilations sexuelles.
Le Président du Groupe de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, 58 ans, est en lice pour le prix Sunhak pour la paix 2019 aux côtés de Waris Dirie, 53 ans, ancienne top-modèle internationale et fervente activiste dans la lutte contre les mutilations sexuelles, a annoncé hier le Comité du prix Sunhak au Centre international des congrès du Cap (Afrique du Sud).
Le prix Sunhak pour la paix honore les personnes et les organisations qui apportent une contribution significative à la paix et au bien-être des générations à venir.
Le Comité Sunhak prend acte des réalisations de M. Adesina en matière de bonne gouvernance dans les opérations de la Banque en Afrique, qui visent à renforcer la capacité du continent à se nourrir et à transformer ses systèmes économiques afin de générer de la richesse pour les millions d’agriculteurs africains des zones rurales.
«Économiste agricole, Akinwumi Adesina est depuis plus de trente ans un chef de file en matière d’innovation dans le secteur de l’agriculture. Il a considérablement œuvré à l’amélioration de la sécurité alimentaire sur tout le continent, contribuant ainsi à la croissance dynamique de l’Afrique et à l’éradication de la pauvreté ».
Le président de la Banque africaine de développement, a été le premier à lancer de grandes transformations dans le domaine agricole, notamment en développant la production de riz par l’introduction de technologies à haut rendement et l’élaboration et la mise en œuvre de politiques visant à faciliter l’accès des agriculteurs aux technologies, en augmentant la disponibilité de crédit pour des millions de petits exploitants, en attirant des investissements privés dans le secteur agricole, en luttant contre la corruption dans le secteur des engrais et en contribuant à la mise en place de politiques majeures favorisant la révolution verte de l’Afrique.
Le Sommet africain des engrais, qu’il a organisé en 2006, a été l’une des plus grandes réunions de haut niveau dans l’histoire de l’Afrique ayant contribué substantiellement à la résolution des questions alimentaires.
Aux commandes, depuis 2015, du Groupe de la Banque africaine de développement, qui joue un rôle central dans le développement de l’Afrique, il a apporté son leadership dans la promotion de sa stratégie dite « des High 5 », axée sur cinq priorités : Éclairer l’Afrique, Nourrir l’Afrique, Industrialiser l’Afrique, Intégrer l’Afrique et Améliorer la qualité de vie des populations africaines.
Il Sik Hong, qui préside le Comité du prix Sunhak pour la paix, a déclaré : « Les créateurs du prix Sunhak l’ont établi en se fondant sur la vision “Une famille unie en Dieu”. Le prix Sunhak pour la paix de 2019 accorde une attention particulière à la paix et au développement humain en Afrique. »
Le prix Sunhak pour la paix comprend une récompense d’un montant d’un million de dollars. La cérémonie de remise du prix Sunhak pour la paix 2019 aura lieu en février 2019 à Séoul, en Corée.

Aissatou Trapré
Source: croissanceafrique.com
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Niger: Emission obligations du Trésor à 22 868,630 millions de FCFA dans les caisses du trésor

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22/11/2018
L’émission d’Obligations Assimilables du Trésor à 3 ans portant sur un montant de 30 milliards, par adjudication de la Direction générale du trésor de la Comptabilité Publique du Niger, a connu un taux de couverture du montant mis en adjudication de 76,23 %, a annoncé l’agence régionale ouest africaine de planification de la dette UMOA-Titres dans un communiqué.
L’adjudication ouverte le 22 Novembre 2018, suivant un système d’enchères à prix multiples, a permis au trésor nigérien de placer dans ses coffres la somme de 22 868,630 millions de francs CFA dont 1877 millions en ONC.
Selon le compte rendu d’adjudications d’obligations du trésor parcouru par le journal de l’économie malienne (LEJECOM), le prix marginal et le prix moyen pondéré s’élèvent respectivement à 9 505,0000 FCFA et 9527,27 FCFA.
Cette opération s’inscrit dans le cadre de l’exécution du programme d’émissions de titres publics du Niger en conformité avec la stratégie à moyen et long terme de gestion de la dette.
Le remboursement de ces obligations se fera le premier jour ouvrable suivant la date d’échéance. Le paiement des intérêts se fera à un taux de 6,20% l’an dès la première année.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

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Mali: Financement du secteur privé: La BAD accorde un crédit de 30 millions d’euros à la BDM SA

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L’information émane du Département de la Communication de la Banque africaine de développement (BAD). Ce financement dotera la Banque de Développement du Mali (BDM-SA) en ressources nécessaires pour appuyer l’expansion d’entreprises maliennes (le secteur privé malien a bénéficié de 70% des interventions de la BDM-SA) et notamment les petites et moyennes entreprises (PME) opérant dans des secteurs pourvoyeurs d’emplois.
Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement a approuvé une ligne de crédit de 30 millions d’euros en faveur de la Banque de Développement du Mali (BDM-SA), en vue de procurer des financements sur le long terme à sa clientèle, et de répondre à leurs besoins d’investissement. La clientèle de la BDM-SA est constituée aussi bien de grandes que de petites et moyennes entreprises (PME) opérant dans des secteurs réputés être à haute intensité de main d’œuvre, tels que l’agro-industrie et le logement social.
L’opération va prendre en compte les priorités stratégiques de la Banque africaine de développement et dédier au moins 15% de la facilité aux femmes entrepreneurs. Elle est également en conformité avec la politique du secteur financier du groupe de la Banque, ainsi qu’avec sa stratégie en matière de développement du secteur privé.
Présentant le projet au Conseil, Stefan Nalletamby, directeur du département du développement du secteur financier, a souligné la pertinence de la BDM-SA, partenaire de choix pour la mise en œuvre des politiques de la Banque africaine de développement, en matière de financement des PME dans un contexte de pays en transition.
Le financement dotera la BDM-SA en ressources nécessaires pour appuyer l’expansion d’entreprises maliennes (le secteur privé malien a bénéficié de 70% des interventions de la BDM-SA) et notamment les PME opérant dans des secteurs pourvoyeurs d’emplois. Cette opération aura un impact substantiel sur le développement avec notamment la création d’au moins 1000 emplois ; la production de 500 logements sociaux ; l’aménagement de 1000 hectares de terres agricoles et l’allégement des contraintes financières et l’accès aux ressources longues des PME ainsi que des grandes entreprises financées par la transaction.
L’on affirme que le projet est en parfaite adéquation avec quatre des cinq priorités (« High 5») déclinées par la Banque, à savoir l’accès pour l’Afrique et ses populations à l’électricité, l’autosuffisance alimentaire, l’industrialisation et l’amélioration du cadre et de la qualité de vie.
Hamadoun Alphagalo
Source: croissanceafrique.com
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RSE : Ecobank Mali offre des vivres à l’ASHED

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Depuis maintenant 6 ans, le Groupe Ecobank dédie une journée d’activités sociales aux communautés de son réseau. Pour l’édition de cette année, la banque panafricaine a offert, ce samedi 17 novembre 2018 des dons divers de vivres à deux orphelinats reconnus à Bamako et Sikasso. Lesquels sont l’Association pour le soutien des handicapés et des enfants démunis (ASHED) et le Centre d’accueil pour la protection, l’éducation des enfants en situation difficile et aides ménagères (CAPEMA) Sikasso.
Composé de sacs de riz, sucre, lait, huile, ce don qui est d’une valeur de plusieurs millions de F CFA s’inscrit dans le cadre de la commémoration de la 6e édition de la Journée Ecobank ou “Ecobank Day”. Aussi, il s’inscrit dans la mise en œuvre de son programme de responsabilité sociale d’entreprise (RSE). Le thème retenu pour cette 6e édition est “soutien aux orphelinats en Afrique”.
La cérémonie de remise était présidée par Mme Assétou Founè Samaké Migan, ministre de l’Innovation et la Recherche scientifique, représentant le ministère de la Femme, de l’Enfant et de la Famille. On y notait la présence la directrice d’Ecobank Mali, Mme Touré Coumba Sidibé, du secrétaire général du ministère de la Solidarité et de l’Action humanitaire, Salif Maïga et de la promotrice de l’ASHED, Kadia Dem.
Dans son intervention, Mme Touré Coumba Sidibé s’est réjouie de l’instauration d’une telle journée Ecobank qui démontre, selon elle, la volonté du Groupe à respecter son engagement d’entreprise sociétale et citoyenne. « Pendant deux décennies, nous avons toujours considéré qu’il était de notre devoir de nous rapprocher de nos populations non pas seulement de les présenter ce que nous savons faire de mieux en matière de produits et services financiers, mais aussi de partager avec elles, nos valeurs, nos sentiments et encore plus notre souci permanent de donner de l’espoir aux uns et aux autres un avenir meilleur», a rappelé la directrice d’Ecobank Mali.
Par ailleurs, elle promettra que l’Ecobank Mali continuera son aide envers ce centre dans le domaine de la santé des enfants, l’accès à l’école. «Nous allons contribuer financièrement et en nature pour participer à l’éducation académique de trois enfants dont vous avez la charge pour leur scolarité, leur suivi jusqu’à leur insertion dans la vie active», a annoncé la directrice d’Ecobank Mali.
AIssatou Traoré
Source: croissanceafrique.com
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Code des investissements au Mali : Le seuil d’éligibilité des entreprises pour bénéficier des exonérations doit passer à 100 millions de F. CFA

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La révélation a été faite par ministre de l’Economie et des Finances. Visiblement préoccupé de renforcer les acquis enregistrés dans le cadre du programme économique et financier du Mali appuyé par l’accord au titre de la Facilité élargie de crédit (FEC) du FMI, Dr Boubou Cissé, annonce plusieurs réformes qui sont en cours pour assainir et stabiliser davantage le cadre macroéconomique du pays. Il s’agit entre de la gestion de dette du pays, de la mobilisation de recettes et surtout de la question de l’exonération.
Pour lui, ces réformes devraient être renforcées, consolidées pour le prochain programme en tout ce qui concerne la stabilité macroéconomique, la viabilité financière ou budgétaire même de l’Etat. Toute chose qui conduit à des questions relatives à la gestion de la dette, de la trésorerie.
Aussi, par rapport au défi de la mobilisation des recettes, le ministre Boubou Cissé promet de poursuivre avec les réformes qui ont pris du retard dans le cadre de ce programme. Cela, dit-il «pas parce qu’elles n’ont pas été mises en œuvre mais parce que les résultats escomptés n’ont pas été atteint à 100%». Pour lui, dans le cadre des exonérations, beaucoup de progrès ont été faits. Car, dit-il « «aucun marché n’est exécuté sur le budget d’Etat en hors taxe, contrairement à ce qui se passait il y a un ou deux ans. Tout est en TTC.
«La réforme majeure était liée au code des investissements. Le dossier est sur la table du Conseil des ministres. Le projet de loi prévoit que le seuil d’éligibilité auquel les entreprises auront droit pour bénéficier des exonérations doit passer de 12,5 millions de francs CFA à 100 millions de F CFA », a-t-il annoncé.
Avant de préciser : « Ça va nous permettre de réduire significativement le niveau des exonérations dans certaines entreprises qui étaient dans le code des investissements». Cela, simplement, parce que des entreprises bénéficient de ces exonérations sans une contrepartie efficace pour le gouvernement, a ajouté Dr. Boubou Cissé.
«On a remarqué, généralement, que ceux sur quoi ces entreprises se sont engagées pour pouvoir bénéficier de ces exonérations, de 70% à 80% ne le font pas. Il n’y a pas de création d’emplois, ni de valeur ajoutée. Donc nous allons rehausser légèrement le niveau pour être dans une norme qui est communautaire. Comme chez nos voisins du Burkina Faso, c’est à 100 millions.»
Mahamane Maïga
Lejecom
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Mali: Lutte anti-terroriste dans le Centre, désormais, l’armée prend des initiaves dans le sens de l’offensive

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La neutralisation d’une base de commandement de la katiba d’Ansar Eddine du Macina est le fruit d’une action coordonnée et concertée entre les armées du Mali et de la France

Dans la nuit du 22 au 23 novembre 2018, les Forces armées maliennes (FAMAs) et l’Opération française Barkhane ont mené une opération coordonnée d’envergure sur une base abritant le commandement de la Katiba d’Ansar Eddine du Macina.
Cette opération, tel que l’a rappelé le Ministère de la Defense et des Anciens Combattants, a permis de neutraliser une trentaine de terroristes dont Djourétou, le chef de base ; Bobala, le Chef des opérations et probablement Amadou Kouffa, le chef de la Katiba du Macina affiliée à Al Qaida.

Ce succès militaire traduit, assurément, la montée en puissance des FAMAs, la qualité des renseignements, ainsi que l’interopérabilité avec les forces internationales, en particulier avec Barkhane.
Elle traduit également le couronnement de l’engagement des hautes autorités maliennes, soutenues par la hiérarchie militaire, à stabiliser le Centre du pays en vue du retour de L’Etat et des services sociaux de base.
En visite dans le Centre en février 2018, le Premier ministre M.Soumeylou Boubèye MAIGA avait en effet déclaré la ferme détermination de l’Etat à mener une lutte sans merci contre les groupes terroristes et à les traquer partout où ils se trouvent : « Ceux qui troublent la paix et la quiétude des populations en créant la pagaille sont nos ennemis. Nous allons les combattre et nous irons les chercher partout où ils se cachent » avait prévenu M. MAIGA. Le Chef du Gouvernement n’a eu de cesse de réitérer cette déclaration au cours de chacune de ses visites dans la région de Mopti.
Concrètement, la volonté du Gouvernement malien s’est traduite par une augmentation substantielle des effectifs militaires et un changement radical de posture. Désormais, l’armée prend des initiaves dans le sens de l’offensive. Elle attaque et nettoie les repaires des pseudo-djihadistes jusque dans leurs deniers retranchements. « Nous sommes prêts à augmenter les effectifs jusqu’à dix mille hommes, s’il le faut, dans le Centre du pays » avait notament déclaré M. Soumeylou Boubèye MAIGA en mars 2018, lors d’un périple qui lui a fait visiter 5 des 8 cercles de la région de Mopti (Mopti, Badiangara, Bankass, Koro et Djenné). Cette forte présence spatiale de l’armée a tout d’abord permis de créer les conditions de la tenue de l’élection présidentielle de juillet-août 2018, puis la neutralisation, depuis hier, de cette base abritant un commandement de la katiba de Ansar Eddine du Macina. Avec à la clef des pertes immenses pour l’ennemi et un affaiblissement à la fois de son leadership et de ses capacités logistiques.
Le Gouvernement du Mali continuera sa lutte contre le terrorisme avec vigueur et détermination. Parallèlement, il intensifiera ses efforts pour combiner les actions de lutte et de prévention avec celles visant le développement. De même, les espaces politiques de dialogue ouverts avec les groupes et individus qui acceptent de déposer les armes et de s’inscrire dans un processus de paix et de reconciliation seront renforcés et revitalisės.

Ceĺlule Communication de la Primature.

Daouda B

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Mali : C’est parti pour la 5ème édition du salon des jeunes entrepreneurs de la zone UEMOA.

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Ce samedi 24 novembre 2018, les organisateurs du salon des jeunes entrepreneurs de la zone UEMOA ont procédé à l’ouverture de la 5ème édition du SAJE-UEMOA. Il s’agit de quatre jours les participants et acteurs évoluant dans l’entreprenariat des jeunes venant des pays de l’UEMOA échangeront sur divers thématiques qui semblent essentiellement incontournable pour bâtir le socle fort et solide pour l’émergence économique et monétaires de la zone de l’Union Economique Monétaire Ouest Africaine. La 5èédition est placée sous le thème : Oser le partenariat inter-entreprises PME-pmi « opportunités, enjeux et défis dans l’espace UEMOA ».

A sa prise de parole le président de la commission d’organisation monsieur Idrissa Coulibaly a rappelé « qu’après une année d’absence, 2017, qui nous d’ailleurs permis de mieux échanger et de sceller nos contacts avec les partenaires, le SAJE-UEMOA se donne comme leitmotive d’offrir aux entrepreneurs jeunes ; un cadre d’échanges mutuels ; avantageux et fructueux basés sur nos propres expériences et celles de nos mentors, des myriades d’opportunités qui se présentent. Il nous revient de nous accorder sur des propositions appropriées de développement d’affaires fructueuses et durable propre à notre zone économique et monétaire » a-t-il rappelé.
Au cours de son allocution Idi Coulibaly a invité l’implication des gouvernements de la zone UEMOA et partenaires techniques et financiers d’y soutenir d’avantage ce projet dans la mobilisation des jeunes entrepreneurs des 8 pays de la zone tout en mobilisant soit « 10 entrepreneurs par pays à prendre part à ce rendez-vous du Mali et cela aura sans nul doute , des incidences positives et des incitations à la création et à la gestion des entreprises afin de d’alléger nos gouvernements des millions de jeunes diplômés ou jamais formés et donc , sans emplois stables » a-t-il invité.
Pour sa part, le président de l’association des jeunes entrepreneurs de la cote d’Ivoire M. JEAN PAUL BAYA « Il nous faut une synergie d’action afin que SAJE-UEMOA devient plus forte, nous avons un marché commun, une monnaie commune, un langage commun, donc prenons des initiatives pour les 8 pays, allons à la création des capitaux et fédérons nos capitaux » a-t-il exigé.
Dans son intervention, l’Universitaire et coach des jeunes entrepreneurs M. Ibrahim TEO LAM commencera son discours par des problématiques « pourquoi doit-on oser l’entreprenariat en tant que pays Africain ? qu’est-ce qu’on doit faire en tant que jeunes entrepreneurs ? Il répondra par la suite que la jeunesse africaine doit procéder à l’innovation et à la création des capitaux. Il ajoute ensuite qu’il ne faut s’arrêter aux bien et à l’utilisation de la création d’autrui (mettant l’accent sur les occidentaux et leur créativité pour nous manipuler). « Vous êtes à l’école ou pas, tout le monde peut procéder à la création de son packaging » il faudrait apprendre que « l’entreprenariat commence par moi-même, réfléchissons ensemble et nous allons prendre notre destin en main », a exhorté le coach LAM.
A son tour le représentant résident de l’UEMOA au Mali, M. Mamadou Moustapha BARO affirme que « cette 5 ère du SAJE-UEMOA 2018 « édition les jalons pose essentiellement les jalons des nouvelles ères de la zone UEMOA. Les défis s’articulent autour de la facilitation des financements des projets jeunes dans l’espace UEMOA. En matière d’accompagnement, les structures de la zone l’UEMOA ont bénéficié un programme de Co- développement dans plusieurs secteurs dont les collectivités locales et territoriales », a laissé entendre.

Daouda Bakary KONE

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Mali: le ministre Yaya Sangaré, l’Invité au dîner Gala « Osez le retour »

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Voici les impressions du ministre des maliens de l’extérieur et de l’intégration Africaine « J’étais l’invité d’honneur de Mme Yara Fatoumata Camara, initiatrice de la soirée Gala « Osez le retour » hier au musée national de Bamako.

Cette soirée visait à sensibiliser la jeunesse malienne de la Diaspora à rentrer au pays et y contribuer à son développement. C’est une initiative qui rentre dans le cadre de la politique du gouvernement du Mali à travers mon département.

Elle visait également à collecter des donations pour venir en aide aux jeunes excellents bacheliers maliens qui par manque de moyens des parents auraient leurs études s’arrêté et aussi elle visait à accompagner les femmes victimes de fistule dans la région de Mopti » a-t-il donné comme impression.

Daouda B koné

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Source: croissanceafrique.com

Mali: L’autopsie de la gouvernance IBK et le péril malien!

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Dans un régime démocratique, la conquête et l’exercice du pouvoir se fait à partir des règles édictées dans une loi fondamentale appelée constitution.

Le Mali a adopté par référendum une constitution le 25 février 1992 et c’est celle-ci qui régit le règles de fonctionnement des pouvoirs en république depuis plus de 20 ans.

Cette constitution est un bon compromis pour assoir les bases d’un exercice équilibré des pouvoirs législatif, judiciaire et exécutif au Mali et son respect scrupuleux conditionne la bonne gouvernance du pays.

Mais malheureusement cela n’a pas été le cas et l’un des pouvoirs en occurrence le pouvoir judiciaire est en panne depuis 1992 et peine à dire le droit et forcer le pays sur les sentiers l’état de droit et de la bonne gouvernance.

Toutes les dérives de la république et de la nation malienne trouvent leur source dans le non respect de nos règles de fonctionnement de la société de nos lois et règlements.

Bien qu’étant très critique des régimes Alpha et ATT pour leur mauvaise gouvernance du pays, je me suis farouchement opposé aux putschistes du 22 mars 2012 parce qu’ils mettaient en cause l’existence même du régime démocratique et faisaient retourner le pays dans les sombres moment du CMLN, donc d’un régime politique d’exception qui ouvrait la porte à toutes les aventures.

Alors que le régime démocratique garantit les libertés fondamentales du citoyens surtout l’égalité devant la loi, la liberté d’expression et d’opinion, la protection des patrimoines privés et publics, etc.

Les journalistes et les politiques qui ont été lâchement agressés par la soldatesque ivrogne de Kati sont là pour témoigner la différence fondamentale en matière de liberté entre un régime démocratique et un régime d’exception conduite par des militaires à la limite analphabètes et qui dirigent le pays par leur instinct et non par la loi.

Mais le régime démocratique, n’est pas non plus une assurance tout risque pour un peuple, surtout s’il est travesti, il peut conduire le pays au chaos.

Que Dieu nous en préserve.

Elu à 77% des suffrages exprimés en aout 2013 au Mali, IBK s’est littéralement entouré de sa famille et de ses amis pour diriger un pays en crise.

Ces discours enflammés et provocateurs, à commencer par celui du 2 octobre 2013, ont d’abord eu raison aux têtes brûlées de la junte militaire de Kati, en overdoses de mutineries fin septembre 2013.

Le général météorite Sano De Gaulle et sa nuée de spadassins indisciplinés, inventeurs des charniers de Diago et environs croupissent désormais derrière les barreaux en attente de procès pour assassinat et autres chefs d’inculpations.

Si la junte est rentrée dans les rangs, IBK qui montrait une « main fer dans un gang de velours » aux rebelles du Nord et qui a juré ne pas « négocier avec des hommes en armes » ni de les permettre de « se hisser à son niveau », en est réduit aujourd’hui à donner des villes entières du Mali à ces mêmes « hommes en armes » après avoir été « ivre de bonheur ».

Entre ces deux positions diamétralement opposé, il faut partir de la doctrine IBK sur la crise du Nord du Mali qui est de:

Tout est négociable sauf l’intégrité territoriale du Mali et la forme forme laïque de la république.

C’est doctrine n’est pourtant pas une invention d’IBK c’est la ligne de conduite de tous les pouvoirs successifs du Mali depuis Moussa Traoré et c’est également la position édictée dans les résolutions de l’ONU sur le Mali votées par le conseil de sécurité en 2013 bien avant l’élection d’IBK.

Négocier, c’est le fil conducteur voulu par la communauté internationale précipitée au chevet du Mali depuis que les bidasses fuyards des combats au nord et pilleurs à Bamako ont sabordé notre constitution le 22 mars 2012 et qu’ils ont entraînée la chute vertigineuse des 3 régions du nord et d’une bonne partie de celle de Mopti moins de 10 jours plus tard.

Le régime transitoire de Dioncounda Traoré et son négociateur attitré, Tiebilé Dramé, avait aussi réussit dans l’accord préliminaire de Ouagadougou du 18 juin 2013, à préserver le principe de l’intégrité du territoire national et la forme laïque de la république.

Mais cet accord préliminaire était une invitation à négocier qui a permis de faire les élections qui ont vu élire IBK et il lui donnait 6 mois pour cela.

IBK enfermé dans une sorte d’euphorie de la victoire électorale et des fastes de son investiture XXL avec rois et présidents du 19 septembre 2013 à Bamako, à cru bon de se la jouer Mandé Massa.

Il va privilégier les voyages coûteux en jets privés ultra luxueux, s’arroge le droit de s’offrir un second avion présidentiel abondamment surfacturé et multiplie des marchés publics de gré à gré à des coûts de centaines de milliards, en violation flagrante de toutes les règles des finances publiques au Mali.

La famille et les copains, tout au tour, bouffent à deux mains l’argent public, mais ni l’Etat malien, ni ses institutions comme l’armée, la justice, l’école, l’administration, n’ont réussit la moindre cure d’amélioration de la gouvernance qui a été pourtant à l’origine de l’effondrement du pays en 2012.

La communauté internationale qui s’était félicitée des élections réussies dans le pays en 2013, avait promis 3,2 milliards d’euros pour la stabilisation et la reconstruction du pays.

Mais l’attitude budgétivore du Mandé Massa, belliciste et attentiste pour rouvrir les négociations de paix avec les groupes armés non terroristes du nord, refroidit les ardeurs de beaucoup de partenaires techniques et financiers du pays qui traînent du coup pour décaisser les milliards promis au pays.

Le chef de file des bailleurs de fonds, le FMI, coupe les cordons de la bourse au pays depuis juin 2014 quand il découvre une avalanche de marchés publics extra budgétaires et en dehors de toutes règles alors que le pays est sous perfusion financière internationale.

Comment peut-on gaspiller inconsciemment l’argent de son propre pays malade de partout quand on a la main tendue aux autres?

C’est vous qui le savez sublime Mandé Massa de la 25ème heure!

Le FMI ayant obligé IBK et son gouvernement à budgétiser toutes les dépenses publiques, le résultat a été l’explosion du budget de Koulouba qui passe (sans raisons valables) de 9 milliards pour 2014 à 14 milliards pour 2015 suivi par celui de l’assemblée nationale qui augmente de 3 milliards lui aussi.

Alors que Mme Fily Bouaré, ex ministre des finances d’IBK, l’architecte du gaspillage de nos sous, se ventait que les dépenses publiques ont diminué dans le budget 2015.

Comprenez par là que les dépenses d’investissement publics pour plus d’écoles, plus d’hôpitaux, plus d’universités, plus d’électricité, plus d’eau potable, plus de logements sociaux, plus de routes, etc, diminuent pour nous tous mais les dépenses de fonctionnement de Koulouba et de l’assemblée nationale augmentent pour plus de caviar et plus de voyages luxueux pour IBK et sa famille et copains.

Dans cette situation il n’est pas étonnant que l’armée ne soit pas équipée à hauteur de souhait, il n’est pas étonnant que nos bacheliers font seulement 17% de réussite au baccalauréat malien en 2014.

C’est une politique publique à l’envers qui consiste à inverser les priorités dans le pays et à prendre des chemins tordus avec l’argent public qui a fait partir Oumar Tatam Ly.

Moussa Mara qui lui a succédé n’a pas été courageux, par opportuniste outrancier, de redresser la barre de la restructuration de l’État au Mali.

Au contraire il a excellé dans l’excès de zèle et le mensonge éhonté jusqu’à vouloir précipiter l’armée dans une guerre non préparée à Kidal, une armée malienne dont il n’a rien donné de surcroît ni avions de combat ni hélicoptères de combat, ni orgues de Staline.

Les rebelles de la CMA sachant cela montent tous les jours la surenchère car ils savent que le pays n’a plus de mordant pour leur faire rentrer dans les clous de la république.

Pour préserver leurs communautés menacées de toutes sortes d’exactions par ces rebelles surexcités, violeurs, voleurs et pilleurs, des milices d’autodéfense patriotiques et déterminées se sont constituées et chassent les rebelles de la CMA de leurs terres qu’ils squattent depuis la bérézina de Moussa Mara en mai 2014.

Comme entre temps le régime médiocre d’IBK a signé du n’importe quoi qu’il appelle « arrangements sécuritaires » avec les voyous de la CMA, même les défaites militaires ces rebelles sans vergogne de la CMA face aux milices d’autodéfense patriotiques se transforment désormais en victoire pour eux car la communauté internationale est friande du respect des engagements pris et abuse d’un État inconscient du Mali pour appuyer ses pions auprès des rebelles sans scrupules de la CMA.

Cette situation est incubateur de guerre civile car ceux qui sont armés pour défendre leurs communautés au nord du Mali, ne vont pas indéfiniment se plier aux désidératas d’une communauté qui se dit internationale et qui collabore avec des voyous de la CMA au nom d’une paix usurpée et extravertie.

Il n’y a pas de paix au nord du Mali, sans les communautés du Nord du Mali et vouloir à tout pris leur imposer la domination des voyous faiblards de la CMA sur toute l’étendue du Nord du Mali est une irresponsabilité grave de la communauté internationale et le régime IBK qui se plaint aujourd’hui qu’il a été empêché d’équiper l’armée malienne en est le principal responsable de cette situation car personne ne lui a empêcher de s’offrir un Boieng 737 surfacturé à bloc.

Allabonnima!

Salute!

Source: croissanceafrique.com

Contribution d’un internaute.

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