Il s’agit dune augmentation electrico-tarifaire voulu par l’État français. selon journal le monde , ce sera seulement + 4 % toutes taxes comprises lors de la prochaine révision, en février, par rapport à celle d’août 2021, a-t-il promis Bruno lemaire. Problème : depuis, sur le marché, les prix continuent de s’envoler.
Cette situation a été bel et bien contesté par les consommateur d’électricité en France. Deuxième économie de l’européenne, la France est l’une des victimes touchée de la pandémie, hormis l’Italie, l’Angletère et l’Espagne. Ce pays dirigé par Emmanuel Macron s’est engagé à prendre des mesures permettant l’augmentation des prix d’électricité dans un conteste sanitaire plus menaçant en Europe.
« Sitôt brandi, le « bouclier tarifaire » demande déjà un sérieux rafistolage. Fin septembre 2021, en pleine envolée européenne des cours de l’énergie, le gouvernement français s’engageait à plafonner la future hausse de son tarif réglementé de vente de l’électricité », rapporte journal le monde.
Aujourd’hui, l’exécutif maintient sa promesse… sans encore préciser comment il compte la mener à bien d’ici à février, ni combien elle lui coûtera au total. Il n’y aura pas de hausse supplémentaire des prix de l’électricité en 2022, a déclaré Barbara Pompili, la ministre de la transition écologique, ce mardi sur BFM-TV.
Bruno Le Maire en fait « l’urgence absolue » du moment et assure travailler « depuis une quinzaine de jours (…) nuit et jour à une solution ». « Car cette explosion des prix de l’électricité n’est soutenable ni pour les ménages, ni pour les entreprises », expliquait le ministre de l’économie, des finances et de la relance, le 7 janvier, lors de vœux à la presse.
Sans intervention de l’Etat, la hausse réelle correspondrait en février à… + 44 % hors taxe pour les abonnés au « tarif bleu » d’EDF, soit plus de deux tiers des foyers du pays. Selon nos informations, il s’agit de l’estimation faite par la Commission de régulation de l’énergie.
Notons que l’autorité administrative a pour mission de calculer les prix, notamment en fonction des coûts d’approvisionnement des concurrents d’EDF sur le marché. Fin septembre 2021, Barbara Pompili, la ministre de la transition écologique, s’attendait à contrer une hausse de moindre importance. Elle attendait une hausse d’« environ 12 % ».
Daouda Bakary koké