(CROISSANCE AFRIQUE)-Au Mali, le président du Niger, le général Abdourahamane Tiani, effectue (ce jour) une visite d’État à Bamako, le mardi 30 septembre 2025, marquant un événement significatif dans l’histoire récente de la région du sahel.
Cet événement important représente une étape décisive dans le renforcement des liens entre ces nations sahéliennes, alors qu’une nouvelle page de l’unité entre les pays du Sahel s’écrit avec une encre indélébile de fraternité et d’ambition partagée, marquant ainsi un pas vers une future collaboration mutuellement bénéfique.

Sur le tarmac de l’aéroport international président Modibo Keita Senou, au cœur de la capitale malienne, le général Assimi Goïta a réservé un accueil chaleureux à son hôte, témoignant d’un respect profond et d’une amitié sincère, avec ferveur et dignité humaine, tout en soulignant l’importance de cette visite pour la coopération régionale et le développement.
Ce mardi matin de septembre, alors que le soleil malien illumine les collines environnantes de sa lumière dorée, le Président de la Transition du Niger, le Général Abdourahamane Tiani, effectue une visite officielle qui ne passe pas inaperçue à Bamako, la capitale foisonnante et culturellement riche du Mali.
À son arrivée à l’aéroport international Modibo Keïta-Sénou, dans un avion militaire qui évoquait la gravité et l’importance de cette rencontre, il a été accueilli avec tous les honneurs protocolaires par son homologue malien et fervent allié, le Président de la Transition et Président de la Confédération des États du Sahel, le Général d’armée Assimi Goïta.
Cette visite, empreinte de symbolisme puissant, marque un tournant décisif et stratégique dans le processus incessant de renforcement des liens de solidarité, de coopération et, plus largement, d’unité entre les États situés en plein cœur du Sahel.
Notons qu’il s’agit d’une alliance née dans les épreuves partagées, une résilience forgée au fil des années, et de la volonté farouche, presque séisme, de ces nations de reprendre fermement en main leur souveraineté face aux défis imposants auxquels elles continuent de faire face.
Daouda Bakary KONÉ