Ce mardi 19 novembre 2019, s’est tenu la 5 ème revue annuelle de l’Union monétique et monétaire L’est Africaine (UEMOA) dans salle de conférence de l’hôtel Radison Bleu de Bamako. L’UEMOA passe en revue avec le gouvernement, les résultats de l’évaluation de la mise en œuvre effective des réformes , politiques, programmes et projets communautaires au titre de l’année 2019 au Mali. Cette rencontre était placé sous le haut patronage du ministre malien , délégué, chargé du budget au Mali. Elle a enregistré la présence de plusieurs et acteurs évoluant dans l’uemoa.
L’UEMOA passe en revue avec le gouvernement, les résultats de l’évaluation de la mise en œuvre effective des réformes , politiques, programmes et projets communautaires au titre de l’année 2019 au Mali. Cette rencontre était placé sous le haut patronage du ministre malien , délégué, chargé du budget au Mali.
Cette 5 ème revue annuelle de l’Union économique et monétaire Ouest Africaine (UEMOA) a enregistré la présence de plusieurs ministres de la République du Mali à savoir Mme Barry AOUA Sylla en charge du budget, du président de la commission de l’UEMOZ M. Abdallah Boureima, de M. Boubacar Alpha Bah de l’administration territoriale, de l’artisanat et du tourisme Mme NINA Wallette Intallou, du ministre de l’équipement et des infrastructures Mme Traoré Zeinab Diop, du ministre de l’amenagement du territoire et de la population M. Adama Tiemoko Diarra, le secrétaire d’État chargé de l’équipement rural M. Adama Sangaré et le ministre de l’élevage et de la pêche Mme KANE Rokia MAGUIRAGA et d’autres acteurs.
Dans son allocution le président de la commission de l’UEMOA a affirmé que » la revue a connue une bonne implication des acteurs maliens dans l’exécution des programmes au Mali », a-t-il affirmé Abdallah BOUREIMA.
Pour sa part le ministre malien, délégué chargé du budget Mme Barry Aoua Sylla , a dit dans son discours que « le Mali a réalisé 47 milliards de FCFA soit 77℅ et ce qui place le Mali au 3 ème rang de la zone UEMOA avec une indice de performance de 56% contre 66% en 2017, a-t-il dit.
Daouda Bakary Koné
Source: Croissanceafrique.com