(CROISSANCE AFRIQUE)-Dans un contexte de crise économique et de faim croissante en Guinée-Bissau, la coalition PAI – TERRA RANKA, dirigée par le Parti Africain pour l’Indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), émerge comme l’ultime solution pour le peuple. Malgré l’absence de moyens financiers pour mener une campagne électorale et la confiscation volontaire de leur matériel de campagne par le régime de Umaro Sissoco Embalo, cette coalition a su susciter une adhésion massive en présentant son programme électoral, contrairement à d’autres partis politiques venus les mains dans les poches.
Parallèlement, le parti présidentiel est confronté à des allégations d’achat de cartes d’électeur dans certaines régions ainsi que le classique l’achat des consciences suscitant ainsi des inquiétudes
La faim : un enjeu majeur pour le peuple Bissau-guinéen :
Depuis le début de la campagne électorale, marquée par l’arrivée du leader du PAIGC, Domingos Simoes Pereira, depuis le Sénégal voisin, les manifestations de soutien de la population ne cessent de s’intensifier. Les citoyens expriment leur profonde détresse face à l’abandon de l’État dans les domaines essentiels tels que la santé et l’éducation, ainsi que face à une préoccupation grandissante : la faim. Il devient urgent de sanctionner ce régime, sous l’ère Embalo !
Les dénonciations et les appels à la sanction du régime en place :
Dionisio Pereira, le secrétaire général de la JAAC (Jeunesse Africaine pour l’Action Citoyenne) a dénoncé l’achat de cartes d’électeur par le parti présidentieldans l’ile de Bubaque. Déjà le 5 mai dernier, Fransual Dias, membre du Partido da Renovação Social, a été victime d’une attaque armée, qui serait liée à ses déclarations médiatiques critiquant le déroulement du processus électoral et pointant du doigt le président Sissoco Embaló. Le porte-parole du gouvernement, Fernando Vaz, a affirmé par la suite qu’il n’y a aucun problème de liberté d’expression, mais qu’une enquête a été ouverte pour déterminer les responsabilités de cette attaque. Il faut signaler que plus de 300 motos achetés avec les fonds publiques.
L’appel à un vote massif pour la coalition PAI – TERRA RANKA :
Dans un meeting qui a réuni des milliers de citoyens, Domingos Simoes Pereira, leader de la coalition PAI – TERRA RANKA, a appelé le peuple Bissau-guinéen à voter massivement pour permettre à la coalition de gouverner sans entraves. Il a souligné l’importance de chaque vote et la nécessité d’éviter les votes inutiles. Le leader a également exprimé sa préoccupation face à la famine qui frappe certaines régions du pays, soulignant que la crise alimentaire touchait le sud du pays et s’inquiétant de la situation dans le nord et l’est. Il a rappelé son engagement à ne pas se livrer à des pratiques de corruption et à ne pas faire affaire avec l’État pour des gains personnels.
Les plans stratégiques de la coalition PAI – TERRA RANKA :
Geraldo Martins, superviseur de la coalition PAI – TERRA RANKA, a mis en avant les six piliers du programme de gouvernance de la coalition. Ces plans visent à développer les secteurs de l’éducation, de la santé et à créer des microcrédits pour soutenir les femmes et les jeunes dans la création d’entreprises pour leur autosuffisance. Il a appelé les Guinéens à se rendre aux urnes le 4 juin et à voter sans erreur pour changer l’actuel paysage politique du pays.
La réaction du président Sissoco Embaló :
Le président Umaro Sissoco Embaló a répondu aux critiques en affirmant qu’il ne nommerait jamais un citoyen faisant l’objet d’une enquête, mentionnant spécifiquement Domingos Simoes Pereira et Geraldo Martins du PAIGC. Il a souligné que les partis politiques au sein du gouvernement actuel fuyaient leurs responsabilités et a déclaré qu’il attendait leur réaction. Cependant, il a été critiqué pour ses propos et accusé de ne pas respecter la liberté d’expression. Le ministère public avait, pourtant, déclaré publiquement que Domingos Simoes Pereira et Geraldo Martins ne faisaient l’objet d’aucune procédure en cours, remettant ainsi en question les accusations portées à leur encontre.
Dans un contexte de crise alimentaire croissante et de préoccupations concernant l’intégrité du processus électoral, la coalition PAI – TERRA RANKA apparaît comme l’ultime espoir pour la Guinée-Bissau. Le peuple guinéen aspire à un changement réel et à une gouvernance transparente et responsable. Les élections du 4 juin seront un tournant décisif pour le pays, déterminant son avenir et sa capacité à relever les défis de la faim et de la négligence politique. Le choix est entre les mains des électeurs, qui sont appelés à exercer leur droit de vote avec responsabilité pour façonner le futur de la nation.
Nous alarmons la Communauté Internationale concernant la tentative d’annulation d’élection après l’entre triomphal de DSP dans le propre fief de Umaro Sissoco Embalo et ses partis partenaires au Pouvoir. Leur plan d’action est de créer une crise sécuritaire sans précédent dans le but d’accuser et d’incriminer le leader Domingos Simoes Pereira comme responsable et annuler les élections Législatives que la population Bissau Guinéenne à voir les images attendent avec un grand espoir et beaucoup d’impatience !
Rédaction
