En dépit de la pandémie, qui frappe aussi le Mali, Bouba Traoré, dit Bouba Orange, a réussi son événement en présentiel de la VIe Nuit de l’Entrepreneuriat de Bamako, consacrée à l’entrepreneuriat, aux jeunes et à l’emploi, pour aider le pays à se relever après une grave crise sociale et un coup d’État. Un véritable tour de force ! Portrait… enthousiaste !
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De notre envoyé spécial à Bamako, Bruno FANUCCHI
@PresseAfrica
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Défiant les incertitudes d’une épidémie dont personne ne voit la fin, Bouba Traoré avait pris le risque d’organiser le week-end dernier à l’Hôtel Laïco L’Amitié de Bamako la VIe édition de la Nuit de l’Entrepreneuriat, et celle-ci a été un succès puisqu’elle a même innové : grâce au soutien actif de 45 partenaires économiques – et non des moindres – contre 12 seulement lors de sa création il y a six ans, cette nouvelle édition s’est pour la première fois déroulée sur trois jours.
« Chapeau, Bouba ! car penser réussir un tel pari cette année, il fallait oser le faire ! » souligne le représentant d’Orange Mali. À Bamako, où tout le monde surnomme Bouba Traoré « Bouba Orange », personne n’est ainsi surpris d’entendre le compliment de l’opérateur téléphonique, qui souligne aussi le soutien que l’entreprise apporte à l’événement, depuis ses débuts : « Six ans d’accompagnement indéfectible montrent à quel point l’entrepreneuriat est valorisé par Orange », qui est d’ailleurs l’un des principaux opérateurs économiques du pays.
Patron de l’Agence BetT Communication événementielle, Bouba Traoré a beaucoup travaillé avec Orange, d’où l’explication du surnom, comme il est d’usage fréquent d’en attribuer en Afrique.
« Bouba Orange » est aussi connu pour se démener comme un beau diable, avec une énergie inépuisable, résumant ainsi sa philosophie de l’action : « Tout ce que nous faisons c’est pour le Mali, car le Mali nous a tout donné ».
Son credo : redonner de l’espoir à tous dans ce « nouveau monde » qui paraît sans avenir. Mais pas pour lui, qui ne pense d’ores et déjà qu’à préparer l’après-Covid. suivez la suite chez nos confrères de africapresse.paris: