L’innovation est l’action d’innover, c’est-à-dire de chercher à améliorer constamment l’existant. Dans le domaine économique, cela se traduit par un nouveau produit, service, processus de fabrication ou d’organisation pouvant être directement implémenté dans l’appareil productif et répondant aux besoins du consommateur. Elle se distingue ainsi de l’invention ou de la découverte par le fait qu’elle puisse être immédiatement mise en œuvre par les entreprises dans le but d’obtenir un avantage compétitif.
L’innovation est l’action d’innover, c’est-à-dire de chercher à améliorer constamment l’existant. Dans le domaine économique, cela se traduit par un nouveau produit, service, processus de fabrication ou d’organisation pouvant être directement implémenté dans l’appareil productif et répondant aux besoins du consommateur. Elle se distingue ainsi de l’invention ou de la découverte par le fait qu’elle puisse être immédiatement mise en œuvre par les entreprises dans le but d’obtenir un avantage compétitif.
Innovation au Mali
Selon les trois panélistes qui ont définis le terme innovation, chacun a défini qu’« On trouve ainsi plus de quatre-vingt expressions composites dont : innovation ouverte, innovation participative, innovation frugale, innovation inclusive, innovation incrémentale, innovation radicale, innovation révolutionnaire, innovation évolutive, innovation associative, innovation spasmodique », pensent-il.
Un autre participant affirme que « l’exprime c’est de faire un ventilant numérique. Il s’agit de créer un climat entre les entreprises. Il faudra créer de la valeur numérique. C’est pourquoi, dans ce cadre le Mali s’apprêt a organisé un séminaire dans ce sens-là afin d’appuyer les start-ups. En ce qui concerne la durabilité d’un start-up, elle peut aller de 3 à 5 ans » ; affirme-t-il. Pour monsieur DAOU du canal plus (+) l’un des panelistes sur le podium « il s’agit d’apporter un savoir-faire en incubant. Nous produisons et nous y allons à la production ». Pour Monsieur MAIGA, « pour inculqué cette culture d’innovation dans la mentalité de la jeunesse malienne, il ne faut pas qu’on forme des gens purement déconnectés de la réalité d’innovation. Nous devons nous adapter » « l’innovation pour moi, c’est aller vers une nouvelle manière de faire les choses » ont expliqué, les panelistes et les différents intervenants. Pour le directeur de Guinée télécom « l’innovation c’est la 4 ème révolution industrielle. En Guinée la culture entrepreneuriale existe déjà. Nous voulons avoir des entreprises digitales pour pouvoir gérer beaucoup, pour pouvoir innover, il faut avoir du courage et il faut rester persévérer », a-t -il témoigné sur le cas de la Guinée.
L’entreprenariat féminin au Mali
Le terme entrepreneur recouvre différentes significations connexes mais distinctes : l’usage courant l’assimile à un chef d’entreprise, tantôt porteur d’un projet d’entreprise en phase de démarrage, tantôt dirigeant d’une entreprise davantage établie, à laquelle le plus souvent il s’identifie étroitement et personnellement ; l’entrepreneur correspond également à l’appellation donnée aux chefs d’entreprise de différents secteurs du bâtiment ou des travaux publics.. en droit, l’entrepreneur (ou maître d’œuvre) désigne « la personne qui dans un contrat d’entreprise s’engage à effectuer un travail en réponse à la demande d’un maître d’ouvrage ».
Selon Mariétou Dicko promotrice culturelle et styliste « l’entreprenariat féminin c’est de l’innovation. Il s’agit d’apporter dans son entreprise. Trois défis qu’il faut relever à savoir (la formation, gouvernance et la vente). Si on va valorisait le pagne bogolan, le Mali n’allait pas être à ce niveau » affirme Mme Dicko. Elle veut tout simplement dire qu’il faut consommation. Panafricaine. Un autre paneliste dira qu’« il faut la digitalisation des entreprises féminines pour favoriser l’entreprenariat féminin. Pour lui, avoir un bon projet c’est de travailler avec les autorités du pays pour avoir un bon document administratif ». Pour Mme Fadima femme entrepreneure au mali « il faut qu’on éviter l’autocensure. J’ai travaillé à l’âge de 11 ans, et j’ai travaillé également dans un milieu d’homme dur qui ne m’ont jamais fait cadeau. Ils m’ont formé et je n’ai pas volé ma place, je l’ai gagné sur le tas » « pour d’autres il faut que les femmes ailles vers la digitalisation, il faut qu’elles œuvres vers l’entreprenariat numérique »
Daouda Bakary KONE
Source: Croissanceafrique.com