Selon un site d’information, Kibaru africa, la visite au Tchad du Premier ministre Boubèye Maïga, annoncée pour le 22 janvier passé, avait fait l’objet d’intenses tractations et de pressions dans les coulisses du pouvoir.
Le président tchadien, en tant que facilitateur, devait à cette occasion favoriser un rapprochement entre Tel-Aviv et Bamako. Le refus des milieux religieux maliens et l’indignation des chancelleries arabes à Bamako auraient fait reculer les autorités maliennes.
Lesquelles semblent ne pas renoncer à l’éventualité d’un rapprochement, après l’alléchante proposition d’Israël de 20 millions d’euros d’appui budgétaire au gouvernement malien. En tout cas, le président IBK aurait ordonné la reprise des discussions sur la faisabilité du voyage. Par ailleurs, Paris redouterait les conséquences sécuritaires d’un tel rapprochement sur le Mali.
Source : Kibaru Africain