(CROISSANCE AFRIQUE)-Au Mali, l’institut supérieur de technologie appliquée et de gestion (ISTAG-Mali) a récemment inauguré ses nouvelles infrastructures universitaires à Bamako le 18 novembre 2024.
Cette initiative vise à créer davantage d’opportunités pour les étudiants et apprenants de l’institut. Les nouvelles installations représentent un pas important vers des méthodes d’enseignement innovantes et adaptées aux besoins actuels du marché.
Fondé par Dr Moctar Hamma Maiga, Président Directeur Général, « l’ISTAG est reconnu comme une université de référence dans la sous région. L’institut s’engage à offrir une formation de haute qualité, répondant aux normes académiques internationales », dit-il. Sous la direction de Dr Maiga, l’ISTAG a pris l’initiative de se moderniser pour soutenir le développement des compétences au sein de la population étudiante.

Il faut signaler que cette cérémonie d’inauguration des nouvelles infrastructures de l’ISTAG a été soigneusement coordonnée et planifiée par Ibrahim Dia Keita, un homme de confiance du président directeur général de l’institut supérieur de technologie appliquée et de gestion (ISTAG-Mali).
Ibrahim Dia Keita, issu de la première promotion des étudiants de l’ISTAG au Mali, a su mettre en valeur son parcours en contribuant significativement à cette organisation. La confiance accordée par le président directeur général souligne l’importance de son rôle dans la réussite de cet événement.
Les nouvelles infrastructures représentent un tournant décisif pour l’institut, offrant des ressources améliorées qui permettront d’enrichir l’expérience éducative des étudiants. De plus, mêler l’histoire de la première promotion aux avancées actuelles renforce l’identité institutionnelle et motive les générations futures. Ainsi, cette inauguration marque non seulement un aboutissement, mais aussi un nouveau départ prometteur pour l’ISTAG Mali.
La preuve, le sieur est au four et moulin pour la reussite de la future cérémonie de graduation prevue pour le 30 novembre prochain au centre international de confetence de Bamako (CICB, dont il est égdalement le président de la commission d’organisation designé par le Dr Moctar Hama Maïga, président de l’Institut universitaire privé, ISTAG-Mali.
Ainsi, les nouvelles infrastructures sont essentielles pour offrir aux étudiants des conditions d’apprentissage optimales. Elles témoignent de l’engagement de l’ISTAG envers l’éducation de qualité et le bien-être des étudiants. Ces installations modernes développent un environnement propice à l’innovation et à l’entrepreneuriat, encourageant ainsi les jeunes à réaliser leurs ambitions.
Par ailleurs, le nouveau bâtiment de l’ISTAG est un édifice de trois étages équipée d’un système d’électricité autonome et hybride. Grâce à des panneaux solaires connectés à des batteries lithium, cette infrastructure témoigne d’un engagement fort pour la durabilité. Les étudiants pourront bénéficier d’un campus climatisé et d’espaces d’étude modernes pour favoriser leur concentration et leur productivité.

Selon Dr Maiga, l’ISTAG-Mali a établi plusieurs partenariats stratégiques avec des institutions nationales et internationales. Ces collaborations sont cruciales pour l’échange de connaissances et l’amélioration des programmes académiques. Grâce à ces alliances, les étudiants ont accès à des ressources et à des opportunités de stages à l’étranger, enrichissant ainsi leur formation.
L’ISTAG offre diverses ressources aux enseignants et étudiants, notamment des salles de classe climatisées. Le corps professoral est diversifié et bien formé, capable de relever les défis éducatifs modernes. Le soutien administratif est également à la hauteur des attentes, permettant une gestion efficace des programmes académiques.
Notins que les nouvelles infrastructures de l’ISTAG-Mali renforcent le paysage éducatif au Mali. En facilitant l’apprentissage continu, elles contribuent à former des professionnels compétents. Cette initiative est un exemple solide de l’engagement de l’institut envers l’avenir de l’éducation supérieure au Mali, offrant de nouvelles perspectives aux générations futures.
Daouda Bakary KONE