Genève , 13 mai 2025 —A l’occasion du 10ème anniversaire des droits de l’homme, l’Ambassadrice Mariame BERETE se distingue en tant que voix fervente de la diplomatie citoyenne, œuvrant inlassablement pour la dignité humaine à travers l’Afrique.

La Salle des Droits de l’Homme des Nations Unies a accueilli, ce mardi 13 mai, une commémoration d’envergure internationale marquant le 10e anniversaire des Droits de l’Homme. Cet événement symbolique a rassemblé une pléiade de personnalités de haut rang, mobilisées autour d’un objectif commun : réaffirmer la primauté des droits humains dans la gouvernance mondiale.
Placée sous le haut patronage moral des Nations Unies, cette célébration a été co-organisée par deux figures majeures de l’engagement humaniste :
Madame Corinne Lepage, ancienne ministre française de l’Environnement, juriste reconnue au niveau international et auteure de la Charte de l’environnement de 2004, intégrée à la Constitution française ;
Monsieur Christophe Giovannetti, Secrétaire Général des Droits de l’Homme, éminent acteur de la diplomatie des droits fondamentaux et défenseur inlassable des causes justes sur la scène internationale.

À leurs côtés, de nombreux ministres, ambassadeurs, diplomates, représentants d’agences onusiennes et de la société civile ont honoré ce moment de réflexion collective sur les valeurs universelles que sont la liberté, la justice, l’égalité et la dignité.
Une voix africaine à l’honneur : Mariame BERETE, ambassadrice engagée
Parmi les interventions marquantes, celle de Mariame BERETE, Ambassadrice de l’Union des Nations Fédérales (UNF) pour la Côte d’Ivoire, a profondément résonné. Et également Présidente Fondatrice de Challenge Tech International, une organisation œuvrant pour l’inclusion numérique et les villes durables, elle a porté la voix d’une société civile africaine audacieuse et résolument engagée pour un monde plus juste.
« Le respect des droits de l’homme n’est pas une faveur, c’est une obligation. Le premier devoir d’un dirigeant, c’est de garantir la dignité humaine », a-t-elle affirmé avec conviction.
Dans son discours vibrant, elle a appelé les dirigeants à considérer les droits civils, sociaux, économiques et environnementaux non pas comme des contraintes, mais comme les fondations mêmes de toute politique publique responsable.
La Côte d’Ivoire : un pays en progrès
Revenant sur la situation de son pays, l’Ambassadrice a salué les avancées significatives accomplies en matière de droits humains en Côte d’Ivoire, sous la présidence d’Alassane Ouattara.
Elle a notamment cité :
La Constitution de 2016 élargissant les droits fondamentaux ; La création de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDHCI) ; Les lois contre les violences faites aux femmes (2021) ; La gratuité de l’école primaire et les politiques en faveur de l’éducation des filles ; L’extension de la couverture maladie universelle ; Et des efforts constants dans l’inclusion numérique et la lutte contre la pauvreté.
Aussi, ces efforts, bien que louables, doivent s’inscrire dans une dynamique continue, a-t-elle souligné, en appelant à un rôle renforcé de la société civile comme alliée des institutions publiques.Une vision citoyenne, universelle et inclusive. Au-delà de son plaidoyer pour la Côte d’Ivoire, l’Ambassadrice de l’UNF a lancé un appel universel à tous les dirigeants, politiques comme économiques, pour intégrer les principes de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans toutes leurs décisions.
Elle a également salué le rôle des mécanismes internationaux de veille, la nécessité du dialogue entre gouvernants et citoyens, et l’importance capitale de la société civile comme levier de démocratie et de paix.
« Il n’y a pas de développement sans paix, et pas de paix durable sans respect des droits humains », a-t-elle insisté.
Un événement marquant, à la hauteur des enjeux mondiaux. Ce 10e anniversaire des Droits de l’Homme restera dans les annales comme un moment fort de convergence entre acteurs institutionnels, figures politiques et société civile mondiale. Grâce à la qualité des interventions et à la hauteur de vue des organisateurs, cet événement a su replacer les droits de l’homme au cœur des débats mondiaux, dans un contexte international en quête de justice et d’équilibre.
En clôture, Mariame BERETE a lancé un message d’espoir et de responsabilité : « Faisons des droits de l’homme le socle de toute politique publique. Ensemble, construisons un monde où la paix, la justice et la dignité humaine ne soient plus des rêves, mais des réalités vécues par tous. ».
Rédaction