La Société financière internationale (IFC), institution membre du Groupe de la Banque mondiale, a engagé lors de l’exercice 2020, 5,6 milliards de dollars en faveur du développement du secteur privé au Moyen-Orient et en Afrique subsaharienne, ont annoncé le 22 juillet 2020 les responsables de l’IFC.
L’objectif visé était de soutenir la création et la croissance des entreprises ainsi que l’emploi face aux conséquences de la pandémie de COVID-19 (coronavirus),
« IFC a en outre mobilisé près de 2 milliards de crédits commerciaux à court terme afin de soutenir les petites et moyennes entreprises (PME) », ajoutent les responsables d’IFC.
Dans le détail, on avance au niveau de l’IFC qu’entre le 1er juillet 2019 et le 30 juin 2020, avoir investi 4,6 milliards de dollars en faveur d’entreprises privées en Afrique subsaharienne. Soit un montant supérieur aux engagements atteints au cours de l’exercice 2019, qui étaient ressortis à 4,1 milliards de dollars, et ce malgré les difficultés opérationnelles causées par la pandémie.
Ces investissements ont porté sur les secteurs de la santé, de l’agro-industrie, de l’énergie solaire, du financement du logement et des infrastructures, ainsi que sur le financement des PME. Ils ont notamment concerné des pays en situation de fragilité et de conflit, dans lesquels IFC a engagé plus de 1,2 milliard de dollars.
« Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, où la pandémie a provoqué une baisse de la production pétrolière, des recettes touristiques et des transferts d’argents, IFC a investi plus de 1 milliard de dollars, notamment pour soutenir la construction d’hôpitaux et de cliniques en Iraq, en Jordanie, en Égypte et au Maroc », soulignent les dirigeants d’IFC. Suivez le liens pour la suite nos confrères de Financialafrik ci-dessous :
https://www.financialafrik.com/2020/07/23/developpement-du-secteur-prive-lifc-annonce-investir-56-milliards-de-dollars-en-en-afrique-et-au-moyen-orient/