Selon le procureur du tribunal de la Commune III, le journaliste du site d’information Maliactu.net a été arrêté dans le cadre du droit commun, dit-il.
Pour lui (le procureur) notre confrère n’a pas été arrêté dans le cadre d’un délit de presse . Nous journalistes voulons que les principes fondamentaux de la démocratie et du respect de la liberté d’expression au Mali soient respectés.
Selon nos émissaires, c’est à dire, les journalistes qui ont été désigné par le procureur afin de s’enquérir à la situation et à l’évolution de la situation dont le journaliste de Maliactu.net, Salif Diarra sera ecouté au cours de la journée sans une précission d’heure exacte.
Pour eux, Salif Diarra pourra bénéficier une liberté provisoire et qu’à chaque semaine, il viendra se présenter au procureur de la commune III. Ils sont trois journalistes qui ont été désigné (émissaires) par les confrères venus en soutient Salif Diarra.
Il s’agit entre autres d’Abdramane Sissoko du « le pays « , Mariam Moussa Hary Maiga du studio Tamani et un autre journaliste appartenant également à la communauté des blogueurs du Mali.
Selon les émissaires, d’autres suppects ont été arrêté en liens avec le dossier concerné, et le procureur affirme qu’il ne pourra donner des détails sur ces présumés suspects.
En ce qui concerne, la version du maire qui a port plainte, il affirmerait qu’il avait déjà oublié le dossier et cela, il ajoute qu’il n’est au courant de rien. Mais d’autres informations que nous avons appris c’est que la convocation à été déposé depuis le mois de novembre 2017.
En conclusion voici entre les motifs de son arrestation : Chantage, extorsion de fond et atteinte à la privée en la personne du Maire concerné. Il faut noter qu’une journée sans presse sera décrétée dans les jours à venir selon le consortium de journalistes en soutient à notre confrère Salif Diarra du site d’information en continu Maliactu.net.
À suivre
Source: croissanceafrique.com
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