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Théories de Complot de la COVID-19:La presse en ligne fait office de bouclier au Sahel

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Par croissanceafrique

Face à la nouvelle prolifération spectaculaire des théories du complot au Sahel dans ce contexte de pandémie, la presse en ligne essaie, du mieux qu’elle peut, de limiter les dégâts.

La perception de la Covid-19 s’éclaircit davantage avec la horde d’articles produits dans les médias en ligne contre les théories complotistes. Ces théories aussi bien diverses dans la forme que dans le fond compromettent la réception des vérités sur la Covid-19 et ses corollaires. La toile sénégalaise se révèle première productrice de contenus qui vont à l’encontre de ces théories de complot sur le virus chinois dans la zone sahélienne. La plupart des articles ou publications en ligne proviennent des sites d’informations. Ces contenus longs ou courts participent au rétablissement de la vérité sur la Covid-19.

Le Sénégal compte déjà plus de 10 millions de personnes connectées avec en moyenne 300 sites d’informations. Cela permet de comprendre la prolifération de flux d’informations sur le fil « Actualités » du géant américain d’internet Google, provenant des sites sénégalais. Dans un classement par score d’influence* au Sahel, les sites internet d’informations sénégalais occupent 5 places sur 7. Avec cette part très active des médias sénégalais aux côtés des autres médias sahéliens, le débat sur la Covid-19 se pose autrement.

Les informations diffusées ou relayées répondent à la volonté d’informer juste sur la réalité des faits. À l’instar d’autres sites d’informations sénégalais, news.sen360 avec un score d’influence de 65/100, informe par exemple du nombre de morts liés au Covid -19, des décisions de l’OMS ou encore de la nécessité de voir le vaccin anti-Covid comme un dernier rempart contre cette pandémie. Au Sahel, le site d’information burkinabé  lefaso.net a publié un article dont le titre très significatif est « Vaccin contre le Covid-19 : Un panel pour éclairer davantage l’opinion burkinabè ». En effet, quoique moins influents comparés aux sites sénégalais, les autres sites d’informations au niveau du Sahel participent peu ou prou à la dissipation des contre-vérités par la publication de contenus qui font reculer les frontières de l’ignorance du virus et de ses avatars. 


* Le Timbuktu Institute, le CESTI et Sayara International ont mis en place une veille de l’opinion publique digitale concernant la pandémie de la Covid-19. Grâce à notre plateforme de veille, nous analysons des milliers de publications qui émanent des réseaux sociaux, des sites d’information et des blogs,  et qui, chaque jour, sont diffusées dans les 7 pays du Sahel suivants (Sénégal, Mauritanie, Mali, Niger, Burkina Faso, Cameroun, Tchad, Soudan).

Source : Mehari-consulting

Des diplomates étrangers en Chine visitent le Xinjiang

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Par croissanceafrique

Une délégation composée de diplomates de 21 pays accrédités à Beijing, avec à leur tête le secrétaire général de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS), Vladimir Imamovich Norov, a visité la Région autonome ouïgoure du Xinjiang, du 30 mars au 2 avril. La délégation s’est rendue successivement dans les villes d’Urumqi, Kashgar et Aksu pour s’enquérir sur le développement économique, l’amélioration du bien-être de la population, l’aménagement écologique, et la protection de la liberté de croyance religieuse des citoyens et autres.

Des diplomates de l’Arménie, du Tadjikistan, du Belarus, du Pakistan, de la Russie, ainsi que d’autres pays ont visité l’exposition de la lutte antiterroriste et de déradicalisation au Xinjiang. Des ambassadeurs de plusieurs pays ont, à cette occasion, apprécié et exprimé leur soutien aux efforts du gouvernement chinois dans la lutte contre le terrorisme et la lutte contre l’extrémisme.

La délégation a aussi visité l’Ecole coranique du Xinjiang, la Grande mosquée blanche d’Urumqi, la Mosquée Id Kah de Kashgar, où elle a eu des échanges approfondis sur des questions liées à la formation des imams, à la conduite des activités religieuses et à la protection de la liberté des croyances religieuses des citoyens.

(Source / Photos : RCI)

Mali: deuxième assemblée générale au compte de 2021

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Au Mali, Jeune Chambre Universitaire Moribabougou a tenu sa deuxième assemblée générale au compte du mandat 2021, ce samedi 4 avril 2021dans l’enceinte de l’Université Félix Houphouet Boigny de Moribabougou. C’est sous la présidence de son président en exercice M. Baba Coulibaly.


Selon le président Baba Coulibaly, l’objectif principal de ladite assemblée était de faire le point des activités menées de l’organisation au cours du premier trimestre 2021. Ainsi, a-t-il lancé que le thème retenu pour cette assemblée générale est ‹‹ Ensemble pour une cohésion sociale avec une jeunesse citoyenne et entreprenante››, a-t-il déclaré.


Par ailleurs, Baba Coulibaly, a rappelé la mission de JCI U Moribabougou que ‹‹ La mission est de soutenir les jeunes en synergie avec d’autres organisations et de porter leur voix au niveau de toutes les instances des prises de décisions.›› A-t-il ajouter que leur vision est d’avoir une nation prospère et pacifique aux jeunes, s’investissent à travers leur participation responsable››, a-t-il laissé entendre.


Au cours des travaux de cette assemblée générale, les différents responsables chargés des différents domaines ont à tour de rôle présenté pour le rapport des respectifs notamment le domaine communautaire, croissance et motivation, affaires et l’international. Ceux qui ressortent des différents rapports attestent que le mandat 2021 a fait un travail de titan. JCI U Moribabougou, a eu à mener des réalisations très bénéfique pour sa commune, celà, au regard du don de sang, une sensibilisation au tour du cancer de sein et le col de l’utérus chez les femmes.


En termes de formation, les membres de l’organisation ont eu à participer à différents ateliers sur la prise de parole en public, l’art oratoire, sur le leadership…


Sur le volet croissance et motivation, les meilleurs membres de JCI U Moribabougou ont reçu des attestations sur la main du président Baba Coulibaly, avoir été assidue dans la vie de l’organisation.


A noter que JCI U Moribabougou, de sa création depuis 2012 à nos jours a connu 9 mandats. Et le slogan de ce mandat: ‹‹ 2021 tigné Ka fô Bara ka kê››.
Hamadoun Alphagalo

Mettre une note de 1 à 10 pour évaluer la vie au Xinjiang

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03:58

Comment est la vie des habitants du Xinjiang ? Voyez comment ils évaluent en mettant une note de 1 à 10 ! La présentatrice de CGTN, Liu Xin, a interviewé au hasard dans les rues d’Urumqi les habitants locaux de divers âges. Sont-ils satisfaits de leur vie ? Que pensent-ils du futur ?

Ouhoumoudou Mahamadou nommé premier ministre au Niger!

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Par croissanceafrique

Investi le vendredi 2 avril, le nouveau président du Niger, Mohamed Bazoum, a nommé l’ancien ministre des et des mines Ouhoumoudou Mahamadou au poste de Premier ministre, ce samedi 3 Avril 2021.

Le nouveau premier ministre est le député de la région de Tahoua, le nouveau numéro 2 de l’exécutif nigérien était directeur de cabinet du président Issoufou Mahamadou avec rang de ministre.

En sa qualité de chef de gouvernement, l’ancien patron de la Banque internationale pour l’Afrique au Niger devra dans quelques jours former la nouvelle équipe gouvernementale qui devra conduire le programme « Renaissance acte 3 » du nouveau président.

Diplômé en économie, en gestion des entreprises et en comptabilité, Ouhoumoudou Mahamadou est un Haoussa de la région de Tahoua (sud-ouest, dont est également originaire Mahamadou Issoufou). En 2012, il avait dû quitter le ministère des Finances après un scandale lié à l’octroi irrégulier de marchés publics de plus de 10 milliards de francs CFA (15 millions d’euros). Il était devenu ensuite le patron de la Banque internationale d’Afrique (BIA-Niger), une des plus importantes du pays, avant de devenir en juin 2015 directeur de cabinet du président Issoufou.

Pour rappel, Mohamed Bazoum, 61 ans, a été investi président vendredi 2 avril. Il a été élu à l’issue du second tour de la présidentielle du 21 février avec plus de 55% des voix face à un ancien président, Mahamane Ousmane, qui n’a pas reconnu sa défaite.

BIOGRAPHIE DU NOUVEAU PREMIER MINISTRE

Mahamadou Ouhoumoudou est né en 1954 à Amaloul Nomade, Commune d’Affala, dans le département de Tahoua (Niger).

Après ses études primaires à Affala de 1961 à 1967, il est admis au Lycée National Issa Korombé de Niamey, qu’il fréquente de 1967 à 1974, et obtient son baccalauréat série C.

Il fait de brillantes études universitaires en Sciences Economiques, Gestion et Comptabilité dans les universités de Lomé au Togo, du Mans et de Rennes en France et de Minnesota aux Etats Unis, Il est titulaire de la Maîtrise en Sciences Economiques, du Diplôme d’Etudes Supérieures en Gestion et Administration des Entreprises, du Diplôme d’Etudes Comptables Supérieures et du Certificat d’Etudes Supérieures en Administration Publique et Analyse des Politiques,

Intégré à la Fonction Publique en Novembre 1979 avec le grade de Directeur Administratif, il entame une carrière professionnelle de haut niveau à la Direction de Tutelle des Entreprises Publiques et Sociétés d’Economie Mixte du Ministère des Affaires Economiques, avant de s’orienter vers le management des Entreprises Parapubliques au niveau exécutif, le Gouvernement et les Organisations Internationales.

Dans le secteur parapublic, il occupe successivement les postes de Directeur Général de la Société Nigérienne du Charbon d’Anou Araran, SONICHAR de 1987 à 1991, Directeur Général de l’Office des Produits Vivriers du Niger, OPVN en 1991, Directeur de la Banque Internationale pour l’Afrique, BIA Niger de 2012 à 2015.

Au Gouvernement, il est Ministre en charge des Mines, de l’Energie, de l’Industrie et l’Artisanat de 1991 à 1993, Ministre des Finances de 2011 à 2012. Il est par la suite Ministre Directeur de Cabinet du Président de la République de 2015 à 2020.

Sur le plan international, il est nommé successivement à la CEDEAO en qualité de Secrétaire Exécutif Adjoint chargé de l’Administration et des Finances (1993-1998), à l’African Development Foundation des Etats-Unis comme Représentant Résident pour le Niger (2003-2006), à l’ONG International Lutheran World relief LWR comme Représentant Régional pour l’Afrique de l’Ouest à Ouagadougou (Burkina Faso).

Sur le plan politique, Mahamadou Ouhoumoudou est membre du PNDS Tarraya depuis sa création en 1990 et membre du Comité Exécutif National, organe dirigeant du parti, depuis 1991. Il est élu député à l’Assemblée Nationale à deux reprises sur la liste du PNDS Tarraya pour la région de Tahoua en 2011 et 2020.

Il est grand-officier de l’Ordre national du Niger et officier de la Légion d’honneur Française.

Moussa Koné

Mali : l’Etat revoit à la hausse, le prix du kilogramme du coton graine (campane 2021-2022)

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Cotton in field ready for harvest

Par croissanceafrique

L’information  a été donnée lors  de la réunion solennelle du 11e Conseil Supérieur de l’agriculture, tenue le 30 mars dernier à Bamako en présence des représentants des acteurs du monde rural. Ainsi, le chef de l’Etat malien a fixé à  280 FCFA, le prix du kilogramme du coton grain au producteur.

  Il s’agissait pour le président Bah N’Daw de partager les grandes préoccupations du secteur agricole, aux agriculteurs au Mali. C’est pourquoi, l’année dernière l’Etat du Mali était obligé  de diminuer le  prix du coton. Par la suite,  le kilogramme au producteur était fixé à  250 FCFA. Par ailleurs, sur une prévision de production cotonnière de 810.000 tonnes de coton graine pour la campagne agricole 2020-2021, il a été réalisé 147 000 tonnes, soit une baisse de 70 % par rapport à cette prévision.

« Notre pays est confronté à d’énormes défis que les autorités de transition contribuent à relever de manière responsable. J’instruis au département chargé de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche de prendre toutes les mesures nécessaires pour faire de cette campagne un succès. Il s’agira pour cela de rendre accessible à tous les producteurs et à un prix raisonnable les intrants et les équipements agricoles requis. Ainsi je réitère, ici, mon engagement à doter le secteur du développement rural les ressources adéquates en lui affectant 15 % du budget national. De maintenir les prix subventionnés des engrais à 11000 FCFA, pour le sac de 50 kilos et le prix d’achat au kilogramme du coton grain à 280 f FCFA » a annoncé Bah N’Daw.

Pour rappel, la principale cause de cette chute de la production cotonnière s’explique en partie par les conséquences drastiques de la pandémie Covid-19 sur la filière. La demande de coton grain sur le marché international a chuté comme château de cartes.  D’autres parts, certains experts agricoles, expliquent qu’une autre cause serait liée aux difficultés d’accès à l’engrais des producteurs, sans oublier les aléas climatiques et l’insécurité grandissante dans les zones de production du coton.

Daouda Bakary Koné

Au Mali, l’Hummingbird ajoute 255 600 onces aux ressources aurifères de Yanfolila en 2020

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Par Croissanceafrique

L’information d’estimation de ressources minérales publiée a été le 30 mars 2021 par la compagnie minière HummingBird au Mali. Il s’agit 225 600 onces d’or au nveau de plusieurs gisements aurifères au sud-ouest du Mali.

Selon l’agenceecofin, Hummingbird Resources a découvert au Mali, 255 600 onces d’or au niveau des gisements Sanioumale Est, Sanioumale Ouest et Komana Est en 2020, intégrant ces données au plan d’exploitation de la mine d’or Yanfolila.

Selon Dan Betts, PDG de la compagnie, « Cela nous donne confiance quant à la capacité d’étendre la durée de vie de la mine de Yanfolila, tant en termes de ressources exploitables à ciel ouvert que de potentiel d’exploitation souterraine », s’est-t-il réjoui .

Par ailleurs, malgré la production de plus de 216 000 onces ces deux dernières années, les ressources identifiées à la mine ont juste légèrement baissé, passant de 2 millions d’onces en mars 2019 à 1,93 million d’onces au 31 décembre 2020.

Pour rappe, un plan minier quinquennal publié en février 2020 par Hummingbird, Yanfolila doit livrer 574 000 onces d’ici fin 2025, avec une moyenne de 120 000 onces sur les trois premières années.

Daouda Bakary Koné

En Algérie, la Sonatrach et Shell International Trading and Shipping signent un accord commercial visant le secteur du Pétrole et Gaz

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Par Croissanceafrique

Il s’agit d’accord commercial signé entre l’Algérienne Sonatrach et le géant du pétrole Shell International Trading and Shipping, la branche commerciale de Shell ce jeudi 1 Avril 2021.

Selon l’agence de presse nationale algérienne (APS), qui n’a donné aucun autre détail supplémentaire sur les conditions de l’accord, ce protocole d’accord a pour but de discuter à travers des moyens de coopération en matière d’approvisionnement et de négoce de brut, de gaz et de produits dérivés du pétrole.

Selon la même source ledit protocole devrait permettre aux deux parties d’améliorer leurs recettes sur le long terme en fonction du prix du pétrole sur le marché et de l’évolution de la pandémie de Covid-19. Il couvre aussi des préoccupations liées à la gestion de leurs émissions de gaz à effet de serre.

« La signature de ce contrat tombe donc à pic pour le pays qui cherche activement à diversifier son économie et à investir dans de nouveaux domaines afin de rester compétitif dans l’industrie. Dans cette optique, Sonatrach et Eni ont signé en mars dernier, une série d’accords dans l’amont, la recherche, le développement de nouveaux projets et la décarbonisation« , rapporte l’agenceecofin.

Pour rappel, Shell a commencé ses activités en Algérie en 1928 en fournissant du carburant et des lubrifiants à l’industrie automobile et aéronautique. Aujourd’hui, l’anglo-néerlandaise est principalement impliquée dans l’exploration terrestre et la vente de lubrifiants aux marchés de détail et industriels.

Zangouna KONE

Ouganda: l’Etat va mobiliser 130 millions USD pour financer ses 15 % de parts dans la construction du pipeline (EACOP)

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Par Croissanceafrique

Le gouvernement ougandais envisage de mobiliser 130 millions de dollars pour financer ses 15 % de parts dans la construction du pipeline (EACOP) qui transportera son brut vers le port tanzanien de Tanga. Un montant, que les autorités comptent lever sur le marché intérieur.

Selon les médias ougandais le dossier a été soumis à la Commission parlementaire de l’économie qui aura le dernier mot sur la question de savoir si le gouvernement obtiendra l’argent à temps pour la décision finale d’investissement. Il s’agit d’un pipeline devrait coûter au total 3,5 milliards de dollars américain.

« Nous sommes encore en train d’examiner cette demande de prêt avant de décider d’accorder ou non l’autorisation d’emprunter au niveau national. Les préoccupations du Parlement sont que le gouvernement n’a pas fait la demande pendant le cycle de planification budgétaire et qu’il met la commission dans une situation difficile à la dernière minute. », a déclaré la présidente de la commission, Syda Bbumba

La semaine dernière, David Bahati, ministre des Finances Ougandais avait rencontré les membres de la Commission de l’économie et ceux du budget pour leur expliquer l’urgence du prêt.

« Il faut rappeler que ce montant servira aussi à rembourser aux autres parties prenantes les frais qu’ils ont couverts pour le compte de l’Etat lors de la conception du projet et des études d’impact environnemental », selon l’agence ecofin.

Moussa Koné

La BOAD reçoit le prix des obligations durables de l’année 2021

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La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) a reçu le prix des obligations de la finance environnementale dans la catégorie Obligation durable de l’année supranationale, sous-souveraine et agence SSA  en 2021.

Il s’agit d’un montant total de 750 millions d’euros (890 millions de dollars), cette émission d’obligations durables de 12 ans a attiré plus de 260 investisseurs internationaux dont la plupart vient d’Europe et du Royaume Uni.

« Elle a été sursouscrite 6 fois, avec une demande totale s’élevant à 4,4 milliards € », d’après les résultats publiés des médias Togolais. Une performance pour le bras financier des pays de l’UMOA qui émettait alors sa première obligation durable de l’histoire, la toute première également d’un émetteur africain.

Ce trophée est la suite logique de sa première émission obligataire à objectifs de développement durable (sustainability bond), la première du continent africain.

Selon Serge Ekué, président de la BOAD  « C’est avec fierté que j’accepte au nom des équipes de la Banque, le Prix de l’obligation à objectifs de Développement Durable de l’année 2021 décerné à la BOAD par le site d’information spécialisé Environmental Finance« , a-t- il déclaré.

Daouda Bakary Koné