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Le Sénégal renvoie au 4 novembre le lancement d’un cycle d’octroi de licences pétrolières

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 Au Sénégal, Mouhamadou Makhtar Cisse (photo), le ministre du Pétrole a annoncé que son pays a reporté au 4 novembre prochain le lancement d’un cycle d’octroi de licences pétrolières, prévu pour mercredi. Selon les explications du responsable, certains documents contractuels doivent être finalisés avant le démarrage du processus.

Le cycle comprend 10 blocs en onshore et en offshore. Aucune explication précise n’a été fournie sur les raisons ayant justifié cette décision.

Le Sénégal s’attend à démarrer la production de ses projets de pétrole entre 2022 et 2026. La production s’appuiera sur une base de 1 milliard de barils. Le pays devrait aussi lancer, en coopération avec la Mauritanie, l’un des plus grands projets gaziers d’Afrique subsaharienne.

Selon le FMI, les découvertes sont importantes, mais ne conduiront pas à une transformation majeure de l’économie. Les hydrocarbures ne devraient pas représenter plus de 5 % du PIB.

Olivier de Souza

Afrique : il faudra électrifier 73 millions de personnes chaque année pour l’accès universel en 2030

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L’Afrique aura besoin de donner accès à l’électricité à 73 millions de personnes chaque année afin d’atteindre l’accès universel à l’électricité d’ici 2030. Cette affirmation a été faite par Atef Marzouk, le chef de la division énergie de la Commission de l’Union africaine.

Environ 600 millions de personnes sur le continent n’ont toujours pas accès à l’électricité. Dans la partie subsaharienne, seulement 43 % des populations sont électrifiés. « Dans la majorité des zones rurales, les populations ont souvent recours à des méthodes anciennes et inefficientes qui affectent leur santé, l’environnement, et qui à terme, ont des répercussions sur le changement climatique », a déploré le responsable.

 « Afin d’effectuer la transition énergétique sur le continent et d’atteindre les objectifs en termes de développement, il est important d’exploiter les ressources en énergie renouvelable disponibles sur l’ensemble du continent », a-t-il poursuivi. Le renouvelable est encore très marginal dans le mix énergétique africain avec 16 % d’hydroélectricité, 1,3 % de solaire et d’éolien, 0,57 % de géothermie, 1,57 % de nucléaire et 0,23 % de biomasse et de biocarburant ; soit un total d’environ 19,67 %.

Afin d’accélérer le développement de ce type d’énergie, plusieurs initiatives ont été lancées, dont la mise en place de certaines facilités de limitation des risques liés au renouvelable ou encore l’aide à la mobilisation financière.

Gwladys Johnson Akinocho

L’Union européenne retire l’île Maurice de sa liste grise des paradis fiscaux

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L’Union européenne (UE) vient de retirer l’île Maurice de sa liste grise des pays considérés comme des paradis fiscaux, a-t-on appris cette semaine de l’agence de presse Reuters.

La liste grise de l’UE répertorie les pays qui se sont engagés à modifier leurs règles fiscales afin de les rendre conformes aux normes européennes. D’après l’institution, le retrait du pays de l’océan Indien de cette liste est consécutif aux respects des engagements qu’il a pris afin de lutter contre l’évasion fiscale. Il intervient après le précédent retrait, en 2018, de la Namibie de la liste noire européenne des paradis fiscaux.

Cette année, Maurice est revenu plusieurs fois dans l’actualité des abus fiscaux qui plombent les ressources financières et fiscales des pays africains. Le pays est considéré comme l’un des plus agressifs en matière d’obtention de fiscalités avantageuses sur d’autres pays africains, dans le cadre du Corporate Tax Haven Index, qui classe les pays et entités territoriales en fonction de leurs capacités à être des paradis fiscaux pour les entreprises.   

Selon des rapports concordants, l’Afrique perd chaque année près de 150 milliards $ dans des circuits d’abus, fuites et fraudes fiscales, et aussi dans le cadre des flux financiers illicites via des trafics divers.

Moutiou Adjibi Nourou

Namibie : le Fonds vert pour le climat alloue 8,4 millions $ pour améliorer la résilience climatique

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Image d'illustration DR google Image

En Namibie, le Fonds d’investissement environnemental (EIF) a obtenu un financement de 8,4 millions $ du Fonds vert pour le climat. Ce financement ira au profit des projets de résilience aux changements climatiques en cours dans le pays.

« Les jeunes sont les plus touchés par les changements climatiques. Raison pour laquelle, nous avons trouvé des mécanismes de financement et des programmes différents. Nous financerons des projets de démarrage principalement […] dans les domaines des énergies renouvelables, des infrastructures de l’eau », a affirmé Benedict Libanda, le directeur général de l’EIF.

La Namibie dispose d’une forte ressource en énergie solaire avec 300 jours d’ensoleillement par an. Elle compte s’appuyer sur cette ressource pour améliorer l’accès de ses populations à l’électricité. Dans le même temps, cette caractéristique propice à l’énergie solaire l’expose à des périodes de sécheresse qui rendent difficile l’accès à l’eau. Face à ce défi, le gouvernement s’est engagé sur la voie du traitement des eaux usées en vue de leur utilisation.

Gwladys Johnson Akinocho

Maroc : la BAD apporte un soutien à l’entreprenariat des jeunes et à l’innovation

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La BAD, dont le siège est à Abidjan (Côte d'Ivoire), a été fondée en 1964. Le groupe comprend trois entités : la Banque africaine de développement, le Fonds africain de développement, créé en 1972, et le Fonds spécial du Nigéria, créé en 1976.

La Banque africaine de développement a pris part à l’édition 2019 des rencontres « Innovation et Jeunesse » qui se sont tenues du 30 septembre au 4 octobre derniers. Un évènement organisé conjointement par le ministère marocain de la Jeunesse et des Sports, le ministère danois des Affaires étrangères et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

L’objectif de cette rencontre était de permettre aux jeunes entrepreneurs d’apporter leur contribution aux chantiers de développement, notamment la promotion de l’innovation et du développement durable, la création d’emploi et le renforcement du dialogue intergénérationnel. C’est ainsi que plus de 100 jeunes ont participé, pour la première fois, à un laboratoire d’innovation. Avec comme finalité de créer de nouvelles solutions et ainsi mettre leurs talents au service de l’émergence économique du pays.

Soutenir les jeunes entrepreneurs est une constante priorité de la Banque africaine développement, poursuivie au Maroc à travers son programme Souk At-Tanmia (SAT). Une initiative financée par le Programme de partenariat dano-arabe (DAPP) qui se veut être un mécanisme de soutien à l’entreprenariat des jeunes et à la création d’entreprise et d’emploi. SAT combine ainsi accès au financement et accompagnement technique pour répondre aux besoins des jeunes, femmes, associations, coopératives et micro-entrepreneurs.

C’est dans ce cadre que la Banque a participé au comité de sélection des équipes des jeunes talents et tenu un stand lors de la journée intitulée « Dialogue et Jeunesse ». Un processus qui s’est conclu par la remise de trophées aux huit meilleures équipes qui bénéficieront désormais des services financiers et d’accompagnement pré et post-création de Souk At-Tanmia. A cela, s’ajoute l’organisation d’une séance d’information sur cette initiative qui a réuni plus de 100 jeunes entrepreneurs issus des différentes régions du Royaume.

« Nous sommes heureux d’apporter notre soutien pour aider tous les jeunes qui veulent entreprendre, créer et aller de l’avant »,  a déclaré le directeur général de la Banque africaine de développement pour l’Afrique du Nord, Mohamed El Azizi, en présence de Son Altesse Royale, la Princesse Mary du Royaume du Danemark. « J’ai pu constater la diversité des talents et l’innovation dont ils font preuve pour créer des solutions. Je félicite les huit entreprises retenues qui bénéficieront de notre programme, Souk At-Tanmia » a-t-il ajouté.

Des procédés agro-industriels novateurs en passant par de nouvelles techniques de recyclage des déchets, les projets présentés ont démontré l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs. « Nous avons constaté l’incroyable diversité des idées présentées et l’audace des jeunes talents qui les portent avec détermination. Nous en sommes ravis et seront, à travers Souk At-Tanmia, à leurs côtés pour les suivre et les aider sur les prochaines années » a souligné Leila Kilani Jaafor, cheffe du projet SAT.

Le Nigeria prépare un projet de loi portant modification des conditions fiscales liées à la production de pétrole (Buhari)

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Muhammadu Buhari, est un général et homme d'État, actuel président de la République fédérale du Nigeria depuis le 29 mai 2015. Musulman sunnite, il est à la tête du Nigeria du 31 décembre 1983, à la suite d'un coup d'État, au 27 août 1985.

Hier, lors de la présentation du Budget 2020 au parlement, le président nigérian, Muhammadu Buhari (photo) a annoncé que le gouvernement prépare un projet de loi portant modification des conditions fiscales liées à la production de pétrole. Le texte entraînera un durcissement des conditions fiscales des contrats de partage de production entre les producteurs de pétrole étrangers et la société publique du pétrole (NNPC).

Buhari a révélé que le Nigeria s’attend à gagner 500 millions de dollars supplémentaires grâce à la modification de ce texte et 1 milliard en 2021.

Les exemptions dans les contrats de partage de production seront ainsi supprimées à partir de l’année prochaine et les redevances augmentées. Lors de son allocution, le Président a indiqué que l’examen de la loi sur les contrats de partage de production est devenu nécessaire pour consolider les recettes publiques qui ont été affectées par la baisse de la production pétrolière et la chute des prix mondiaux du brut.

La nouvelle loi entrera en vigueur alors que la NNPC a échoué à augmenter cette année, ses parts dans les coentreprises avec les compagnies étrangères, afin de gagner plus d’argent.

La semaine dernière, le Sénat a mandaté trois comités parlementaires pour ouvrir une enquête sur sept compagnies étrangères qui ne versent pas au Trésor les redevances mentionnées dans la loi sur les contrats de partage de production. Sur ces 20 dernières années, cette situation a engendré un manque à gagner de 21 milliards de dollars.

Le Budget de l’année prochaine qui est de 33,8 milliards de dollars, un record, est basé sur une production d’huile de 2,18 millions de barils par jour, contre un objectif de 2,3 millions de barils par jour cette année.

Olivier de Souza

Mali : le déficit budgétaire prévisionnel révisé à la baisse à 557 millions $ pour l’exercice 2019

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L’Assemblée nationale du Mali a récemment adopté une Loi de finances rectificative pour l’exercice budgétaire 2019.

Le budget rectifié 2019 du Mali, en termes de prévisions de recettes budgétaires, s’élève donc à 2 054,674 milliards FCFA (environ 3,43 milliards $) contre 2 023,150 milliards FCFA (environ 3,38 milliards $ prévus dans le budget initial 2019) ; soit une augmentation de 31,524 milliards FCFA (environ 52,74 millions $). Cette tendance s’explique, selon les autorités maliennes, par la hausse des recettes du budget général.

En ce qui concerne les dépenses dans la présente Loi de finances rectificative, elles se chiffrent à 2 387,742 milliards FCFA (environ 3,99 milliards $) contre 2 410,400 milliards FCFA (environ 4,03 milliards $) dans le budget d’Etat initial 2019, soit une diminution nette de 22,658 milliards FCFA (environ 37,9 millions $).

Il se dégage un déficit budgétaire prévisionnel révisé de 333,068 milliards FCFA (environ 557,3 millions $) contre un montant initial de 387,250 milliards FCFA (environ 647,92 millions $), soit une baisse de 54,182 milliards FCFA (environ 90,64 millions $).

Selon le Fonds monétaire international (FMI), la croissance du Mali devrait atteindre les 5% en 2019 contre 4,9% l’année dernière. En outre, le déficit budgétaire du pays devrait respecter le critère de convergence de l’Uemoa de 3% du PIB en 2019.

La Côte d’Ivoire vise un taux de 100% d’accès à l’eau potable pour un investissement total de 2 milliards $

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Le ministre ivoirien de l’Hydraulique, Laurent Tchagba, a annoncé, au cours d’un atelier tenu le 07 octobre, que la Côte d’Ivoire visait un taux de 100% d’accès à l’eau potable d’ici à 2030. « Le gouvernement ivoirien a mis en œuvre, en 2017, le programme « Eau pour tous » pour régler le problème d’approvisionnement en eau potable. L’objectif de ce programme, estimé à 1320 milliards FCFA (environ 2,2 milliards $), est de permettre à toute la population d’avoir de l’eau potable d’ici à 2030 », a déclaré Laurent Tchagba.

Ajoutant que le démarrage de ce programme a déjà permis de faire passer le taux d’accès à l’eau potable dans le pays de 69% en 2016 à 80% à fin 2018.

Subdivisé en deux phases, le programme « Eau pour tous » a également pour objectif la mise en place de mécanismes de gestion rationnelle et durable des ressources en eau disponibles, afin d’offrir un meilleur coût d’accès à l’eau potable à ces populations.

Ainsi, pour la première phase de ce programme « Eau pour tous », qui s’étend de 2016 à 2020, 200 milliards FCFA (334,5 millions $) seront investis dans la construction de 200 châteaux d’eau et de 8000 pompes villageoises. Mais aussi, dans la réparation de 21 000 pompes villageoises.

Le but étant de porter, d’ici à 2020, la couverture en eau potable à 82,5% en moyenne dans le pays, avec un niveau de 60% pour les zones rurales et 85% pour le milieu urbain.

Cemac : la Beac s’engage auprès du FMI à porter les avoirs extérieurs de 2 296 à 3 000 milliards FCFA à fin 2019

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Les services du Fonds monétaire international (FMI) viennent de publier un rapport sur les politiques communes de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), dans le cadre des programmes économiques en vigueur depuis 2017.

Dans l’ensemble, les services du FMI considèrent que la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) a mis en œuvre les assurances énoncées dans la lettre de suivi de décembre 2018.

« La Beac a continué de mener une politique monétaire restrictive et la Cobac a continué de s’employer à passer à un contrôle fondé sur le risque, à assurer une application plus stricte de certaines règles de contrôle et à résoudre la situation des banques en difficulté », indique le rapport.

Dans cette veine, l’institution de Bretton Woods déclare qu’elle souscrit à l’assurance actualisée de la Beac concernant l’accumulation des avoirs extérieurs nets. La Banque centrale de la Cemac s’est en effet engagée à les porter, de 3,5 milliards d’euros (2 296 milliards FCFA), à fin juin, à 4,5 milliards d’euros (plus de 3 000 milliards FCFA) d’ici à la fin décembre 2019.

Le FMI affirme dans son rapport qu’il maintiendra son aide financière fournie au titre des programmes qu’il appuie dans les pays de la Cemac, sur la base de l’engagement de la Beac à appliquer une politique monétaire suffisamment restrictive.

S.A.

90 ème SESSION ORDINAIRE DE L’INPS-MALI: L’Institut a versé pour le compte de ses assurés résidents à l’étranger un montant de 477 millions 650 mille 990 FCFA

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Il s’agit de la tenue des travaux de la 90ème Session Ordinaire du conseil d’administration de l’Institut National de prévoyance sociale (INPS-MALI). Cette rencontre a regroupé la présence des cadres de ladite structure a son siège à Bamako. C’était ce jeudi 10 octobre 2019.

Dans son discours d’ouverture, M. Yacouba Katilé affirme que « Je voudrais saisir l’occasion qui m’est ainsi offerte en ce mois d’Octobre consacré mois de la solidarité en République du Mali pour souhaiter longue vie aux personnes âgées, plus d’espérance aux personnes démunies et bonne santé aux malades. En dépit de nos multiples occupations, et ce malgré un calendrier très serré, votre présence marque tout l’intérêt que vous portez au développement et à la bonne marche de l’Institut National de Prévoyance Sociale« , a-t-il affirmé.

Concernant les difficultés vécues par l’Institut, le PCA expliqueque « qu’avec votre venue, le Conseil d’Administration nourrit l’espoir que les difficultés récurrentes auxquelles notre Institution est confrontée depuis quelques temps déjà et qui se rapportent au déficit de certains régimes, au non-respect des normes de gestion CIPRES, à l’explosion de certaines charges d’exploitation pour ne citer que ces quelques éléments, vont faire l’objet d’une attention particulière de votre part« , a-t-il expliqué.

Le Conseil d’Administration est convaincu que les participants surmonteront les nombreux défis qui se dressent devant eux et cela grâce à leur engagement pour la défense de l’Institution, au soutien de toute, l’équipe de la Direction Générale et à la confiance du Gouvernement.

La présente Session Ordinaire du Conseil d’Administration de l’INPS est essentiellement consacrée à l’examen et l’adoption du rapport d’activités 2018, des états financiers de l’exercice 2018 mais aussi à celui de l’état d’exécution du budget 2019 de l’INPS au 31 août 2019.

Au cours de l’exercice 2018, les activités majeures programmées et réalisées en étroit lien avec le Plan stratégique 2014-2023 ont porté essentiellement sur :

La finalisation de l’étude actuarielle des régimes de sécurité sociale gérée par l’INPS ; l’augmentation des pensions et rentes de 15% ; la poursuite de la déconcentration des Activités avec l’ouverture des agences dans 20 localités, dont 12 à Bamako et 8 dans les régions ; la réorganisation des structures sanitaires de l’INPS en l’adaptant au contexte de l’AMO ; le partenariat avec Orange Mali pour le paiement des pensions via Orange Money dans les régions de Mopti, Tombouctou et Gao ; la signature et la mise en œuvre de l’accord de paiement des pensions et des rentes avec le Gabon, la mise en œuvre de la convention multilatérale CIPRES et l’organisation de la journée INPS avec la presse.

Au plan des finances, l’état de réalisation des objectifs est le suivant :

Au titre des recettes de cotisations, les encaissements se sont élevés à 155.195.294.143 FCFA sur une prévision de 163 099 720 000FCFA, soit un taux de réalisation de 95% ; Au compte des prestations servies, les dépenses sont de 76 072 070 308 dont 56 618 116 548 FCFA de pension de retraite contre 67 527 234 449 FCFA, soit une augmentation de 12,65% comparées à l’exercice 2017. Les efforts seront donc poursuivis en vue d’améliorer les performances de recouvrement des cotisations, de diversifier les ressources et de maîtriser l’ensemble des charges.

Au titre des conventions internationales de sécurité sociale et des accords de paiement signés par le Mali, les prestations payées au Mali s’élèvent à 11 071 042 478 FCFA aux retraités maliens qui ont exercé leurs activités hors du pays.

Sur la même période, l’INPS a versé pour le compte de ses assurés résidents à l’étranger un montant de 477 650 990 FCFA.

Au plan des subventions faites aux activités socio-sanitaires, culturelles et sportives l’Institut a soutenu financièrement plusieurs associations d’œuvres en vue d’accompagner la réussite de leurs actions.

Au titre de l’Assurance Volontaire, sur une prévision de 1 018 623 529 F CFA il a été encaissé 764 444 219 F CFA, soit un taux de réalisation de 75 %.

Le président du conseil d’administration affirmera « qu’au cours de cette session vous êtes amenés à statuer sur les Etats financiers de l’exercice 2018, il ressort au 31 décembre 2018 », dit-il

  • Un total bilan de 227,604 milliards de FCFA contre 192,584 milliards de FCFA en 2017 ;
  • Un excédent des produits sur les charges de 773,696 millions de FCFA contre 10,250 milliards de FCFA en 2017
  • Des Réserves de 109,463 milliards ;
  • Des Actifs Immobilisés de 96,528 milliards de FCFA ;
  • Une Trésorerie Active de 56,019 milliards.

Cette session permettra à l’analyse de l’État d’exécution du budget 2019 au 31 août 2019. Les réalisations de recettes au 31 août 2019 ont été de 123 074 265 572 FCFA sur une prévision budgétaire annuelle de 182 665 516 095 FCFA soit un taux de réalisation de 67,4%.



Quant aux dépenses, elles se chiffrent à 87 926 861 776 FCFA sur une prévision 165 148 179 943F CFA, soit un taux d’exécution de 53,24%, dont 53 703 354 725 FCFA au titre des prestations techniques servies.

Avant de terminer, il invite les participants à des débats sans complaisance mais constructifs et adresser mes sincères et chaleureuses félicitations à la Direction et au personnel de l’INPS et les exhorter donc à persévérer dans l’effort.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com