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La rencontre entre Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo : un « acte fort pour la réconciliation nationale »

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C’est une rencontre qui fait figure d’événement politique majeur en Côte d’Ivoire. Les anciens chefs d’État Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo se sont retrouvés ce lundi 29 juillet 2019, à Bruxelles.

Au siège du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), ce lundi matin, les visages des employés sont radieux. Regroupés devant la mythique salle du Bureau politique où Félix Houphouët-Boigny, premier président de la Côte d’Ivoire et fondateur du parti, a présidé d’importantes réunions durant des années, ils commentent la rencontre tant de fois annoncée entre les deux anciens ennemis politiques. D’abord annoncé samedi, puis dimanche, ce rendez-vous entre Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo a finalement eu lieu ce lundi matin à Bruxelles, après plusieurs mois de préparation par les équipes des deux anciens présidents ivoiriens.

« Réconciliation nationale »

« Un acte fort, à la fois républicain et fraternel, qui doit être partagé et soutenu dans l’amorce de la réconciliation nationale ». Ce sont les mots de Laurent Gbagbo pour qualifier sa rencontre avec Henri Konan Bédié. Dans un communiqué final publié à l’issue de la rencontre, les deux hommes se sont « particulièrement réjouis de cette première rencontre depuis la fin de la crise postélectorale intervenue à la proclamation des résultats du second tour de l’élection présidentielle en novembre 2010 » et ont « tenu à exprimer leur compassion et leur solidarité au peuple de Côte d’Ivoire pour les traumatismes et les nombreux préjudices subis au cours de cette crise », saluant par ailleurs « la mémoire de toutes les victimes et des personnes malheureusement disparues pendant ces tristes et douloureux événements ».

Sur le plan politique, Henri Konan Bédié, qui « s’est particulièrement réjoui de l’acquittement du président Laurent Gbagbo », affirme également souhaiter son « retour rapide en Côte d’Ivoire pour participer activement au processus de réconciliation nationale ».À LIRE Côte d’Ivoire : comment Laurent Gbagbo prépare son retour à Abidjan

Critiques contre « l’ingérence de l’exécutif »

Affirmant avoir « convenu [ensemble] de l’urgente nécessité d’œuvrer pour le retour d’une paix définitive et durable en Côte d’Ivoire », Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo écrivent « déplorer les atteintes portées aux acquis démocratiques et à l’État de droit en Côte d’Ivoire » et s’insurgent contre ce qu’ils qualifient d’« ingérence du pouvoir exécutif » dans le fonctionnement des partis politiques. Ils ont plaidé en chœur pour « la libération de tous les prisonniers politiques, civils et militaires, et le retour en sécurité de tous les exilés ».

Les deux anciens présidents se sont également exprimé sur l’âpre débat qui fait rage sur la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) réclamant un « réforme profonde » de l’institution présidée depuis 2010 par Youssouf Bakayoko. suivez le reste sur jeuneafrique le liens en bas

https://www.jeuneafrique.com/810061/politique/la-rencontre-entre-henri-konan-bedie-et-laurent-gbagbo-un-acte-fort-face-a-alassane-ouattara/

Mauritanie : le projet d’uranium Tiris évalué

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Après les phases d’identifications, l’heure est à l’évaluation du coût du projet d’uranium Tiris découvert dans la région de Tiris-Zemmour, évaluée à 65 millions de pounds. Ainsi, la société Aura Energy a annoncé, lundi 29 juillet que le coût du projet devrait coûter un montant de 62,9 millions dollars. Son exploitation devrait entraîner la livraison de 12,4 millions de livres d’oxyde d’uranium (U3O8), sur une période de 15 ans.

D’après les estimations, l’entreprise va débourser un montant global de 29, 81 millions de dollars pour la première phase de production de la livre d’uranium. La structure entend un retour sur investissement environ 6 ans après le démarrage du projet. Pour le président exécutif de la société, Peter Reeve, «les études menés confirmes que ce projet fait partie de ceux qui sont les plus prometteurs au monde».

En rappel, la société qui détient 100% du projet d’exploitation en Mauritanie devra normalement démarrer ses travaux de construction au 2e semestre de 2019. L’établissement espère également livrer ses premières productions d’ici 2020/2021.

Ibrahima jr Dia

Economiste de formation, passionné des questions de développement, suit l’actualité financière africaine au jour le jour. Milite pour une Afrique nouvelle sans frontières et sans préjugés. A lu Marx, Adam Smith et Cheikh Anta Diop et aime échanger sur ces sujets.

https://www.financialafrik.com/2019/07/29/mauritanie-le-projet-duranium-tiris-evalue/

WARA affirme la notation de SIFCA à «BBB+» avec une perspective rabaissée

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West Africa Rating Agency (WARA) affirme la notation de long terme de SIFCA à « BBB+ », en grade d’investissement (en devise régionale, le Franc CFA) , tandis que sa notation de court terme est « w-4 ». En revanche, la perspective attachée à ces notations passe de «positive» à «stable».

Simultanément, sur son échelle internationale, WARA assigne à SIFCA les notations et perspective suivantes : iB+/Stable/iw-5. Fondée en 1964 à Abidjan, SIFCA est le premier employeur privé de Côte d’Ivoire (avec plus de 33 000 employés), et l’un des fleurons agroindustriels de la sous-région opérant dans les domaines du caoutchouc naturel, de l’huile de palme et du sucre.

Ces notations reflètent entre autres la position de leader de SIFCA sur ses activités de référence et une bonne gouvernance du groupe agro-industriel. àA n 2018, le groupe est leader de la production de caoutchouc naturel en Côte d’Ivoire avec une part de marché de 27%. SIFCA est aussi leader de la production d’huile de palme en Côte d’Ivoire avec une part de marché d’environ 60%. En effet, PALMCI est la plus grande entreprise de production et de transformation des régimes de palme en huile brute d’Afrique de l’Ouest. Le groupe est aussi un acteur majeur dans la filière sucrière ivoirienne.

En revanche, la notation de SIFCA est contrainte par la dépendance aux cours mondiaux du caoutchouc naturel et de l’huile de palme et la difficulté pour le groupe d’imposer des produits finis dérivés de l’huile de palme sur le marché ivoirien sous une marque à forte valeur ajoutée. SIFCA n’arrive toujours pas à dégager une trésorerie positive à cause du poids des investissements et du remboursement de l’emprunt obligataire contracté en 2013 et qui fut le premier emprunt corporate émis sans garantie, sur la base de la notation Wara.

En 2018, le Groupe a réalisé une perte nette consolidé de 14,9 milliards de FCFA, en raison de la poursuite de la baisse des cours avec des plus bas historiques atteints durant l’exercice que ce soit pour le caoutchouc naturel et l’huile de palme. Cela n’a pas empêché Sifca de poursuivre ses investissements avec notamment la signature d’une convention de prêt PROPARCO de l’Agence Française de développement (AFD) pour 90 millions d’euros (ou 54 milliards de FCFA).

La perspective attachée à la notation de SIFCA est ramenée à stable. WARA justifie cette perspective par la baisse prononcée des cours du caoutchouc naturel et de l’huile de palme sur l’exercice 2018 ainsi que l’absence de remontée durable prévue sur 2019. Les investissements récents et à venir du Groupe sont nécessaires pour abaisser de manière incrémentale son seuil de rentabilité et réduire sa dépendance aux cours mondiaux.

Par cette perspective stable, WARA exprime son opinion que la notation actuelle de SIFCA contient autant de possibilités de rehaussement que de risques d’abaissement, en l’absence de la contrainte d’un quelconque plafond national.

WARA estime qu’en termes de gouvernance et de management, le fait que le capital de SIFCA soit partagé entre les actionnaires historiques (les familles Billon et Lambelin) et des groupes industriels d’envergure internationale est un facteur positif pour sa notation.

Un actionnariat solide

En effet, le capital de SIFCA est dominé par les holdings de contrôle des familles Billon et Lambelin, Parme Investissement et Immoriv, qui détiennent 65,4% de SIFCA. Wilmar, spécialiste des matières premières agricoles (notamment de l’huile de palme), détient directement 27% de SIFCA, par le truchement de la holding Nauvu, laquelle figure aussi au capital de PALMCI et de SANIA. Dans le métier du caoutchouc, Michelin détient à la fois directement 14,8% du capital de SAPH et 33,7% du capital de SIPH. Au-delà de leur participation au capital du Groupe, ces partenaires de renom apportent aussi un soutien opérationnel et technique constant. ainsi, Wilmar fait bénéficier à SIFCA de sa maîtrise des processus opérationnels dans les plantations de palmier à huile et de son expertise dans le raffinage de l’huile de palme. Pour sa part, Michelin apporte une assistance technique au pôle caoutchouc pour la recherche et l’amélioration des performances agronomiques. Quant à Terra, il est en soutien de Sucrivoire. WARA constate que la qualité de ces partenariats et de ces ressources constitue un facteur positif de notation.

Rédaction

Financial Afrik se propose de délivrer l’information financière stratégique aux cadres et dirigeants, à travers une newsletter quotidienne et un site web qui couvre toute la finance africaine.

Nigeria : Zenith Bank lance une offre de demande de visa en ligne pour Dubaï

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A travers une nouvelle fonctionnalité lancée sur sa plateforme de services bancaires par Internet, Zenith Bank offre à ses clients nigérians la possibilité de demander le visa de Dubaï et d’effectuer le paiement correspondant aux frais de visa en ligne.


La banque indique que cette nouvelle offre vise à créer un moyen plus pratique et plus efficace pour les Nigérians de faire une demande de visa Dubaï, vu l’importance de la demande. Une fois les formalités faites sur la plateforme, les frais de visa seront immédiatement facturés sur le compte du client et celui-ci sera informé du statut de sa demande de visa dans les 36 heures. 


«Dans l’enquête sur la satisfaction de la clientèle du secteur bancaire de 2018 de KPMG, Zenith Bank Plc est reconnue comme l’une des institutions financières les plus innovantes au Nigéria et a été élue la banque la plus axée sur la clientèle pour les segments Grande distribution et PME » indique la banque dans une note publiée dimanche 28 juillet. 

Amadjiguéne Ndoye

journaliste économique, titulaire d’un Master II en Communication et Journalisme de l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information et de la Communication de Dakar (ISSIC). Grande amatrice de lecture et de musique. Féministe dans l’âme et passionnée de mode.


https://www.financialafrik.com/2019/07/29/nigeria-zenith-bank-lance-une-offre-de-demande-de-visa-en-ligne-pour-dubai/

Hydrocarbures : Hausse de 10,56% du bénéfice de Total Côte d’Ivoire en 2018

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Le bénéfice après impôts de Total Côte d’Ivoire, filiale de la multinationale pétrolière du même nom, a connu une hausse de 10,56% au terme de l’exercice 2018 comparé à l’exercice précédent, ont annoncé les dirigeants de cette société basée à Abidjan.

Les comptes de la société approuvés par l’Assemblée Générale ordinaire des actionnaires du 20 juin 2019, révèlent un bénéfice après impôts de 11,523 milliards de FCFA contre 10,422 milliards de FCFA en 2017, soit une augmentation de 1,101 milliard de FCFA en valeur absolue.

Le chiffre d’affaires de la société est en hausse de 62,818 milliards de FCFA, passant de 362,232 milliards de FCFA en 2017 à 425,050 milliards de FCFA un an plus tard.

La valeur ajoutée de Total Côte d’Ivoire s’inscrit également en hausse, s’établissant à 27,176 milliards de FCFA contre 25,999 milliards de FCFA en 2017(plus 1,177 milliard de FCFA).

Les charges de personnel ont augmenté durant la période sous revue de 999 millions de FCFA, passant de 4,234 milliards de FCFA en 2017 à 5,231 milliards de FCFA en 2018.

Quant à l’excédent brut d’exploitation, il s’est accru de 280 millions de FCFA à 22,045 milliards de FCFA contre 21,765 milliards de FCFA au terme de l’exercice 2017.

Par contre, le résultat d’exploitation est en retrait de 55 millions de FCFA, s’établissant à 15,097 milliards de FCFA contre 15,152 milliards de FCFA en 2017.

Entre 2017 et 2018, Total Côte d’Ivoire a vu ses capitaux propres s’accroître de  4,320 milliards de FCFA, avec une réalisation passant respectivement de 37,755 milliards de FCFA à 42,075 milliards de FCFA.

En revanche les dettes financières et ressources assimilées de la société ont fortement augmenté de plus de 8 milliards de FCFA à 18,551 milliards de FCFA durant la période sous revue alors qu’elles se situaient à 10,068 milliards de FCFA au terme de l’exercice 2017.

Néanmoins les ressources stables sont assez confortables, se situant à 60,623 milliards de FCFA contre 47,823 milliards de FCFA en 2017.

Albert Savana

Journaliste depuis 20 ans dans la presse économique africaine  et auteur de plusieurs enquêtes et reportages. A couvert plusieurs sommets de l’Union Africaine, de la Commission économique africaine et de la Banque Africaine de Développement.

Diré : Les réalisations de taille de Kourou Cissé

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La santé, l’éducation, la propreté, l’accès à l’eau potable pour tous, l’économie, l’énergie, l’émancipation sociale aux problématiques du quotidien, autant de domaines dans lequel il s’est engagé en apportant indéfectiblement sa pierre constructive. Ousmane Cissé dit Kourou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, demeure incontestablement une figure emblématique aux yeux des communautés du cercle de Diré de par son investissement,de plus d’une décennie,à travers une panoplie de réalisations.

« Depuis près de dix ans, je contribue activement à la vie communautaire de mon village natal, et participe notamment au bon fonctionnement de plusieurs associations à but non lucratif. Cet engagement est né d’une volonté de participer vivement au service de mon pays mais tout particulièrement de mon cercle, Diré, Région de Tombouctou. Il est de notre devoir de défendre les droits fondamentaux des populations, et aussi d’être cette oreille attentive à leurs préoccupations », a indiqué Ousmane Cissé dit Kourou dans un entretien qu’il nous accorda.

Soulagement des populations rurales accès à l’eau potable

L’accès à l’eau potable demeure une contrainte pour les populations de plusieurs communes rurales du cercle de Diré. Les puits d’approvisionnement sont presqu’inexistant ou dans un état délabré contraignant les habitants à la corvée d’eau surtout pendant la décrue. Conscient de cela, M. Kourou Cissé s’est engagé, depuis 2015, d’alléger les peines de ses compatriotes en zone rurale à travers son programme « eau pour tous ».

« Le programme Eau pour tous est un programme d’aide de M. Ousmane Cissé dit Kourou. Il vise à faciliter l’accès à l’eau potable aux populations rurales dans le but de soulager leurs difficultés d’accès à une source d’eau. Ce programme s’inscrit dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des populations car l’eau est source de vie (selon le donateur, l’eau ne doit pas être un luxe pour personne). Ce sont les zones rurales qui sont beaucoup confrontées à des problèmes d’eau, vu la position géographique de leur localité liée à leurs activités», a affirmé M. Almodjine Djitteye, représentant du donateur.  

Dans ce volet, les villages de Koiggour, Moyehondou ont bénéficié, chacun, de la réalisationd’un puits en cimenten 2015. En 2017, il en fut de même au village de Hogokoira; avec la réhabilitation de quatre (4) puits à Bougoubery.D’avril 2019 à ce jour, la fraction de Tilémédesse, le campement d’éleveurs de Kardji et le village Bangadirya-Ouloumrespectivement dans les communes rurales de Dangha et Sareyamou, cercle de Diré (région de Tombouctou) ont désormais accès à l’eau potable à travers des puits à grand diamètre. De quoi donner un véritable ouf de soulagement aux bénéficiaires. Le représentant du donateur, M. Almodjine Djitteye se dit très ému de voir la corvée des populations restreinte. « Les bénéficiaires ont accueilli le programme à bras ouverts et saluent la clairvoyance du donateur qui, malgré la distance, pense aux populations des zones défavorisées», a-t-il souligné le sourire aux lèvres. Il a rassuré que d’autres projets sont en cours.

D’autres actions d’envergures…

Dans le cercle de Diré, M. Ousmane Cissé dit Kourou a fait de la santé, l’éducation, la propreté, l’accès à l’eau potable pour tous, l’économie, l’énergie, l’émancipation sociale aux problématiques du quotidien, ses priorités. Ses réalisations sont sans équivoques, selon des sources locales.

D’octobre 2000 à nos jours, dons de fournitures scolaires à Ecole Primaire de Bougoubery. En 2013–2014 : don de 300 sacs vides aux bozos de Nora pour contrer l’avancée de l’eau sur les habitations ; don d’une décortiqueuse à l’Association des Femmes Peulhs d’Alkayabé à Diré. Organisation des compétitions sportives entre les écoles primaires de Diré en offrant des prix d’honneur au gagnant de 2002 à nos jours.

« En 2015, j’ai regroupé mes amis d’enfance pour créer l’Association « ADED » à laquelle j’ai fait un don d’une batteuse de riz et de deux charrettes d’ânes à Diré. En 2016, remise de jeu de maillot aux jeunes de Bougoubery. De cette année à nos jours : à Bougouberydans mon village paternel, j’ai offert une motopompe d’une capacité de 50 hectares pour 200 familles (1/4 par famille) ; aide financière de 400 000 FCFA à un groupe d’artiste de Diré pour l’achat de matériels musicaux ; remise de jeux de maillot aux jeunes de Taiba, Bougoubery, Alganima et Haibongo; Offre des cours de rattrapage aux élèves dans les communes de Haibongo, Sareyamou et Kirchamba. Courant 2017 : Curage du Grand canal de Diré et des alentours du grand marché de Diré à causedes dégâts environnementaux ; en décembre : assistance médicale pour 4 personnes blessées par balle lors d’une confrontation entre les jeunes et les forcesde l’ordre de Diré ; soutien moral et financier aux malades de l’hôpital Secondaire de Diré ; offre des cours de rattrapage aux élèves dans les communes de Haibongo, Garbakoira, Dangha, BouremSidy Amar et Kirchamba ; Subvention d’unecommunauté du village de Moyehondou en engrais. En 2018 : participation financière à la CYNACODEM pour les travaux du grand marché ; aide à la population de Hamdallaye suite d’une inondation ; remise d’une batterie à la radio locale de Sareyamou », a énuméré M. Cissé rassurant qu’il n’entend pas ménager aucun effort pour d’autres perspectives.

Ce qu’il faut savoir sur Kourou

Natif de Diré, dans la région de Tombouctou, Ousmane Cissé dit Kourou est détenteur de trois diplômes supérieurs : Maîtrise en gestion d’entreprise (ENA-Bamako), Master of Business Administration (MBA) en Finances ESG de Bamako, MBA en Audit et Expertise Comptable ESG de Paris. M. Cissé évolue,depuis plusieurs années, dans le privé principalement dans le secteur minier où il occupait différents postes: comptable, chef trésorier, auditeur, chef comptable, contrôleur Financier et directeur administratif et financier au Maliet dans la sous-région ouest africaine.Leader politique engagé, M. Cissé n’entend ménager aucun effort pour le développement global, harmonieux et durable de son cercle, sa région et sa patrie.

Par A. M. Bangou et Abdoulaye Dagamaïssa

source: Croissanceafrique.com

Moussa Aldjou Traoré, président CGS-SC II Goundam: « Le moral des candidats à l’examen du DEF est serein. »

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C’est ce lundi, 29 juillet 2019, que démarrent les épreuves de
l’examen du diplôme d’études fondamentales au Mali. À Goundam,
dans la région de Tombouctou, malgré la situation sécuritaire précaire dans le cercle, toutes les dispositions sont prises pour le bon
déroulement de l’examen, estime M. Moussa Aldjou Traoré, président
du Comité de gestion scolaire du second cycle II.


« Le moral des élèves est serein car ils ont eu l’appui des enseignants qui
leur donnant des cours de rattrapage gratuit. Toutes les dispositions
sont prises pour que les élèves soient dans les conditions pour pouvoir
débuter leurs examens », a indiqué M.

Traoré. Selon lui, le comité de gestion scolaire qu’il préside n’a pas lésiné sur leurs moyens de bord pour soutenir financièrement, matériellement et moralement, non seulement les élèves dudit établissement, mais aussi la direction.


« Nous avons menés plusieurs actions d’abord en récompensant les 18
meilleurs élèves en matériels scolaires et la prise en charge de leur
tenue scolaire pour l’année 2019 – 2020; remise d’ordinateur à l’élève
qui a eu 16 de moyenne des classes de 9 année. Nous avons doté la
direction en matériels scolaires et mobiliers de bureau, en manuels
scolaires et didactiques pour l’année 2019 – 2020.

Nous avons procédé à la réparation des portes et fenêtres », a rappelé M. Traoré, président du comité de gestion scolaire du second cycle Il de Goundam.


Par A.M.Bangou

source: croissanceafrique.com

Les premières arnaques à la libra, la cryptomonnaie annoncée par Facebook, se multiplient sur le web.

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Elles sont particulièrement grossières car, si l’annonce de la libra a fait beaucoup de bruit le mois dernier, elle ne sera pas lancée avant 2020. Mais certains se sont quand même fait prendre par des sites comme buylibra.com.

Avec un graphisme soigné, une url qui inspire la confiance, un gros bouton « acheter de la libra » et le logo officiel de la cryptomonnaie, le visuel peut être trompeur. Les personnes derrière ces arnaques n’ont même pas attendu l’annonce officielle de Facebook pour acheter un nom de domaine début juin et donc appâter des victimes potentielles.

Rapidement médiatisées, on pourrait instinctivement penser que ces escroqueries n’augurent rien de bon. Pourtant l’économiste Philippe Herlin, qui a écrit un guide pratique sur les cryptomonnaies, estime que ces sites qui surfent sur l’effet d’annonce de Facebook sont plutôt à considérer comme un signe prometteur pour le réseau social.

►À écouter aussi : Invité de la mi-journée – Facebook : « Malgré les polémiques, l’entreprise a de très bons indicateurs financiers »

« C’est comme les marques de luxe qui sont copiées : ça veut dire que ça répond à quelque chose, ça veut dire qu’il y a un besoin latent,explique-t-il. Nous, en Europe, avec l’euro, on a une monnaie qui est stable. Il n’y a pas d’inflation, pas de contrôle des changes. L’intérêt d’utiliser la libra est un peu limité. Maintenant, il y a pas mal de pays émergeant où la monnaie est inflationniste, où le système bancaire est peu développé, où il y a un contrôle des changes, etc, les gens vont assez vite comprendre l’intérêt de la libra. »

Mieux vaut se renseigner

La demande est donc bien là mais l’essentiel est ailleurs pour Facebook. Le géant du numérique et ses partenaires avec lesquels il s’est associé pour créer la libra doivent avant tout rassurer les utilisateurs, et dans le contexte actuel ce n’est pas gagné, avec encore en fin de semaine dernière une ultime sanction des autorités fédérales américaines et 5 milliards d’euros pour Facebook qui n’a pas suffisamment protégé les données de ses utilisateurs.

En France par exemple, selon un sondage Yougo, seulement 14 % des français seraient prêts à utiliser la libra. Pour ceux qui voudront prendre le risque, Philippe Herlin, qui a déjà écrit un guide pratique sur les cryptos monnaies assure que le plus important est de s’informer : « Quel que soit le produit qu’on achète, quel que soit l’actif financier qu’on achète, que ce soit une action, de l’assurance vie ou du bitcoins, il faut comprendre le produit avant de l’acheter. Alors, l’assurance vie c’est simple à comprendre, les crypto monnaie c’est encore plus compliqué, il faut consacrer du temps pour comprendre comme ça marche, si on n’est pas prêt à faire cet effort faut pas acheter, faut pas acheter parce qu’on en parle, parce que ça monte et que on pense qu’on va devenir riche en six mois. Il suffit de se renseigner un petit peu pour comprendre que la libra n’a pas encore été lancée. »

D’ici son lancement, la libra ne sera pas seulement scrutée par les économistes et les utilisateurs de Facebook. Les gouvernements sont également très méfiants. Au dernier G7 finance, le ministre Bruno Le Maire avait assuré que : « Tous les membres ont de fortes inquiétudes sur ce projet libra ».

Source: RFI.fr

Mali: Les Sotarama en meeting sur la route de kalaban-coro-Kabala.

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Ce matin sur la route de kaban-coro kabala, c’etait vraiment chaud a l’entrée de kalaban coro.Aucun véhicule transporteurs ne rentrera a kalaban coro dixit par un syndicat sur place.

Le syndicat des sotarama en metting. sur la route de kabala. La route est bloquée. Selon le syndicat que nous avons demandés, ce dernier affirme qu’ils sont trop fatigués et que les etudiants les emmerdent ” nous allons montrés nos mecontentements envers les etudiants. Il ya deux jours les bus qui transportent les etudiants se sont garés au millieux de la route (sur le goudron) et les etudiant ont tabassé le chauffeurs et ses apprentis sotarama” a-t-il affirmé

Daouda Bakary Koné

Source: Croissanceafrique.com

EXCLUSIF : ce qu’il faut savoir sur l’album de Grand P

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Le 4 octobre prochain, le marché du disque guinéen et international connaîtra la venue en force de l’album du phénomène guinéen, Grand P.Intitulé « I khadi nan na », cet opus de Moussa Sandiana Kaba connu sous le nom d’artiste Grand P, sera composé de huit (8) morceaux et déjà, deux clips sont finalisés.Réalisé entre Conakry, Abidjan et Bamako, des featurings sont annoncés sur cet album. Mais pour l’heure, l’équipe managériale s’est réservé le droit de dévoiler les noms :  » de grands artistes guinéens et africains ont bien voulu donner de la force à leur frère ».

Les mélomanes férus de Grand P, vont savourer des musiques dans lesquelles les messages de paix, de tolérance, de réconciliation, sont véhiculés sur des rythmes afro mandingues.Après avoir rendu hommage aux joueurs du Syli national pour la CAN 2019, Grand P réalisera son rêve le 4 octobre prochain avec la présence annoncée de la diva malienne, Oumou Sangaré.

Alpha Camara

http://generations224.com/exclusif-ce-quil-faut-savoir-sur-lalbum-de-grand-p/