(Agence Ecofin) – Le Malawi a encore
besoin de plus de 347 millions $ pour reconstruire ses infrastructures
détruites par les inondations. C’est ce qu’a annoncé cette semaine,
Wilson Moleni, le secrétaire principal du Département de la gestion des
catastrophes (DoDMA).
En mars dernier, après des pluies
torrentielles, le pays avait été touché par le cyclone Idai. Ce dernier,
avec des vents répertoriés à plus de 200 km/h, a entraîné la
destruction de plusieurs bâtiments, routes, infrastructures et terrains
agricoles.
D’après le DoDMA, le programme de réaction
gouvernementale aux intempéries survenues souffre d’un manque de
financement, pour répondre efficacement aux besoins des populations
sinistrées. La semaine dernière, un déficit de plus de 19 millions $
avait été annoncé par l’institution pour son budget de réponse aux
catastrophes.
« Nous n’avons pas de ressources pour l’exercice et nous devons compter sur les donateurs.» a indiqué le secrétaire Moleni, cité par Nyasa Times.
Pour aider les pays touchés par le cyclone
Idai à se reconstruire, la Banque mondiale avait annoncé, il y a
quelques jours, le déblocage d’un nouveau financement de plus de 545
millions $. De ce financement, près de 120 millions $ avaient été
annoncés en faveur du Malawi.
(MDE BUSINESS SCHOOL) – L’École
d’affaires pour hauts dirigeants, MDE Business School, a procédé
officiellement au démarrage de la session 2019 de ses quatre (4)
programmes de direction générale. Pour cette année, ce sont au total 202
« executives » qui participent à ces différents que sont l’AMP, le
Public-AMP, le PMD et le PLD.
Ainsi, ce sont 35 fondateurs
d’entreprises, associés, directeurs généraux et countries managers qui
participeront au programme AMP (Advanced Management Program). En participant à ce programme de très haut niveau qui accueille ainsi sa 9ème
promotion, ces managers de premier rang amélioreront leurs processus de
prise de décision, développeront leurs talents de leader et
renforceront leurs connaissances pratiques.
Pour
cette rentrée 2019, ce sont en tout 202 « Executives » qui prennent part
aux 4 programmes de Direction Générale qu’organisent MDE Business School
et ses partenaires internationaux.
Le PMD (Program for Management Development)
accueille quant à lui 74 directeurs opérationnels et cadres
intervenants dans des Comités de Direction, repartis en 2 classes. Ce
programme qui est à sa 8ème édition, développera leur vision
globale de l’entreprise et leur rôle de leader pour faire face à des
problèmes de haute direction. De plus, le PMD permet aux participants
d’exceller et d’innover dans leurs responsabilités, de relever de
nouveaux défis et d’améliorer les performances de l’entreprise.
48 managers aux expériences avérées dans des fonctions d’encadrement composeront, pour leur part, la 5ème promotion du PLD (Program for Leadership Development).
Ceci, en vue de maîtriser les fondamentaux du management général,
développer leur leadership et avoir une meilleure approche de la
conduite des opérations.
MDE
utilise la méthode des cas comme moyen d’apprentissage participatif.
C’est une approche interactive et efficace pour la formation des cadres.
Enfin, le Public-AMP (Public-Advanced Management Program) accueille sa 2ème
promotion composée de 45 hauts dirigeants de l’administration publique,
parapublique et des organisations internationales qui souhaitent se
donner les moyens pour réaliser un saut qualitatif dans leur style de
management. Conçu en partenariat avec l’Ecole nationale d’Administration
publique (ENAP) du Québec au Canada, ce programme leur permettra
d’affiner leur prise de décision dans tous les domaines et leur donnera
les moyens pour diriger leurs équipes et implémenter avec efficience des
modèles de gestion soutenus par des stratégies bien définies, et ce,
sans perdre de vue le caractère humaniste de l’administration et
l’engagement au service du citoyen.
Fort de ses partenariats internationaux,
principalement celui avec IESE Business School, MDE organise ces 4
programmes en collaboration avec les meilleures écoles d’affaires au
monde. Il s’agit donc de programmes de standards internationaux
dispensés dans un contexte local. Ainsi, l’AMP, le PMD et le PLD sont
organisés en collaboration avec la prestigieuse IESE Business School de
Barcelone (classée 4 années consécutives, N°1 mondial par Financial
Times). Ces trois programmes adressés en premier lieu aux acteurs du
secteur privé, sont conçus et dispensés dans une perspective de
Direction Générale.
Les
participants aux programmes de MDE bénéficient de l’excellence
académique, l’expertise professionnelle et la disponibilité d’un corps
professoral de haut niveau.
Pour le Prof. Alejandro LAGO, représentant
de l’IESE Business School de Barcelone, Ecole partenaire de MDE
Business School, la valeur ajoutée de ces différents programmes se
résume mieux dans la vision queIESE partage dans le monde avec toutes ses écoles sœurs:
« développer des leaders qui aspirent à avoir partout dans le monde un
impact positif, profond et durable, sur les personnes et la société,
avec professionnalisme ; intégrité et esprit de service.».
Ajoutant que « certes, partout dans le
monde, cette vision est très importante. Mais s’il y a un endroit où
cette vision a plus d’importance, c’est chez vous les managers, managers
de la Côte d’Ivoire, managers d’Afrique. Si on veut faire réussir
l’Afrique dans le contexte global, nous avons une responsabilité assez
grande. C’est aux dirigeants, c’est aux managers de travailler à
améliorer le climat des affaires, de créer davantage d’emplois solides,
stables et booster la croissance ».
Aventure transformationnelle, qualité et
disponibilité d’un corps professoral international, méthodologie
d’apprentissage actif, opportunité pour accéder à une formation de haut
niveau réunissant à la fois le contexte global et le contexte local des
affaires, connexion à un fort réseau de dirigeants … sont autant de
témoignages positifs que partage chaque génération de participants.
A propos de MDE Business School
Créé à l’initiative de cadres de Côte
d’Ivoire depuis déjà plus de 15 ans, MDE Business School est un institut
de formation et de recherche qui s’est fixé comme objectif de mettre à
la disposition des secteurs privé et public des outils de management qui
permettent de remporter des succès durables et d’affronter positivement
les nouveaux défis des entreprises dans les pays en développement.
MDE Business School offre aux
entrepreneurs et gestionnaires de tous les horizons, une expérience
unique, une opportunité d’apprentissage leur permettant de grandir en
tant que leaders, de hisser leurs organisations vers de nouveaux niveaux
de développement et d’impacter tous leurs entourages.
Avec pour slogan « Construire le futur, Changer le présent », MDE Business School, c’est :
Une expérience solide dans les formations « Executive Education » avec
plus de 3000 personnes formées et un réseau de 769 Alumni dont plus de
350 Hauts Dirigeants.
4 Programmes de Standard international et plus de 50 programmes sur mesure.
Un corps professoral international et local de haut niveau.
Un hub de collaboration avec d’excellentes Business School d’Europe, d’Afrique et d’Amérique.
Un membre du réseau des 15 écoles associées de IESE Business School
(Barcelone), N°1 Mondial « Executive Education » (Financial Times – 2012,
2015, 2016, 2017, 2018).
Un partenariat académique avec l’ENAP du Québec/Canada (meilleure
école francophone en matière de gestion publique) pour le programme
Public-AMP.
Le siège académique de MDE Business School
est en Côte d’Ivoire à Abidjan, Cocody Riviera, au sein de l’Ivoire
Golf Club (04 BP 633 Abidjan 04 ; Tél : +225 22 49 57 40 / 52 20 20 20).
(Agence Ecofin) – Le Kenya bénéficiera
d’un nouveau financement de près de 100 millions $ de la Banque
mondiale, a annoncé, cette semaine, William Ruto (photo), vice-président
du pays.
D’après le responsable, le nouveau
financement permettra la mise en place d’un projet d’aide en faveur des
déplacés et réfugiés présents dans le pays, principalement dans les
comtés de Garissa, Wajir et Turkana. Grâce à cette initiative, le
gouvernement espère augmenter la résilience des communautés du nord
Kenya.
Le financement permettra également d’améliorer l’accès à l’eau, aux soins de santé et à l’éducation.
Ce nouveau décaissement entre dans le
cadre de l’Initiative de développement du Nord et du Nord-Est (NEDI) de
la Banque mondiale. Celui-ci, d’un montant de plus d’un milliard de
dollars, avait été annoncé en mai 2018 pour accroître les
investissements (dans les infrastructures notamment), dans les régions
nord et nord-est du Kenya, marquées par un taux de pauvreté élevé.
Bénéficiant à 10 comtés kenyans, il touche les domaines de l’énergie,
des transports routiers, de l’eau et de l’assainissement, de
l’agriculture, de la protection sociale auxquels s’ajoute un programme
de soutien aux communautés accueillant des réfugiés.
La Banque mondiale a annoncé dans un communiqué rendu public le 17 mai, avoir accordé à la Zambie un prêt concessionnel de 100 millions de dollars destiné à financer l’amélioration de la gestion de ses ressources naturelles.
Ce prêt qui sera décaissé par
l’Association internationale de développement (IDA), le fonds de la
Banque mondiale dédié aux pays les plus pauvres de la planète, financera
un projet d’appui à l’utilisation durable des ressources naturelles
dans ce pays d’Afrique australe, a-t-on précisé de même source.
Le projet en question vise à inverser la
dégradation des forêts et des terres et à améliorer les infrastructures
afin de renforcer la résilience des communautés aux chocs climatiques.
Fondée en 1960, l’IDA vise à réduire la
pauvreté en accordant des prêts et des dons destinés à des programmes de
nature à stimuler la croissance économique, à réduire les inégalités et
à améliorer la vie des plus démunis.
Le Zimbabwe va recalculer son produit
intérieur brut (PIB), suite à l’adoption d’une nouvelle monnaie en
février dernier, a annoncé le ministre des Finances, Mthuli Ncube
(photo), le 15 mai.
En février dernier, la Banque centrale du
Zimbabwe avait annulé l’ancrage de son dollar électronique et de ses
obligations de substitution à une valeur fixe au dollar américain. Elle a
fusionné le tout dans une devise de transition de valeur inférieure
appelée le dollar RTGS, en attendant la réintroduction, d’ici à la fin
de l’année, du dollar zimbabwéen, la monnaie nationale abandonnée en
2009 dans un contexte d’hyperinflation.
Pays d’Afrique australe dont l’économie
peine à se relever de la grave crise provoquée par la réforme agraire
mise en œuvre par l’ex-président Robert Mugabe, au début des années
2000, le Zimbabwe avait déjà adopté un nouveau mode de calcul de son PIB
en octobre 2018. A l’issue de cette mise à jour statistique, qui a
pris en considération pour la première fois le vaste secteur informel,
le PIB du pays a bondi de 40%, passant de 18 milliards de dollars à 25,8
milliards.
« L’adoption du dollar RTGS nécessite
le recalcul du PIB, qui ferait passer la taille de l’économie nationale à
70,1 milliards de dollars RTGS, soit environ 21 milliards de dollars au
taux de change officiel », a expliqué M. Ncube.
Le ministre zimbabwéen des Finances a fait
savoir, par ailleurs, que l’économie zimbabwéenne a enregistré une
croissance de 6,2% en 2018 contre une prévision initiale de 3,1%.
Depuis un certain temps l’actualité sur les réseaux sociaux est naze . De leur intention d’amuser la galerie, ils ont coûté que coûte cherché à ternir le nom du valeureux jeune Moustapha Ben Barka en allant jusqu’à dire qu’il est à la base de la supposée disparition d’un journaliste de la place. Dieu ne dormant jamais , Moustapha Ben Barka est sorti grandi de cette manière lâche pou faire les opinions des paisibles citoyens maliens , car il a suffit seulement quelques heures , et la main n’a pas pu cacher le soleil de la vérité, le journaliste en question comme un coup de baguette de magie est réapparu errant dans le rues pour se retrouver chez lui sain et sauve . De nombreux journalistes maliens sont dignes , et ils savent le vrai de l’ivraie car ne pouvant plus accepter de voir leur noble profession infiltré par les pseudos journalistes à la quête de notoriété publique , ont tout simplement demandé des explications auprès du journaliste prestidigitateur . Quelques jours seulement après cette rocambolesque histoire digne d’un scène de court métrage, voilà que pour toujours amuser la galerie et de l’acharnement sur le simple citoyen quoi qu’il fut le fils du Président de la République, on attribut en plein jour à Bouba Keïta l’étiquette de Chargé de mission de son père à la présidence de la république comme si étant fils d’un président de la république on a pas le droit d’être parmi les citoyens qui rêvent de participer à l’édifice nationale par amour pour son patrie . Bouba très lucide et confiant en lui et surtout quiet est toujours resté ce digne fils humble , de commerce agréable , ne sachant pas faire mal à une mouche , souriant avec tous et surtout dans son contemporain est le genre de garçon qui est toujours prêt à donner son énergie à ses aînés et à la sagesse. Comme la goûte de pluie qui descend chaque jour sur la case en banco , les malhonnêtes et lâches tapis dans l’anonymat sous le nom de Africa kibaru a pris le relais pour s’attaquer au jeune Bouba Keïta , cette fois ci comme à son habitude , en essayant de salir son nom dans une supposée relation amoureuse avec sa grande sœur , avec qui il entretien une relation de bonne amie , à savoir Safia Boly , qui est en même temps une très bonne amie de ses grandes sœurs, et cela depuis leur tendre enfance. Au menteur de Africa Kibaru , Bouba est déjà marié et il très heureux dans son foyer avec sa belle et efface épouse dans un régime monogamique . Bouba tel que nous connaissons et l’avons connus avec son charme et sa beauté n’a jamais songé et ne songera jamais à prendre une seconde épouse. Africa kibaru et autres qui tentent à salir le nom bourbain ( Bouba ) perd son temps quoi qu’ils seront toujours médisants envers lui . Bouba est décontracté avec tout le monde et surtout les ministres de son contemporain femme ou homme et ce n est pas par ce que il est le fils de IBK qu’il ne va pas échanger et chahuter avec les ministres femmes et autres personnalités féminines du pays . Bouba a t’il besoin de harceler une quelconque fille jolie soit elle surtout en le qualifiant de fils du Président de la République ? que non . Bouba n’a jamais harcelé sa respectable grande sœur ministre de son état à qui le Président de la République a placé sa confiance pour reconstruire le Mali et surtout Bouba ne va jamais harceler une femme d’où qu’elle vienne . Africa kibaru a cette sale habitude de distraire et de tester les opinions contre les paisibles citoyens et ce n’est pas son acharnement envers le grand frère ( karim) de Bouba , qui va être sa Une et et ni sa Der. Le film peut continuer mais la vérité triomphera toujours car nul ne pourra cacher le soleil avec sa main. Le Mali aujourd’hui a besoin de tous ses fils et de toutes ses filles d’où qu’ils viennent ou qui qu’ils soient et tout est passager ici sur terre , la méchanceté gratuite envers son prochain ne sert et ne servira à rien . Insulter père et mère , calomnier les autorités , les hautes autorités et leurs enfants comme si ces enfants se sont pas avant tout des maliens n’aura d’autre but que de la pure jalousie . Il est temps que nous nous donnons la main dans nos différences pour faire ce pays-là. Africa kibaru soit digne de ne pas rester dans l’anonymat pour mentir sur les honnêtes et paisibles citoyens maliens , sois courageux et va présenter tes excuses à Safia Bolly, à Manassa et à Bouba , tu seras grand et méritera d’être la nouvelle de l’Afrique.
Comme ici sur cette photo on peut lire que Bouba est en train d’échanger avec la jeune ministre Madame Maiga Kamissa Camara .
Dans son intervention sur les antennes de la radio France Internationale S.E Tiébilé Dramé n’est pas allé avec le dos de la cuillère car selon lui que je cite « Je crois qu’ il y a beaucoup de faux spécialistes du Mali et du Sahel qui ont multiplié des déclarations ces dernières semaines dans le but évident de préparer l’opinion à la séparation de certains contrées du Mali en particulier », fin de citation.
En ce qui concerne le comportement des faux spécialiste, le chef de la diplomatie Malienne reste catégorique « Je crois que ces faux spécialistes ne connaissent pas l’histoire de ce vieux pays, quand ils prétendent que les Arabes et les Touaregs n’accepteront jamais d’être dirigés par les noirs, leurs anciens esclaves du Sud ou que les anciens esclaves du Sud ont un comportement vis à vis des Arabes et des Touaregs, eux ils ne connaissent pas l’histoire de ce vieux pays. Les vrais connaisseurs de l’histoire de ce vieux Mali, << les Maliannistes>> ne parlent pas comme ces pseudos spécialistes du Mali et du Sahel. La réalité est ailleurs et ensuite, il ne faut pas oublier qu’ à Ouagadougou comme à Alger les acteurs maliens ont apposé leurs signatures sur des principes cardinaux importants que sont : l’intégrité du territoire nationale, l ‘unité nationale, la forme laïque et Républicaine de l’État, a-t-il rappelé.
Pour lui, nous travaillons pour les créer les conditions de la participation effective de toutes les communautés du Mali « Et nous travaillons activement à créer les conditions de la participation effective de toutes les communautés du Mali à la gestion de leurs affaires à la libre administration des collectivités, d ailleurs prévue dans notre constitution de 1992 et réaffirmée dans l’accord d ‘Alger de 2015. Cela veut dire que ceux qui veulent préparer l’opinion à l’éclatement du Mali, en vérité perdent leur temps par ce que les Maliens sont tournés résolument vers le redressement de leur pays, et tous ensemble, ceux du Nord comme ceux du Sud », a-t-il déclaré.
Le cadre de relance économique et de développement
durable (CREDD) 2019-2023 a été examiné
par le Conseil de Cabinet, présidé ce jeudi à la Cité administrative, par le
Premier Ministre, Dr Boubou Cissé, a constaté l’AMAP.
L’objectif du CREDD est de promouvoir un
développement inclusif et durable pour la réduction de la pauvreté et des
inégalités dans un Mali uni et apaisé en se fondant sur les potentialités et
les capacités de résilience en vue d’atteindre les
objectifs de développement durable (ODD).
La 2ème génération du cadre de relance économique et de développement durable (CREDD) vise à consolider et amplifier les résultats enregistrés au cours de la première phase (2016-2018) qui s’est achevé
Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Dr Boubou Cissé a présidé, ce vendredi 17 mai 2018, le 9e comité exécutif de l’agriculture, à la Primature. C’était en présence des acteurs de l’agriculture malienne tel que Bakary TOGOLA Président de l’APCAM et le ministre de l’Agriculture et celui de l’aménagement et de l’équipement rural M. Adama SANAGRE.
A l’issu des travaux, il ressort des conclusions de ce comité, qu’au cours de la campagne écoulée, 10 452 980 de tonnes,toutes céréales confondues ont été produites par les agricultures du Mali, soit une hausse de 12% par rapport à la campagne agricole 2017-2018 ( 9 295 874 tonnes).
Notons que le plan de campagne présenté au cours du comité sera examiné et adopté par le Conseil supérieur de l’agriculture sous la présidence du Président de la République, Chef de l’État, SEM Ibrahim Boubacar Keita.
Les vivres sont composés de chacun d’un
bœuf, 200 kg de riz, 250 kg de sucre, 40 litres d’huile de palme et des
enveloppes symboliques d’une valeur de 150.000 F CFA. La valeur totale
de ces dons ont coûté à la BDM d’une valeur de 9 millions de nos francs.
Tradition vielle de plusieurs années chez les responsables de la
banque au symbole de cauris, cette action de solidarité de la BDM SA a
pour objectif d’accompagner les fidèles musulmans, afin qu’ils puissent
bien passer le ramadan. Une fois de plus, les responsables de la Banque
Malienne de Développement du Mali n’ont pas dérogé avec leur principe
de partage et de solidarité à l’endroit des populations du Mali
L’opération était conduite par le secrétaire général de la Banque,
Moriba N’Faly Camara, du directeur des ressources humaines, Cheick
Fantamady Keita, de la chargée de la Communication Madame Sow, du
Secrétaire général du syndicat, Amadou Diallo et du chargé des
relations publiques de la Banque, Amadou Diallo.
En effet, la BDM vient de procéder à la distribution gratuite de
vivres dans plusieurs mosquées de Bamako. Les vivres sont composés de
200 kg de riz, 250 kg de sucre, 40 litres d’huile de palme, 7 bœufs et
des enveloppes symboliques comme prix du condiment d’une valeur de
150.000 FCFA.
Ces vivres ont été répartis entre 7 mosquées à travers le district de
Bamako dont deux mosquées sur la rive droite, et 5 mosquées sur la rive
gauche. Il s’agit notamment de la mosquée 300 logements de Quartier
Mali, la mosquée du Quartier Mali Torokorobougou, la vielle mosquée de
Kalapo à Hamdallaye, de la Zawiya Thierno Tidiani Ibn Sidi Abdallah de
Dar-salam, la mosquée de Nimaga à N’golonina, la mosquée Fula misiri à
Djelibougou et la grande mosquée.
En recevant ces vivres de la première banque de la sous-région, les
différents imams des mosquées bénéficiaires ont tour à tour remercié
le donateur pour ce geste ‘’de grande solidarité envers toutes les
communautés musulmanes du Mali’’. C’est le cas notamment de l’imam
Malick Diallo de la mosquée de 300 logements. Ce dernier a, au nom de
tous les fidèles de sa mosquée salué les responsables de BDM SA pour
avoir perpétué une tradition de l’islam (la solidarité), chère au
prophète Mohamed (PSL) pendant ce mois béni de ramadan. L’imam Diallo a
profité de l’occasion pour faire des bénédictions pour le Mali et la
prospérité de BDM. C’est le cas également de l’Imam Mahamadou Haidara de
la mosquée Kalapo de Hamdallaye.
Selon l’Imam Haidara, ce geste de la BDM arrive à point nommé, car
dit-il, il coïncide avec la veille de la nuit dite nuit du destin
‘’achoura’’ (la nuit la plus bénie de toutes les nuits de l’année). A en
croire l’imam de la mosquée Kalapo, le prophète a enseigné à ses
disciples que la récompense du jeuneur n’est connu de nul être humain
et que celui qui apporte le repas de rupture à son prochain, que Dieu
seul connait la récompense prévues à ce dernier. Il a fini par
remercier le donateur, avant de lui faire des bénédictions pour que
pendant plusieurs années, l’initiative se perpétue.
Au nom du directeur général de BDM, Cheick Fantamady Keita,
secrétaire général de la BDM a rassuré les différents imams de
l’engagement de la banque à leur apporter de la continuité de
l’initiative. Il leur a également demandé de continuer à prier pour le
retour de la paix et de la stabilité dans le pays. Toute chose qui,
selon lui, est gage de prospérité pour toutes les entreprises
nationales, y compris la BDM.