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Medays2018, l’ancien premier ministre Moussa MARA anime un panel.

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#Medays2018 salle Tanger. Première session plénière de l’après midi.
Thème: L’Union africains, la zone de libre échange continuerais africaine (ZLECA), et les États unis d’Afrique: mythed ou réalités

Panelistes: Moussa MARA, ancien PM du Mali, Mamadou TANGARA, ministre gambien des affaires étrangères, Augustine MAHIGA, ministère tanzanien des AE, Martin Zuguelé, deputé et ancien PM de Centrafrique parmi tant d’autres.

Source: Alassane Souleymane.

Mail:Croissanceafrik@gmail.com

Pour améliorer les régimes alimentaires, il faut réduire le gaspillage et les pertes, selon des experts

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Un décès sur cinq est attribué à des régimes alimentaires de mauvaise qualité, selon une note publiée mercredi par des experts qui invitent les décideurs politiques à faire de la réduction des pertes et du gaspillage alimentaires une priorité en vue d’améliorer l’accès des populations à une nourriture saine et nutritive.
Les régimes alimentaires de mauvaise qualité sont maintenant devenus une menace de santé publique plus élevée que le paludisme, la tuberculose et la rougeole. Pendant ce temps, près d’un tiers de toute la nourriture produite et destinée à la consommation humaine ne parvient jamais jusqu’à l’assiette du consommateur, souligne cette note intitulée Empêcher les pertes et le gaspillage de nutriments à travers le système alimentaire : des actions politiques pour des régimes alimentaires de bonne qualité.
La note a été élaborée par le Panel mondial sur l’agriculture et les systèmes alimentaires en faveur de la nutrition, en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
La publication donne un aperçu de la teneur en nutriments dans certains aliments tels que les fruits, les légumes, les semences, les noix, les produits laitiers, la viande et les fruits de mer, qui sont également des denrées hautement périssables et donc susceptibles de connaître des pertes tout au long du système alimentaire.
Les chiffres sont stupéfiants : chaque année, plus de la moitié de tous les fruits et légumes produits dans le monde sont soit perdus, soit gaspillés. Environ 25% de l’ensemble de la viande produite, soit une source vitale de protéines, n’est pas consommé (l’équivalent de 75 millions de vaches).
« Afin de lutter contre toutes les formes de malnutrition et de promouvoir des régimes alimentaires sains, nous devons mettre en place des systèmes alimentaires qui soient capables d’améliorer la disponibilité, le caractère abordable et la consommation d’aliments frais et riches en nutriments pour tout le monde. Agir afin de réduire les pertes et le gaspillage d’aliments frais et nutritifs est une étape essentielle de ce processus », ont indiqué les membres du Panel ainsi que José Graziano da Silva, Directeur général de la FAO.
Agir tout au long du système alimentaire
La note propose une série d’actions politiques à prendre à travers l’ensemble du système alimentaire, à savoir éduquer les protagonistes, se concentrer sur les aliments périssables, améliorer les infrastructures publiques et privées, encourager l’innovation et combler le fossé en matière de manque de données et de connaissances sur les pertes et le gaspillage alimentaires.
« Les actions politiques du Panel mondial donnent à voir la manière dont le fait de réduire les pertes et le gaspillage alimentaires pourraient jouer un rôle dans l’amélioration des régimes alimentaires qui affectent 3 milliards de personnes à travers le monde et sont souvent responsables de la sous-alimentation persistante, de la hausse du surpoids, de l’obésité et de l’augmentation des cas de maladies non transmissibles », a souligné le Professeur Srinath K. Reddy, membre du Panel et Président de la Fondation pour la santé publique d’Inde (PHFI).
Les données de la FAO indiquent que dans les pays à faibles revenus, la nourriture se perd surtout lors de la récolte, du stockage, de la transformation et du transport, tandis que dans les pays à revenu élevé, le problème est à chercher du côté du gaspillage au niveau du vendeur et du consommateur. Tous ont un impact direct sur le nombre de calories et de nutriments disponibles à la consommation. Les pertes et le gaspillage en micronutriments représentent une vive source d’inquiétude, étant donné leur impact direct sur le bien-être, la capacité d’apprentissage et la productivité des personnes.
D’un point de vue mondial, l’agriculture produit 22% en plus de vitamine A que ce dont nous avons besoin. Néanmoins, après les pertes et le gaspillage alimentaires, la quantité disponible pour la consommation humaine est 11% moins élevée que celle nécessaire. Réduire les pertes et le gaspillage d’aliments nutritifs pourrait donc apporter de nombreux bienfaits pour la santé.
Cela engendrerait également des retombées économiques car la valeur de la nourriture soit perdue, soit gaspillée, à l’échelle mondiale, est estimée à 1 trillion de dollars. Manger plus de la nourriture déjà produite permettrait également d’éviter le gaspillage de l’eau, de la terre et de l’énergie utilisées pour sa production, (Un.org).

Source:Daouda B koné
Mail: croissanceafrik@gmail.com

Adhésion du Maroc à la CEDEAO : Vaste plaidoyer pour aller au-delà d’un accord de principe

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Le dossier de l’adhésion du Maroc dans la CEDEAO, ne bénéficie jusque-là que d’un accord de la part des Etats membres. Face aux enjeux l’heure, certains pays et responsables d’instances régionales de la sous-région plaident pour une volonté politique forte devant officialiser l’entrée du Royaume chérifien dans la grande famille communautaire.
C’est un enthousiasme populaire qui est noté sur le dossier de l’adhésion du Maroc dans la CEDEAO lors du premier workshop des MEDays 2018 qui a ouvert ses portes ce mercredi 7 novembre à Tanger, au Maroc. La réflexion était convoquée autour de : « Le Maroc dans la CEDEAO, réaliser la CEDEAO des peuples » .
Des pays membres qui ouvrent grandement les portes de la CEDEAO au Maroc cachent mal leur souhait d’accélérer les choses pour enfin officialiser ce mariage. C’est à l’image du Cap-Vert qui, par la voix de son ministre des affaires étrangères appelle à aller au-delà de l’accord de principe donné par les chefs d’Etats.
M. Luis Filipe Lopes Tavares estime qu’il est maintenant attendu une volonté politique forte, lors du prochain sommet des chefs d’Etats et de gouvernements, pour officialiser l’adhésion du Maroc dans la CEDEAO.
Son pays ira au-delà même en travaillant pour l’adhésion du Maroc comme observateur ou pays associé au cercle des pays lusophones.
A son avis, la CEDEAO avec le Maroc sera parmi les espaces économiques les plus dynamiques d’Afrique.
Ce qui montre que les conclusions du comité de chefs d’Etats des pays de la CEDEAO devant statuer sur ce dossier marocain, sont très attendues.
En attendant d’y parvenir, un soutien indéfectible à ce dossier est noté dans toutes les interventions enregistrées lors du premier workshop des MEDays 2018.
C’est à l’image du président du Parlement de la CEDEAO, M. Moustapha Cissé Lô qui a réaffirmé le soutien de l’instance qu’il dirige à cette demande d’adhésion. « Je réaffirme notre détermination à travailler avec le parlement marocain pour cette adhésion dans l’optique de développer notre espace ».
Même son de cloche pour l’ancien président du Bénin, M. Bony Yayi qui coprésidait la session. « Unis, nous serons plus forts », dira-t-il pour bénir cette demande du Maroc.
A son avis, l’adhésion du Maroc arrive à point nommé et elle doit être traitée en tenant compte des questions liées aux schémas de libéralisation, le Tarif Extérieur commun (Tec) de la CEDEAO ainsi que l’ Accord de partenariat économique (Ape) …
Pour lui, « si le Maroc est prêt à remplir toutes ces obligations, il a le droit d’adhérer librement à notre espace communautaire » .
Ce qui fait dire à M. Mankeur Ndiaye, ancien ministre des affaires étrangères du Sénégal que « le Maroc a des relations séculaires avec les pays de la CEDEAO et sa demande d’adhésion doit être soutenue ».
Par cette occasion, M. Ndiaye a salué la démarche adoptée par l’Institut Amadeus qui s’est employé à aller recueillir les inquiétudes relevées çà et là sur ce dossier d’adhésion.
A son avis, l’étude d’impact sur cette adhésion du Maroc qui a été commanditée doit mettre l’accent sur des principes essentiels liés au droit d’établissement, des consultations avec le secteur privé mais aussi les populations…
Ce qui, à son avis, va permettre d’appréhender les inquiétudes du moment c’est parfois des peurs compréhensibles mais qui ne se justifient pas.
Pour M. Ndiaye, il faut œuvrer pour la compatibilité des attentes du Maroc avec les exigences communautaires mais aussi anticiper sur la Vision 2020 de l’organisation communautaire qui veut concrétiser le passage de « la CEDEAO des Etats, à la CEDEAO des peuples ».
Ce qui, selon Amin Laguidi, Vice-Président du cabinet africain en conseil sur les mines et l’énergie rime avec la démarche marocaine qui met l’accent sur le social avec la CEDEAO des peuples comme priorité.

Source: croissanceafrique.com
Mail: croisssanceafrik@gmail.com

Résultat Obligations du Trésor du Mali : 24,625 milliards dans les coffres du trésor malien

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L’émission d’obligations assimilables du trésor par adjudication de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique du Mali, portant sur un montant de 25 milliards et sur une durée de trois ans a enregistré un taux de couverture du montant mis en adjudication de 106 ;5%, a annoncé l’agence régionale ouest africaine de planification de la dette UMOA Titres dans un communiqué.
Le montant global des soumissions s’élève à 26 500 millions de FCFA pour un nombre total de 14 soumissions. En définitive, l’Etat du Mali a retenu la somme de 24,625 milliards de FCFA
Le prix marginal et le prix moyen pondéré s’élèvent respectivement à 9650FCFA et 9 661,85 FCFA.
Le remboursement des Obligations se fera en totalité le premier jour ouvrable suivant la date d’échéance (remboursement in fine). Le paiement des intérêts se fera annuellement sur la base d’un taux de 6,15% l’an dès la première année.
Cette opération s’inscrit dans le cadre de l’exécution du programme d’émissions de titres publics du Mali en conformité avec la stratégie à moyen et long terme de gestion de la dette.
La présente émission d’Obligations Assimilables du Trésor dans tous les pays membres de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) vise à mobiliser l’épargne des personnes physiques et morales en vue d’assurer la couverture des besoins de financement du budget de l’Etat, gestion 2018.

Oumar Nourou
Mail:croissanceafrik@gmail.com

Maroc: le premier TGV d’Afrique livré en présence d’Emmanuel Macron

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Longue de 200 km, la première ligne à grande vitesse (LGV) d’Afrique, qui doit relier Tanger à Casablanca via Rabat, au Maroc, sera inaugurée le 15 novembre prochain, en présence du Roi Mohammed VI du Maroc et du président français Emmanuel Macron.

Avec le TGV, le trajet entre Tanger et Rabat tombe à 1h 20 minutes contre 3h40 minutes aujourd’hui . Le trajet total, de Tanger à Casablanca, durera 2h10 avec le nouveau TGV, contre 5 heures auparavant.

Lancé en 2007 en présence du roi du Maroc, Mohammed VI, et de Nicolas Sarkozy, le projet n’a réellement débuté qu’en 2011. Si la mise en service était initialement programmée en 2015, elle a été décalée après des retards dus à des procédures d’expropriations. Le projet a coûté 2 milliards d’euros dont 51% financé par l’Etat français à travers notamment l’Agence française de développement. Ce coût représente une enveloppe environ 15% plus élevée que l’estimation initiale de 1,8 milliard d’euros, calculée en 2007 lors du lancement du projet.

De nombreuses entreprises françaises ont participé à la construction de la première LGV du continent africain : Alstom pour les rames, le consortium Ansaldo-Ineo (signalisation et télécoms), Cegelec (sous-stations électriques) et le consortium Colas Rail-Egis Rail (voies et caténaires).

De son côté, la SNCF s’est occupée de l’assistance à maîtrise d’ouvrage avec l’Office National des Chemins de Fer marocains (ONCF), l’exploitant national du réseau ferré du pays. Le Maroc attend près de six millions de voyageurs par an d’ici trois ans.

Source: croissanceafrique

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali: Visite de terrain du Ministre des Transports, constat alarmant et détermination pour une relance sûre et pérenne.

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 »Le train va rouler de Kayes à Koulikoro, c’est l’engagement pris par les plus hautes autorités du pays. »
C’est ce qu’a déclaré le Ministre des Transports, Mr Soumana Mory Coulibaly à l’issue de sa visite du patrimoine ferroviaire ce jeudi matin. Cette visite de terrain a concerné le tronçon Bamako-Koulikoro.

Cette descente de terrain du ministre est un préalable à ce processus de redémarrage des activités ferroviaires. De Bamako à Koulikoro le constat est que le patrimoine ferroviaire est occupé par des édifices. Pire, les rails sont sectionnés ou quasi inexistant à des endroits.
Une situation à laquelle, le ministre promet des solutions dans les brefs délais.
Des solutions qui vont contribuer à valoriser le patrimoine ferroviaire qui a été longtemps laissé sans contrôle, surtout quand on sait que le transport ferroviaire, pour un pays enclavé comme le Mali, est un atout majeur pour le développement économique.

Par ailleurs, ce déplacement du ministre des transports a été apprécié à juste titre par les cheminots qui ont réitéré leur soutien au patron du Département des Transports.
Ils ont salué la détermination et le pragmatisme du ministre Soumana Mory Coulibaly.

Il faut enfin noter que cette visite de terrain sur le tronçon Bamako-Koulikoro de la voie ferrée est la première étape d’une tournée du ministre des transports. Dans les jours à venir, il se rendra à Kayes, cette fois ci par train. Histoire de marquer concrètement le début des activités ferroviaires au Mali.

Daouda Bakary koné

Source: croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Office du Niger – Université de Ségou: Les dix engagements pour un partenariat scientifique, technique et pédagogique

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La convention signée le mercredi 07 octobre 2018 entre le Président Directeur Général de l’Office du Niger, Dr Mamadou M’Baré COULIBALY et le Recteur de l’Université de Ségou, Pr Souleymane KOUYATE, porte sur la conception de module, l’appui à la démarche qualité, l’accompagnement et le coaching, mais aussi sur la sous-traitance de formations selon les compétences. Elle porte également sur l’échange d’expériences en termes de communication, le programme spécifique de formation et de la recherche, l’organisation et l’animation de sessions, la documentation générale et spécifique, l’ouverture vers les réseaux partenariaux et enfin les échanges et capitalisation des expériences. La durée de cette convention est cinq ans
Concernant la conception de module, les deux parties s’engagent à conjuguer leurs efforts dans le cadre de la création d’offres de formation pertinentes ou d’adaptation des programmes de l’Université de Ségou.
De l’appui à la démarche de qualité, les deux signataires s’engagent à coopérer dans la mise en place et l’opérationnalisation d’une démarche-qualité.
S’agissant de l’accompagnement et le coaching, les deux structures s’engagent également à réaliser conjointement des services de conseils, d’accompagnement et coaching au profit des structures publiques, parapubliques, et privées. C’est dire que l’Office du Niger et l’Université de Ségou, mutuellement, peuvent élaborer et mettre en œuvre des projets communs.
Pour la sous-traitance de formations selon les compétences, les deux parties s’engagent à faire appel aux services de l’autre dans la réalisation des missions de formation ou d’encadrement selon les compétences.
En ce qui concerne l’échange d’expériences en termes de communication, les deux parties s’gagent à communiquer réciproquement sur leurs institutions et leurs activités et expériences dans la réalisation de supports de communication.
Concernant le programme spécifique de formation et de recherche, les deux parties peuvent développer en partenariat des programmes communs partagés de formation et de recherche, répondant aux enjeux locaux, nationaux, régionaux, et internationaux. Ainsi, elles seront menées à procéder à la mise en œuvre d’expériences relatives à l’ingénierie de formation et de la recherche, à des invitations réciproques, à participer à des discussions ouvertes à d’autres partenaires autour de modules de recherche-action ou de formation.
De l’organisation et l’animation de sessions, les deux parties pourront élaborer et réaliser en communs des actions de formation et de communication, de courte durée sous la forme de sessions, ateliers et séminaires dédiés aux cadres et aux acteurs locaux ou nationaux du monde rural.
S’agissant de la documentation générale et spécifique, chacune des parties s’engagent à faciliter à l’autre l’accès à sa documentation générale (données, mémoires, thèses et ouvrages spécifiques) ainsi qu’à la diffusion d’information pertinentes, intéressant les deux structures.
Pour l’ouverture vers les réseaux partenariaux, il s’agit pour les deux parties de conjuguer leurs efforts pour la recherche, la recherche-action et le développement de partenariats, notamment : faire bénéficier à l’autre, des relations de partenariat existant ou potentielle, favoriser l’accès à un réseau dont l’autre est membre et ce, dans le respect des conditions fixées (par exemple : ateliers, séminaires, travaux de recherche, site web etc).
Et enfin en ce qui concernent les échanges et capitalisation des expériences, les deux structures ayant des expériences complémentaires dans divers domaines de la pratique et de l’enseignement, peuvent collaborer à leur capitalisation et transfert.

Source:Croissanceafrique.com

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La Sixième édition du Forum de l’Habitat, des Banques et Assurances (FOHABA), c’est du 16 au 18 Novembre 2018 en côte D’ivoire.

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La 6 eme édition du Forum de l’Habitat, des Banques et Assurances (FOHABA) aura lieu du 16 au 18 Novembre prochain à Abidjan (Côte d’Ivoire). Une opportunité pour les Maliens vivant en République Ivoirienne de préparer leur retour au pays en investissant dans l’immobilier. Mais aussi, dans les produits de l’assurance mais aussi l’annonce de 450 logements FOHABA 1 en phase de construction en collaboration avec soutouraso.
L’information a été donnée à la faveur d’une conférence de presse ce jeudi 08 Novembre 2018 à la Direction Générale de l’Agence de Cession Immobilière (ACI) par le principal initiateur du forum, M. Abdoulaye Traoré, non moins PDG de la Société Salvage Bureau en compagnie des responsables de l’ACI. Organisé par la Société Salvage Bureau en partenariat avec l’Agence de Cession Immobilière (ACI), le Forum de l’Habitat, des Banques et Assurances a pour objectif d’informer les Maliens vivant aux Etats-Unis sur les possibilités réelles d’investissements au pays notamment dans les domaines de l’immobilier et des produits de l’Assurance. Sixième 6 eme du genre, après celui de 2015, de 2016 et 2018 cette SIXIEME édition se propose d’abord de s’informer sur les besoins réels de la diaspora malienne en termes de produits bancaires et immobiliers. Selon le président Abdoulaye TRAORE du FOHABA « Au cours de l’évènement, il y aura une semaine commerciale de vente de produits bancaires et immobiliers » dit-il.

Selon le PDG de la Société Salvage Bureau, M. Abdoulaye Traoré, « l’ACI s’associe à sa société pour permettre aux Maliens où qu’ils se trouvent de se procurer un logement décent. Outre les parcelles nues proposées par l’ACI, les banques proposent, à travers les sociétés immobilières, la construction des logements. Il s’agit entre autres de logements économiques, de moyen et grand standing » a-t-il affirmé. Après la cote d’ivoire, l’ACI et la Société Salvage Bureau entendent se tourner vers les Maliens vivant en Europe. Dans les mois à venir, le Forum de l’Habitat et des Banques sera organisé dans plusieurs pays d’Afrique Notamment au Gabon, Angola et à Brazzaville. En attendant, tout a été mis en œuvre pour que le forum d’Abidjan soit un succès. Avant de conclure son intervention, il ajoutera que « je vous annonce également la création de la toute première cité FOHABA 1 sise à Banakoroni sur la route de sikasso. La nouvelle cité FOHABA est octroyée 17 275 850 FCFA soit le paiement de 30 pourcent. Le FOHABA cité espoir à Bamako est composée de 450 logement salvage bureau et Big Apple Financial service en collaboration avec soutouraso » a-t-il conclu.

D’autres projets sont encours que sont : il s’agit d’un événement grandiose que le FOHABA organisera en janvier 2019 envie de facilité l’accès aux logements décent pour les Maliens de l’intérieurs sans exception. A cela s’ajoute création et la construction des rues commerciales « magasins », des centres de santés, des mosquées, tous ceux-ci aux noms de la diaspora Malienne.

DAOUDA BAKARY KONE
Mail : croissanceafrik@gmail.com

Source: croissanceceafrique.com

Le classement Doing Business 2019: l’Afrique subsaharienne championne des réformes

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(Agence Ecofin) – La Banque mondiale a publié ce mercredi, son édition 2019 du rapport Doing Business sur la facilité de faire des affaires.

Le nouveau rapport intitulé Training for reforms indique que l’Afrique subsaharienne a été la région avec le plus grand nombre de réformes visant à améliorer le climat des affaires, chaque année depuis 2012. En effet, les auteurs du rapport ont répertorié un nombre record de 107 réformes dans 40 pays de l’Afrique subsaharienne, parmi tous ceux considérés dans l’étude. Ce chiffre représente plus de 34,07% des 314 réformes implémentées par 128, des 190 économies étudiées dans le rapport.

Ainsi, 5 pays africains, ont figuré dans le top 10 des pays ayant réalisé le plus d’efforts pour mettre en place des règles favorables à l’amélioration du climat des affaires. Il s’agit de Djibouti (99ème mondial), du Togo (137ème mondial), du Kenya (61ème mondial), de la Côte d’Ivoire (122ème mondial) et du Rwanda (29ème mondial).

Si la région figure toujours au bas du classement des pays offrant le meilleur environnement pour faire des affaires, l’implémentation de nouvelles réglementations a permis à plusieurs pays du continent d’améliorer leurs positions.

Parmi ces réformes, le rapport cite entre autres, les réalisations de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA), qui compte 17 pays membres, ou encore les réformes pour l’accès à l’électricité où le continent s’est également illustré avec le plus grand nombre de transformations majeures (8).

A titre d’exemple, les statistiques ont indiqué que les délais et coûts moyens d’enregistrement d’une entreprise ont chuté de 59 jours et 192% du revenu par habitant de la région en 2006, à 23 jours et 40% du revenu par habitant aujourd’hui.

Notons que le pays africain le plus performant en matière d’environnement des affaires reste l’île Maurice, qui occupe la 20ème place du classement mondial des économies les plus favorables pour entreprendre dans le secteur des affaires.

Pour ce classement, les experts se sont basés cette année, sur 10 indicateurs à savoir : le démarrage d’une entreprise, la délivrance de permis de construire, l’obtention d’électricité, l’enregistrement des biens, l’obtention de crédits, la protection des investisseurs minoritaires, le paiement des impôts, le commerce transfrontalier, l’exécution des contrats, et la résolution de l’insolvabilité.

Moutiou Adjibi Nourou

Classement des pays africains selon le Doing business 2019 (voir infographie)

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Banques : Bank Of Africa Sénégal réalise un bénéfice net 3,802 milliards de FCFA au 30 Juin 2018

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La banque Bank Of Africa Sénégal réalise un résultat net de 3,802 milliards de FCFA au 30 juin 2018 en hausse de 23,40% comparé à la fin du premier semestre 2017 ont annoncé les dirigeants de la compagnie basée à Dakar.
Selon ces derniers, Bank Of Africa Sénégal poursuit son développement stratégique en maintenant sa position sur le marché sénégalais. Les encours de crédits totaux sont en hausse de 2 ,5% tirées par les crédits interbancaires. Contrairement aux emplois, les encours de ressources totales enregistrent une baisse de 100 points de base. Néanmoins, Bank Of Sénégal maintient ses parts de marchés avec 6,2% pour les emplois et de 8,1% pour les ressources.
Le produit net bancaire(PNB) baisse de 2% liée à la contraction des crédits. Les charges de structures (charges de personnel, Charge directe d’exploitation et net des dotations aux amortissements) enregistrent une hausse annuelle de 40,8% sur le premier semestre 2018 avec le développement du réseau bancaire (17 agences entre 2017 et 2018).
Le résultat brut d’exploitation connait une contraction de 27,1%. Toutefois, la banque maintient néanmoins sa profitabilité avec une progression de 23,4% de son résultat net.
Avec ce niveau de résultat, le taux de marge nette qui est le rapport entre le résultat net et le produit net bancaire s »améliore de 6,6% pour s’afficher à 31,9 % à fin juin 2018 contre 25,8% un an plus tôt. Autrement dit, avec le coût du risque en valeur qui enregistre une nette amélioration, conséquence des efforts de recouvrement entrepris par la banque, Bank of Africa Sénégal parvient à conserver 31,9% du PNB.
Adou Faye
Lejecom
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