Le Marché Commun de l’Afrique Orientale et Australe (COMESA) est désormais constitué de 21 pays, suite à l’admission de la Tunisie et de la Somalie lors du 20ème Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement qui s’est déroulé à Lusaka, en Zambie, a appris le journal de l’économie malienne (LEJECOM).
Les procédures d’adhésion de la Tunisie au COMESA remontent au mois de janvier 2016 et la finalisation de l’accord portant sur l’adhésion a été achevée en octobre 2017. Avant son adhésion, la Somalie était membre de la Zone d’Echanges Préférentiels pour l’Afrique orientale et australe, prédécesseur du COMESA. Cependant, elle avait échoué à faire la transition en raison de l’instabilité politique dans le pays. Avec leur adhésion, la Tunisie et la Somalie rejoignent également l’Accord tripartite COMESA-EAC-SADC, un accord de libre-échange triangulaire qui comporte, outre le COMESA, la Communauté de l’Afrique de l’Est (CAE) et la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC), soit presque la moitié des pays du continent.
Amadou Idrissa Dia
Marché de la COMESA : La Tunisie et la Somalie admises
Page noire: Le journaliste d’investigation Tidiani Tangara du journal « le Dénonciateur » a tiré sa révérence.
Notre confrere et directeur de la publication M. Tiadiani Tangara n’est plus. Le directeur de publication du Journal le dénonciateur a rendu l’âme cette après midi après un malaise.
Journaliste émérite, professionnel, humaniste, Tiadiani Tangara était la voix des sans voix.
Nous prions pour le repos de ton âme. Repose en paix Kôrô. Nul n’est éternel. Chacun de nous réponde à l’appel.
La rédaction.
Révélation fracassante sur la présidentielle malienne : Pour la contestation des résultats, l’opposition a fait introduire ses hommes de main parmi les observateurs du scrutin
Par Malijet.com
Le candidat Soumaïla Cissé joue son va-tout à l’occasion de cette présidentielle 2018. Engagé pour la 3è fois dans cette compétition après ses échecs de 2002 et 2013, le candidat de l’opposition au régime IBK est vent debout pour absolument jouir des délices de la magistrature suprême. Pour y parvenir, il tente vaille que vaille de se mettre à disposition tous les moyens de bord y compris ceux les plus sombres possible en prévision d’une 3è déconvenue a priori consommée. Ainsi dans ses velléités visant à provoquer une crise post-électorale, sa direction de campagne a réussi à introduire deux vermines de taille parmi les observateurs internationaux du scrutin. Objectif, jeter du discrédit sur l’organisation du scrutin et donc l’authenticité des résultats au cas où Soumi ne l’emporterait pas.
La direction de campagne du candidat de l’alternance et de l’espoir est en train d’échouer dans son combat pour le pouvoir sans les urnes. Ses plans d’agitateurs congolais (NDLR), de présumés techniciens serbes et de contestation du fichier électoral ont tous été déjoués mais elle n’a pas pour autant abdiqué. C’est dire que Soumi dispose de plus d’un tour dans sa gibecière d’homme politique ambitieux. Ses derniers espoirs reposent désormais sur deux des observateurs du scrutin. Ceux-ci sont censés contester les résultats du vote en cas d’échec de l’infortuné perdant de 2002 puis de 2013. L’initiative de ces hommes de main vient de son stratège directeur de campagne en la personne de Tiébilé Dramé. Dans une correspondance marquée de son sceau et adressée à l’Internationale Démocrate du Centre (IDC), le président du PARENA a sollicité la participation des représentants de cette organisation basée à Bruxelles, à l’observation du scrutin malien.
Selon nos informations, les sieurs Pascal DROUHAUD et Michel DARWICHE puisque c’est de ces deux présumés observateurs qu’il s’agit, sont dans nos murs non pas pour observer les conditions de déroulement du scrutin mais pour semer le doute dans les esprits lorsque Soumi ne sortirait pas vainqueur de ces urnes. Accrédités par le ministère de l’administration territoriale en qualité d’observateurs internationaux indépendants de la présidentielle de ce 29 juillet, ces deux individus ont pour mission de produire un rapport contraire à celui que produiront les autres missions d’observation du scrutin. Histoire de signifier seulement que la victoire d’un candidat autre que Soumaila Cissé si tel venait à être le verdict, est entachée d’irrégularités, ne serait-ce qu’au point de vue d’une partie de la communauté internationale aussi infime soit-elle.
Nous vous proposons ici ces documents qui peuvent justifier nos informations de coulisse.
N’Golo BITON
Par Malijet.com
Présidentielle 2018 : Manifeste des organisations paysannes et ONG aux candidats
C’est un document du monde rural qui est adressé aux candidats à l’élection présidentielle du 29 juillet 2018 du Mali. Présenté à la presse le 18 juillet dernier, le manifeste invite les candidats à mettre l’agriculture familiale durable et le foncier au cœur des programmes de société.
Le manifeste est réalisé par les organisations paysannes et des ONG. « L’économie du Mali repose essentiellement sur le secteur rural (agriculture, élevage, foresterie et pêche) qui contribue à environ 40% au Produit intérieur brut (PIB) et occupe plus de 80% de la population active », souligne le document.
« Nous, exploitants agricoles familiaux, trouvons injuste qu’en dépit du rôle prépondérant que nous jouons dans le secteur de l’agriculture, nous continuons de vivre dans la pauvreté et voire nos conditions de vie se dégrader de manière continue et inquiétante », a déclaré Souleymane Dembélé, Directeur exécutif de la Coalition des Alternatives Africaines Dette et Développement (CAD-Mali). En effet, rapporte le manifeste, l’incidence de la pauvreté en 2017 est de 44,9 %, revue 2017 du Cadre pour la relance économique et le développement durable.
Les exploitants agricoles familiaux affirment qu’ils ont difficilement accès aux crédits, aux intrants, à l’équipement, à la terre, aux semences, à l’encadrement. « Aussi, sommes-nous victimes d’une mauvaise gouvernance du secteur agricole et des effets du changement climatique. Aujourd’hui, nous faisons face à l’invasion des produits importés (riz, lait, niébé etc.) qui compromettent nos efforts », poursuit Souleymane Dembélé.
Et les exploitants agricoles familiaux d’ajouter que malgré toutes ces difficultés ils se battent pour offrir divers produits agricoles pour contribuer à la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Mali. « Si nous sommes soutenus convenablement, nous pouvons contribuer efficacement au développement du pays, à la protection de l’environnement, à la lutte contre la faim, à l’autosuffisance alimentaire, à l’accession des populations rurales à des revenus décents et à l’amélioration de l’accès des jeunes et des femmes à l’emploi », indique le manifeste.
Fort préoccupé, Abdoulaye Kouressy, membre de la Plateforme nationale des producteurs de riz (PNPR), pense que l‘heure est venue de reconsidérer l’agriculture familiale et d’investir davantage dans le secteur agricole. Pour lui, cela permettra d’assurer la sécurité alimentaire et l’équilibre social au Mali.
Mahamane Maïga
Côte d’Ivoire : la SGBCI renforce son offre de services en initiant un produit de couverture du risque de prix de cacao
Le Jeudi 19 juillet 2018, la Société Générale de Banques en Côte d’Ivoire(SGBCI) a renforcé son offre de services en initiant un produit de couverture du risque de prix de cacao dans sa salle régionale de marché, a appris le journal de l’économie malienne(LEJECOM).
Ce produit est destiné aux PME et coopératives exportatrices de café-cacao du marché local afin de les aider à s’adapter aux fluctuations des cours du cacao sur le marché mondial et sécuriser leurs exportations. Par ailleurs, pour la deuxième année consécutive, la filiale ivoirienne du groupe bancaire Société Générale, a été désignée « Meilleure Banque de Côte d’Ivoire 2018 » par le magazine Euromoney. Cette distinction s’appuie sur les bonnes performances financières de ladite banque ainsi que du lancement de sa solution de mobile money « YUP ».
Amadou Idrisssa Dia
Résultats à mi-parcours : Forte hausse de 45,106 milliards FCFA du bénéfice du Groupe Ecobank au premier semestre 2018
Le bénéfice après impôts du groupe Ecobank a connu une hausse de 45,106 milliards FCFA au 30 juin 2018 comparé au 30 juin 2017, ont annoncé les responsables de cet établissement bancaire panafricain basé à Lomé au Togo.
Ce bénéfice est ainsi ressorti à 94,672 milliards FCFA contre 72,016 milliards FCFA au 30 juin 2017, soit une forte hausse de 37% en valeur relative. Commentant ces résultats Ade Ayeyemi, directeur général du Groupe a déclaré : « Ces résultats se font l’écho des remarquables réalisations que nous accomplissons déjà dans la phase d’exécution de notre stratégie. Pour le premier semestre de l’exercice, l’entreprise a généré 213 millions $EU de bénéfices avant impôt, soit une augmentation de 41 % par rapport à la même période de l’exercice précédent et un rendement des capitaux propres sur actif corporel total de 20,9 %.
Le produit net bancaire est de son coté en très légère baisse de 0,1% passant de 532,357 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 511,649 milliards de FCFA en juin 2018.
Au 30 juin 2018, les dépôts de la clientèle ont augmenté de 2% passant de 7957,986 milliards de FCFA à 8691,285 en juin 2018. Les créances détenues par la banque sur sa clientèle avec sont en baisse de 6% passant de 5448,587 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 4935,570 milliards FCFA en juin 2018.
Toujours selon Ade Ayeyemi, les niveaux d’activité de la clientèle que nous avons constatés dans la plupart de nos activités et en particulier dans la génération de dépôts ont été encourageants. Les dépôts ont ainsi augmenté de 12 % à taux de change constant, améliorant la liquidité de l’entreprise et sa capacité de prêt aux clients. Les efforts immenses que nous avons déployés pour améliorer la qualité des actifs portent également leurs fruits. Nous avons commencé à enregistrer des améliorations dans notre portefeuille de crédit, ce qui se traduit par une diminution des provisions pour créances douteuses pour la période
Au niveau des charges d’exploitation, on note une baisse de 2%. Elles passent ainsi de 322,729 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 316,644 milliards de FCFA en juin 2018. Quant au coût du risque, il a baissé de 35%, passant de 121,159 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 75, 526 milliards FCFA en juin 2018.
Enfin, le 14 juin, indique le directeur général du Groupe Ecobank, la banque panafricaine a annoncé son intention d’organiser des réunions avec des investisseurs obligataires, lesquelles pourraient déboucher, si les conditions du marché le permettent, en une émission d’obligations de premier rang non garanties à cinq ans libellées en USD. Malgré des réunions positives avec les investisseurs, les conditions du marché étaient difficiles, en raison des augmentations de taux d’intérêt aux États-Unis et de la correction sur le marché de la dette émergente. Nous avons donc retardé l’émission en attendant une amélioration des conditions de marché. »
Adou Faye
Marché financier UEMOA : Le Ministre ivoirien des finances Adama Koné satisfait des résultats enregistrés
Plus de 80% des ressources levées sur le marché financier de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) ont été destinées au financement des Etats membres. C’est ce qui ressort de l’intervention du Ministre de l’Economie et des Finances, Adama Koné, à l’occasion de l’ouverture de l’atelier sur « Les facilitations des règlementations et des normes de la finance islamique », ce mardi 24 juillet, à Sofitel Hôtel Ivoire Abidjan.
« … Le marché financier de l’UEMOA a permis de mobiliser depuis sa création en 1998, plus de 7 770 milliards au 30 juin 2018. Il est important de souligner que plus de 80% des ressources levées sur le marché financier régional ont été destinées au financement des Etats de l’union et particulièrement aux secteurs de l’énergie, de la télécommunication et des infrastructures », s’est satisfait le Ministre Adama Koné, représentant le Premier Ministre, Amadou Gon Coulibaly.
En dépit des crises socio-politiques qu’ont connues certains des Etats membres de l’UEMOA, a-t-il poursuivi, avec 45 sociétés cotées et 41 lignes obligataires, la Bourse Régionale des valeurs mobilières commune au huit pays de l’union et sixième au classement des bourses africaines, affiche au 30 juin 2018, une capitalisation boursière totale de 9 460 milliards f cfa, soit environ 15% du PIB de l’union. « Ces chiffres témoignent de la confiance et de l’intérêt accordés à nos Etats et nos entreprises par les investisseurs tant locaux qu’internationaux », a salué le Ministre de l’Economie et des Finances.
Ainsi, il a fait observer que les Etats de la sous-région entretiennent des vifs espoirs quant aux retombées de la tenue de cet atelier sur l’implémentation au sein de notre marché des normes et standards de la finance islamique, gage de la responsabilité sociale de l’investissement.
Mamadou N’Diaye, président du Conseil Régional de l’Epargne publique et des Marchés Financiers (CREPMF) de l’UEMOA, a fait savoir que la rencontre a pour objectif de favoriser non seulement une meilleure compréhension et implémentation des normes et principes de la Finance Islamique mais surtout de montrer au Régulateur et aux acteurs, les opportunités qu’elle offre au marché financier en général et de façon particulière aux émetteurs et investisseurs.
Co-organisées par le CREPMF et l’Islamic Financial Services (IFSB), ces assises qui prennent fin le 27 juillet prochain, regroupent des experts de la IFSB, venus de la Malaisie, des membres du Conseil régional et des acteurs du marché financier.
Sercom
Zone UMOA : 593 établissements de microfinance recensés en mars
A fin mars 2018, souligne une note portant sur l’état du secteur de la microfinance dans les Etats membres de l’UMOA, le nombre de Systèmes Financiers Décentralisés (SFD) dans l’UMOA s’est établi à environ cinq-cent-quatre-vingt-treize.
En outre, l’accès des populations aux services financiers offerts par les institutions de microfinance s’est accru de 13,2% en glissement annuel, avec un nombre de bénéficiaires de ces services qui est ressorti à 14.890.2442 à fin mars 2018 contre 13.154.639 un an plus tôt.
L’analyse des indicateurs d’intermédiation des SFD de l’Union laisse apparaître une évolution relativement propice à l’inclusion financière, nonobstant un taux brut de dégradation du portefeuille qui s’est inscrit en hausse, ressortant à 8,1% contre 5,6% à fin mars 2017, pour une norme généralement admise de 3% dans le secteur.
En effet, sur la période sous revue, le montant des dépôts collectés s’est fixé à 1.248,7 milliards de FCFA contre 1.166,6 milliards de FCFA une année auparavant, soit une progression de 7,0%.
Cette hausse est observée en Guinée-Bissau (+45,4%), en Côte d’Ivoire (+13,1%), au Togo (+10,1%), au Niger (+9,5%), au Burkina (+7,2%), au Mali (+5,6%) et au Sénégal (+5,2%). En revanche, un repli a été observé au Bénin (-5,6%).
Le montant moyen des dépôts, par membre, s’est établi à 83.858 FCFA à fin mars 2018 contre 88.686 FCFA à fin mars 2017. Pour l’ensemble des SFD de l’UMOA, l’épargne collectée représente 5,6% de l’ensemble des dépôts détenus par les établissements de crédit de l’Union comme un an plus tôt.
Pathé TOURE
Résultats Bons du Trésor du Burkina Faso : Le montant global des soumissions s’élève à 44,742 milliards de FCFA
L’émission de Bons assimilables du Trésor de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique du Burkina Faso , portant sur un montant de 25 milliards et sur une durée de 12 mois de ce jour , a connu un taux de couverture du montant mis en adjudication par les soumissions de 178,97%, a annoncé l’agence régionale ouest africaine de planification de la dette Umoa-Titres dans un communiqué.
Selon le compte rendu d’adjudications de bons du trésor parcouru par le journal de l’économie malienne (LEJECOM), 18 participants ont eu à réaliser 37 soumissions pour un montant global des 44 742 millions de FCFA dont 1094 en ONC. En définitive le trésor burkinabé a retenu la somme de 27 500 millions de FCFA dont 1094 en ONC.
Le taux d’intérêt marginal et le taux moyen pondéré s’élèvent respectivement à 6% et 5,9559%. Le taux d’absorption est de 61,46%. .
Pour rappel, la présente émission de Bons Assimilables du Trésor dans tous les pays membres de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) vise à mobiliser l’épargne des personnes physiques et morales en vue d’assurer la couverture des besoins de financement du budget de l’Etat du Burkina.
Oumar Nourou
Marché financier régional : La Brvm renforce les capacités des négociateurs
A l’initiative de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), un atelier de formation des Responsables des Marchés de Capitaux et des Négociateurs des Sociétés de Gestion et d’Intermédiation (SGI) de l’UEMOA, s’est tenu à Abidjan du 23 au 24 juillet 2018.
Les objectifs visés par la BRVM en organisant cet atelier sur les bonnes pratiques de la négociation de titres et l’utilisation du logiciel de trading de la BRVM, sont de revisiter les bases du métier des négociateurs, de renforcer leurs capacités et d’ouvrir des pistes de réflexion sur des sujets d’intérêt commun pour le développement du marché.
En effet, la question de la professionnalisation des différents métiers exercés sur le marché financier régional de l’UEMOA est un enjeu majeur pour renforcer sa crédibilité ainsi que la confiance des investisseurs. Les négociateurs qui ont la charge de l’exécution des ordres des clients constituent une catégorie particulière d’agents dont la compétence, la probité, l’efficacité, le sens de l’équité et de la transparence sont indispensables à rassurer les investisseurs. C’est pourquoi, le métier de négociateur a toujours fait l’objet d’une grande attention sur les bourses.
Edoh Kossi Amenounve, Directeur Général de la BRVM et du DC/BR, situant le contexte de la tenue de l’atelier a indiqué que «nous assistons à une prolifération d’initiatives de formation et à la création de plateformes illégales de placement et/ou de trading qui peuvent semer la confusion dans les esprits des investisseurs. Il faut donc mieux faire connaître le métier de négociateur qui est exclusivement
réservé aux intervenants agrées par le CREPMF sur le Marché Financier Régional de l’UEMOA».
Il a également indiqué qu’en vue de se conformer aux standards internationaux en matière d’exercice d’activités professionnelles sur les marchés, des réflexions sont en cours et vont aboutir très prochainement à la mise en place d’un programme de certification pour les différents métiers de la bourse, ce qui permettra de renforcer le professionnalisme des intervenants agrées.
La quarantaine de participants venues des différentes Sociétés de Gestion et d’Intermédiation (SGI) des pays de l’UEMOA ont exprimé leur satisfaction quant à la tenue et au contenu de la formation et formulé le vœu de voir cette initiative de la BRVM se poursuivre.
Pathé TOURE