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Mali: au moins 10 jihadistes tués par Barkhane près de la frontière algérienne (sources militaires)

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Au moins 10 jihadistes présumés ont été tués lors d’une opération aérienne de la force française Barkhane mercredi dans le nord-est du Mali, à proximité de la frontière algérienne, a-t-on appris de sources militaires locale et étrangère au Mali.

« Les forces françaises ont mené mercredi au moins un raid près de Tinzaouatène, à la frontière algérienne, contre les terroristes. Il y a eu au moins dix morts et deux véhicules détruits », a affirmé à l’AFP une source militaire malienne en poste dans le nord-est du pays.

« Depuis quelques jours », les forces françaises « menaient des opérations dans cette zone », a ajouté cette source.

Une source militaire étrangère présente au Mali a pour sa part évoqué « plusieurs opérations de Barkhane mercredi, ayant neutralisé au moins dix terroristes non loin de la frontière algérienne ».

Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda. Ces groupes en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement en 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire internationale, qui se poursuit actuellement.

Mais des zones entières échappent au contrôle des forces maliennes et étrangères, malgré la signature en mai-juin 2015 d’un accord de paix censé
isoler définitivement les jihadistes, dont l’application accumule les retards.

Source:Agence France Presse

Grand Dossier : Compagnie Asky, est venue révolutionner sur le continent

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– A la tête du trafic aérien en Afrique trône une compagnie panafricaine dont le système identitaire repose sur deux couleurs seulement : le marron et l’or. Asky, puisque c’est d’elle qu’il s’agit

est venue révolutionner sur le continent ce secteur qui était pendant longtemps domaine de prédilection des pays européens, asiatiques et les Etats Unis.

Depuis son lancement en 2010, la compagnie Asky, a simplifié le déplacement des voyageurs, mieux encore, elle a mis fin aux souffrances de ces derniers en mettant en place une ligne internationale de premier plan reliant directement vingt-trois (23) capitales politiques et économiques en Afrique de l’ouest et centrale entre-elles. Finis donc les trajets fatiguant et tutti quanti.

En effet, selon plusieurs observateurs, elle est devenue ainsi la compagnie préférée de la majorité des voyageurs africains qui ont désormais fait d’elle, leur marché de choix.

Ces mêmes observateurs, pensent que la compagnie a contribué au développement du tourisme entre Etats africains et avec ceux du reste du monde et par ricochet le développement des affaires dans ces pays en créant des liens étroits entre eux.

D’ailleurs ce n’est pas un hasard, puisqu’elle est créée par des institutions financières de la sous-région notamment la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC), la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) et le groupe Eco Bank.

Les six (6) + d’une compagnie qui fait la fierté de tout un continent

On ne peut parler d’Asky sans parler de la compétitivité de ces prix et surtout du confort enviable au sein de ces appareils. C’est d’ailleurs ce qui la singularise de ses concurrents. Le plus, c’est que la compagnie offre des vols réguliers. Chaque semaine elle offre plus de 200 vols et transportent plus de 11000 passagers.

Sur le plan sécuritaire, Asky, dispose d’une équipe très efficace pour assurer la sécurité des personnes et des biens dans tous les aspects du vol. Dans ce registre, il ya lieu de souligner que le système de gestion de la sécurité mis en place par la compagnie lui a valu en 2015 l’obtention du certificat (IATA OperationalSafety Audit).

Sur le plan environnemental : Conscient des enjeux environnementaux, Asky lutte contre la pollution en mettant sur les lignes uniquement que des avions de nouvelles générations qui polluent moins.

Sur le plan social, Asky en ayant permis des liaisons directes entre les états, facilite l’intégration culturelle et sociale. En effet pour quitter un état francophone pour se rendre dans un état anglophone, ce n’est plus un souci. Les africains peuvent se déplacer où ils veulent, faire leur commerce et côtoyer d’autres horizons et d’autres cultures à travers l’Afrique et le monde.

Pour ce qui concerne les avantages du client, chez Asky, le client est toujours Roi. En effet, la compagnie se dit fidèle au respect de la ponctualité. Les départs des vols sont respectés à la seconde et souvent même les avions partent bien avant l’heure indiquée. Tout cela pour, disent les responsables, éviter que les passagers n’attendent longtemps.

Aussi, le service d’accueil est irréprochable, surtout avec des plats de qualités et aux normes internationales tout en respectant les goûts du passager.

Découvrir des sièges spacieux, lire des magazines embarqués et déguster un verre de champagne ou de jus de fruit, voilà les avantages que bénéficie le passager classe « affaire ». Ce dernier jouit aussi de l’avantage des salons sur tous les réseaux où il peut se détendre ou travailler en attendant l’embarquement.

Sur le plan aviation : il faut reconnaître que la compagnie Asky possède les meilleurs avions en termes de transport aérien sur le continent.Les flottes sont modernes et avérées et surtout confortables avec des cabines éclairées, des coffres spacieux et un très faible niveau de bruit dans l’avion permettant de rendre le trajet très confortable.

Enfin, Asky fidélise ses clients en leur permettant de gagner de l’argent à chaque voyage. Il s’agit du programme « Asky Club ». Ce programme permet au voyageur de s’inscrit sur une plateforme et à chaque fois qu’il voyage il reçoit un bonus de gain qui augmente au fur et à mesure qu’il voyage via la compagnie.

Somme toute, plusieurs personnes avisées reconnaissent que Asky est la meilleure compagnie aérienne d’Afrique et qu’elle s’est inscrite dans une démarche résolutive pour permettre l’intégration africaine et cela mérite d’être encouragée.

D’ailleurs les chefs d’état d’Afrique l’ont compris. C’est justement pour accroitre cette intégration africaine que le marché unique du transport aérien a été lancé la semaine passée lors du sommet des chefs d’état et de gouvernement d’Afrique. Ce projet bénéficiera à la compagnie panafricaine Asky dont le siège est à Lomé depuis son lancement.

La compagnie avait déjà obtenu plusieurs prix, notamment, « l’Aviation and Allied Business Award of Best Performance in the Aviation Industry » en 2015, « The AfricaCompany of the year » en 2014, trois autres prix au cours de cette même année 2014. Mais bien avant, elle avait reçu en 2013, « AfricaTravel Awards » et « Best EconomyAirline in Africa ».

A l’origine de cette prouesse, un homme érudit

Il serait préjudiciable de braquer les projecteurs sur la compagnie panafricaine Asky sans mettre sous les feux de la rampe, l’homme qui en est le principal initiateur. Gervais Djondo, l’économiste togolais, puisque c’est de lui qu’il s’agit incarne une véritable, « sucess story », qui sous d’autres cieux ferait objet d’une étude minutieuse dans les grandes universités.

Formé en France, à l’Institut des hautes études d’outre-mer (intégré à l’ENA en 2002) et à l’Institut des sciences sociales du travail de l’université de droit et sciences économiques de Paris (actuelle université Paris-1 Panthéon-Sorbonne), Gervais Koffi Djondo a notamment été ministre des Entreprises publiques et de l’Industrie du Togo, mais aussi président de la Fédération des chambres de commerce et d’industrie de l’Afrique de l’Ouest.

« Gervais Koffi Djondo est un octogénaire discret et peu connu du grand public en dehors du Togo. Il est pourtant devenu une légende dans le milieu des affaires en Afrique. Il a cofondé Ecobank, le premier groupe bancaire privé panafricain, et est le père de la compagnie aérienne Asky. Deux success-stories qui ont plusieurs points communs et qui ont contribué à nourrir le mythe du milliardaire togolais : elles ont toutes les deux une dimension panafricaine, elles sont nées grâce à l’initiative privée, et elles ont été conçues et mises en œuvre par Koffi Djondo », témoigne de lui, le magazine Forbes.

Le 15 février prochain, la compagnie panafricaine ASKY aura exactement huit (08) ans. Toutes ces années dans la vie d’une institution qui plus est aérienne représentent beaucoup et les satisfactions sont grandes. Mais plusieurs défis bien plus grands sont à relever.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que n’importe comment, ASKY est une compagnie de renom qui non seulement fait la fierté du continent mais s’inscrit dans une optique d’un développement partagé entre états africains. Croire en l’intégration africaine, c’est croire aux valeurs et aux initiatives africaines. Et croire aux initiatives africaines c’est croire à ASKY. Comme le dit quelqu’un : « consommons africain ».

Charles Ayi

Source:croissanceafrique

Bamako: 19ème Congrès International et Exposition de l’Association Africaine de l’Eau : Le Mali gagne le pari de la mobilisation

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L’hôtel Laïco de l’Amitié abrite depuis le dimanche 11 février, le 19ème Congrès International et Exposition de l’Association Africaine de l’Eau. La cérémonie d’ouverture était placée sous la présidence du Premier ministre, Soumeylou Boubeye Maiga qui avait à ses côtés, les ministres en charge de l’Energie et de l’Eau, Malick Alhousseini, de l’Environnement et de l’Assainissement, Mme Keita Aida M’Bo, le Directeur Général de la SOMAGEP-SA, Boubacar Kane, président du Congrès, le président de l’Association Africaine de l’Eau, Abderrahim El Hafidi, le président honoraire du Conseil Mondial de l’Eau, Loïc Fauchon et le Maire de la Commune II

Dans son intervention, le Maire de la Commune II a exprimé sa joie pour le choix de sa commune pour abriter un tel congrès qui vise la promotion de l’accès à l’eau potable des populations.

A sa suite, le président du Congrès, Aboubacar Kane a remercié l’Association Africaine de l’Eau (AAE) pour le choix porté sur le Mali pour abriter ce congrès. Selon lui, c’est une association professionnelle forte de plus de 100 sociétés d’eau et d’assainissement provenant de plus de 40 pays d’Afrique et avec plus de 50 membres affiliés provenant de partout dans le monde. Son objectif dit-il, est l’amélioration de l’accès à l’eau potable et à l’assainissement des populations africaines à travers le renforcement des capacités des acteurs clés.

Pour lui, le thème de ce 19ème congrès « accélérer l’accès à l’assainissement et l’eau pour tous en Afrique face aux défis du changement climatique » est un thème d’actualité.au regard des conséquences du changement climatique sur la vie des populations. Parmi ces conséquences, il a cité la rareté de l’eau avec le tarissement des fleuves et les eaux souterraines. Selon lui, l’accès à l’eau potable et son inégale répartition devient un problème majeur auquel il faut trouver urgemment des solutions. C’est pourquoi, il a invité les acteurs à se donner la main pour faire face à ce problème.

D’après lui, à travers une réforme institutionnelle de 2010, le Mali a décidé de se pencher sérieusement sur les problèmes d’accès à l’eau potable avec la création de deux sociétés d’eau dont la première, la SOMAPEP-SA a pour mission la gestion du patrimoine et le développement du secteur par la recherche des financements innovants et la 2ème, la SOMAGEP SA qui s’occupe de l’exploitation technique et financière des infrastructures mises à sa disposition par la première (SOMAPEP-SA). A en croire M. Kane, c’est sur la base de cette même volonté de trouver des solutions aux problèmes d’assainissement que l’Etat a décidé de la création en 2017, de l’Agence Nationale de Gestion des Stations d’Epuration du Mali (ANGESEM).

Pour sa part, Abderrahim El Hafidi a rappelé l’importance de ce congrès qui se veut biennal. Selon lui, l’Afrique est le continent qui souffre le plus des conséquences du changement climatique alors qu’il a moins à jouer dans les causes de ce changement climatique. Il dira que les conséquences du changement climatique se manifestent par une rareté très inquiétante des ressources en eau, des inondations et des sècheresses régulières et qui ont une lourde conséquence sur la vie des populations.

Loïc Fauchon quant à lui a invité les acteurs africains à chercher les causes du changement climatique pour trouver des solutions adaptées aux problèmes qui ne touche pas l’Afrique seulement mais le monde.

Le ministre et de l’Energie et de l’Eau MalickAlhousseynia rappelé la ferme détermination du gouvernement dans l’atteinte des objectifs d’approvisionnement en eau et l’assainissement à travers un vaste programme dénommé « Programme Présidentiel d’Urgences Sociales ». Selon lui, plusieurs activités annoncées dans le cadre de ce programme ont été réalisées ou sont en cours de réalisation.

Pour lui, la tenue de ce 19ème congrès de l’Association Africaine l’Eauà Bamako prouve à suffisance que le Mali est de retour sur la scène internationale.

Le Premier ministre SoumeylouBoubèyeMaiga de son côté a promis une baisse du prix de l’eau en supprimant les acteurs intermédiaires, qui selon, rendent plus élevé le coût de l’eau. La cérémonie a pris fin par la coupure du ruban de l’exposition suivie d’une visite des stands.

Source: malipress par croissanceafrique

Le Ministre du développement Local prend langue avec ses services pour emploi à l’Office du Niger.

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Mise en œuvre du programme présidentiel d’Urgences Sociales d’IBK et Sous la présidence du ministre du Développement Local, Soumana mory COULIBALY, une rencontre d’échanges et de travail s’est tenue ce matin jeudi 08 février dans la Salle de Conférence de la direction générale de l’Office du Niger entre les membres des ministères de l’Agriculture et celui du Développement Local.

Le ministre du Développement Locale dans son discours a indiqué l’objectif visé par cette rencontre qui est de développer une synergie d’action dans la réalisation des missions et d’échanger avec les premiers responsables et cadres des services de la région sur leurs Plans de travail Annuel afin de dégager de manière concertée, les actions prioritaires qui concourent à la mise en œuvre du programme présidentiel d’Urgence Sociale.

La présente rencontre d’échange et de réflexion s’inscrit donc dans le cadre d’une prise de contact concertée avec les services basés dans la région de Ségou qui relèvent du département du Développement Local pour emplois. Il s’agit de : ADR de Ségou, AGTIER, l’Office du Niger, l’Office Riz Ségou, Office Riz Mopti, Office de Développement du moyen bani ainsi que le conseil Régional de Ségou.

Aux termes de leur première séance de travail tenue aujourd’hui, tous les participants sont convenus de la nécessité de conduire des missions conjointes sur le terrain pour une synergie d’action dans la réalisation de leur mission respective.

Daouda B kone

Source : croissanceafrique

Mali: Bamako abrite le séminaire de partage d’expérience et de lutte contre l’impunité.

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Ouverture ce matin du séminaire International de partage d’expérience et stratégie de lutte Contre l’impunité pour le Mali, du 14 au 15 février à l’hôtel Radisson de Bamako.

Cette rencontre s’est débuté en présence de plusieurs acteurs et experts venant de plusieurs d’Afrique, d’Europe et d’Asie.

Notons que les travaux se déroule à l’hôtel Radison blu de Bamako.

Source:Croissanceafrique.

L’élection anti textes de Souleymane Satigui Sidibé président du CNJ : Habib Dakuo dénonce la complaisance du ministre Amadou Koita.

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La crise que connait le conseil national de la jeunesse du Mali n’est jusqu’à pas close. Certains membres s’opposent farouchement au nouveau bureau dirigé par l’ancien vice-président Souleymane Satigui Sidibé. Ils estiment que c’est un bureau complaisant et illégitime. Pour mieux comprendre les raisons de leur opposition, nous avons rencontré Habib Dakuo, secrétaire général du conseil communal de la commune V du district de Bamako qui nous a fait le point de ce qu’ils reprochent à ce bureau
Lisez l’interview
Le pays : qui êtes-vous et quel poste occupez-vous au CNJ ?
Habib Dakuo : Je suis Habib Dakuo, secrétaire général du conseil communal de la jeunesse de la commune V du district de Bamako. Sur le plan national, je suis secrétaire adjoint chargé de l’atteinte des objectifs du développement durable.
Selon notre information, il y a jusqu’à présent une crise au sein du conseil national de la jeunesse. Certains comme vous, s’opposent à l’actuel bureau dirigé par Souleymane Satigui Sidibé. Pouvez-vous nous expliquer ce qui s’est réellement passé ?
Au fait, depuis la démission du président Mohamed Salia Touré, le CNJ est confronté à la plus difficile période de son existence. Cette difficulté est due à la mauvaise foi de l’ancien vice-président, Souleymane Satigui Sidibé et certains responsables politiques qui sont ses complices. Dans les normes des choses, deux mois après la démission du président élu, les textes du CNJ proposent deux possibilités : organiser un congrès extraordinaire ou assurer la transition par le 1er vice-président .Pour ce cas, la 2ème option n’est pas possible car le mandat de Salia venait de commencer quand il démissionnait. Le juin 15 2017, jour de la démission de Salia Touré, on n’avait même pas atteint un an sur les trois de son mandat .Donc on ne pouvait pas faire plus de deux ans d’intérimaire. Dans le souci de bien respecter les textes de notre structure, nous avons organisé une conférence nationale extraordinaire à Sikasso en juillet dernier. L’objectif, c’était de mettre au même niveau d’information les cellules de base et remembrer le bureau .Cette conférence, ne pouvant pas trancher de la question du successeur du président démissionnaire, le vice-président Souleymane Satigui devait organiser le congres dans les deux mois qui ont suivi la conférence de Sikasso . A notre retour à Bamako, au lieu de commencer les préparatifs du congrès, il passait le clair de son temps à négocier les uns et les autres pour lui reconnaitre comme président sans la tenue d’un quelconque congrès. Il faisait cela en complicité avec la direction nationale de la jeunesse et du ministère de la jeunesse et de la reconstruction citoyenne. Apres avoir constaté sa mauvaise foi, je lui ai exprimé mes inquiétudes dans une lettre. Je lui ai invité à respecter le chronogramme .Je lui ai aussi souligné que la tenue du congrès est une obligation pour la légitimité du bureau car nos textes disent que les membres du conseil nation de la jeunesse sont forcément élus. Il m’a jusqu’à présent pas répondu. Pis, il avait même cessé d’organiser nos réunions ordinaires. Je lui ainsi envoyé une seconde correspondance avec plusieurs structures en ampliation. Toutes ces structures n’ont tenté que de faire la conciliation au lieu d’inviter Souleymane Satigui Sidibé au respect des textes. J’ai ensuite adressé une lettre ouverte au président de la république pour l’inviter à ne pas encourager la complaisance et la violation des textes.
Nous avons appris que Souleymane Satigui Sidibé a été élu président du CNJ lors de la dernière conférence nationale tenue à Ségou. Vous vous y opposez ?
A ce que je sache, il n’y a pas eu d’élection. L’élection du bureau du CNJ ne se fait pas de la sorte et nous ne le reconnaissons pas comme un président légitime car les conditions prévues par nos textes ont été violées.
Mais que reprochez-vous concrètement à son élection ?
J’ai d’abord été très surpris d’apprendre l’élection du bureau du CNJ lors d’une conférence nationale. La conférence nationale n’a pas habilité à élire un bureau. Son élection est anti textes. Selon les textes du conseil national de la jeunesse, on ne peut jamais être président sans congres. Je voudrais préciser que la taille des participants à la conférence ne vaut même pas 1/3 du congrès. Pour preuve, les conseils communaux qui envoient 3 délégués au congrès, n’envoient qu’un seul à la conférence. La diaspora aussi ne participe qu’au congrès. Elle n’est pas représentée à la conférence.
Je voudrais par ailleurs souligner une autre irrégularité de l’élection de Souleymane Satgui Sidibé. N’eut été la complaisance du ministère de la jeunesse et de la reconstruction citoyenne, il ne pouvait même pas être candidat pour la présidence du CNJ car il était secrétaire général de l’UPJ. Hors les textes de cette structure de la jeunesse Africaine précisent qu’une fois qu’un membre siège à son niveau, il démissionne de la base. Je vous précise que quand il faisait ces tripatouillages ici, son mandat à l’UPJ n’avait pas pris fin.
Pour vous, vous qui responsable de ces violations flagrantes des textes ?
J’accuse le ministère de la jeunesse et de la reconstruction citoyenne qui, après avoir pris connaissance des textes, a validé ce bureau illégitime. Je suis déçu que les membres de ce même bureau soient reçu par le ministre de la tutelle et beaucoup d’autres personnalités.
Quel appel avez-vous à lancer et à qui ?
Je voudrais une fois de plus inviter le gouvernement et le président de la république à ne pas encourager l’illégalité .Les textes sont faits pour être respectés et on ne doit pas les violer .J’invite le ministère de la tutelle qui a été complaisant dans cette affaire de prendre toutes ses responsabilités en se désolidarisant de ce bureau illégitime de Souleymane Satigui Sidibé.

Réalisé par Boureima Guindo

CEREMONIE DE REMISE DE DISTINCTION, CE MARDI 13 FEVRIER AU MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE ET DE LA COMMUNICATION

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Ils étaient plusieurs récipiendaires à recevoir leurs médailles, repartis entre les services du département : l’AGETIC, l’ORTM, l’AMAP, la SOTELMA, l’ANCD et la POSTE.

La cérémonie présidée par le Ministre de l’Economie Numérique et de la Communication a regroupé parents et amis des récipiendaires.

L’occasion était bonne pour le Ministre de mettre en valeur le travail effectué par les décorés au sein de leurs structures. Il a au nom du chef de l’Etat et à son nom propre félicité les récipiendaires à mériter davantage cette distinction pour servir d’exemple.

Au total trois cadres de l’AGETIC ont été décorés : Monsieur Bouréima Keïta, le DRH de l’agence a été décoré Chevalier de L’Ordre Nationale.

Quant aux deux autres : Monsieur Boubacar Ndiaye, Chef de Division RSI et Mademoiselle Aminata Sidibé, Chef de Section BLR/FO ont reçu, chacun la médaille effigie abeille. Félicition aux lauréats!

Source:croissanceafrique

Media:7ème édition de la journée mondiale de la radio 

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Radio et sport’’ au cœur de la célébration de l’événement au Mali
A l’instar des autres pays du monde, le Mali a célébré hier, mardi 13 février 2018, la 7ème édition de la journée mondiale de la Radio. L’union des Radios et Télévisions libre (URTEL), en partenariat avec le studio Tamani, la maison de la presse, l’UNASAM, AJSM a organisé une conférence débat à la maison de la presse en ce sens .Le thème retenu pour cette année est ‘’Radio et Sport’’.
Les travaux de ladite cérémonie étaient était présidés par le ministre de l’économie numérique et de la communication Harouna Touré en présence du ministre des sports ; du président de l’URTEL Bandiougou Danté ; du président de la maison de la presse, Dramane Alou Koné.
Dans son allocution, le président de l’URTEL, Bandiougou Danté a salué l’efficacité et le pragmatisme du ministre de l’économie numérique et de la communication. Il a profité de l’occasion pour attirer son attention des deux défis majeurs des Radios au Mali. Ces défis sont entre autre la clarification de la situation fiscale des radios et la réduction des montants de la redevance jugée élevé.
S’agissant du thème :’’Radio et Sport’’, Bandiougou Danté affirme c’est de l’actualité vu l’important rôle que joue la radio dans le sport. Pour terminer, le président de l’union des Radios et Télévisions libre du Mali a invité les propriétaires et animateurs de radio au professionnalisme dans le travail.
Quant au ministre de l’économie numérique et de la communication, Il a laissé entendre que le thème choisi est d’actualité .Pour lui, c’est travers des émissions radiophoniques sportives que beaucoup font des échanges passionnés. Pour le ministre Touré, la radio est un moyen de d’union, de sensibilisation et d’éducation et doit être valorisée .Il avance aussi que le sport joue les mêmes rôles. « La radio et les sports ont le pouvoir de rassembler et d’unir les communautés, d’encourager le respect et l’inclusion et de promouvoir les valeurs universelles de non-violence, de solidarité, de tolérance et de partage… », a-t-il déclaré. Il a enfin remercié l’UNESCO et l’URTEL pour avoir initié cette aussi importante journée.
La cérémonie a été clôturé par la remise des trophées aux supporteurs et journalistes sportifs .Les récipiendaires étaient au nombre de 11 dont les familles de 3 supporteurs et 3 journalistes sportifs décédés. Parmi les 5 vivants, figure le nom de la première femme journaliste sportive, Assan Soumaré. Vivement la prochaine édition

Source: Croissanceafrique par le pays

Niewouleni: La population dénonce les rackets des gendarmes.

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Partis en renfort pour instaurer la stabilité à Nièwouleni, village situé à la frontière Mali-Guinée, les gendarmes présents sur le lieu semblent se donner pour sport favori, racketter les populations. Un jeune homme D.K, habitant de Nièwouleni, nous explique : « Les gendarmes sont venus en renfort suite à l’affrontement meurtrier entre la Guinée et le Mali dans le village de Nièwouleni.

Depuis un certain temps, ces gendarmes s’emploient à prendre de l’argent avec les populations surtout les orpailleurs. Ils demandent les pièces des motos et trouvent tout le temps les moyens pour vous soutirer de l’argent. Ils commencent par la vignette, le dédouanement et ensuite la carte grise pour les motos tricycles. Si une de ces pièces vous manque, ils vous réclament au minimum 5000 francs CFA et si vous n’avez aucune de ces pièces, ils vous demandent de payer 50.000 francs. Il y a quelques jours, je venais de la brousse quand ils m’ont arrêté. Je n’avais pas mes pièces sur moi. Ils m’ont demandé de l’argent, je leur ai dit que je n’en ai pas. Alors, ils m’ont dit de leur donner 3 grammes d’or, ce qui fait 60.000 francs cfa.

Ces gendarmes nous fatiguent beaucoup. Leur présence impacte sur nos activités car nous sommes obligés de rester à la maison si nous n’avons rien à leur donner. S’ils vous sifflent, votre libération est conditionnée au paiement de quelque chose ».

Kèlètigui Danioko

Source: Le Pays

Marche sur le tribunal de Kati : Les manifestants dénonce la spéculation foncière dans la localité

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Suite à la plainte de Amadou Diop contre certains Habitants de N’toubana pour expulsion et démolition sur son prétendu titre foncier, les habitants de Kati et environ ont marché sur le tribunal pour non seulement apporter leurs soutiens aux victimes mais aussi informer le procureur de leur détermination à lutter contre la spéculation foncière dans le cercle de Kati.

Au fait, tout est parti d’une confusion de la part de Amadou Diop, le plaignant. Selon ce que nous est revenu, il se serait proclamé tuteur d’un titre foncier de 4 hectares à Sirakoro Niaré sur le sol d’un autre village, N’toubana.

Aux dires des habitants du village victime, ceux qui ont créé ces faux titres fonciers n’ont pas su faire la différence Sirakoro Niaré et leur village. Le problème n’a été découvert que quand le morcèlement desdites parcelles a été fait par N’toubana à travers la mairie de Kati.

Le porte-parole des APM de Kati nous apprend que jusqu’à 11 familles habitent sur les parcelles que réclament que Amadou Diop. « Parmi ces 11 familles, il y’a deux agents de police », nous précise-t-il.

Celui avance que c’est contre ces familles que le nommé Amadou Diop a porté plainte pour expulsion et démolition sur son site.

Fâchés de l’illégalité de l’octroi du titre foncier par Diop, les habitants de Kati et de tous les villages concernés par la spéculation foncière étaient au tribunal pour soutenir les victimes dans un premier temps et inviter le procureur à s’impliquer pour faire barrage à la spéculation foncière dans le cercle de Kati.

Selon ce que nous a confié Drissa Niaré, le procureur a promis aux manifestants qu’il travaillera conformément à la loi pour qu’il n’ait plus de la spéculation foncière.

Parmi les familles concernées, Issa Diarra, un des agents de police concerné a été interrogé lors de l’audience.

Il a, selon un habitant présent sur le lieu, fait savoir au président du tribunal que sa parcelle se trouve à N’toubana et non Sirakoro Niaré, village auquel le plaignant Diop fait allusion.

Le porte-parole des APM nous informe que le jugement est reporté au début de mars.

Source:croissanceafrique