(CROISSANCE AFRIQUE)-Face aux rumeurs de crise sécuritaire aggravée selon les Chancelleries occidentales par ricochet l’union Africaine, notre rédaction analyse le communiqué de cette institution panafricaine basée en Ethiopie. l’Éthiopie est le cœur de la diplomatie Africaine. C’est pourquoi, à leur tour, les dirigeants de cette institution panafricaines ont donné mandat au président de la commission de l’Union Africaine (UA) Mahmoud Ali Youssouf, pour générer un document que nous considérons comme « la continuité et la complicité » vis-à-vis de la diabolisation du Mali, initiée par les chancelleries occidentales.
Depuis trop longtemps, l’hypocrisie de l’Union Africaine est profondément enracinée dans ses interactions avec le Mali, révélant une façade de solidarité qui ne parvient pas à masquer la vérité. Mais c’est une chose que le Mali ne compte pas accepter silencieusement ; le Mali sera ce que veulent ses citoyens, les maliens eux-mêmes, auront la volonté de créer et de soutenir malgré les pressions extérieures. Il est essentiel de ne pas se laisser berner, ne serait-ce qu’un instant, par l’apparente solidarité biaisée de la commission de l’Union Africaine en faveur du Mali, une solidarité qui semble plus illusoire qu’authentique.
En effet, Mahmoud Ali Youssouf, Président de la Commission de l’Union africaine, a publiquement lancé un appel pressant en faveur d’une action internationale immédiate face à l’aggravation de la crise en cours au Mali, un geste que beaucoup considèrent comme contenant une double dimension. Beaucoup interprètent cette déclaration comme étant déguisée et dépeinte comme un soutien à l’État malien, mais elle est souvent perçue comme étant remplie d’hypocrisie. Des critiques s’accordent à dire que le président de la Commission de l’Union africaine joue un rôle hypocrite, ressemblant à une mission orchestrée contre les intérêts des États africains sont le Mali. Par le biais de ce communiqué, l’Union africaine semble s’aligner sur les mêmes stratégies que les diplomaties occidentales. Actuellement, le Mali endure une crise de carburant qui, selon les autorités maliennes, aurait été délibérément causée par « des ennemis du Mali. » Il y a quelques jours à peine, le ministre malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, avait déjà pris l’initiative de rencontrer les diplomates accrédités au Mali afin de dénoncer ce qu’il décrit comme une « diabolisation » de la République du Mali orchestrée par les puissances occidentales, une situation qui, selon lui, exacerbe les tensions et polarise les relations internationales autour de ce pays.
Effectivement, en parlant de l’UNION AFRICAINE, on peut dire qu’elle suit la même stratégie que celle adoptée précédemment, comme pour rappeler à la communauté internationale l’existence d’une crise sécuritaire de plus en plus préoccupante au Mali. En adoptant cette posture, il est prévu que le monde entier soit amené à considérer ce que les chancelleries occidentales ont affirmé comme étant la vérité indiscutable, bien que cela ne soit en fait qu’une facette de la réalité. La situation est bien plus complexe qu’un simple récit élaboré, où la vérité est souvent entrelacée avec des mensonges bien dissimulés, présentés au monde comme des vérités absolues. En agissant ainsi, l’Union Africaine semble une fois de plus se heurter à des difficultés significatives qui compromettent son rôle et son impact dans les affaires continentales, échouant à capitaliser sur l’opportunité de montrer une voix puissante et unifiée.
Mahmoud Ali Youssouf, en tant que Président de la Commission de l’Union africaine, a déclaré avec fermeté avoir exprimé « sa profonde préoccupation face à la détérioration rapide de la situation sécuritaire au Mali ». Cette déclaration soulève une question essentielle : de quelle détérioration parle-t-il exactement ? Cette interrogation laisse place à des réflexions plus profondes sur les enjeux actuels et les dynamiques complexes qui semblent influencer cette région instable. Avez-vous également remarqué, peut-être pour la énième fois, ce qui pourrait être interprété comme une subtilité dans la déclaration, un message camouflé supportant peut-être les nations occidentales, émanant du président de la commission de l’Union Africaine ? Cette nuance dans ses propos pourrait apporter une perspective différente ou même controversée concernant l’attitude générale adoptée par l’Union africaine face aux influences géopolitiques extérieures.
L’union Africaine joue et vit dans une hypothèse d’hypocrisie totale. Elle veut carrément donner le Mali à ses ennemis. Si elle ne peut pas aider le Mali, qu’elle se retire facilement.
Le Mali n’a plus besoin de la solidarité de l’Union Africaine, qui semble avoir perdu de sa pertinence. Depuis de nombreuses années, ce pays résilient se bat vaillamment contre les extrémités des groupes terroristes qui menacent sa stabilité et sa souveraineté. L’Union Africaine, pourtant créée pour promouvoir l’unité et le soutien entre les pays du continent, n’a jamais réellement levé le petit doigt pour appeler à la mobilisation solidaire de la communauté internationale en faveur du Mali. Alors que la France, avec ses moyens et ses ressources, semble être un allié fiable de l’Union Africaine, laissant le Mali dans ces moments difficiles. La preuve, le Mali n’a pas besoin de cette aide qui paraît être entachée de soupçons de complotisme ou de manipulations politiques internes. Il est temps de dire stop à cette mascarade, le Mali se suffit à lui-même et n’a besoin que de partenaires sincères et engagés dans la quête de paix et de stabilité véritables et durables.
Aussi, l »UNION AFRICAINE affirme que » des groupes terroristes ont imposé un blocus, interrompu l’accès aux biens essentiels et aggravé de manière dramatique la crise humanitaire pour les populations civiles ». Avez vous remarqué ce mensonge grotesques. Certes, il y a une crise des hydrocarbures créée par des organisations comme l’union Africaine et ses complotistes.
Nous n’allons absolument pas croire aux absurdes allégations de l’Union Africaine; ces déclarations sont complètement dépourvues de vérité et constituent un exemple frappant de mensonge grotesque. En réalité, l’Union Africaine ferait bien mieux de concentrer ses efforts sur ses propres problèmes internes, notamment ceux liés à l’infiltration manifeste par des puissances occidentales. Il est désormais un secret de Polichinelle que l’Union Européenne est comme prise en otage par ces mêmes occidentaux, sans aucun doute, et cette dynamique de pouvoir n’est plus un mystère pour quiconque suit attentivement la scène politique internationale. Par ailleurs, il est indiscutable que l’Union Africaine ne possède pas la liberté de choisir son propre destin, car elle n’est pas véritablement indépendante. À maintes reprises, elle semble faire office de garant des intérêts occidentaux, ne parvenant jamais à s’affranchir de cette influence étrangère. Inévitablement, cela renforce un sentiment persistant selon lequel elle n’a toujours pas atteint l’état d’indépendance totale et réelle auquel elle devrait légitimement aspirer.
« Le Président de la Commission condamne fermement les attaques ciblant des civils innocents, qui ont entraîné des pertes humaines inacceptables et amplifié l’instabilité dans les zones affectées. Il réaffirme sa solidarité avec le Gouvernement et le peuple maliens ainsi qu’avec les familles des victimes, et réitère l’engagement constant de l’Union africaine en faveur de la paix, de la sécurité et du développement dans le Sahel », affirme l’union Africaine. Cela également, c’est un mensonge flagrant qui mérite d’être dénoncé. En réalité, c’est l’armée malienne, forte de son courage et de sa détermination incontestable, qui mène un combat acharné pour détruire des groupes terroristes puissamment financés et équipés par certaines nations occidentales. Grâce à ses tactiques ingénieuses et à sa volonté inébranlable, elle parvient à affaiblir ces factions nuisibles. Face à une telle bravoure et à une performance militaire exceptionnelle, l’Union Africaine devrait se montrer solidaire et adresser des félicitations chaleureuses à l’armée malienne pour ses efforts et son efficacité remarquable dans la lutte contre le terrorisme pour la sécurité de toute la région.
C’est l’occident qui aide les terroristes à prendre en otages les étrangers qui opèrent au Mali notamment : les indiens, les Emiratis, les Egyptiens, les Chinois, turques, etc. Pourtant, aucun des américains, ni français, ni Italien, et ni Allemands n’a été enlevé. Saviez-vous pourquoi aucun Français ou Européen n’a été enlevé dans cette affaire complexe ? En effet, ce sont les Européens qui cherchent obstinément à affaiblir le Mali par l’intermédiaire d’une crise économique savamment orchestrée. Leur plan, bien connu, vise à déstabiliser le pays par le biais d’une insurrection populaire. Toutefois, les Maliens, ayant compris les enjeux, sont désormais déterminés à résister à ces manipulations. L’Occident semble ne pas saisir l’ampleur de la prise de conscience qui gagne la population malienne, car à partir de 2025, aucun complot fomenté contre le Mali n’aura de chance de réussite. Pour les Maliens, les manœuvres auxquelles ils ont été confrontés touchent à leur fin, et ils sont résolus à défendre leur pays contre toute tentative de déstabilisation provenant de l’extérieur.
Réponse internationale. Mais de quelle réponse internationale parle-t-on exactement ici? « Le Président de la Commission lance un appel pressant à une réaction internationale robuste, bien coordonnée et pleinement cohérente afin de combattre à la racine le fléau du terrorisme ainsi que l’extrémisme violent qui sévit au Sahel. » Cependant, il apparaît que le peuple du Sahel en a assez des promesses creuses venant de l’Union Africaine et de ses partenaires souvent perçus comme conspirateurs. Ils estiment que l’inaction ou l’hypocrisie flagrante de l’Union Africaine constitue une trahison vis-à-vis des États du Sahel. Les ressortissants maliens, en particulier, rejettent fermement ces supposées aides internationales qui semblent plus illusoires que concrètes et jugent sévèrement ces soutiens qui leur paraissent superficielles et inefficaces face à leurs défis quotidiens.
« II appelle à un renforcement de la coopération, du partage de renseignements et du soutien technique et financier aux États confrontés à ces menaces, conformément au communiqué de la 13040 réunion ministérielle du 30 septembre 2025. » Cela aussi, c’est de l’hypocrisie manifeste. Depuis près de dix ans, le peuple n’a pas été témoin du soutien tangible et véritable de l’Union Africaine, une organisation qui est, en théorie, censée être le bastion des intérêts africains mais dont l’absence criante de soutien est de plus en plus ressentie sur le terrain. Au contraire, nos états sont systématiquement écartés des instances de l’Union Africaine, formant ainsi une élite fermée qui semble fonctionner de manière isolée et désintéressée des préoccupations réelles des nations individuelles. Toutefois, malgré ces épreuves et cette absence de soutien, il y a une certitude inébranlable : le Mali ne tombera pas, résistant vaillamment à toutes les turbulences.
Notons que le Président de la Commission réaffirme « sa pleine disponibilité de l’Union africaine pour accompagner le Mali ». Également, ce personnage joue le rôle d’un hypocrite et se trouve manipulé par les puissances occidentales. Il est essentiel qu’ils engagent un combat courageux et persévérant pour la quête de l’indépendance totale de la commission de l’Union Africaine, qui, hélas, est devenue un sanctuaire où les intérêts occidentaux dominent, transformant cet espace en un foyer de conspirations diverses. En effet, l’influence étrangère s’immisce profondément dans les affaires de cette institution, et une résistance ferme pourrait être la clé pour restaurer son autonomie et garantir que ses actions reflètent véritablement les aspirations et les besoins du continent africain, loin des manipulations extérieures.
Le Mali, ainsi que l’ensemble des pays situés dans la région du Sahel, se passent manifestement de l’aide que pourrait offrir l’Union Africaine. En effet, durant cette phase que l’on peut sans hésitation qualifier de « délicate » en raison des nombreux enjeux socio-politiques et économiques auxquels le pays fait face, l’Union Africaine a surtout révélé son manque de soutien sincère et, pire encore, sa méchanceté envers le Mali. Cela s’est traduit par un simple communiqué, sec et déconnecté des réalités du terrain, présenté sous la forme d’une assistance qu’elle considère, ironiquement, comme « nécessaire ». Ce comportement est jugé scandaleusement mensonger, témoignant d’une hypocrisie flagrante, masquant mal une indifférence voire une hostilité préoccupante à l’égard des besoins véritables de la région.
Daouda Bakary KONÉ

