(CROISSANCE AFRIQUE)-Au Gabon, des hommes en tenue militaire se réclamant des forces de défense et sécurité se faisant appeler « Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) » ont annoncé sur la chaîne de télé Gabon 24 sa décision de « mettre fin au régime en place » et la dissolution des institutions de la république.
Ici, il s’agit d’un « joli coup de force » perpétré contre la famille qui vole chaque à élection le vote du peuple. Le vieux a voulu bricoler le résultat du peuple gabonais aux yeux du monde corrompu. Le peuple gabonais a montré désormais qu’il existe des garçons au Gabon. Ali Bongo est un président « inconscient » qui n’arrive même plus à parler devant la masse, toute chose qui démontre un fait dû à sa propre santé. Il a voulu tronquer l’effort de la démocratie. et le peuple a désormais dit « non » aux magouilles.
Ainsi, « le gouvernement, l’Assemblée nationale, le Sénat, la Cour constitutionnelle, le Conseil gabonais des élections, le Conseil économique, social et environnemental ». dors et déjà, Libreville, des manifestant apporte leurs soutiens aux militaires qui ont pris le pouvoir et se réclamant libre désormais de la colonisation de la famille Bongo, qui gère la république gabonaise depuis les années 60.
Avec ce coup d’État militaire au Gabon, les militaires ont directement annulé des élections, dissolution des institutions étatiques, fermeture des frontières et prise du pouvoir. Les militaires contestent la réélection d’Ali Bongo à la tête du pays et décident de « mettre fin au régime en place ». Il s’agit d’un coup de force consommé puisque tous les corp de l’armée participe au reversement d’Ali Bongo Ondimba, selon un confrère contacté par Croissance Afrique. Par ailleurs un autre confrère travaillant dans le site Gabonreview a confirmé à Croissance Afrique que « les hommes qui portent probablement toutes les couleurs des bérets composant celui de l’armée nationale du pays, prouvent à suffisance que le coup d’état est consommé contre Ali bongo Ondimba », sans ajouter plus de commentaires.
Il faut signaler que manifestement, le coup d’Etat militaire du Gabon tombe à peine une trentaine de minutes après la proclamation ce mercredi matin des résultats de l’élection présidentielle du 26 août, donnant Ali Bongo vainqueur à 64,27% contre Albert Ondo Ossa, son principal rival (30,77 %). Le CTRI a déclaré nuls et non avenus ces résultats qu’il qualifie de tronqués.
Notons qu’ils (militaires) ont annoncé la fermeture des frontières, alors que des tirs d’arme sont signalés par des sources locales dans la capitale Libreville. Pour l’heure, la confusion au Gabon ou Internet est coupé depuis deux jours, alors qu’un groupe de militaires vient de passer à la télé nationale pour annuler les résultats des élections présidentielles donnant Ali Bongo vainqueur.
Zangouna KONE