D’entre de jeu, la correspondante du reporter sans frontière affirme que « le gouvernement se moque et se foutre de nous » dit-il.
Selon Makan KONE non moins ancien président de la maison de la presse dira à son tour que « plus jamais ça, désormais que personne n’agresse un journaliste au Mali, ça suffit comme ça » dit-il.
D’autre affirmeront à leur tours que « que personnes ne pourront nous empêcher d’effectuer notre métier ». Selon lui, dans une démocratie après l’échec des résolutions, c’est les journalistes qui sont demandés afin qu’ils leurs donnent solutions envie de solutionner la crise.
Pour sa le président de l’URTL, M. Bandiougou Danté « Quand l’existence d’un métier est menacé, il y’a de quoi à dire, ce que nous disons aux journalistes, que ceux qui veulent faire la politique, qu’ils restent dans la politique, mais nous disons non au journalisme politique, une chose est sûre c’est que notre métiers est différent de la politique « dit-il.
À son tour Fakara Faïnké, affirme pour sa part qu’il faut immédiatement écrire le ministre de la sécurité avec ampliation la primature et la présidence de la République.
Journalistes en Danger
Aux plus hautes autorités du pays et Défenseurs nationaux et internationaux des Droits Humains, la Maison de la Presse indignée face aux agressions faites aux journalistes dans l’exercice de leur fonction, dénonce et condamne avec la dernière rigueur présentement les cas survenus au Mali et ailleurs.
Vive la liberté d’expression !