La prostitution, la pédopornographie, l’exposition sans pudeur de la nudité, les dérives verbales contre des personnalités publiques inquiètent dans plusieurs pays qui ont pris des mesures fortes pour y mettre fin. Nous ne sommes pas là pour justifier l’injustifiable car personne n’a le monopole de l’éducation de qui que ce soit, c’est d’une question de responsabilité et de recul de tout un chacun. Personne n’a donc intérêt à applaudir ces attitudes, c’est notre cohésion sociale qui est en péril à ce rythme.
En même temps que nos sociétés s’appliquent à en apprivoiser et exploiter les vertus et avantages de ces réseaux sociaux, force est de constater le désarroi des pouvoirs publics face aux pernicieux usages que nombre d’internautes font des réseaux sociaux, devenus un «la place du village» investi par des individus masqués, porteurs de funestes intentions. Véritables architectes de la rumeur, de la calomnie, de fake news (fausses informations), ou de «vérités alternatives», ils sont devenus des «snipers patentés» visant des personnalités publiques ou des acteurs politiques, dans le but de les déstabiliser ou de nuire à leur réputation.
Qui a raison et qui ne l’est pas ? Ce n’est pas notre affaire mais il est temps de mettre fin à tout ce bazar. Hier c’etait lui, aujourd’hui c’est moi, demain ca sera qui ?
Apprenti Informateur
Source : Kassim Traoré , journal le Reporter
Source : croissanceafrique.com
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