(CROISSANCE AFRIQUE)-Selon le site d’information générale le Faso times, de carburants, de munitions et de logistique de combats ont été livrés par des Forces étrangères stationnées au terroristes à la frontière Burkina-Niger seraient prises pour responsables.
Selon des informations reçues de source fiable rapporté par le médias Burkinabé, le service de renseignement burkinabè détient les preuves que le stock de carburant, d’armes, de munitions, de logistique de combats progressivement rassembler pendant 2 jours au nord-est à 8km de Djibo ont été entièrement fournis par des unité de l’armée française stationnée à la frontière Niger-Burkina précisément à Tillabéry.
Par ailleurs, les éléments de l’unité française sont actifs dans la zone frontalière comprise entre Ayourou, Darkindé, Day Kayna et ils infiltrent le Burkina à partir de Tangoudja, Tampatiga et Djandjergou.
« Le mode d’opération a été entièrement filmé et des militaires français clairement identifiés en train d’entreposer des armes, munitions et carburant dans une cachette dans le village frontalier nigerien de Leoro, puis des villageois (terroristes camouflés en civile) ont transporté la cargaison divisée en plusieurs lots dans le village de Tangoudja, le point d’entrée sur le territoire Burkina est Tangoudja, Tampatiga et Djandjergou », rapporte le Faso times
Par ailleurs, le stock divisé en plusieurs lot sera transporté par des élément « civiles » (des terroristes camoufler leur identité et vivent au sein de villages et ne sont actifs qu’en cas d’opération) vers Djibo les terroristes vont donc choisir le village de BéléHédé pour le point d’entreposage en vu de l’attaque sur le flanc Nord-est de Djibo.
Le médias Burkinabé estime que les chefs terroristes, informés de l’arrivée du matériel à bon port ont également quitté les villages nigériens de Tomaré, Baria, Ayorou, pour destination du village burkinabé de Sofikel un village de Seytenga pour une réunion de préparation de l’attaque. ils seront suivis et verrouillés.
« Il ressort de la réunion que des directives et des renseignements ont été fournis par des militaires français pour créer les conditions favorables à l’attaque. Des snipers devraient participer pour soutenir le replis et des radars devraient détecter les mouvement du drone pendant l’attaque pour les permettre de replier sans être suivi », a-t-il expliqué le Faso times.
Notons que le Faso times a rapporté que c’est le dernier jour a la date du 9 juillet 2023 que l’armée ayant toutes les informations a identifié le stock et l’a détruit en même temps que la réunion des chefs qui devait planifier l’attaque.
Zangouna KONE