(CROISSANCE AFRIQUE)-L’Ouganda a franchi une étape décisive dans son développement infrastructurel grâce à la signature d’un accord de prêt de 295 millions USD avec la Banque islamique de développement (BID). Annoncée par le ministre des Finances, Matia Kasaija, cette initiative marque le début d’une transformation importante pour le pays.
Ainsi, cet accord, conclu le 30 avril, vise à financer la construction de routes et d’autres projets essentiels, soulignant l’ambition de l’Ouganda de renforcer ses infrastructures et de stimuler son développement économique. La collaboration entre l’Ouganda et la Banque islamique de développement incarne plus qu’un simple accord financier; elle représente une alliance stratégique en faveur du progrès.
Le montant substantiel de 295 millions USD mis en avant par cet accord témoigne de la confiance mutuelle et de la volonté partagée de contribuer activement au développement de l’Ouganda. Cette initiative place l’Ouganda sur la carte des pays africains clés bénéficiant du soutien de la BID dans leur quête de modernisation et de croissance économique.
Toutefois, les fonds obtenus grâce à cet accord sont destinés à la réalisation de projets de grande envergure qui auront un impact significatif sur l’amélioration des conditions de vie en Ouganda. Outre la construction de routes, les fonds seront également utilisés pour soutenir d’autres projets d’infrastructure critique. Ce faisant, l’Ouganda vise à faciliter le commerce, à améliorer l’accès aux services essentiels pour ses citoyens et à favoriser un environnement propice à l’investissement et à la croissance économique durable.
Matia Kasaija, le ministre des Finances de l’Ouganda, a exprimé son optimisme quant aux retombées positives de cet accord. Selon lui, cet investissement dans les infrastructures est crucial pour le développement du pays et devrait jouer un rôle central dans l’atteinte des objectifs de croissance économique à long terme. Kasaija a également souligné l’importance de cette collaboration avec la BID comme un témoignage de la confiance internationale dans la capacité de l’Ouganda à mettre en œuvre des projets de développement d’envergure.
Aussi, les retombées de cet accord pour l’Ouganda sont prévues pour être profondes et variées. En plus d’améliorer considérablement l’infrastructure routière, cet engagement financier devrait stimuler l’économie ougandaise en créant des emplois, en améliorant la connectivité et en facilitant le commerce intérieur ainsi que l’accès aux marchés régionaux.
À terme, on s’attend à ce que ces projets contribuent à réduire la pauvreté et à améliorer les standards de vie à travers le pays, marquant ainsi une étape importante dans l’avancement socio-économique de l’Ouganda.
Notons que l’accord de prêt signé entre l’Ouganda et la Banque islamique de développement représente non seulement une opportunité financière majeure, mais aussi une promesse de progrès et de prospérité pour le peuple ougandais.
Pour rappel, en mettant l’accent sur le développement des infrastructures, l’Ouganda s’engage sur la voie de la modernisation et de la croissance durable. Ce partenariat avec la BID incarne un pas en avant vers la réalisation des aspirations nationales et la construction d’un avenir plus prometteur pour l’Ouganda.
Moussa KONE