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Tanzanie : le FAPA débloque plus 442 millions de F CFA pour soutenir l’assistance technique et la transformation de 90 PME et 10 micro-opérateurs

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Par croissanceafrique

Le Fonds d’assistance au secteur privé africain a lancé son projet d’accélérateur de franchise en Afrique en Tanzanie et cela, à travers une subvention de 442 289 400 F CFA soit environ (799 800).

Le projet favorisera et modélisera la franchise dans le cadre d’une stratégie nationale de développement des entreprises pour stimuler l’intégration économique, la création d’emplois, le transfert de compétences et la création de richesse.

FAPA, un fonds fiduciaire multi-donateurs qui finance une assistance technique pour faire avancer la stratégie de développement du secteur privé de la Banque africaine de développement, a accordé une subvention de 799 800 $ environ (442 289 400 F CFA) pour le projet. La subvention soutiendra l’assistance technique à l’Association des franchises de Tanzanie pour stimuler la transformation de 90 petites et moyennes entreprises autochtones et 10 micro-opérateurs agrégés en marques de franchise et maintenir un système de franchise florissant.

« Ce projet offre un coup de pouce opportun aux micro-entreprises tanzaniennes, qui auront accès à une propriété intellectuelle alimentant la croissance et à une marque établie. Le succès ici informera également les initiatives visant à étendre le modèle de franchise à travers l’Afrique », a déclaré Omowunmi Jonah, chef de projet du projet AFRAP. Le franchisage est un accord commercial dans lequel un entrepreneur ou une petite entreprise (le franchisé) accède au pouvoir de la marque, aux systèmes opérationnels et à la propriété intellectuelle d’une entité plus établie, ou d’un franchiseur, pour mener ses activités.

Le projet devrait diversifier l’économie en renforçant la compétitivité des PME tanzaniennes, qui constituent une part importante de l’économie, comme dans la plupart des pays africains. Des représentants de la Tanzania Private Sector Foundation ont assisté à l’événement de lancement qui s’est tenu à Dar es Salaam le 9 juillet.

Le FAPA, géré par la Banque africaine de développement avec le soutien des gouvernements du Japon et de l’Autriche, a fourni plus de 66 millions de dollars de financement à 82 projets dans plus de 38 pays africains. Le portefeuille du Fonds comprend des projets régionaux et nationaux visant à améliorer l’environnement des affaires, à renforcer les systèmes financiers, à construire des infrastructures pour le secteur privé et à promouvoir le commerce et le développement des micro, petites et moyennes entreprises.

Le Gabonais Henri-Max Ndong Nzue bientôt à la tête de la direction exploitation-production du groupe Total Énergies en Afrique?

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Selon les informations citées par l’agence ecofin, le Gabonais Henri-Max Ndong Nzue pourrait bientôt prendre la tête de la direction exploitation-production du groupe Total Énergies en Afrique.

Ces informations ont été confirmées par le Palais du bord de mer. précisant que l’ingénieur gabonais va remplacer le français Nicolas Terraz à ce poste.Henri-Max Ndong Nzue sera le tout premier Africain à diriger la branche exploration et production de Total Énergies au sud du Sahara, et l’un des cadres africains les plus haut placés au sein d’une major pétrolière.

Par ailleurs, plusieurs filiales de Total Énergies sont gérées par les Africains, à l’instar de la filiale gabonaise. Ce qui laisse croire que le groupe français est aujourd’hui tourné vers une politique d’africanisation de son management.

Né en 1965, Henri Max Ndong Nzue est un ingénieur diplômé de l’École polytechnique de Paris et de l’École nationale des statistiques et de l’administration économique de la même ville. Il a intégré le groupe Total depuis plusieurs années. Au sein de cette multinationale, il a gravi une à une les marches de l’échelle managériale avant d’être nommé en 2015 directeur général de la filiale gabonaise.

Il fut d’ailleurs le tout premier Gabonais à occuper cette haute fonction dans le pays. Durant sa carrière au sein de cette structure, il a travaillé en France, au Yémen, aux Pays-Bas, en Norvège. Il connait donc bien le groupe.

Toutefois, il faut signaler que le groupe pétrolier français n’a pas encore fait de communication à propos de cette nomination.

Sandrine Gaingne

Officiel: La Chine va continuer à transformer Shanghai en un centre financier international

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Par croissanceafrique

Les organisations monétaires de la Chine vont aider la ville de Shanghai à jouer un rôle de précurseur dans le domaine de l’utilisation libre du renminbi et d’explorer les entrés et les sorties de capitaux sans restriction ainsi que l’échange libre de monnaie dans la Zone Spéciale de Shanghai Lingang, selon un cadre supérieur de la Banque Centrale, le 20 juillet, dans une conférence à Beijing, selon le quotidien du peuple, proche du gouvernement central chinois

Dans la même dynamique l’Agence chine nouvelle révèle que « La Chine va continuer à transformer Shanghai en un centre financier international, avec une concentration sur l’amélioration du système du marché financier et de produits ainsi que du système financier d’infrastructure dans le but de faciliter la distribution des ressources financières, a déclaré Wang Xin, directeur du bureau de recherche de la Banque« , a-t-elle rapporté.

Par ailleurs, le week-end dernier, Beijing a diffusé des politiques favorables de faire de la Nouvelle Zone de Pudong un précurseur de modernisation socialiste, y compris l’accomplissement plus rapide de l’utilisation libre du renminbi à Shanghai et la favorisation plus profonde des entrées et des sorties du commerce des entreprises, en se conformant aux principes de lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et la fuite des capitaux.

« Sous la direction de cette politique, Pudong va élargir l’ouverture financière, promouvoir le commerce transfrontalier et deux flux du renminbi (entrants et sortants). En même temps, cette Nouvelle Zone établira un système financier offshore afin de s’adapter à la position de Shanghai comme un centre financier mondial et aidera Pudong à faciliter les transactions offshore de renminbi, en assurant les risques contrôlables », a-précisé, le quotidien du peuple (chine). 

Zangouna KONE

Chine: les investissements directs étrangers (IDE) dans sa partie continentale, enregistrent de 33,9% (USD) au premier semestre 2021

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Par croissanceafrique

Selon le quotidien du peuple -chine), les investissements directs étrangers (IDE) dans la partie continentale de la Chine ont enregistré une croissance rapide au premier semestre de l’année grâce à une série de politiques gouvernementales visant à améliorer l’environnement commercial, a déclaré jeudi le ministère du Commerce.

Les IDE dans la partie continentale de la Chine, en usage réel, ont bondi de 28,7% sur un an en yuans, ou de 33,9% en dollars au premier semestre. Le rythme de croissance est le plus élevé depuis près de dix ans, et l’envergure des IDE a battu un record pour la même période, a indiqué Zong Changqing, un responsable du ministère.

Lors d’une conférence de presse, un responsable chinois a affirmé que « La croissance des IDE de la Chine au premier semestre a dépassé les attentes du marché, établissant une base solide pour réaliser l’objectif du pays de maintenir la stabilité des investissements étrangers pendant toute l’année« , a déclaré M. Zong lors d’une conférence de presse au « Quotidien du peuple« , un journal proche du gouvernement central chinois.

Notons qu’au premier semestre, 23.000 entreprises à capitaux étrangers ont été créées, soit une hausse annuelle de 47,9%, portant le nombre total d’entreprises à capitaux étrangers à plus de 1,06 million, selon les données publiées par le ministère.

Daouda Bakary Koné

Inondations en Chine : il a plu l’équivalent de 15 mois de pluie

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Par Futura science

Des pluies « millénaires » se sont abattues sur certaines provinces de la Chine ces derniers jours. Des habitants sont morts piégés par l’eau dans le métro, et des barrages menacent de céder. Même si elle est habituée aux intempéries, la Chine fait face à des crues de plus en plus ravageuses.

Un déluge biblique. La province du Henan, au sud-ouest de Pékin, a connu ces derniers jours « ses pires pluies depuis 1.000 ans », d’après les météorologistes. À Zhengzhou, la capitale de la province, il est tombé l’équivalent d’un an de pluie en trois jours entre samedi et mardi soir. En l’espace d’une heure à peine, 200 millimètres de pluie se sont abattus sur la ville, submergeant les rues sous des courants de boue. Par comparaison, lors des inondations meurtrières en Allemagne de mi-juillet, 182 mm de pluie étaient tombés en trois jours. Entre samedi et mardi midi, 15 stations météorologiques de la province ont enregistré des précipitations supérieures à 250 mm.

Dans le métro de Zhengzhou, plus de 500 passagers ont été piégés dans les rames. « Les trombes d’eau ont brisé les barrières et se sont déversées dans les galeries souterraines », explique la chaîne officielle CCTV. Douze passagers ont été retrouvés morts et cinq blessés ont été hospitalisés. Un témoin raconte « une expérience terrifiante », avec des gens cherchant désespérément à se cramponner aux poignées. « Le niveau de l’eau est monté jusqu’à nos épaules. Le courant était si fort qu’elle emportait tout sur son passage. » Un autre passager a raconté sur Weibo que des secouristes avaient ouvert le toit de la rame pour permettre l’évacuation des passagers.

Bafotigui Diallo ancien député à l’Assemblée Nationale: « Au Mali tout le monde connaît tout, mais personne ne connaît rien »

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Par croissanceafrique

Notre constitution adoptée par référendum du 12 janvier 1992 et promulguée par décret N°-92 –073 P‐CTSP du 25 février 1992 a certes des insuffisances à corriger, mais elle est très riche en son titre premier. Ce titre premier porte sur les droits et devoirs de la personne humaine.

Ce titre premier comporte 24 articles, du 1er au 24è article de la constitution. A la lumière de ces articles, je constate que la constitution du Mali est méconnue du malien.

Au Mali, celui qui parle bien français, celui qui a le verbe facile est considéré comme un intellectuel, un homme cultivé, alors qu’il est nuisible pour le peuple. Il a le verbe mielleux avec une connaissance superficielle des lois pour gagner son pain. Au Mali, les organisations et associations sont créées juste pour revendiquer, en un mot pour escroquer .D’autres qualifieront ces mots de durs, mais c’est la meilleure manière de parler au malien.Nos enfants ont des droits reconnus par l’article 17 de la constitution.

Les fonctionnaires maliens ont aussi des droits reconnus dans les articles 20 et 21 de la constitution. Nous aussi les analphabètes, paysans avons des droits reconnus par la constitution qui est le droit à la vie et à un environnement sain. A la lumière de tout cela, j’ai recensé des questions dans lesquelles chaque couche sociale du Mali se voit interpeller. Pourtant d’autres qualifieront ces questions de bêtes, mais leurs réponses permettront à nous simple citoyens d’être bien informés et éclairés.

Ces questions sont :

1. Où est l’état et pourquoi son déficit de communication àtousles niveaux?

2. Que veulent les syndicats de tout ordre?

3. Qu’est-ce que l’association des parents d’élèves (APE) et quel est son rôle ?

4. Qu’est-ce que le comité de gestion scolaire (CGS) et quel est son rôle?

5. Qu’est-ce que l’association des élèves et étudiants du Mali (AEEM) et quel est son rôle ?

6. Qu’est-ce qu’une société civile et quel est son rôle ? Existe t’ il une société civile au Mali ?

7. Qu’est-ce que l’article 39 réclamé par les enseignants ?

8. Qu’est-ce qu’une grille salariale harmonisé?

9. Qu’est-ce que les partis politiques peuvent et doivent proposer ?

10. Pourquoi pas une table ronde de deux jours sur l’éducation au Mali regroupant l’état, la soit disante société civile, les APE, L’AEEM, les syndicats, les CGS, les anciens ministres de l’éducation, des finances, du travail?Ne jamais associer les perpétuelles organisations négociatrices des crises maliennes. Je sais de quoi je parle .

11. Pourquoi le peuple malien assiste à une destruction programmée de l’avenir de ses enfants ?Chaque couche sociale du Mali doit se reconnaître dans une de ces 11 questions. Si toutes ces questions sont bien répondues par les bons maliens et diffusées par la presse et dans toutes les langues, nous les broussards seront bien informés et éclairés. PEUPLE DU MALI, apportons notre contribution au développement du Mali et cessons d’observer.

BAFOTIGUI DIALLO

LE PAYSAN


Secteur Bancaire: Fatoumata Guissé N’Daw prends la tête de la BDM-Sénégal

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Par L’indépendant

Mme Fatoumata Guissé N’Daw a une solide formation en économie et en gestion d’entreprise. Il s’agit d’un DEA Sciences de Gestion, option Finance Institut d’Administration obtenu à l’IAE Dijon, en France, d’une maîtrise Economie d’Entreprise de l’Université de Bourgogne (Dijon, France) et d’un DEUG Gestion des Entreprises de l’Université de Duisburg (Allemagne).


Son expérience bancaire débuta au Crédit Lyonnais et Société Générale, où elle a été chargée de clientèle. Ensuite, elle a rejoint la filiale malienne de Crédit Lyonnais, la Banque Malienne de Crédit et de Dépôts (BMCD) fusionnée avec BDM-SA en 2001.


Revenue au Mali avec son époux pour se mettre au service de son pays et de l’Afrique, elle a entamé une carrière à la BDM-SA. Elle a successivement occupé les fonctions de – Chargée de clientèle à l’Agence de Paris, de Directrice de l’Agence de Baco Djicoroni, de Directrice Adjointe de la Direction de l’Exploitation des Agences du réseau de Bamako et des Particuliers, avec à son actif l’ouverture de plusieurs agences du réseau de Bamako.


Elle assuma aussi les responsabilités de Directrice de l’Agence Principale 2, de Directrice des Risques et des Engagements, de Responsable Ajointe du Pôle Financier et Juridique en charge de la Direction de la Gestion des Risques et des Engagements et de Chargée de Mission auprès de la Direction Générale, en charge du projet d’ouverture de BDM-Sénégal.


La patronne de la BDM-Sénégal atteint donc ce niveau de responsabilité avec un parcours solide et une expérience avérée qu’elle doit mettre à profit avec son équipe pour permettre à la banque de se forger une place dans le secteur bancaire sénégalais. Elle affiche déjà ses ambitions de faire de la BDM-Sénégal un acteur majeur qui contribue au développement socio-économique des deux pays en accompagnant aussi bien les Maliens que les Sénégalais.


Mme Fatoumata Guissé N’Daw, deuxième enfant d’une famille de cinq, née à Ségou, a commencé à parcourir le monde dès sa tendre enfance. En effet, son père, Tidiani Guissé, fut l’un des premiers Ambassadeurs extraordinaires et plénipotentiaires de la jeune République malienne. C’est ainsi qu’elle a passé l’essentiel de son enfance entre Alger, Pékin, Moscou et Dakar. Elle garde un fort souvenir du pays de la Téranga, pour y avoir obtenu son Bac au lycée français Jean Mermoz. Mais, ses attaches avec le Sénégal sont, également autres.


Son grand-père maternel est sorti de l’école des instituteurs de Gorée dans les années 1920, et ses aïeuls sont originaires de la région de Bakel. Après son Bac, elle a effectué ses études universitaires en Allemagne puis en France, comme ci-dessus évoqués. Mariée à un fonctionnaire international malien, Mme N’Daw a le goût pour la culture et les voyages.

Y. CAMARA

Togo: l’Etat lève 41,250 millions d’euros sur le marché financier de l’UEMOA au terme de son émission d’obligations de relance

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Une vue de la capitale Togolaise, montrant le visage d'une moderne en transformation et situé en Afrique de l'ouest. Image d'illustration

Par croissanceafrique

Au Togo, la Direction générale du trésor et de la comptabilité publique, a levé ce 23 juillet 2023 sur le marché financier de l’Union monétaire ouest africaine (UMOA) un montant de 27,500 milliards de FCFA (41,250 millions d’euros) au terme de son émission d’obligations de relance (ORD) du Trésor de maturité 10 ans, organisée en partenariat avec l’agence UMOA-Titres basée à Dakar.

« Initiée par l’agence UMOA-Titres en collaboration avec la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), l’émission des ODR vise à permettre à l’émetteur de mobiliser l’épargne des personnes physiques et morales en vue d’assurer la couverture des besoins de financement du budget de l’État du Togo dans le cadre de ses plans de relance économique afin de contenir les effets de la pandémie COVID-19 et renouer avec les performances d’avant la crise sanitaire. Elle cible non seulement les investisseurs socialement responsables mais également les entreprises ou individus souhaitant soutenir les actions de relance économique entamée par les États de la zone UEMOA« , rapporte Financialafrik. 

A l’issue de l’adjudication, l’agence UMOA-Titres a été répertorié 86,705 milliards de FCFA de soumissions globales provenant des investisseurs pour un montant mis en adjudication de 25 milliards de FCFA, soit un taux de couverture du montant mis en adjudication de 346,82%. 

Et sur le montant global proposé par les investisseurs, le Trésor Public togolais en a retenu 27,500 milliards de FCFA et rejeté les 59,205 milliards de FCFA restants, soit un taux d’absorption de 31,72%. 

En outre, les obligations émises seront remboursées le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 26 juillet 2031. Pour ce qui est du paiement des intérêts, il se fera dès la fin de la première année à un taux d’intérêt fixe de 6,20%.

Toutefois, le rendement moyen pondéré est à 6,15%. En revanche; le prix moyen pondéré et le prix marginal sont respectivement à 1003 et 1001.

Zangouna KONE

Le groupe de réflexion de CGTN publie un rapport d’analyse sur la situation globale de la pandémie de COVID-19

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Alors que la propagation mondiale de la pandémie de COVID-19 ne s’est pas encore apaisée, le groupe de réflexion de CGTN a publié un rapport d’analyse sur la situation globale de la pandémie de COVID-19 (le «rapport») en recueillant des données du site Web de l’Université Johns Hopkins, de Our World in Data et de Pharmaceutical Technology qui n’ont pas été globalement transformées, analysent la documentation de recherche de la communauté académique et font référence à l’impact connu de la pandémie sur le développement économique et social mondial, ainsi que les recommandations sur sa prévention et son contrôle provenant d’experts renommés en santé publique. Le rapport collige les données sur les mesures de prévention et de contrôle de la pandémie dans un classement de quelque 51 pays comme moyen de refléter la situation actuelle de contrôle pandémique dans les pays échantillonnés. Il met l’accent sur l’importance que les pays attachent à la sûreté personnelle, à la stabilité sociale et environnementale, offrant ainsi des idées et des orientations pour les pays du monde entier dans leur lutte contre la pandémie.

Le rapport analyse et évalue l’état actuel de la prévention et du contrôle de la pandémie dans les 51 pays, d’après cinq indicateurs, y compris le nombre total de cas confirmés, le nombre de cas nouvellement confirmés, le nombre total de décès, le nombre de vaccinations et le cycle complet de l’éclosion pandémique, jusqu’à son contrôle en date du 14 juillet.

Les données indiquent que les États-Unis ont la pire performance sur trois des cinq indicateurs statistiques. Les États-Unis ont plus de 34 millions de cas confirmés au total, le nombre le plus élevé du monde et plus de 600 000 décès, également le chiffre le plus important du monde. Le nombre de jours comptant moins de 5 000 nouveaux cas quotidiens durant le cycle complet de l’éclosion pandémique jusqu’à son contrôle n’est que de 62, toujours la pire performance parmi les pays échantillonnés. 

Selon les données, la situation parmi les principaux pays européens n’est pas encourageante. En ce qui concerne le nombre total de cas confirmés et de décès, la France, le Royaume-Uni et l’Italie se trouvent au haut de la liste.

Les données révèlent que certains pays asiatiques ont bien performé dans la prévention et le contrôle de la pandémie, grâce à des mesures efficaces telles que les interdictions d’entrée, la quarantaine et les contrôles rigoureux à la frontière. La Chine dénote le plus faible nombre de nouveaux cas confirmés parmi les pays échantillonnés et le plus haut taux de vaccination dans le monde ; Singapour et le Vietnam se classent au plus bas parmi tous les pays échantillonnés pour le nombre total de décès liés à la COVID-19 ; et la Corée du Sud a ajusté son niveau de réponse face à la pandémie de manière en temps opportun, ce qui a procuré 537 jours comptant moins de 5 000 nouveaux cas quotidiens. 

En ce qui concerne le nombre de personnes vaccinées, la Chine est l’un des rares pays en développement ayant le plus haut taux de vaccination anti-COVID-19 en raison de sa capacité à développer et à fabriquer ses propres vaccins. À l’heure actuelle, plus de 1,4 milliard de doses de vaccins anti-COVID-19 ont été administrées dans la partie continentale du pays. La Chine a aussi fourni plus de 500 millions de doses de vaccins anti-COVID-19 et de solutions mères à plus d’une centaine de pays et d’organisations internationales dans le monde, équivalant au sixième de la production totale de vaccins mondiaux. Toutefois, les statistiques révèlent aussi clairement que les progrès de la vaccination dans les pays en développement sont nettement moindres que ceux des pays développés, en raison de la sévère inégalité dans la distribution mondiale des vaccins. Les pays qui ont un piètre bilan de vaccination, tels que le Vietnam et l’Irak, sont encore loin d’atteindre l’immunité collective en raison de diverses contraintes, telles que les services de santé médiocres la rétention des vaccins par certains pays développés.

La polarisation dans le nombre de cas confirmés, le nombre de décès et le nombre de personnes vaccinées dans différents pays et régions du monde, comme le montre les statistiques objectives, est fortement lié aux politiques nationales de prévention et de contrôle de la pandémie et à leurs mesures, et signale le rôle crucial joué par le gouvernement d’un pays dans la prévention et le contrôle de la pandémie.

Traqueur de la COVID-19 : les derniers chiffres par pays

Nombre total de cas confirmés

Nombre de nouveaux cas

Nombre de décès

Nombre de personnes vaccinées

Nombre de jours ayant moins de 5 000 nouveaux cas quotidiens dans le cycle complet de l’éclosion pandémique jusqu’à son contrôle

La compagnie australienne Perseus mining Limited affiche une Production d’or record de 102 788 onces au 2ème Trimestre 2021

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Par Croissanceafrique

Il s’agit d’une production d’or record 102 788 onces qu’annoncé la compagnie minière Perseus Mining Limited le 22 juillet 2021, soit une  hausse de 16 % par rapport au 1er trimestre 2021 et en hausse de 50 % par rapport au dernier trimestre de l’année 2020.

Selon les responsables de Perseus Mining Limited « la production d’or semestrielle de 2020 est de 191 246 onces et production d’or semestrielle pour l’exercice 2021 est de 328 632 onces, dépassant tous les deux, le haut de gamme de leurs fourchettes de production respectives », ont- il souligné.

Toutefois, les ventes d’or trimestrielles ont augmenté de 23 % pour atteindre 106 899 onces à un prix moyen réalisé de l’or de 1 652 $ US l’once, 1,5 % plus que le trimestre précédent. Ensuite, le coût moyen pondéré du site tout compris (AISC) était de 1 047 $ US l’once, soit 48 $ US de plus qu’au dernier trimestre

Les flux de trésorerie d’exploitation notionnels pour le trimestre ont totalisé 62,1 millions de dollars US, 20,9 millions de dollars US ou 51 % de plus qu’en le trimestre de mars 2021. Par ailleurs, les prévisions de production d’or et AISC pour le semestre de décembre 2021 fixées à 225 000 à 255 000 onces à un coût de 925 $ US à 1 025 $ US l’once.

Notons que Perseus mining limited reste sur la bonne voie pour atteindre son objectif de produire plus de 500 000 onces d’or par an au comptant marge d’exploitation d’au moins 400 $ US l’once au cours de l’exercice 2022.

Pour rappel, les trois mines d’or en exploitation de Persée, Edikan au Ghana, et Sissingué et Yaouré en Côte d’Ivoire, ont enregistré de solides performances en trimestre de juin 2021, produisant un total combiné de 102 788 onces d’or, 16 % de plus qu’au trimestre précédent.

Daouda Bakary Koné