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Le réchauffement climatique en 2021 : causes et conséquences

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Le climat se réchauffe par l’accroissement inexorable de la concentration dans l’atmosphère des gaz à effet de serre liés aux activités humaines. Un réchauffement de plus de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels pourrait avoir des conséquences irrévocables. Récapitulatif de la situation en 2021.

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Définition : qu’est-ce que le réchauffement climatique ?

Le réchauffement climatique, appelé également réchauffement planétaire, est un phénomène qui se caractérise par l’augmentation du niveau moyen de la température à la surface de la Terre.

Changement climatique ou dérèglement climatique ?

rechauffement climatique

La température moyenne globale de la planète a augmenté de 1.1°C entre 1850 et 2017. Parallèlement, la France a subi une augmentation moyenne de 1.5°C depuis 1900.

Le changement climatique est variable selon les régions. Par exemple, les zones polaires se réchauffent deux fois plus rapidement que le reste du monde. En continuant sur la trajectoire actuelle de réchauffement climatique, la banquise arctique pourrait disparaître totalement d’ici quelques dizaines d’années.

Selon l’un des derniers rapports du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), un réchauffement planétaire de plus de 1,5°C provoquerait des dérèglements climatiques sans précédent : multiplication des épisodes de sécheresse, intensité des précipitations… Ces évènements climatiques extrêmes pourraient devenir plus fréquents et avoir des impacts irréversible sur l’environnement.

Météo ou climat : quelle différence ?

Pour comprendre le réchauffement climatique, il est important de faire la différence entre la météo et le climat :

  • La météo indique le temps qu’il fait à un moment donné et à un endroit précis, variant sur de courtes périodes;
  • Le climat décrit des évolutions sur de plus longues durées et à plus grande échelle.

Par exemple, une période de froid intense dans une région donnée ne remet pas en cause le réchauffement climatique. Pour l’affirmer, il faut être en mesure d’observer l’augmentation d’un évènement climatique (hausse de la température moyenne, fortes précipitations, sécheresses intenses, etc.) de façon régulière et significative, sur une longue durée et dans une région précise.

Quelle est la cause du réchauffement climatique ?

réchauffement climatique schéma

L’effet de serre est la principale cause du réchauffement climatique. A l’origine, c’est un phénomène naturel qui contribue au maintien du niveau moyen de la température. Cependant, à cause de la concentration de plus en plus importante des gaz à effet de serre dans l’atmosphère liées aux activités humaines, il s’intensifie provoquant un réchauffement climatique.

Source : Earth System Research Laboratories

À quoi correspond 1 ppm ?L’acronyme « ppm » signifie « partie par million ». Il s’agit d’une unité de mesure utilisée pour calculer le taux de pollution dans l’air. Elle permet de connaître le nombre de molécules de gaz à effet de serre présentes dans un million de molécules d’air.

Quelles sont les conséquences du réchauffement climatique ?

Le bouleversement de la biodiversité et l’épuisement des ressources naturelles

Le changement climatique et la perte de terres dues à la montée des eaux, ses impacts sur l’agriculture et la pêche affectant la sécurité alimentaire, ou encore les épisodes climatiques extrêmes de plus en plus fréquents forcent certaines populations à migrer pour survivre. Tout cela provoque ainsi des tensions autour des ressources naturelles disponibles, dont l’eau, renforçant les inégalités entre les populations.

La faune et la flore sont tout aussi sensibles à ces changements climatiques. Alors que les cycles végétatifs sont accélérés et fragilisés, certaines espèces sont obligées de migrer ou de s’adapter pour ne pas disparaître.

La perturbation des océans et des mers

ocean puits de carbone

Sous l’effet de la fonte des glaces et du réchauffement climatique, le GIEC prévoit une hausse du niveau moyen de la mer et des océans de 82 cm d’ici 2100 si l’on ne réduit pas nos émissions de gaz à effet de serre.

Cette montée des eaux aurait un fort impact sur les zones côtières dans le monde. Le rapport complet L’océan et la cryosphère dans un climat en évolution (2019) des experts énonce les conséquences du réchauffement climatique sur les océans et la cryosphère et ses impacts sur les sociétés humaines et les écosystèmes.

L’océan est un puits de carbone, c’est à dire qu’il absorbe le CO2 de l’atmosphère et le stocke. Or l’accumulation de dioxyde de carbone dans l’océan modifie sa composition et provoque une acidification ce qui menace directement ses capacités d’absorption.

Réchauffement climatique : la situation actuelle

Le réchauffement climatique en 2021 ne montre aucun signe de ralentissement. La situation alarme les scientifiques, dont le GIEC, un organisme chargé d’évaluer régulièrement le changement climatique. En effet, certains impacts menacent déjà l’environnement.

10 impacts du réchauffement climatique en France :

  1. Inondations ;
  2. Submersion ;
  3. Crues ;
  4. Cyclones ;
  5. Vagues de chaleur ;
  6. Sécheresse ;
  7. Incendies ;
  8. Neige ;
  9. Biodiversité ;
  10. Économie.

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Il est donc impératif d’agir et d’adapter son mode de vie de façon à limiter son impact carbone.

Les solutions possibles pour lutter contre le réchauffement climatique

Les activités humaines, que ce soit au niveau d’un foyer, d’une entreprise, d’une collectivité ou d’un état, doivent impérativement prendre compte l’évolution du climat et du réchauffement climatique. Certaines mesures peuvent alors être prises, comme le développement des énergies renouvelables, la taxe carbone ou encore l’adaptation au changement climatique.

Mesurer son empreinte carbone

Limiter le réchauffement climatique, c’est donc adapter son mode de vie à la situation actuelle et agir en conséquence. Pour cela, le premier moyen est de prendre conscience de son empreinte carbone, puis d’entamer une démarche de réduction des gaz à effet de serre produit par nos activités. Ensuite seulement, il est possible de compenser les émissions qui n’ont pas pu être évitées lors des actions précédentes.

reduire empreinte carbone
  • Calculer son empreinte carbone est le premier pas pour la réduire : identifier les sources principales d’émissions de gaz à effet de serre de notre quotidien et ainsi adapter son mode de vie de manière à minimiser son impact carbone sur l’environnement ;
  • Réduire ses émissions de gaz à effet de serre est impératif pour lutter contre le réchauffement climatique : optimiser sa consommation énergétique, réduire son empreinte carbone numérique ou encore privilégier des transports durables ;
  • Compenser ses émissions carbone et contrebalancer ses émissions de dioxyde de carbone via le financement de projets environnementaux afin réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère et ainsi de tendre vers la neutralité carbone.

Compenser ses émissions de CO2 doit toujours être accompagné d’efforts de réduction.

Depuis 2019, Selectra propose aux particuliers de compenser une partie ou la totalité de leurs émissions de gaz à effet de serre via le financement d’un projet environnemental, le projet Gandhi. Ce dernier consiste en la construction d’un parc éolien en Inde afin de promouvoir le développement d’énergies renouvelables dans le pays.

Avec Selectra, vous pouvez financer le projet Gandhi : En découvrant votre Bilan Carbone personnel ;
 En sensibilisant vos proches avec la Carte Cadeau Compensation Carbone.

Calculer le bilan carbone de son entreprise

Depuis 2010, certaines entités françaises, comme les entreprises de plus de 500 salariés, les établissements publics de plus de 250 personnes ou les collectivités de plus de 50 000 habitants, sont dans l’obligation de réaliser leur bilan carbone.

Le Bilan Carbone est un outil qui permet aux entreprises de comptabiliser leurs émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre. Souvent valorisée dans la politique de responsabilité sociale des entreprises (RSE), cette démarche vise à réduire leur impact environnemental.

Ainsi, le Bilan Carbone est non seulement un moyen de mesurer l’impact de l’entreprise sur la planète, mais aussi d’identifier des pistes d’amélioration afin de mettre en place un plan d’action de réduction des émissions de gaz à effet de serre émises par ses activités.

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L’adaptation au changement climatique

En France, plusieurs politiques nationales d’adaptation au changement climatique ont été mises en place depuis 1999. La France est en effet l’un des pays les plus avancés en matière de planification de l’adaptation au changement climatique.

Le Ministère de la Transition Écologique définit l’adaptation au changement climatique comme “la démarche d’ajustement au climat actuel ou attendu, ainsi qu’à ses conséquences”. Il s’agit donc de réduire la vulnérabilité des Hommes ou de leur environnement face au réchauffement climatique.

Après le succès de la COP 21 avec l’Accord de Paris, la France a lancéson 2ème Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC-2) fin 2019 afin de s’adapter à la hausse de température prévue dans les prochaines années.

Qu’est-ce que l’Accord de Paris ?L’Accord de Paris vise ainsi à éviter un réchauffement climatique supérieur à 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre les efforts pour le limiter à 1,5°C. Lors de la COP 21 en décembre 2015, 195 pays se sont alors accordés sur différents objectifs accélérant et intensifiant les actions essentielles pour parvenir à un avenir durable. L’objectif de neutralité carbone est fixé pour 2100.

Le PNACC-2 se résume en 10 actions concrètes :

  1. Lutter contre les feux de forêt avec l’acquisition de 6 avions bombardier d’eau ;
  2. Renforcer la vigilance météo avec le déploiement de 5 nouveaux radars ;
  3. Faire un point complet des normes et référentiels techniques ;
  4. Identifier les territoires et milieux à risque ;
  5. Développer un centre de ressources sur l’adaptation ;
  6. Diffuser des messages de prévention ;
  7. Intégrer la thématique du changement climatique et de l’adaptation dans les cursus scolaires ;
  8. Effectuer une étude sur les freins à la mobilisation locale des fonds européens ;
  9. Établir des prospectives économiques pour identifier les filières à risque ;
  10. Créer de nouveaux outils d’aide à la décision dans le secteur forestier.

Source : Deuxième Plan national d’adaptation au changement climatique (2018-2022) du Ministère de la Transition écologique

Retrouvez nos autres guides pratiques sur la protection de l’environnement et la lutte contre le réchauffement climatique !Updated on02/06/2021

Caroline Garrett

Caroline Garrett

Diplômée d’un Mastère Spécialisé en Marketing Digital, Caroline a rejoint Selectra en juin 2020 dans le cadre d’un V.I.E. Elle est responsable des contenus du site et travaille sur l’amélioration du référencement des articles.

Source: Par climate.selectra.com/fr

En neuf mois, le chemin de fer Ethiopie-Djibouti rapporte 29 millions USD

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Par croissanceafrique

Selon l’Agence ecofin, le chemin de fer Ethiopie-Djibouti s’est montré assez résilient au milieu de la crise sanitaire. Pour l’agence de presse panafricaine, cette voie ferrée qui relie les deux pays d’Afrique de l’Est a rapporté 29 millions de dollars au cours des neuf premiers mois de l’exercice budgétaire éthiopien 2020/2021, qui a débuté le 8 juillet.


Prenant la parole, le gestionnaire Ethio-Djibouti Standard Gauge Railway Share Company (EDR),a annoncé d’environ 1,35 million de tonnes de marchandises et 15 480 passagers ont été transportés au cours de cette période. Par la suite, ce dernier explique que ces chiffres devraient connaitre une hausse dans les prochains mois avec l’assouplissement des restrictions de voyage.


Rappelons que le chemin de fer Ethiopie-Djibouti, long de 756 km, a été construit entre 2013 et 2016 conjointement par China Railway Group Limited (CREC) et China Civil Engineering Construction Corporation (CCECC).

Toutefois, son coût est évalué à 3,4 milliards de dollars. Dans le cadre du transfert complet des compétences, EDR, société gérée par un consortium d’entreprises chinoises, forme actuellement des chauffeurs éthiopiens.

Notons qu’en mai 2021, 34 d’entre eux ont obtenu leurs diplômes après une série de formations en Ethiopie et en Chine.

Zangouna Koné

Gambie: 23 millions USD pour la modernisation de la transmission et de la distribution d’électricité

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Un champ électrique au Mozambique haute-tension-électricité

Par Croissanceafrique

NAWEC a lancé samedi le projet de modernisation de la transmission et de la distribution d’électricité de la région du Grand Banjul. L’initiative d’un coût de 23 millions $ sera mise en œuvre par TBEA, une entreprise chinoise.

La Banque mondiale, l’Union européenne et la BEI ont cofinancé cette initiative dans le cadre du projet de restauration et de modernisation de l’électricité en Gambie (GERMP).

Selon Nani Juwara, directeur général de NAWEC, le projet permettra de construire une ligne de transmission haute tension de 225 kV de Brikama à Jabang. En outre, les travaux comprendront la construction d’une sous-station 225kV/33kV à Jabang et d’une sous-station 33 kV à Kotu. Des lignes 33 kV supplémentaires seront également construites pour assurer l’interface avec le réseau existant.

Pour sa part, l’Agenceecofin précise que « Le gouvernement gambien ambitionne d’assurer à l’accès universel à l’électricité d’ici 2025. Les travaux de ce projet couvriront plus de 685 communautés à travers le pays afin de garantir leur accès à l’électricité dans les 36 prochains mois », a-t-elle rapporté.

 A son tour, Ma Jianchun, ambassadeur de Chine en Gambie, a affirmé « Grâce aux efforts incessants du gouvernement, du peuple gambien, et à la coopération des partenaires internationaux au développement, l’infrastructure électrique et le secteur énergétique de la Gambie seront encore améliorés », a-t-il déclaré .

Moussa Koné

Mali: vers l’organisation d’une table ronde des investisseurs pour palier les problèmes liés à la fourniture d’électricité

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Par Croissanceafrique

Selon le directeur général d’Energie du Mali (EDM) Oumar Diarra , 2 300 milliards de francs CFA (4,2 milliards $) seront consacrés à la fourniture d’électricité au Mali au cours des cinq prochaines années. Ce montant devrait permettre de résoudre les problèmes liés au fonctionnement de la société.

Pour le responsable, la majorité du montant a déjà été levée. Environ 2,4 milliards $ ont été mobilisés dans le cadre de partenariats public-privé. Des entreprises privées seront chargées d’investir et de vendre l’électricité. Les fonds seront également obtenus à partir des contrats de concession qui sont déjà signés.

« Déjà, une bonne partie des 2 300 milliards est mobilisée. Il y a 1 300 milliards qui sont déjà sous le coup du Partenariat Public-Privé. Après, il y a 500 milliards dont le closing financier est déjà fait. Il est porté par les bailleurs de fonds classiques comme la BOAD, la BID, etc. Ce qui reste à chercher, c’est 499 milliards. Nous allons lever ces 499 milliards sur place à Bamako en organisant dans les semaines à venir une table ronde des investisseurs », précise Oumar Diarra.

« Ces fonds serviront à résoudre les problèmes fondamentaux qui provoquent des coupures de courant dans le pays. Ces contraintes sont dues à l’état défectueux des équipements », rapporte l’agenceecofin.

Notons que  « Les réseaux de répartition sont totalement défectueux du fait de leur vétusté et du fait qu’ils n’ont pas été réhabilités depuis fort longtemps », declare, le DG de l’EDM-SA.

Daouda Bakary Koné

Zone CEMAC: le Gabon mobilise 182 milliards de FCFA auprès des investisseurs qui ont sursouscrit de 7 milliards

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Par croissanceafrique

Selon le ministère Gabonais de l’économie et des finances, l’emprunt obligataire de l’Etat gabonais lancé le 27 mai 2021 a été souscrit à hauteur de 182 milliards de FCFA, soit 7 milliards en plus sur le montant de départ recherché par l’Etat gabonais.

D’autres sources expliquent que dans cette enveloppe, 98 milliards de FCFA vont servir au paiement de la dette intérieure, a-t- elles, sans donner plus de détails sur les souscripteurs de cet emprunt qui est rémunéré au taux d’intérêt de 6% par an pour une maturité de cinq ans.

«Le succès de cette opération illustre la confiance que les investisseurs placent dans l’action du gouvernement à travers le Plan d’accélération de la transformation (PAT) qui constitue le cadre de mise en œuvre des réformes et des projets prioritaires en vue de renouer avec la croissance post-Covid et de renforcer le modèle social gabonais », indique  Nicole Jeanine Lydie Roboty Mbou.

Toutefois, les fonds mobilisés dans le cadre de cette opération devraient servir au remboursement de la dette intérieure du Gabon et financer le plan d’accélération de la transformation de l’économie du pays.

Daouda Bakary Koné

Huawei inaugure son plus grand centre mondial dédié à la cybersécurité et à la transparence

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Par croissanceafrique

Huawei a inauguré ce mercredi 9 juin, son plus grand centre mondial de transparence en matière de cybersécurité et de protection de la vie privée à Dongguan, en Chine. Des représentants de la GSMA, de SUSE, de la British Standards Institution et des régulateurs des EAU et de l’Indonésie ont pris la parole lors de la cérémonie d’ouverture.

Parallèlement à l’ouverture du nouveau centre, Huawei a également publié le document portant sur les principes de base en matière de cybersécurité des produits de Huawei. C’est la première fois que l’entreprise met à la disposition de l’ensemble du secteur son cadre de référence en matière de sécurité des produits et ses pratiques de gestion. Ces actions s’inscrivent dans le cadre des efforts plus larges déployés par l’entreprise en vue de communiquer avec les clients, les fournisseurs, les organismes de normalisation et d’autres parties prenantes pour renforcer conjointement la cybersécurité dans l’ensemble du secteur.

Ken Hu, Président tournant de Huawei a déclaré : « La cybersécurité est plus importante que jamais. Nous devons travailler ensemble, partager les meilleures pratiques et renforcer nos capacités collectives en matière de gouvernance, de normes, de technologie et de vérification. Nous devons donner au grand public et aux autorités de réglementation une raison d’avoir confiance dans la sécurité des produits et services qu’ils utilisent quotidiennement. Ensemble, nous pouvons trouver le juste équilibre entre sécurité et développement dans un monde de plus en plus numérique. »

Au cours des dernières années, la numérisation de l’industrie et les nouvelles technologies comme la 5G et l’IA ont rendu le cyberespace de plus en plus complexe. À cela s’ajoute le fait que les gens ont passé une plus grande partie de leur temps en ligne tout au long de la pandémie de Covid-19. Ces tendances ont entraîné une augmentation des nouveaux risques en matière de cybersécurité.

Le nouveau centre mondial de transparence en matière de cybersécurité et de protection de la vie privée à Dongguan offre aux parties prenantes du secteur une plateforme leur permettant de partager leur expertise en matière de cybergouvernance et de travailler ensemble sur des solutions techniques. Le centre est conçu pour faciliter la communication et l’innovation conjointe, et soutenir les tests et la vérification de la sécurité. Il sera ouvert aux régulateurs, aux organismes de test tiers indépendants et aux organismes de normalisation, ainsi qu’aux clients, aux partenaires et aux fournisseurs de Huawei.

Pour favoriser une approche homogène de la cybersécurité dans le secteur des télécommunications, des organisations comme GSMA et 3GPP ont également travaillé avec les parties prenantes du secteur pour promouvoir les spécifications d’assurance de sécurité NESAS et les certifications indépendantes.

Mats Granryd, Directeur général de la GSMA a souligné : « La fourniture de services existants et nouveaux à l’ère de la 5G reposera largement sur la connectivité fournie par les réseaux mobiles et dépendra fondamentalement de la sécurité et de la fiabilité de la technologie sous-jacente »

Au fil des années, Huawei a construit plus de 1 500 réseaux qui connectent plus de 3 milliards de personnes dans 170 pays et régions. Aucun de ces réseaux n’a jamais connu d’incident de sécurité majeur.

Communiqué APPEL Mali

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Image d'illustration. A droit Modibo Fofana president d'Appel-Mali et a gauche Seybou keita, secrétaire général de la même faitière en conclave au siège de l'APPEL Mali

Par croissanceafrique


L’Association des Professionnels de la Presse en Ligne au Mali (APPEL Mali) a été saisie par l’hôpital Mère – Enfant Luxembourg, suite à des publications sur Facebook relatives au décès du comédien- artiste Ronald Guindo, le dimanche 6 juin 2021.


En effet, la mort du comédien Ronald Guindo a donné l’occasion à de nombreux Facebookers de s’adonner à cœur joie à leur jeu favoris, qui est de publier sans vérifier et d’accuser sans la moindre preuve.


A en croire l’hôpital Mère – Enfant Luxembourg, dans leurs publications, ces personnes d’un autre niveau jettent l’opprobre sur la structure hospitalière, qu’ils tiennent comme responsables de la mort du comédien Ronald Guindo.


Selon les responsables de l’hôpital, il est très regrettable de constater que les mêmes personnes font la corrélation entre le décès du comédien et celui de l’ancien président de la république Amadou Toumani Touré. Bref, dans leurs insinuations, c’est l’hôpital Mère – Enfant Luxembourg qui est responsable du décès des deux susnommés. La cause, estiment-ils, c’est la suite d’une intervention chirurgicale sur le cœur.


Les responsables de l’hôpital Mère – Enfant Luxembourg tiennent à préciser que l’artiste comédien n’a jamais été opéré du cœur dans cet établissement. Il a été seulement pris en charge comme tous les autres patients, malades du cœur.


Sur ces faits, Appel Mali dégage toute responsabilité face à ces dérives constatées sur les réseaux sociaux, particulièrement sur Facebook
Appel Mali précise qu’une page Facebook n’est pas assimilable à un organe de presse en ligne. C’est un réseau social, ouvert à qui le veut.
Appel Mali informe l’opinion que toutes publications sur Facebook et autres réseaux sociaux ne l’engagent en rien.


Appel Mali interpelle les nouvelles autorités à tout mettre en œuvre pour l’adoption urgente de la loi sur la presse en ligne. L’association des professionnels de la Presse en ligne (Appel-Mali) sait compter sur une bonne compréhension de tous.


Bamako le 08 juin 21
Le Président
Modibo L FOFANA

Mali: Choguel Kokalla Maiga nommé prémier ministre.

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Au Mali, le président Assimi Goïta, fraîchement confirmé président de la transition, chef de l’État vient de nommer Choguel Kokalla Maiga en qualité du premier ministre. Celui-ci est chargé de former un gouvernement de large ouverture.

Ingénieur et docteur en télécommunications de profession, le nouveau premier ministre est proche de l’ancien président Moussa Traoré. Choguel Kokalla Maïga est né à Tabango dans la région de Gao en 1958.

Il a été membre de l’Union nationale des jeunes du Mali, association fondée par le régime dictatorial.

En février 1997, il devient président du Mouvement patriotique pour le renouveau (MPR), parti politique se réclamant de Moussa Traoré.

Ce n’est pas tout, car en 2002, Choguel Kokalla Maiga se présente à l’élection présidentielle où il obtient 2,73 % des voix au premier tour avant de soutenir au second tour Amadou Toumani Touré.

En vue des élections législatives de 2002 il s’allie au Rassemblement pour le Mali (RPM) d’Ibrahim Boubacar Keïta et au Congrès national d’initiative démocratique (CNID) dans la coalition Espoir 2002.

Choguel Kokalla Maïga a été ministre de l’Industrie et du Commerce dans les gouvernements d’Ahmed Mohamed ag Hamani du 16 octobre 2002 au 28 avril 2004 et d’Ousmane Issoufi Maïga du 2 mai 2004 au 27 septembre 2007.

Pour l’élection présidentielle malienne de 2007, Choguel Kokalla Maïga a soutenu la candidature du président sortant Amadou Toumani Touré.

En janvier 2008, il est nommé directeur du Comité de régulation des télécommunications (CRT). Figure de proue du mouvement patriotique du juin 2020 (M5-RFP), Choguel Kokalla Maiga, est désormais, celui qui organisera les élections présidentielles et législatives en 2022.

Zangouna Koné

Assimi Goïta , quand l’image devient la preuve de ce qu’il dit !

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Une heure de temps, après avoir pris les rênes du pouvoir de la Transition au Mali, dans un style républicain et sobre que le Président de la Transition, Chef de l’Etat , le Colonel Assimi Goïta, est arrivé à son bureau à Koulouba aux environs de 12h50 . A son arrivé devant son bureau dans un véhicule Toyota blanc , double cabine, aucun protocole pour l’accueillir comme à l’habitude . Un dispositif très léger.

Un piquet constitué de deux gardes lui rendant les honneurs , un tapis rouge de 3 à 4 mètres, un salut du président de la Transition aux quelques personnels sorti pour l’acceuillir avec fierté et lui signifier leur accompagner en toute loyauté à relever les défis qui sont miens et tourner définitivement la page des 60 ans de pays.

Assimi Goïta rentrant au bureau après son investiture

Quelques minutes plutôt, devant l’auditoire du Centre International de conférences de Bamako, pour donner en premier l’exemple dans le cadre de l’esprit de sacrifice de chacun et de chacune face à la situationde crise multidimensionnelle dans notre pays , le tout nouveau Chef de l’Etat face au peuple malien avait déclaré  » Je m’ emploierai également à la réduction du train de vie de l »Etat, dors et déjà j’ai décidé d’allouer les 2/3 du fonds de souveraineté du président soit 1 milliards 800.000.000 fcfa aux œuvres socio-sanitaires notamment pour favoriser l’accès à l’eau potable , et aux soins de santé primaires dans les zones difficiles de notre pays. Face à ces impératifs aucune couche et aucun groupe ne sera écarté car le Mali à besoin de chacun et de tous ».

Déjà , nous pouvons affirmer que ces actes citoyens constituent un bon jugement du peuple malien sur le nouveau président de la Transition, car il s’agissait avant tout de convaincre les méfiants, les vertueux, les gens de bonne foi .

Ainsi pour chaque patriote, il sied désormais de faire mienne, la déclaration suivante du Colonel Assimi Goïta, Président de la Transition ,Chef de l’Etat , lors de sa toute allocution après sa prestation de serment  » Comme nous le savons tous , il y a des moments décisifs où se joue le destin d’une nation .La nôtre éprouvée depuis des décennies devra trouver les ressorts nécessaire pour rebondir et assumer pleinement son destin historique . Ce ci est notre dévolu de génération, oui c’est notre dette envers les générations futures « .

Crédits photographies : Mamadou Camara dit Madou’s

Mamadou Camara Madou’s
Communicateur

Mali : l’hydrogène de Bourakebougou cristallisant le futur de l’industrialisation énergétique verte se dessine et émerveille les décideurs politiques américains

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L’hydrogène « une énorme opportunité » pour remplacer les combustibles fossiles, selon le secrétaire américain à l’Énergie, Madame Jennifer Granholm, dans un contexte d’émulation de cette ressource stratégique, qui s’impose comme une source d’énergie dans la transition énergétique. Ce qui relance la place et la fonction que devra occuper dans le futur de la production de l’énergie verte de Afrique et du monde l’hydrogène de l’usine-pilote de Bourakebougou en République du Mali et développée par la société HYDROMA de l’entrepreneur Aliou Boubacar DIALLO. Enjeux géostratégiques gigantesques d’une ressource du Sud qui changera le monde.

Vendredi, la secrétaire américaine à l’Énergie, Jennifer Granholm, est sortie de son silence, pour évoquer l’hydrogène dans l’industrie mondiale de demain. Répondant à une question sur les défis du développement durable, suite à l’arrêt de la cyberattaque de Colonial Pipeline, Mme Jennifer Granholm a qualifié l’hydrogène d’énorme opportunité » pour le secteur pétrolier et gazier de réduire les émissions de gaz à effet de serre. La Secrétaire américaine, Jennifer Granholm a visité une installation d’Air Liquide au Texas qui produit de l’hydrogène, un gaz à combustion propre qui, selon les écologistes, pourrait remplacer les combustibles fossiles et aider à réduire le réchauffement climatique. Ses explications traduisent la position de l’administration Joe Biden qui souhaite que les États-Unis fassent progresser les carburants à faible teneur en carbone et atteignent zéro émission nette d’ici 2050.
Le déclic de ce grand chamboulement énergétique viendra selon plusieurs thèses et constats d’éminents scientifiques du Mali, un pays du continent africain, plus précisément une région confinée du Sahel. L’irruption miraculeuse suite à la découverte de l’hydrogène de Bourakebougou (40 kilomètres de la capitale malienne, Bamako) fascine la communauté scientifique internationale crédible.
L’hydrogène naturel de Bourakebougou, développé par l’entreprise HYDROMA de l’homme d’affaires et homme politique malien, Aliou Boubacar DIALLO, nouveau pôle mondial de gravité de l’industrialisation future de l’électricité verte à 100% à partir de l’eau est passée au fil des années à la loupe des grands décideurs du monde intéressés à la production de l’énergie. C’est la conviction du célèbre et très respecté Professeur Alain Prinzhofer, professeur affilié à l’Institut de physique du globe de Paris et à l’université de Paris VII, directeur scientifique de GEO4U. Lequel est séduit par cette découverte qui a surgi à Bourakebougou.
L’intégration de l’hydrogène comme source d’énergie dans la transition énergétique pose le problème de sa production à partir des énergies fossiles. En revanche, l’hydrogène naturel n’a pas cet inconvénient comme le montrent plusieurs exemples.
L’hydrogène vient d’être intégré à la transition énergétique. Et c’est tant mieux. Car l’élément le plus abondant de l’univers sous sa forme gazeuse est multi-tâches. Il permet de produire électricité et chaleur sans rien n’émettre d’autre que de l’eau. Du chargeur de téléphone au moteur électrique de voiture, de la locomotive du train express régional, le couple hydrogène-pile à combustible s’adapte à tous les contextes technologiques.
Ce n’est pas tout. Aux heures creuses, l’électricité en surplus peut être utilisée pour produire de l’hydrogène, stockable. Ce gaz peut être réutilisé pour générer de l’électricité, au moment le plus opportun. De quoi répondre aux contraintes pour les gestionnaires des réseaux d’électricité que pose le développement des sources de production d’électricité intermittentes (éolien, photovoltaïque).
L’hydrogène enfin peut être directement injecté dans les réseaux de transport ou de distribution du gaz de ville pour en alléger le bilan carbone. Deux expérimentations démarreront prochainement à Dunkerque et à Fos-sur-Mer.
Reste un problème irrésolu. La quasi-totalité de l’hydrogène est produite à partir d’énergies carbonées, dans les usines d’ammoniac et les raffineries de pétrole. Cette brique essentielle à la décarbonation de notre société souffre d’une terrible addiction aux … énergies fossiles. Synthétiser une tonne d’hydrogène relargue 13 tonnes de gaz carbonique. Est-on condamné à renforcer l’effet de serre au nom de la lutte contre le changement climatique ?

Une solution sous nos pieds ?
La solution existe sous… nos pieds. Dans les années 1970, des scientifiques américains ont mis en évidence des exsudations sous-marines d’hydrogène naturel au milieu des océans. Trop profonds, ces fruits de la transformation de l’eau en hydrogène resteront longtemps inaccessibles à l’homme. Ce n’est pas le cas partout.
Dès 2010, des chercheurs de l’Institut Français du Pétrole et des Energies Nouvelles (IFPEN) ont confirmé l’existence d’importantes émanations terrestres en Russie. Une très vaste région, courant de Moscou au Kazakhstan, s’avère riche en structures géologiques circulaires d’où s’échappent d’importants flux d’hydrogène naturel. Ces études ont évalué à plusieurs dizaines de milliers de mètres-cube le débit quotidien d’une seule de ces dépressions : de quoi faire le plein en hydrogène d’environ 500 taxis Hype ! Sur tous les continents, semblables structures ont été trouvées et sont associées à des émanations d’hydrogène.

Bourakebougou, l’exemple malien qui change le visage du monde
Dernier exemple en date : le Mali. Au milieu de la décennie 1980, des prospecteurs d’eau ont découvert par hasard un important champ contenant 98% d’hydrogène. Inaugurée en 2011, une installation pilote fournit au village voisin de l’électricité grâce à cet hydrogène. 18 puits récemment forés par la compagnie Petroma ( devenue HYDROMA)-tous avec des indices d’hydrogène ! — ont permis d’établir une cartographie précise du sous-sol du village de Bourakebougou. Cinq réservoirs superposés et peu profonds (de 100 à 1.700m) s’étendent sur 20 kilomètres de large.
A priori, le coût d’exploitation de cet hydrogène sera bien moindre que sa fabrication par les énergies fossiles, et a fortiori encore bien plus faible encore que le coût de l’électrolyse, encore très dispendieuse. De nombreux indices scientifiques et techniques semblent indiquer que l’hydrogène exploité à Bourakebougou s’est formé il y a peu de temps. Nous serions donc en présence d’une énergie non polluante et renouvelable ! Une hypothèse qui reste à vérifier.

Manque de volonté politique
Cette première mondiale fera-t-elle date ? Le manque de volonté politique et de crédits de recherches laisse craindre que non. Nous avons à notre portée des sources d’énergie probablement renouvelable, potentiellement très riches dont le coût d’exploitation apparaît des plus faibles au regard des prix du marché.
Certes, l’hydrogène naturel reste mystérieux. La communauté scientifique peine à expliquer avec certitude son mode de génération. Mais après tout, n’avons-nous pas commencé à exploiter l’or noir, vers 1850, quatre-vingts ans avant d’en comprendre l’histoire géologique ?
Faute d’inventaire, nous ignorons quelle part de cet hydrogène — souvent diffus — est exploitable. Les modes d’exploitation performants doivent aussi être mis au point. Moins pur que son équivalent manufacturé, l’hydrogène naturel devra être raffiné pour être consommé. à moins que de nouvelles technologies, à l’instar des piles à combustible à oxyde solide ou des piles microbiennes ne connaissent un développement rapide.
En une question comme en cent, quelle peut être la part de l’hydrogène naturel dans la transition écologique que nous appelons, tous, de nos vœux ?
La clé de l’avenir de la transition énergétique écologique se trouve à Bourakebougou, à quelques encablures de Bamako (République du Mali). Dans ce village, une merveille de l’humanité a jailli: de l’hydrogène naturel.
Par Ismael AIDARA (Confidentiel Afrique)