Accueil Blog Page 1174

En RDC, Kibali Gold a produit 191.612 onces d’or au premier trimestre 2021.

0

Par croissanceafrique

Le président directeur général de Barrick, Mark Bristow, a annoncé, le 19 avril 2021 lors d’une conférence de presse tenue à Kinshasa, que Kibali Gold a produit 191.612 onces d’or au premier trimestre 2021, selon Financialafrik

«Plusieurs facteurs justifient cette réussite malgré la présence de la deuxième vague de la pandémie de Covid-19. Ce sont l’exploitation de la mine souterraine, les améliorations continues de l’alimentation, le taux de récupération de l’usine et les projets visant des améliorations diverses tels qu’une mise à niveau de l’infrastructure de hissage», a précisé  l’homme d’affaires sud-africain.

« À ces facteurs, le patron de Barrick Gold Corporation a ajouté le strict respect des protocoles de prévention contre la Covid-19 qui a, selon lui, largement protégé la mine des impacts de la deuxième vague de cette pandémie et la mise en place d’un laboratoire sur place ayant permis de mieux contrôler les agents au sein de la mine et dans la communauté. De même, Mark Bristow cite l’amélioration du réseau électrique dont les coûts de production d’électricité étaient avantageux grâce au niveau élevé des eaux de rivière qui alimentent les trois centrales hydroélectriques de cette mine », rapporte Financialafrik.

A noter que deux étudiants de la faculté de géologie de l’Université de Kinshasa ont, lors de la conférence de presse de Mark Bristow, bénéficié des bourses d’études de Barrick pour encourager le secteur de l’éducation en RDC.

Zangouna kone

La BAD débloque la bagatelle de 8 millions USD pour soutenir l’un des plus grands producteurs de tilapia en Afrique subsaharienne.

0
Siège de la Banque africaine de développement à Abidjan

Par croissanceafrique

La Banque africaine de développement (BAD) a consenti à un prêt de 8 millions USD à Lake Harvest, l’un des plus grands producteurs de tilapia en Afrique subsaharienne. Le prêt devra aider l’entreprise à augmenter les niveaux de production d’environ 2.500 tonnes par an à 20.000 tonnes.

Selon la BAD, le projet permettra à Lake Harvest de devenir la plus grande ferme intégrée de tilapia en Afrique subsaharienne et l’opération agricole la mieux gérée en Afrique. « L’Europe absorbant 13% de la production et environ 50% exportés vers l’Afrique australe, le projet apporte plusieurs résultats stratégiques et concurrentiels en termes de coûts: croissance économique, intégration régionale, commerce international et meilleure sécurité alimentaire au Zimbabwe et dans les pays voisins», a déclaré la banque dans un communiqué publié ce mardi 20 avril.

La production de tilapia en Afrique est en croissance et le continent produit actuellement environ 950.000 tonnes par an, qui devrait augmenter de 5 à 6% entre 2017 et 2022.

Créée en 1997, Lake Harvest, qui fait partie du groupe African Century Foods, possède des fermes en cage sur le lac Kariba et le lac Victoria. La société est présente au Zimbabwe, en Zambie, au Malawi, en Afrique du Sud, au Botswana, au Kenya et en RDC.

Moussa Koné

Les perspectives de l’investissement public et de l’investissement privé pour l’atteinte de la sécurité alimentaire.

0

Par croissanceafrique


Les différents documents stratégiques de politique (Plan Sénégal Emergent, Enquêtes nationales pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle, Stratégies nationales pour la sécurité alimentaire et la résilience 2015-2035) placent l’objectif de la sécurité alimentaire comme priorité.
Programmes et projets des ONG (Vision Mondiale, Programme Alimentaire Mondiale) concourent à l’atteinte de la sécurité alimentaire.
Pour y arriver des investissements publics et privés sont nécessaires. Il ne s’agira pas uniquement
d’une volonté politique mais elle doit s’adosser à une réelle stratégie d’investissement.
Ces derniers doivent privilégier le secteur de l’agriculture en lui associant des mécanismes de financement à la portée des petits producteurs. Nous avons pensé que le relèvement du potentiel
agricole doit être accompagné des infrastructures de stockage, de banques céréalières villageoises,
de moyens de productions consistants et de formation et d’encadrement technique.
Tout cela doit se résumer dans une stratégie à moyen et long terme qui permet d’apporter les changements voulus.
Ainsi l’investissement public s’occupera de l’objectif de la production et des mesures
d’accompagnement : distribution, stockage, commercialisation et transformation.
S’agissant de l’investissement privé il est préférable de penser à des mécanismes qui assurent le retour sur investissement. Le fond de garantie déposé auprès des banques et institutions de micro￾finance en est un exemple.
Le succès de l’investissement privé passera par une caution des organisations paysannes ou des communautés elles-mêmes.
Docteur Alexandros Ragoussis de la Société Financière Internationale (IFC) déclara : « les
investissements dans le secteur de l’agriculture est deux fois ou quatre fois plus efficaces qu’en
investissant dans tout autre secteur d’activités pour sortir les gens de la pauvreté extrêmes ». C’est là
une raison de plus vu notre niveau de chômage et la faible contribution de l’agriculture dans le
produit intérieur brut (PIB) de réfléchir du comment potentialiser notre agriculture ? Occupant un
pourcentage assez élevé (55% à 60%) de notre population active il devient non rentable de confiner
ce secteur dans une situation de précarité.
Marchés et sources de financement font partie des contraintes. Docteur Alexandros Ragoussis
prévient en disant que : « l’argent ne sera pas le moteur du développement à lui seul ». Réfléchissons
alors à une utilisation de l’argent suivant un consensus fort avec les acteurs principaux (producteurs
agricoles, pastorales, avicoles etc)
De ce qui précède, il s’avère obligatoire de relever le niveau d’accompagnement politique en
élaborant des stratégies qui prennent en compte l’impact risque des productions alimentaires.
D’après les statistiques disponibles, 95% de notre agriculture est de type familiale, donc tout
investissement doit tenir en compte cette particularité. Il existe des risques si ces producteurs sont
pris isolément d’où la nécessité de considérer les organisations paysannes ou les BCV comme
vecteurs pour canaliser les investissements surtout ceux privés.
Une présence plus marquée des privés dans l’agriculture est notée. Peut-être leur préoccupation
essentielle en termes de production ne vise pas particulièrement la sécurité alimentaire mais ils ont
le mérite d’y contribuer.
L’investissement privé dans l’agriculture offre des opportunités pour des filières industrialisantes (riz,
maïs, tomates etc).
Il y a également l’agro-business qui a sa part de contribution.
Assurant tous ces investissements l’agriculture saura apporter une résilience contre la pauvreté. Elle
n’aura uniquement à assurer la nourriture.
Ndiamé Thiam Agripreneur à Ngaye Mékhé

LEURRES OU LUEUR SUR LA QUESTION DE L’EMPLOI DES JEUNES DANS LE SECTEUR AGRICOLE

0

Par croissanceafrique

Il y a deux ans, nous avons dénoncé l’échec de la politique de l’emploi à travers le programme des domaines agricoles communautaires et le projet Tekki Ndawgni. À l’époque, l’actuel coordonnateur du Prodac estimait que c’était plutôt un problème de communication mais que la volonté de faire bouger les lignes était là .
Un an après, nous nous retrouvons à la case de départ et rien n’a changé sinon des jeunes qui abandonnent faute de renumerations conséquentes.

Il y a moins d’une semaine à peine, notre ministre de l’agriculture trouvait opportun et prioritaire de signer une convention de financement avec des entités telles que le conseil national de la jeunesse ( CNJ) et le collège des jeunes du conseil national pour la concertation et la coopération des ruraux( CNCR).
De tels choix ne pouvaient être pertinents puisque ces structures ne représentent pas l’essentiel des jeunes qui sont confrontés à un problème d’emplois .

Le CNJ est connu sur le terrain comme forme de représentation interlocuteur du pouvoir public mais ses actions relatives au développement en terme de production n’est pas visible.
Ce qui n’est peut être le cas du collège jeunes du CNCR mais cet autre entité a un autre facteur limitant qui est un ostracisme connu, le manque d’ouverture aux autres jeunes et n’impacte en rien les activités des jeunes ruraux qui ne font pas partie de leur organisation.
On veut alors bien connaître les critères sur lesquels monsieur le ministre a retenu ces organisations. Par souci de transparence, de démocratie et surtout d’inclusion, le ministre devrait répondre aux cris de tous les jeunes du pays au lieu d’actionner sur le levier de la sélectivité pour satisfaire des intérêts qui ne font pas l’unanimité.

Ni la démarche ni les objectifs visés, rien ne saurait justifier une telle logique. Quand on veut servir la jeunesse dans son ensemble et celle rurale en particulier, les services du ministère de l’agriculture qui ont tous l’expertise nécessaire pour dynamiser les jeunes librement afin de les faire bénéficier de ces financements. Il n’est donc pas nécessaire de les transiter vers des organisations si opaques .

La jeunesse rurale à déjà montré ses capacités en matière d’expériences professionnelles et ce qui n’est certainement pas le cas de ces jeunes qu’on voit à travers les structures du conseil national de jeunesse .

Trop de politisation ne fait que nous mener vers des échecs. Ces structures qui ont signé ces conventions ne sont pas les plus indiquées ou compétentes dans ce domaine et surtout celui de l’emploi rural.

Étant entendu que les structures signataires ne sont pas les plus indiquées ni les plus adaptées pour ces financements.

Revenons aux expériences retenues des domaines agricoles communautaires on ne fait que constater une situation stagnante.
Revenons aux expériences retenues des domaines agricoles communautaires. On peut par exemple citer les fermes Anida où il y a beaucoup d’îlots d’échec. Les approches et les contenus ne sont pas en adéquation avec les réalités paysannes .
Ces milieux ruraux obéissent à des logiques, des clichés sociaux et surtout à une volonté d’exister. Si ces considérations sont occultées, nous risquons à nouveau de voir les mêmes résultats.

Lorsque le projet Tekki ndawgni cherche à transformer des jeunes en entrepreneurs avec un investissement moyen par jeunes de 350645 f CFA cela prouve encore une fois que le décalage des autorités avec la réalité sur le terrain. Des montants aussi insignifiants ne sauraient apporter des résultats probants.

S’agissant des fermes mises en place par Anida combien ont pratiquement arrêté leurs activités? À titre d’exemple, je vous signale encore celle de Keur Gallo dans la commune de Niakhene et d’autres également vivent des difficultés similaires.

L’inclusion et la participation devraient pouvoir guider les décideurs politiques et les experts. Tant qu’on ne s’éloignera pas de la partisannerie nous irons d’échecs en échecs.

A Sefa l’ancien coordonnateur estimait qu’il y avait 10000 emplois sur 100ha, ce qui veut dire que chaque jeune se contentait de 100m2 sans prévoir chemins ni sentiers. Dans le futur nous exhortons nos autorités à plus de rigueur et de s’ancrer dans la réalité du monde rural en évitant de reproduire les erreurs du passé.

Le pragmatisme tiendra compte de la participation des jeunes dès le début de l’élaboration du projet suivi d’autres étapes.

Les montants débloqués devront exclusivement servir aux véritables destinataires dans un esprit de transparence, d’équité et de compétence.

Ndiame Thiam

Fourniture en électricité : les efforts du Gouvernement de transition

0

Par croissanceafrique

Au Mali, la fourniture en électricité est depuis, prise très au sérieux par le gouvernement de la transition. Lequel a diagnostiqué la situation globale pour y apporter les réponses adéquates. Face à un besoin en énergie pour la période de pointe atteignant les 400 MW, pour une puissance de 300 MW disponible au niveau de l’Edm-sa, soit un déficit à combler de 100 MW, les gouvernements précédents ont entrepris des mesures dont la première mesure se traduit par l’mportation de l’énergie à partir de la Côte d’Ivoire. Il s’agit là d’une option relative à un choix industriel déjà établi. Elle n’est pas durable, mais fut adoptée pour aider le Mali à combler son déficit, en attendant la mise en œuvre de ses moyens propres. Et c’est justement au niveau de ce choix que se trouve la cause des délestages fréquents. Cela, malgré toutes les dispositions prises par les deux parties. La cause : des facteurs climatiques qui ont affecté la production et le réseau de distribution du pays. En deuxième lieu, intervient la mise en place d’une synergie avec les privés pour garantir la disponibilité de puissance. À ce niveau, seuls deux opérateurs ont pu offrir un total de 40 MW. Ce qui ne nous mettait pas toujours à l’abri d’un déficit de 60 MW. Insuffisance encore. Mais pour les autorités de la transition. Il faut aller vite et au-delà de ce qui était envisagé pour la durée. Ainsi, accélérer la construction des sources de production d’énergie locales pour éviter que le même scénario se reproduise en 2022. Déjà, les travaux de construction du barrage de Gouina qui s’achèveront à la fin de l’année connaissent une accélération. Même son de cloche pour les travaux de construction de la centrale de 100 MW à Sirakoro, 50 MW à Fana. En même temps, les travaux de construction du barrage de Kenié dans la région de Koulikoro sont lancés. À l’effet, à la fin de ces travaux, le Mali aura en 2022, près de 450 MW, quantité suffisante pour faire face à la pointe de 2022. Le Gouvernement ne ménage aucun effort pour la mobilisation des ressources pour garantir la permanence en électricité et sortir des délestages. Déjà des montants sont engagés dans des travaux dont les ouvrages sont au stade de finition.

Mahamadou Ousmane

Mahamat Kaka, fils du président tchadien Idriss Déby remplace son père

1

Par croissanceafrique

Mahamat Kaka, fils du président tchadien Idriss Déby, a été désigné chef d’Etat par intérim après la mort de son père, a annoncé mardi un porte-parole de l’armée.

Idriss Déby, 68 ans et qui venait d’être réélu pour un sixième mandat à la tête du Tchad, a été tué mardi alors qu’il s’était rendu auprès des troupes engagées contre des insurgés venus du nord du pays et se dirigeant vers la capitale N’Djamena pour réclamer la fin de sa présidence.

Biographie de Mahamat Kaka, le général

Il a fait le Groupement des écoles militaires interarmées du Tchad puis a fait un bref passage au lycée militaire d’Aix-en-Provence en France. Dès son retour au pays, son père le verse dans la Direction générale de service de sécurité des institutions de l’État (DGSSIE), la garde prétorienne du régime qui comptait à l’époque 7 000 hommes.


En mai 2009, il participe à la bataille victorieuse d’_Am_Dam contre une coalition rebelle menée par Timan_Erdimi (neveu du président Deby), dans l’est du Tchad qui avait fait plus de 400 morts sur un désert.


Dès 2010, il reçoit au sein de la DGSSIE , le commandement de l’escadron blindé et des gardes du corps. En 2012, il est ensuite nommé à la tête du groupement numéro 1 de la DGSSIE (sur trois groupements), chargée de la sécurité du palais présidentiel.

En 2013, il est nommé au poste de commandant en second des Forces armées tchadiennes en intervention au Mali (Fatim), dans le nord du Mali, sous les ordres du général Oumar_Bikomo, il avait été blessé au combat lors de la bataille de Tigharghar au Mali.

Lors de la bataille de Kanem, le weekend dernier, il était l’un de ceux qui commandait la bataille aux côtés de son père avec plusieurs généraux et colonels qui sont la plupart tués et / ou blessés.

Quand à Idriss_Déby, ce n’est pas sa première fois étant président d’être au près de sa troupe aux fronts. 2006, 2008 et tout récemment contre BokoHaram dans le LacTchad

Va en paix le maréchal Idriss Déby Itno, l’histoire retiendra que vous êtes tombé arme à la main comme les soldats.

Moussa Koné

Au Tchad, le président Déby est mort des suites d’une blessure

0

Par croissanceafrique

Le président Idriss Deby Itno vient de donner son dernier souffle. C’est avec une profonde amertume que nous annonçons ce matin le décès du Maréchal du Tchad Idriss Deby Itno », annonce dans une déclaration le porte-parole de l’armée, le général Azem Bermandoa Agouna.

Un conseil militaire de transition est mis en place. Une charte nationale de transition sera promulguée.

Un deuil national de 14 jours est décrété sur toute l’étendue du territoire.

Un couvre-feu allant de 18 heures à 5 heures du matin est instauré sur toute l’étendue du territoire national.

Les frontières terrestres et aériennes sont fermées jusqu’à nouvel ordre.

Côte d’Ivoire : le Trésor public veut garantir sa signature sur le marché des capitaux

0

Par croissanceafrique

Le Trésor public de Côte d’Ivoire a livré le 16 avril 2021, les résultats de son «Audit de suivi N°1 »  visant à maintenir son Certificat à la norme ISO 9001 version 2015, obtenue depuis 2019. L’objectif de cette démarche est de consolider la qualité de la signature de l’État afin de mobiliser des ressources nécessaires au financement du budget sur les marchés financiers et de capitaux.

« Réalisé par le cabinet Afnor, cet audit qui avait à sa tête Amie Mar, auditeur international, n’a enregistré aucune non-conformité. Mais, les auditeurs relèvent 18 points forts et 30 pistes de progrès, ajoutés à l’implication active de tout le personnel dans la mise en œuvre du Système de management de qualité (SMQ), nécessaire pour garantir la signature de l’Etat auprès des marchés financiers », selon Financialafrik

Pourtant, en dépit du maintien du certificat, la régie financière doit cependant « poursuivre les efforts afin de franchir avec succès les étapes du processus de maintien du Certificat, surtout au niveau de l’évaluation et de l’efficacité des actions correctives », notent les résultats de l’évaluation.

Par ailleurs, le directeur général du Trésor, Assahouré Konan Jacques, a félicité le travail accompli par ses collaborateurs et les auditeurs. « Le Trésor public se veut une administration moderne et engagée dans une dynamique d’amélioration continue », a-t-il dit.

Notons que la Côte d’Ivoire a levé le 16 mars, près de 44,12 milliards de F CFA (20,90 milliards de Bons et 21,22 milliards d’obligations) sur le marché des titres de l’Umoa, alors qu’elle recherchait 65 milliards de F CFA.

Tunisie : le produit net bancaire d’Attijari Bank a atteint une hausse de 47,3 millions USD au titre du 1er trimestre 2021!

0

Par croissanceafrique

Au 31 mars 2021, le produit net bancaire (PNB) d’Attijari bank Tunisie s’est situé à 130 millions de dinars (47,3 millions USD) en hausse de 3 % par rapport à mars 2020, selon une note d’indicateur d’activité trimestriel publiée lundi 19 avril à la bourse de Tunis.

Cette croissance est liée essentiellement à l’effet conjugué de la baisse des produits d’exploitation bancaire de 5,8% pour se situer à 202,8 millions de dinars (74 millions USD), et de la régression des charges d’exploitation bancaire de 18,5% à 72, 9 millions de dinars (26,5 millions USD).

Concernant les dépôts de la clientèle, ils ont connu une progression de 14% par rapport au 31 mars 2020. Les dépôts à vue et les comptes d’épargne ont évolué respectivement de 13% et de 12%. Quant aux encours de crédits, ils ont augmenté de 2 % par rapport à fin mars 2020 pour s’établir à 5.935 millions de dinars (2 milliards USD).

Par ailleurs, la banque a informé dans le document avoir procédé à l’inauguration d’un deuxième centre «Dar Al Macharii » à Sfax. Cette entité est spécialisée dans l’accompagnement et le conseil gratuit des jeunes, des porteurs de projets, des autoentrepreneurs et des très petites entreprises, clients et non clients de la banque conjuguant services financiers et non financiers.

L’établissement a également procédé à la signature d’un accord avec la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD). Cette convention porte sur un mécanisme de partage des risques visant à faciliter l’accès des PME tunisiennes au financement, et d’une convention selon les standards de l’ISDA. Ce qui permettra aux institutions de conclure, à l’avenir, des opérations portant sur des instruments de marché.

Zangouna Koné

Le Groupe BGFIBank à la hauteur de ses ambitions : un Résultat Net record en progression de 114% au terme de l’année 2020

0

Par croissanceafrique

Réuni le 2 avril 2021, sous la présidence de Monsieur Henri-Claude OYIMA, le Conseil d’Administration de BGFI Holding Corporation a examiné les activités du Groupe BGFIBank au titre de l’exercice clos le 31 décembre 2020 et arrêté les comptes dudit exercice. Cette session fut l’occasion de passer en revue une année 2020 sujette à de nombreux challenges et marquée par des performances remarquables, malgré un contexte économique et social impacté par la crise sanitaire liée à la pandémie de la COVID-19.

L’exercice 2020 qui a été l’année de clôture du Projet d’Entreprise du Groupe BGFIBank «Excellence 2020» s’est terminée avec un résultat net consolidé qui a atteint le niveau historique de 44 milliards de FCFA, soit une hausse de 114% par rapport à l’exercice 2019. Le Groupe BGFIBank qui évolue dans des environnements juridiques et règlementaires de plus en plus exigeants a su démontrer une fois de plus sa résilience.Voir tous les résultats de Groupe BGFIBank.