Le Zimbabwe prévoit d’injecter 500 millions $ dans la relance de son secteur touristique, fortement menacé par la pandémie du coronavirus.
Selon l’agence ecofin « Le pays qui s’est récemment doté d’une stratégie de relance et de croissance du tourisme lancée par le président Mnangagwa « himself », espère, avec les investissements annoncés, porter à 5 milliards $ cette industrie d’ici à 2025″, a-t-elle rapporté
« La réalisation de ce plan passera par l’octroi de financements accrus aux entreprises touristiques touchées, ainsi qu’aux petits et moyens acteurs de la chaîne de valeur du tourisme, via un fonds renouvelable pour le tourisme »précisé l’agence ecofin.
Les investissements devraient « dès maintenant » être orientés vers la construction des logements et des infrastructures appropriés, susceptibles de créer des emplois et des opportunités, souligne Harare.
En particulier, le pays table sur le potentiel énorme d’investissements que représentent les Chutes Victoria. Sur les deux dernières années, elles ont attiré environ 300 millions $.
Notons que le Zimbabwe qui ambitionne à l’horizon 2030 de devenir un pays à revenu moyen supérieur, veut ainsi faire du tourisme l’un des quatre piliers de sa croissance économique aux côtés de l’agriculture, l’exploitation minière et l’industrie manufacturière.
ur la route d’Abobodoume côté gare bateau bus ce jeudi matin (ph KOACI)
Des barricades dressées de bric et de broc, ont été disposées tôt ce matin sur des voies des communes de Yopougon et de Gonzagueville comme constaté sur place à Abidjan par KOACI.
Le dispositif mis en place par des jeunes qui ont répondu à l’appel de l’opposition pour manifester contre la candidature d’Alassane Ouattara à la présidentielle d’octobre, perturbent la circulation des travailleurs.
Pire, après que des bus aient eu à essuyer des projectiles, la SOTRA a décidé de suspendre leur circulation à Yopougon, commune réputée pour être un fief du FPI de Laurent Gbagbo, pour éviter une note de réparation trop salée.
Si aucun heurts n’ont à cette heure été signalés, au delà de ces désagrements pour ceux de la plus grande commune d’Abidjan qui doivent se déplacer qui vont jusqu’à l’autoroute du Nord, elle aussi perturbée, tout indique que les forces de sécurité disperseront avec le plus de diplomatie possible dans un premier temps, ces perturbateurs.
Par ailleurs, d’autres barricades
ont été signalées sur l’axe est qui mène à Abidjan du côté du quartier
populaire de Gonzagueville. Elles sont en cours de démantèlement.
Circulation perturbée sur l’autoroute du Nord ce matin
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A Cocody, commune phare du PDCI (parti qui appelle à manifester,
ndlr) où vit la classe moyenne et riche, aucune perturbation signalée.
A Bonoua, autre fief du FPI, plus d’une centaine de jeunes sont sortis pour exprimer leur désaccord avec la décision survenue dans un contexte de cas de force majeure, sans précédent dans l’histoire du Pays.
Si à cette heure nous sommes loin des prévisions catastrophiques hier prédits par certains, tel un test, les observateur suivent de près la situation.
Mamadou Bocar Sy a été reconduit par accalamation, mercredi 12 août 2020, à la présidence de l’Association Professionnelle des Banques et Etablissements financiers du Sénégal (APBEF) pour un mandat de deux ans. C’était en marge de l’Assemblée générale ordinaire (AGO) du groupement bancaire.
Durant son précédent mandat, Mamadou Bocar Sy a piloté des chantiers qui ont restauré la visibilité de l’association avec l’acquisition d’un site pour son siège et l’engagement dans un dialogue fécond et permanent avec les acteurs économiques, clients et autorités. L’ADG de la BHS a en fait appliqué sa méthode de gouvernance expérimentée avec les acteurs de l’immobilier, à savoir l’écoute et le partage d’informations.
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Ce résultat est passé de 13,884 milliards de FCFA au 30 juin 2019 à 14,586 milliards de FCFA un an plus tard, soit une augmentation de 702 millions de FCFA. Quant au chiffre d’affaires de cette société, il est également en hausse de 2,1%, s’établissant à 79,995 milliards de FCFA contre 78,361 milliards de FCFA au premier semestre 2019.
Le résultat d’exploitation a, de son côté, progressé de 9,2%, passant de 21,495 milliards de FCFA au 30 juin 2019 à 23,480 milliards de FCFA au 30 juin 2020. La tendance haussière est aussi perceptible au niveau du résultat des activités ordinaires avec une réalisation se situant à 20,892 milliards de FCFA contre 20,062 milliards de FCFA un an auparavant (+4,1%).
Au 30 juin 2020, l’ONATEL a renforcé sa base clients mobile de 11,3% à 8,930 millions contre 8,020 millions au 30 juin 2019. Quant au parc fixe, il est en baisse de 2,6%, ressortant à 74.562 clients contre 76.576 clients au premier semestre 2019.
Au niveau du parc internet (fixe et mobile), une forte progression de 46,4% est relevée avec une base clientèle qui s’établit à 4,042 millions au 30 juin 2020 contre 2,760 millions un an auparavant.
L’information a été confirmée par Financiafrik. Acculée par les autorités angolaises pour une affaire de corruption, la Isabel Dos Stantos a démissionné du conseil d’administration du premier opérateur mobile du pays, Unitel, dont elle détient 25% du capital.
Dans un communiqué publié, mardi 11 août, la milliardaire a déclaré: «après vingt années dédiées à la création, au développement et au succès d’Unitel, je décide de démissionner de mon poste de membre du conseil d’administration de la société». Cette décision, se justifie du fait «qu’il est contre-productif et irresponsable d’admettre un climat de conflit permanent et de politisation systématique des administrateurs».
Depuis le 30 décembre dernier, la fille de l’ex-président angolais José Eduardo dos Santos est poursuivie par la justice angolaise pour une affaire de délits dont fraude, détournement de fonds et blanchiment d’argent. La justice angolaise a gelé les avoirs de la 8ème fortune d’Afrique dans son pays. Le gouvernement l’a accusé, son époux et elle, d’avoir détourné environ 1,1 milliard de dollars. Isabel dos Santos a nié toutes ses accusations, dénonçant un acharnement politique, visant tout simplement à détruire la famille Santos.
Depuis son accession au pouvoir en septembre 2017, l’actuel président, Joao Lourenço, a mené une chasse aux sorcières du clan Jose Eduardo dos Santos. L’homme fort de Luanda a limogé tous les proches de son prédécesseur au nom de la lutte contre la corruption. Premier opérateur télécoms en Angola, Unitel est détenu à 25% par l’entreprise d’isabel, Vidatel , à 50 % par la compagnie pétrolière nationale angolaise Sonangol (50%, après le rachat des parts de PT Ventures le 26 janvier 2020) et la société angolaise Geni (25%).
La Conférence des Chefs d’Etat de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) a renouvelé le bail du gouverneur de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) pour un mandat de 6 ans, a appris Financial Afrik des sources internes de l’institution. Porté à la tête de l’institution pour la première fois le 30 mai 2011 pour mettre fin à l’intérim consécutif à la crise ivoirienne et au départ de son prédécesseur, démissionnaire, Tiémoko Meyliet KONE a été reconduit le 17 août 2014 pour un mandat de 6 six ans par la Conférence des Chefs d’État.
Ce choix unanime des chefs d’Etat de l’UEMOA est en fait celui de la “stabilité”, de la “rigueur” et de l’expérience, explique-t-on. M. Tiémoko Meyliet KONE est arrivé très jeune à la BCEAO et fut témoin de la transition entre les cadres français et africains et de la grande opération de rapatriement du siège de la banque en Afrique.
Recruté sur concours après ses études supérieures, puis versé dans l’encadrement supérieur de la Banque en 1975, il y a accompli la plus grande partie de sa carrière, ayant été successivement, Directeur Central de l’émission et des Opérations Financières au siège de la BCEAO à Dakar, et à ce titre, il était également membre du Comité d’Analyse de la conjoncture interne et internationale.
De 1991 à 1998, il a été Directeur National de la BCEAO pour la Côte d’Ivoire et Gouverneur suppléant au Fonds Monétaire International. Puis, tour à tour, Conseiller du Gouverneur de la BCEAO et Directeur du Département de l’Administration Générale et de la Formation et Conseiller Spécial du Gouverneur et Contrôleur Général de la BCEAOCumulativement, Tiémoko Meyliet KONE a été Président du Conseil d’Administration de la CRRAE-UMOA (Caisse de Retraite par Répartition des Agents de l’UMOA) de 1996 à 2006.
Par la suite, en 2007, M. Tiémoko KONE a intégré l’Administration Publique Ivoirienne au sein de laquelle il a occupé les fonctions de Directeur de Cabinet du Premier Ministre de la République de Côte d’Ivoire, avec rang de Ministre (2007 à 2010), de Ministre de la Construction, de l’Urbanisme et de l’Habitat puis, enfin, de décembre 2010 à mai 2011, celles de Conseiller Spécial du Président de la République, Chargé des Affaires Economiques et Financières.
Par ailleurs, dans le cadre de ses fonctions actuelles, le Gouverneur Koné est aussi, Président du Comité de Politique Monétaire de la BCEAO, Président de la Commission Bancaire de l’UMOA, Président du Comité de Stabilité Financière de l’UEMOA, Président du Comité d’Orientation de l’Agence UMOA Titres et Président du Conseil d’Administration du CESAG (Centre Africain d’Etudes Supérieures en Gestion). Au plan international, le Gouverneur Tiémoko Meyliet Koné est Membre du Conseil d’Administration de l’Alliance Mondiale pour l’Inclusion Financière (AFI).
Selon financialafrik « Durant ses différentes étapes de sa carrière, le gouverneur a reçu plusieurs distinctions dont celles du Commandeur de l’Ordre International des Palmes Académiques du CAMES (Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur), Commandeur de l’Ordre National de Côte d’Ivoire, Commandeur de l’Ordre National de Guinée Bissau, Grand Officier de l’Ordre National du Bénin et Officier de la Légion d’Honneur Française », affirme le mledias panafricain.
Véritable mémoire institutionnelle vivante de la BCEAO, le gouverneur est un banquier central orthodoxe mais à l’écoute des mutations de son monde comme le témoigne le lancement des covid bonds, ces instruments de financement des Etats de l’UEMOA qui ont valu à l’institution les éloges du FMI.
Selon les informations, le Sénégal s’apprête à rejoindre l’Agence africaine pour l’assurance commerciale (ACA), l’institution en charge du risque pays et de l’assurance export entre Etats africains.
« La demande d’adhésion du Sénégal a été examinée lors de la 19 ème Assemblée générale des Etats membres tenue à Cotonou en date du 5 juillet 2019. La candidature de la deuxième économique de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) a été approuvée. A noter que le conseil des ministres du gouvernement sénégalais tenu le 18 décembre 2019 avait examiné et adopté un projet de loi autorisant la ratification de l’accord portant création de l’ACA », rapporte nos confrères de financialafrik
Notons qu’un contrat de financement est en cours de finalisation entre le Sénégal et la Banque Européenne d’Investissement (BEI) pour la participation du pays au capital de l’ACA. En plus du Nigeria qui vient de concrétiser son adhésion cette semaine, l’ACA compte désormais 16 membres, à savoir le Bénin, le Burundi, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, le Ghana, le Kenya, Madagascar, Malawi, l’Ouganda, la République démocratique du Congo, le Rwanda, le Sud-Soudan, la Tanzanie, la Zambie et le Zimbabwe.
Ce Lundi 10 Août la commune rurale de Kébila située dans le cercle de Kolondiéba a enregistré une inondation causée par des pluies diluviennes (plusieurs dizaines de mm enregistrée entre 03h-07h30 du Matin).
Le bilan provisoire fait état d’aucune perte en vie humaine (Dieu Merci). Néanmoins, on dénombre 313 sinistrés, 22 maisons écroulées ; des mobiliers de maison et des ustensiles de cuisine emportés par l’eau. En outre, 19 chèvres, 07 moutons, 03 ânes ainsi que toute la volaille ont été décimés.
Dieu merci qu’il n’y ait eu que des dégâts matériels car en raison de l’intensité de la pluie enregistrée, ce bilan aurait pu être pire. C’est également le lieu de mentionner la justesse de l’alerte donnée vers 08h30 par l’adjoint au maire (Mr Karim Koné) à la Direction régionale de la protection civile de Bougouni.
L’occasion est aussi opportune pour saluer la promptitude et l’efficacité de l’intervention de l’équipe dirigée par le Commandant Mohamed SAMAKE, Directeur Régional de la Protection civile de Bougouni qui, en moins d’1h après avoir été alertée était sur les lieux pour sécuriser les personnes et leurs biens et, procéder à l’évaluation des dégâts enregistrés. À l’ensemble des acteurs qui ont contribué à la gestion de cette situation de crise, merci pour l’attachement au service public.
En ce qui concerne honorables députés de la localité, dans un premier temps, ont apporté leur assistance aux sinistrés dans le cadre des premiers secours. En second lieu, ils sont dit-ils « en train de collecter, et faire des quêtes dans un élan de solidarité pour aider les populations concernées à traverser cette période si difficile où certains ont tout simplement tout perdu« , affirme-t-ils.
En troisième lieu, accompagnés des autorités régionales, dans les prochains jours « nous allons nous rendre à Kébila pour non seulement leur exprimer notre compassion mais aussi leur témoigner notre solidarité et s’il plait à Dieu, leur remettre les aides que nous aurons pu collecter », a-t-il dit, l’honorable Sidiki Nfa Konaté.
Siège de la Banque Islamique de Développement à Jiddah (Royaume d'Arabie saoudite)
Alors que l’impact de la pandémie de la COVID-19 se fait ressentir sur les capacités de l’ACBF à fonctionner à plein régime, la Banque islamique de développement (BID) et la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) ont réitéré leur détermination à travailler en collaboration avec l’ACBF pour accompagner les pays africains dans la lutte contre la pandémie de coronavirus et ses conséquences.
L’accord de la BID et de la BADEA de continuer à travailler avec l’ACBF pour appuyer les pays africains qui sont aussi des États membres et des bénéficiaires des deux banques, a été chaleureusement accueilli pendant la session de réflexion organisée par l’ACBF. Au moins, la moitié des pays africains seraient membres de la BID.
Le Coordinateur régional principal de la coopération technique en Afrique, M. Sameh HUSSEIN, a déclaré que la Banque avait prévu 2,3 milliards de dollars à allouer sous forme de prêts concessionnels aux pays membres, pour les aider à lutter contre la pandémie de la COVID-19.
La Banque a également fait savoir qu’elle était prête à s’associer aux parties prenantes, notamment l’ACBF, dans trois domaines d’action, notamment ; le renforcement des capacités et la mise en réseau des laboratoires africains pour les équiper de kits essentiels et de matériel consommable, afin de produire des préparations de protocoles révisées par les pairs, et de procéder aux échanges d’expériences pratiques.
« Dans le cadre de sa riposte à la COVID-19, la BID a organisé une formation en ligne sur la préparation et la réponse à la pandémie à l’intention de 5 000 professionnels de la santé africains (couvrant les tests, la recherche des contacts et la gestion des patients). La Banque poursuivra ce le programme de formation pendant les prochains mois et compte sur l’expertise de l’ACBF pour l’exécuter, » a déclaré M. Hussein.
De même, M. Tshepelayi KABATA (Dr), Conseiller technique au Cabinet du Directeur général de la BADEA, a déclaré que son institution avait rapidement mis en place un Fonds d’urgence de 100 millions de dollars pour aider les pays africains à lutter contre cette crise sanitaire et ses répercussions économiques. Selon M. Kabata (Dr), cette facilité de 100 millions de dollars est prête bien que de nombreux pays aient du mal à préparer leur réponse à la crise sanitaire et à la crise économique.
« Certains pays se seraient focalisés uniquement sur la riposte sanitaire, d’autres ont associé les dimensions sanitaire et économique, mais certains qui pensent que rien n’a changé, ont par conséquent négligé la crise sanitaire en faveur de sa dimension économique. Mais nous savons que le redressement économique ne se fera pas tant que nous n’aurons pas résolu le problème sanitaire. À cet égard, l’ACBF peut jouer un rôle clé maintenant et à l’avenir », a déclaré M. Kabata.
Il a dit la BADEA s’est engagée à continuer à travailler en collaboration avec l’ACBF pour aider les pays à présenter des propositions solides de « projets bancables » qui seront financés par la Banque pendant et après la pandémie.
Expliquant le fonctionnement de la BADEA, M. Kabata a déclaré que la Banque a quatre priorités essentielles, également connues sous le nom de « piliers » ; des projets du secteur public, tels que les infrastructures ; des projets du secteur privé, y compris le commerce ; des projets du secteur agricole, plus particulièrement des chaînes de valeur agricoles, ainsi que les PME. Les deux banques comptent sur L’ACBF pour aider les pays à préparer des propositions en faveur des PME.
Le professeur Emmanuel NNADOZIE, Secrétaire exécutif de l’ACBF, a adressé ses remerciements aux deux institutions bancaires en promettant que l’ACBF était déterminée à jouer son rôle dans les domaines mis en évidence. « Permettez-moi de vous assurer que ce partenariat sera encore plus solide maintenant en situation d’urgence », a déclaré le Secrétaire exécutif.
A l’image de plusieurs pays de l’espace UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine),dans le cadre de la pandémie de la Covid-19, l’Etat du Niger a saisi le 11 août 2020 les opportunités de la deuxième vague des bons Social Covid-19, en levant auprès des investisseurs opérant sur le marché financier de l’Union monétaire ouest africaine (UMOA) un montant de 110 milliards de FCFA (165 millions d’euros) à l’issue de son émission d’adjudication de bons assimilables du trésor (BAT) à 91 jours.
Ces fonds levés correspondent au même montant obtenu trois mois auparavant.
Selon l’agence UMOA-Titres, le montant des soumissions globales s’est élevé à 146,500 milliards de FCFA sur un montant mis en adjudication de 100 milliards de FCFA. Ce qui donne un taux de couverture du montant mis en adjudication de 146,50%.
Le trésor public nigérien a néanmoins retenu 110 milliards de FCFA et rejeté les 36,500 milliards de FCFA restants, soit un taux d’absorption de 75,09%.
L’émetteur s’est engagé à rembourser le capital le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 10 novembre 2020.
Les intérêts au taux inférieur ou égal à 3,25% sont payables d’avance et précomptés sur la valeur nominale des bons qui est d’un million de FCFA.