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Mali: Le Collectif pour la libération du Président Soumaila CISSÉ reçu par le Cherif de Nioro du sahel

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Le Collectif pour la libération du Président Soumaila CISSÉ a été reçu hier samedi 09 mai à 19h30 par le Cherif de Nioro à son domicile de Nioro du Sahel.

L’objectif de cette rencontre était tout d’abord de remercier le Cherif pour sa promptitude dès les premières heures de l’enlèvement de Soumaïla Cissé et de solliciter ses prières et bénédictions pour obtenir sa libération dans les meilleurs délais .

Il s’est aussi agi de lui faire part de nos inquiétudes et préoccupations sur l’Etat du President Soumaïla Cissé .

Le Cherif a souhaité la bienvenue et a singulièrement remercié le collectif pour l’initiative de sa création en soutien au Président Soumaïla Cissé.

D’après les propos du chérif « Soumaïla Cissé est une grande personnalité de notre pays , qui a occupé de hautes responsabilités et a été plusieurs fois candidat aux élections présidentielles . Il a servi notre pays dedans comme dehors , le pays a encore besoin de lui »

Le Chérif s’est dit meurtri par l’enlèvement du President Soumaïla Cissé et a déclaré qu’il faisait des prières et bénédictions chaque jour pour lui, et qu’il continuera encore ses efforts malgré son âge avancé.

Par ailleurs le Chérif a affirmé être de coeur avec son épouse, sa famille , ses amis ,proches collaborateurs et toutes les personnes de bonne volonté qui sont impliquées dans la libération du Président Soumaïla CISSE

Très optimiste , le Chérif nous a indiqué que s’il plaît à Dieu le President Soumaila CISSE nous reviendra très bientôt et qu’ils se retrouveront très prochainement à Nioro du Sahel .

En retour, nous avons chaleureusement remercié le Chérif pour sa disponibilité à nous recevoir malgré son calendrier de rendez-vous fermé depuis deux mois .

Le Chérif a fini par formuler des bénédictions à l’occasion du mois béni de Ramadan et renouveler ses vœux à l’endroit de tous les maliens et de toutes les maliennes avant de nous souhaiter un bon retour dans nos familles.

Zimbabwe : Caledonia Mining publie ses résultats financiers pour le premier trimestre

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Notons que l'investissement d'Ivanhoe dans Kamoa JV a augmenté de 157,7 millions de dollars pour le compte du premier semestre 2021, passant de 1,29 milliard de dollars au 31 décembre 2020 à environ 1,45 milliard de dollars au 30 juin 2021

La compagnie minière Caledonia Mining, active au Zimbabwe à la mine d’or Blanket, a annoncé mardi ses résultats financiers pour le premier trimestre de l’année. Elle a enregistré des revenus bruts de 23,6 millions $, soit une augmentation de 48 % par rapport aux 15,9 millions $ générés au premier trimestre 2019.

Dans le même temps, l’EBITDA de la société a connu une progression record de 162 % en glissement annuel pour atteindre 10,2 millions $, avec une marge de 43 %. Les flux de trésorerie générés par les activités ont atteint 10,7 millions $, alors que les liquidités nettes sont passées de 8,9 millions $ fin décembre 2019 à 13,8 millions $ au 31 mars 2020.

Il faut noter que ces résultats sont liés à une production de 14 233 onces d’or et une hausse du cours du métal jaune sur les marchés mondiaux. Soulignons aussi que, Caledonia Mining qui a un temps fonctionné à capacité réduite à cause des restrictions imposées pour lutter contre la pandémie de Covid-19, a désormais repris ses activités à un rythme normal.

L’atteinte des objectifs climatiques par les énergies renouvelables nécessitera 500 % de minéraux en plus d’ici 2050

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La production de minéraux tels que le graphite, le lithium et le cobalt devra augmenter de 500 % d’ici 2050 pour satisfaire la demande mondiale croissante en énergie propre. Telle est la principale information du rapport « Minerals for Climate Action : The mineral intensity of the clean energy transition » publié par la Banque mondiale.

Selon l’étude, il faudra plus de 3 milliards de tonnes de minéraux et de métaux pour mettre en place les infrastructures solaires, éoliennes et géothermiques nécessaires à l’atteinte de l’objectif de limitation à moins de 2 °C du réchauffement climatique. Cependant précisent les experts, l’empreinte carbone de l’extraction de ces matières représentera seulement 6 % des émissions de gaz à effet de serre des technologies d’énergie fossiles pour une quantité équivalente d’énergie.

Le rapport met également en évidence le rôle important que pourra jouer le recyclage et la réutilisation des minéraux pour faire face à la croissance de la demande. Cet apport sera certes important pour des minéraux tels que le cuivre ou l’aluminium pouvant être recyclés à 100 %, mais il ne sera pas suffisant.

Gwladys Johnson Akinocho

Rwanda : la filière thé enregistre une bonne performance sur le premier trimestre 2020

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Au Rwanda, la filière thé poursuit sa dynamique de croissance entamée depuis quelques mois.

Sur le premier trimestre 2020, les exportations de thé ont atteint environ 9 317 tonnes pour des recettes de plus de 27,6 millions $ selon les données du Conseil national de développement des exportations agricoles (NAEB). Ces données marquent une hausse de 15 % en volume et de 27 % en valeur comparativement à l’année dernière.

Pour expliquer cette performance trimestrielle, Pie Ntwari, chargé de communication au NAEB, met notamment en lumière une hausse des volumes transformés par les usines ainsi qu’une amélioration des prix sur le marché mondial.

Le montant du kilogramme de thé transformé a ainsi connu un léger bond de 6,6 % passant de 2,7 $ en moyenne en 2019 à 2,88 $ cette année. D’après le responsable, la filière a également été relativement épargnée par la pandémie de coronavirus sur le premier trimestre avec une poursuite des activités dans la chaîne de valeur de la feuille.   

Le Rwanda prévoit d’engranger 102 millions $ à partir de l’exportation de 34 000 tonnes de thé transformé durant l’année fiscale 2019/2020. Pour rappel, la filière thé emploie près de 50 000 personnes. La feuille est cultivée sur 27 000 hectares dans 12 districts du pays des mille collines.  

Mozambique : 59,4 millions $ du PNUD pour la décentralisation et la lutte contre la Covid-19

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 Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a octroyé un appui financier d’un montant de 58 millions $ en faveur du Mozambique, en vue de la mise en œuvre de son programme de gouvernance décentralisée.

La signature de cet accord de financement a eu lieu, le lundi 11 mai 2020, entre le ministère mozambicain des Finances et le bureau du PNUD au Mozambique.

Selon l’institution, ce programme prévu pour une durée de 5 ans vise à faciliter et encourager un système de gouvernement local plus performant afin d’accélérer le processus de développement dans les différentes régions du pays.

Le PNUD a par ailleurs annoncé une aide financière d’un montant de 1,4 million $ en vue d’appuyer la riposte sanitaire contre la pandémie de Covid-19.

Le dernier bilan du Coronavirus à la date du 12 mai, dans le pays, fait état de 103 cas confirmés, 34 patients guéris et aucun décès signalé.

André Chadrak

Bourse de Casablanca: intense course aux abris en avril

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Comme lors de toute grande catastrophe, la course aux abris a rythmé le mois d’avril des investisseurs à la Bourse de Casablanca (BVC). L’indice composite MASI (Moroccan All Shares Index) a baissé de 23% entre le 2 mars 2020 et le 30 avril 2020, bien loin de la ligne des 12 000 lignes atteinte début mars. Le volume de transactions sur le marché central (actions et obligations confondues) a subi une contraction de 63% sur la période, passant de 5 578 millions de dirhams en mars (557 millions d’euros) à 2 154 millions de dirhams (215 millions d’euros).

Les achats ont fondu

Presque toutes les catégories d’investisseurs ont réduit leurs achats à commencer par les OPCVM, qui avaient acquis un cumul de 1 827 millions de dirhams en mars dernier pour seulement 553 millions de dirhams en avril. Les personnes morales marocaines (entreprises et institutions) ont aussi réduit la voilure pour des achats cumulés de 918 millions de dirhams (90 millions d’euros) en avril contre 2 693 millions de dirhams en mars.

La baisse est moins accentuée chez les personnes morales étrangères, qui ont acheté pour 305 millions de dirhams en avril contre 400 millions de dirhams en mars dernier. Les personnes physiques marocaines ont acheté pour 285 millions de dirhams en avril contre 544 millions de dirhams en mars. Quant aux transactions à travers le réseau bancaire, elles sont aussi en retrait, à 72 millions de dirhams en avril contre 98 millions de dirhams en mars. Les personnes physiques étrangères, comptables de 21 millions de dirhams (2 millions d’euros) d’achat en avril contre 16 millions en avril, témoignent d’une tendance positive intéressante si elle était amplifiée par le volume.

Au niveau des ventes, les OPCVM ont vendu pour 1 212 millions de dirhams en avril contre 2 971 millions de dirhams en mars. Les autres catégories d’acteurs observent la même tendance d’une conservation du portefeuille de titres plutôt que d’un bradage. Ainsi, les personnes morales marocaines ont vendu pour un total de 438 millions de dirhams contre 1 559 millions de dirhams un mois plutôt. La baisse des volumes le montre bien, le marché marque une pause après tout préférable à la panique. En attendant d’y voir plus clair avec le mois de mai synonyme de déconfinement et de détente.

RDC : l’INRB va recevoir 500 000 euros de la France pour accroître ses capacités diagnostiques

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La France va octroyer 500.000 euros à l’Institut national de recherche biomédicale pour accroître ses capacités diagnostiques, aux termes d’une convention de soutien signée le 8 mai 2020 par l’ambassadeur français François Pujolas et le professeur Jean-Jacques Muyembe, directeur de l’INRB.


Alloué par le Fonds d’urgence humanitaire, ce soutien financier vise deux objectifs principaux. Il s’agit, en premier lieu, de la sécurisation du site de l’INRB par le renforcement des accès au site avec la mise en place d’un système de vidéosurveillance et d’un accès sécurisé par badge.


Il servira, ensuite, à  l’amélioration des capacités diagnostiques de l’institut pour faire face à la pandémie du COVID-19, à travers l’acquisition de kits d’extraction et de réactifs pour le transport ainsi qu’une contribution aux frais de fonctionnement du laboratoire.


Deux autres conventions ont déjà été signées entre la France et l’INRB.
La première, lancée  par l’envoyé spécial de la France pour la lutte contre Ebola, le professeur Lévy, en octobre 2019, a porté sur le suivi clinique des « vainqueurs » de la maladie à virus Ebola.


La seconde portait sur la création d’un réseau de surveillance et de prévention des épidémies à l’échelle nationale, financé par l’Agence française de développement sur une enveloppe de 5  millions d’euros du Contrat de désendettement et de développement.


«Très satisfait de cette collaboration» , le professeur Muyembe a salué le soutien constant de la France dans la lutte contre les épidémies en RDC.

“Le Covid-19 a causé 16 000 milliards de dollars US de pertes sur les marchés financiers”

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Un entretien exclusif avec Ismaël Cissé, DG de Sirius Capital.

La crise sanitaire engendrée par l’implosion de la pandémie du Covid-19 a mis l’activité mondiale en berne. Une situation qui affecte donc bien évidemment tous les secteurs d’activité. Dans cet entretien, Ismaël Cissé, Directeur Général de Sirius Capital, nous parle de l’impact de cette crise sanitaire sur les marchés Financiers et donne quelques pistes de solutions qui pourraient aider l’économie mondiale à rebondir.

Vous êtes un économiste averti, primé en février 2020 dernier par le magazine anglais «African Leadership Magazine» comme personnalité de l’année en Afrique du Sud. Alors en tant qu’expert, quel est, selon vous, l’impact du COVID-19 sur l’économie mondiale en général et l’économie africaine en particulier ?

En raison de l’ampleur de la pandémie (3,3 millions de cas dont plus de 2 millions de cas actifs) et surtout de la rapidité d’expansion du COVID 19, nous avons assisté depuis le début de l’année à un confinement progressif des économies à l’échelle mondiale. Ceci a un impact direct sur les échanges et le commerce international et, par conséquent, nous laisse entrevoir un impact économique énorme avec une baisse du PIB mondial de 7% au cours du premier trimestre 2020 et de 3% sur l’année 2020 selon certains experts, soit 3 fois plus que lors que la crise financière mondiale de 2008.

Selon la Banque mondiale, la croissance de l’Afrique Subsaharienne devrait se rétracter fortement entre 2019 et 2020, passant de + 2,4 % à -5,1 %, plongeant la région dans sa première récession depuis plus de 25 ans. Les pertes de production liées à la pandémie de Covid-19 sont estimées entre 37 et 79 milliards de dollars en 2020, sous l’effet conjugué de plusieurs facteurs : la désorganisation des échanges et des chaînes de valeur, qui pénalise les exportateurs de produits de base et les pays fortement intégrés dans les filières mondiales ; la réduction des flux de financement étrangers (transferts de fonds des migrants, recettes touristiques, investissements directs étrangers, aide étrangère) et la fuite des capitaux ; l’impact direct de la pandémie sur les systèmes de santé ; et les perturbations consécutives aux mesures de confinement et à la réaction de la population. pour lire la suite veuillez cliquez sur ce liens ci-dessous:

https://www.financialafrik.com/2020/05/12/le-covid-19-a-cause-16-000-milliards-de-dollars-us-de-pertes-sur-les-marches-financiers/

Côte d’Ivoire: le kola, victime du covid-19, des rivalités et des taxes

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par financialafrik/Youssouf kamagaté

En Côte d’Ivoire, la filière Kola fait grise mine. Le Covid-19 est passé par là. Par faute de moyens d’écoulement du produit devant les frontière fermées, la voie ferroviaire est mise a contribution mais les conditions de conservation lors du transport laissent à désirer. Conséquences, des pertes énormes ont été enregistrées, avoisinant les 500 tonnes. Un fait relevé par Lamine Koné, de la Coopérative ivoirienne de production agricole de Côte d’ivoire (Cipaci), exerçant au marché de gros de Bouaké.

Le marché du Kola est très spéculatif. Le prix se fait par l’acheteur, après négociations avec le producteur. Les noix fraîches sont vendues entre 250 Fcfa/kg à 600 Fcfa/kg selon les périodes. Même si la filière est florissante ces dernières années, elle est marquée actuellement par des tensions. Les acteurs sont à couteaux tirés. Pendant que l’interprofession s’active, selon elle, à mieux organiser la corporation, des coopératives se plaignent depuis des semaines de nouvelles taxes qu’on leur aurait exigé sur les routes, en plus du fameux Droit unique de sortie (510Fcfa) jugé élevé par les producteurs.

En ce moment, une taxe supplémentaire est prélevée sur chaque panier à hauteur de 1000 Fcfa. Selon Ouattra Siaka, producteur dans la zone d’Anyama, l’interprofession de la noix de Kola ne joue pas son rôle premier de défendre les intérêts des producteurs. Selon nos investigations, la corporation est minée par une guerre de clan. D’un côté Abdoulaye Diarrassouba , président du conseil de l’interprofession et de l’autre Magloire Konan Abongny, secrétaire général de l’Intercola, soutenu par d’autres organisations du secteurs. Même si nos tentatives pour renter en contact avec les deux parties sont restées vaines, la crise qui secoue la filière Kola risque d’impacter considérablement l’économie nationale aux yeux de nombre d’acteurs. La Côte d’Ivoire est le 1er producteur et exportateur mondial de la noix de Kola avec une production de plus de 260 000 tonnes en 2016, dont 200 000 tonnes exportées.

La Chambre africaine de l’énergie publie des directives urgentes pour la gestion et la sécurité des travailleurs du pétrole pendant la pandémie COVID-19 et les confinements en Afrique

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par Croissanceafrique/rédaction
Ces recommandations portent sur la mobilisation et la démobilisation du personnel, et la remise de notre secteur énergétique au travail en toute sécurité à travers le continent
JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 12 mai 2020/ — Au milieu des effets persistants des confinements dans les pays producteurs de pétrole et de gaz tels que le Nigeria, l’Angola, l’Algérie, l’Égypte, la Libye, le Congo, le Gabon, le Ghana, la Guinée équatoriale, le Soudan du Sud et le Cameroun, la Chambre africaine de l’énergie (www.EnergyChamber.org) émet par la présente des lignes directrices pragmatiques et de bon sens pour les gouvernements, les compagnies pétrolières et le personnel.

Ces recommandations portent sur la mobilisation et la démobilisation du personnel, et la remise de notre secteur énergétique au travail en toute sécurité à travers le continent. Les directives peuvent sont disponibles en libre accès sur www.EnergyChamber.org.

Compte tenu de la pandémie prolongée de Covid-19, l’industrie pétrolière et gazière a été fortement affectée, ce qui accroît la nécessité de porter une attention critique à la sécurité des travailleurs et de mettre en place des procédures pour assurer leur déplacement vers et hors du lieu de travail. Actuellement, les restrictions de voyage ont contraint les opérateurs pétroliers à maintenir leur personnel pendant de longues périodes sur des sites éloignés, augmentant les risques de blessures et d’accidents.

« Nous devons toujours donner la priorité à la santé, à la sécurité et au bien-être des braves travailleurs du pétrole qui continuent de défier les probabilités insurmontables pour maintenir la production d’énergie à travers le continent, » a déclaré NJ Ayuk, président de la Chambre africaine de l’énergie. « Tous les opérateurs pétroliers et gaziers en amont font face à des défis similaires en raison de la réduction de la main-d’œuvre et des périodes prolongées de verrouillage et de restrictions de voyage. Nos directives placent la sécurité des travailleurs, des communautés d’accueil et des opérateurs pétroliers au cœur des opérations de l’industrie et de la reprise du secteur. »

« Ces directives non exhaustives aideront les opérateurs et les gouvernements à assurer le mouvement et la sécurité des travailleurs pétroliers offshore et onshore afin que les opérations pétrolières et gazières puissent se poursuivre tout en empêchant toute propagation supplémentaire de Covid-19», a conclu Ayuk.

Afin de s’assurer que les normes et pratiques de santé et de sécurité dans l’industrie du pétrole et du gaz s’adaptent à un nouvel environnement, la Chambre africaine de l’énergie a travaillé avec ses partenaires pour publier ce nouvel ensemble de directives consultatives. Elles prennent notamment en compte les réglementations locales dans les pays d’accueil et tiennent compte de la nécessité de protéger les communautés locales contre toute exposition à une transmission potentielle de Covid-19.

Elles comprennent notamment une série d’accords et de protocoles régissant la surveillance de la santé et les autorisations de voyage accordées aux travailleurs du pétrole avant, pendant et après leur mobilisation sur le site de travail. Elles prennent en compte les meilleures pratiques de santé internationales afin d’assurer à la fois une poursuite et une reprise en toute sécurité des activités onshore et offshore, tout en préservant la santé des travailleurs du pétrole, ainsi que des pays et des communautés d’accueil.Distribué par APO Group pour African Energy Chamb