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Un fonds dédié au financement d’infrastructures de santé en Afrique reçoit un apport de 10 millions $ de la BAD

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Razorite Healthcare Africa Fund 1 (RHAF1) domicilié à Maurice et dédié au financement d’infrastructures de santé en Afrique recevra un investissement de 10 millions $ de la Banque africaine de développement (BAD). Cet apport permettra au fonds qui vise une levée finale de 100 millions $ de soutenir des entreprises d’Afrique subsaharienne axées sur le secteur des soins de santé et présentant un fort potentiel de croissance.

La ressource servira également à financer la construction de nouvelles infrastructures de soins de santé dans plusieurs pays africains confrontés à une demande croissante de services de qualité et à faible coût.

La BAD qui a approuvé cet engagement via son conseil d’administration espère que d’autres institutions de financement du développement ainsi que des investisseurs mobiliseront des capitaux au sein de RHAF1 afin de développer les infrastructures de santé sur le continent.

Chamberline Moko

Le sud-africain Capitec Bank ne distribuera pas de dividendes pour son exercice 2019/2020

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Capitec Bank Holdings, une importante institution financière basée en Afrique du Sud, a prévu de ne pas distribuer de dividendes finaux pour son exercice annuel s’achevant fin février 2020. « Après de longues délibérations, le conseil d’administration a décidé de soutenir les orientations de la Banque centrale et s’est prononcé contre la distribution d’un dividende ordinaire final », a déclaré le groupe bancaire qui normalement reverse 40% de son bénéfice aux actionnaires.

Bien plus que de vouloir se conformer aux prescriptions de la Banque centrale sud-africaine, les dirigeants de Capitec Bank ont simplement estimé qu’il fallait par prudence préserver les ressources pour réponde de façon plus flexible aux types de conséquences que pourrait générer la pandémie actuelle de covid-19. En rand, les performances du groupe s’affichent toutes en hausse.

Capitec Bank a annoncé une augmentation de 19% de son bénéfice net au cours du récent exercice. Son bénéfice par action (la principale mesure de rentabilité en Afrique du Sud) était de 54,3 rands (3,02 $) contre 45,6 rands, un an plus tôt.

Dans le détail, la Banque subit une certaine pression. Ses dirigeants ont dans une communication financière récente prédit une hausse de bénéfice net située dans la fourchette de +18% et +21%. La performance annoncée est en dessous des prévisions.

Le groupe compte aussi de nombreux actionnaires non sud-africains qui dans leurs portefeuilles d’investissement, perçoivent sa performance en dollar. Or vu sous cet angle, les revenus de Capitec Bank ont affiché une croissance de 14,4%. C’est la plus mauvaise performance de cet indicateur depuis trois ans, après +17,2% fin février 2018 et +16,4% pour la même période en 2019.

Enfin, le groupe financier a terminé l’exercice 2019/2020 avec une trésorerie supplémentaire de 13 milliards de rands, largement au-dessus des 4 milliards de rands de l’exercice précédent. Cette performance a été soutenue par une hausse des revenus des activités ordinaires, mais aussi et surtout parce que contrairement à l’exercice 2019, Capitec Bank n’a immobilisé aucune de ses ressources financières dans des dépôts à terme contre un placement de 10 milliards de rands précédemment.

Idriss Linge

Le Sénégal obtient 442 millions $ du FMI et voit ses perspectives de croissance reculer à 3% du PIB en 2020

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Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé le 13 avril, le décaissement de 442 millions $ en faveur du Sénégal au titre de la facilité de crédit rapide (FCR) et de l’instrument de financement rapide (IFR) en vue d’aider ce pays à répondre aux besoins urgents de financement de la balance des paiements qui résultent de la pandémie de covid-19.

Cet appui financier se décline d’une part, en un achat au titre de l’IFR équivalant à 215,7 millions de droits de tirage spéciaux, soit environ 294,7 millions $ (ou 67 % de la quote-part) et d’autre part, en un décaissement au titre de la FCR équivalant à 107,9 millions de droits de tirage spéciaux, soit environ 147,4 millions $ (ou 33 % de la quote-part).

Face à la pandémie, les autorités ont agi rapidement pour en atténuer l’impact en augmentant les dépenses de santé et en offrant une aide ciblée aux ménages vulnérables et aux entreprises avec notamment une aide alimentaire, la suspension des paiements des factures de services publics pour les populations les plus pauvres et des allégements fiscaux ciblés.

Ces différentes mesures ainsi que la forte réduction de l’activité économique en raison de cette pandémie ont créé un besoin urgent de financement de la balance des paiements et du budget du Sénégal. Le financement du FMI contribuera ainsi à préserver l’espace budgétaire et à catalyser une aide supplémentaire de la communauté internationale de préférence sous forme de dons.

Alors qu’elle est attendue à 5,3% du PIB en 2019 selon les estimations préliminaires du FMI, la croissance économique du Sénégal devrait reculer à 3% en 2020 sous l’effet du covid-19. Toutefois, elle devrait rebondir respectivement à 5,5% et 8% du PIB en 2021 et 2022.

Borgia Kobri

Libye : le gouvernement d’union nationale envisage d’intensifier son offensive militaire, malgré l’urgence sanitaire

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Le gouvernement libyen soutenu par la communauté internationale envisage d’intensifier son offensive militaire contre le maréchal Khalifa Haftar. L’annonce a été faite cette semaine par Fathi Bashagha (photo), ministre de l’Intérieur du gouvernement d’union nationale dirigé par Fayez el-Sarraj.

L’offensive vise à réduire l’influence de l’Armée nationale libyenne du maréchal Haftar qui ces dernières années, a étendu son emprise sur les territoires du sud et de nombreux champs pétroliers du pays. « Nous prévoyons de reprendre toutes les zones qui étaient sous le gouvernement d’accord national », a indiqué le ministre Bashagha dans une interview accordée à l’agence de presse Bloomberg.

L’annonce intervient quelques heures après que les forces fidèles au gouvernement soutenu par la communauté internationale ont annoncé avoir repris le contrôle de plusieurs zones dans l’ouest du pays. En pleine épidémie de covid-19, la Libye reste déchirée par un conflit politique qui dure depuis 2011 ; ce qui fait craindre une véritable catastrophe humanitaire dans le pays. Ce week-end, l’envoyée des Nations unies en Libye, Stephanie Williams, a averti que l’escalade des combats faisait peser de nouvelles contraintes sur les infrastructures sanitaires déjà décimées du pays, alors que des bombardements avaient déjà entraîné la fermeture de l’un des plus grands hôpitaux de Tripoli.

« Il ne peut y avoir de victoire militaire complète en Libye, mais il n’y a pas de solution politique avec Haftar », a déclaré Fathi Bashagha, appelant les principaux soutiens de l’ANL à reconsidérer leurs positions. A ce jour, le pays a déjà enregistré 26 cas officiels de covid-19.

Moutiou Adjibi Nourou

Covid-19: Le Mali enregistre 21 nouveaux cas testés positifs, 3 cas de deccès et 8 geurisons.

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Dans le communiqué N°40 MSAS Covid19
la situation de la lutte contre la maladie à coronavirus au Mali, à la date du 14 avril :
21 cas confirmés, 3 cas de décès, 8 nouvelles guérisons (ce fait un total de 34 patients guéris. Prudence et vigilance recommandées.

RIPOSTE CONTRE LE COVID19 AU MALI: la Banque Mondiale contribue à hauteur 15,60 milliards de F CFA

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Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, ministre de l’Economie et des Finances, Dr Boubou Cissé et le Groupe de la Banque mondiale au Mali, représenté par la Directrice des Opérations, Mme Soukeyna Kane, ont signé un accord de financement d’un montant de 15,60 milliards de F CFA, relatif au projet de riposte d’urgence à la pandémie de Covid-19. C’était ce mardi 14 avril 2020 à la Primature, en présence du ministre de la Santé et des Affaires sociales, M. Michel Sidibé.

Composé d’un don de 7,8 milliards FCFA et d’un prêt du même montant, ce financement a pour objectif principal de renforcer la capacité du Gouvernement du Mali dans la gestion de la pandémie à coronavirus et ses conséquences. Et cela, conformément à la Politique nationale de lutte contre la pandémie de COVID-19 préconisée par le Président de la République lors de la session extraordinaire du Conseil supérieur de la défense nationale du 17 mars 2020.

Le projet de riposte d’urgence à la pandémie du Covid-19 vise à faire face à la crise sanitaire sur toute l’étendue du territoire national; grâce notamment à l’amélioration de l’accès aux soins de santé et à la promotion d’une réponse intégrée à la pandémie par le biais du renforcement des moyens de dépistage, de détection et de traitement des patients, ainsi qu’à l’amélioration des capacités des laboratoires et des moyens de veille sanitaire.
Il comprend trois composantes :
1-la réponse urgente au Covid-19 ;
2- l’augmentation de l’accès aux soins de santé et;
3- la gestion de la mise en œuvre et le suivi/évaluation, conformément aux initiatives entreprises par le Gouvernement du Mali et ses Partenaires Techniques et Financiers.

Le projet permettra de renforcer la surveillance, la détection et la gestion des cas à Bamako, dans les régions et les districts sanitaires. Il permettra également de rendre disponibles 100 cliniques modulaires pour accroître la capacité en lits du Mali et d’augmenter la fourniture d’équipements de protection individuelle.
Il prévoit également, la formation du personnel de santé, l’augmentation de son effectif et l’octroi de primes pour lui permettre d’exercer dans de meilleures conditions. Les structures de santé devant prendre en charge des patients du Covid-19 recevront elles aussi, une aide financière.

Enfin, les ménages affectés bénéficieront d’un soutien financier, de denrées alimentaires et de produits essentiels pour leur permettre de faire face aux mesures prises pour freiner la propagation de la maladie.
Selon la Directrice des Opérations de la Banque mondiale, ce soutien d’urgence n’est que le début d’un effort plus vaste que le Groupe de la Banque mondiale prévoit de fournir aux pays qu’il finance.

Le Premier ministre a remercié les autorités du Groupe de la Banque mondiale pour la promptitude avec laquelle l’Institution est intervenue pour soutenir le Gouvernement du Mali dans ses efforts de prévention et de lutte contre la pandémie du COVID-19.

Face à la crise du coronavirus, les pays d’Amérique latine et des Caraïbes doivent déployer des politiques cohérentes

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Croissanceafrique— La région de l’Amérique latine et des Caraïbes subit une sévère correction de sa croissance sous l’effet de la crise liée à la pandémie de Covid-19 (coronavirus) contre laquelle il va falloir déployer un certain nombre de mesures politiques pour soutenir les plus fragiles, éviter une crise financière et protéger l’emploi, selon un nouveau rapport de la Banque mondiale.

Dans son dernier rapport semestriel, intitulé The Economy in the Time of Covid-19, le Bureau de l’économiste en chef de la Banque mondiale pour l’Amérique latine et les Caraïbes préconise de renforcer et d’étendre rapidement les programmes existants de protection et d’assistance sociales afin d’aider les populations vulnérables à supporter les pertes économiques engendrées par le confinement.

Dans le même temps, les gouvernements vont probablement devoir soutenir les institutions financières et les plus gros pourvoyeurs d’emplois.

« Nous devons aider les gens face à ces difficultés incroyables tout en veillant à ce que les marchés financiers et les employeurs parviennent à surmonter cette crise, souligne Humberto López, vice-président par intérim de la Banque mondiale pour l’Amérique latine et les CaraïbesCela implique de limiter les dégâts et de poser les jalons d’une reprise aussi rapide que possible. »

Depuis un an, la région subit une série de chocs économiques — troubles sociaux, effondrement des cours internationaux du pétrole et, maintenant, crise du coronavirus — au détriment de la croissance. Selon le rapport*, le produit intérieur brut de la région (hors Venezuela) devrait céder 4,6 % en 2020, avant un rebond attendu de 2,6 % en 2021.

La pandémie de coronavirus provoque un choc majeur sur l’offre, tandis que la demande émanant de Chine et des pays du G7 s’est effondrée, pénalisant les pays exportateurs de produits de base en Amérique du Sud comme les pays exportateurs de produits manufacturés et de services en Amérique centrale et aux Caraïbes, ces derniers étant pour certains victimes par ailleurs d’un effondrement du tourisme.

De nombreux pays de la région doivent affronter la crise avec des marges de manœuvre budgétaire limitées. L’importance du secteur informel complique la donne, l’accompagnement de tous les ménages et la protection de toutes les sources d’emploi étant difficiles à concrétiser. Quantité de familles vivent au jour le jour et n’ont pas les moyens de tenir pendant les périodes de confinement et de quarantaine, indispensables pour enrayer la propagation du virus. Beaucoup sont également tributaires des envois de fonds de leurs proches qui ont émigré, actuellement en chute libre. Pour aider les populations vulnérables à traverser cette crise, les programmes existants de protection et d’assistance sociales doivent être rapidement renforcés et étendus.

De leur côté, les gouvernements vont devoir assumer l’essentiel du manque à gagner. La socialisation des pertes pourrait conduire à prendre des participations dans des institutions financières et des entreprises stratégiques, à travers des opérations de recapitalisation — autant d’interventions jugées vitales pour préserver l’emploi et jeter les bases de la reprise.

Mais ces processus doivent être transparents et la gestion de ces actifs nouvellement acquis doit reposer sur des modalités solides, inspirées des meilleures pratiques des fonds souverains et des sociétés de gestion de patrimoine.

« Les gouvernements de la région sont confrontés à un défi considérable, puisqu’ils doivent à la fois protéger les vies humaines et limiter l’impact d’une récession économique, déclare Martín Rama, économiste en chef de la Banque mondiale pour l’Amérique latine et les CaraïbesCela va nécessiter de déployer des politiques cohérentes et ciblées sur une échelle rarement atteinte jusqu’ici. »

Le dispositif de soutien du Groupe de la Banque mondiale face à la pandémie de coronavirus (Covid-19) :

Le Groupe de la Banque mondiale prend des mesures rapides et de grande envergure en vue d’aider les pays en développement à renforcer leur action contre la pandémie et à améliorer la veille sanitaire et les interventions de santé publique, tout en soutenant le secteur privé pour permettre aux entreprises de poursuivre leurs activités et maintenir les emplois. Il prévoit d’apporter jusqu’à 160 milliards de dollars de financements au cours des 15 prochains mois, afin d’aider les pays à protéger les populations pauvres et vulnérables, soutenir les entreprises et favoriser le redressement de l’économie.  

*En raison de la pandémie de Covid-19, les conjonctures économiques nationales et régionales sont très fluctuantes et sujettes à des évolutions quotidiennes. L’analyse présentée dans le rapport se fonde sur les dernières données nationales disponibles en date du 10 avril.

Covid-19: Quatre pays dépassent la barre des 1 000 cas.

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Au soir du 13 avril 2020, l’Afrique présentait 14 525 cas confirmés de coronavirus et 788 décès, indique le Centre pour la prévention et le contrôle des maladies de l’Union africaine. Selon cet organisme, quatre pays ont dépassé la barre des 1 000 cas. Il s’agit de l’Afrique du Sud, de l’Algérie, de l’Égypte et du Maroc, des pays qui présentent des infrastructures sanitaires relativement dépassées et des capacités de dépistage au dessus de la moyenne.

L’Afrique du Sud compte 2173 cas, 410 guérisons et 25 décès. L’Algérie fait état de 1914 cas, 293 décès et 591 guérisons. L’Egypte recense 2065 cas, 589 guérisons et 159 décès. Le Maroc  dénombre pour sa part, 1661 cas, 177 guérisons et 118 décès.

  Selon le Centre pour la prévention et le contrôle des maladies de l’Union africaine, 2 570 personnes ont été déclarées guéries de la maladie sur le continent.

FMI : 19 pays africains bénéficient d’un allègement immédiat de la dette

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Par Ibrahima jr Dia 

Le président sénégalais, Macky Sall, et la directrice du FMI, Kristalina Georgieva, se serrent la main lors d’un conférence organisée à Dakar, le 2 décembre 2019.

Le  conseil d’administration du FMI a approuvé, lundi 13 avril, un allégement de la dette immédiat pour 25 pays dont  19 africains. La Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, a déclaré que la mesure concernait des pays membres au titre du fonds fiduciaire réaménagé d’assistance et de riposte aux catastrophes (fonds fiduciaire ARC). Il s’agit d’aider ce groupe de pays à faire face aux conséquences de la pandémie de COVID-19.

« Nos pays membres les plus pauvres et les plus vulnérables recevront ainsi des dons qui couvriront leurs obligations envers le FMI pour une phase initiale de six mois, ce qui leur permettra de consacrer une plus grande partie de leurs faibles ressources financières aux soins médicaux et autres efforts de secours d’urgence vitale. » , a-t-elle rajouté .

Dans un contexte  marqué par l’aggravation de la crise sanitaire  du COVID -19, l’Afrique fait face à une vive polémique autour de la dette. Voici la liste des  25 pays bénéficiaires: Afghanistan, Bénin, Burkina Faso, Comores, Gambie, Guinée, Guinée Bissau, Haïti, Îles Solomon, Libéria, Madagascar, Malawi, Mali, Mozambique, Népal, Niger, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Rwanda, Sao Tomé-et-Principe, Sierra Leone, Tadjikistan, Tchad, Togo et Yémen. L’on notera que des pays comme la Côte d’Ivoire, le Sénégal et la Mauritanie ne font pas partie de la liste des bénéficiaires de ces mesures anti-coronavirus.

Huawei et l’UNESCO s’engagent en faveur l’enseignement supérieur en ligne pour limiter les impacts du Covid-19

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Par Daouda Bakary KONÉ
Lors d’un webinaire organisé conjointement par Huawei et l’UNESCO le samedi 11 avril 2020, des dirigeants, experts d’entreprises et d’universités du monde entier ont été invités à partager leurs pratiques et leurs visions de l’éducation en ligne durant l’actuelle crise du Covid-19. S’inscrivant dans le volet spécial du programme « Learn ON » de Huawei, les parties prenantes ont pu aborder les solutions possibles pouvant assurer à la fois la continuité de l’éducation et la qualité de l’éducation en ligne en période de fermetures des établissements scolaires.Plus de 1,5 milliard d’étudiants dans le monde sont touchés par les fermetures d’établissements d’enseignement dues à la pandémie du Covid-19. Pour atténuer cet impact immédiat, l’UNESCO a lancé la Coalition mondiale pour l’éducation, dans laquelle les organisations internationales, la société civile et les entreprises sont engagées pour faire en sorte que #LearningNeverStops. En tant que membre de cette Coalition, Huawei s’est engagé à faire profiter ses solutions technologiques à l’ensemble de ses partenaires à travers notamment l’initiative d’inclusion numérique, « TECH4ALL » et le programme « Learn ON » pour rendre l’éducation accessible à tous pendant la pandémie.Wu Lintuo, Directeur du partenariat éducatif et du département du développement des écosystèmes de talents de Huawei, a présenté une solution globale aux nouvelles exigences des académies mondiales de Huawei pour atténuer les effets du Covid-19. Les mesures suivantes seront prises :1. Un total de 5 millions de dollars US sera fourni au Huawei ICT Academy Development Incentive Fund (ADIF) aux collèges partenaires pour des activités telles que des cours en ligne, des formations en ligne et des expériences en ligne.2. Plus de 130 ressources MOOC seront ouvertes, couvrant des domaines techniques avancés tels que l’intelligence artificielle (AI), les données de grande taille, la 5G et l’Internet des objets (IoT).3. Plus de 100 formations de formateurs en ligne seront dispensées d’avril à décembre, et plus de 1 500 enseignants devraient être formés.4. 50 000 étudiants devraient être formés grâce à l’auto-apprentissage, aux cours et aux classes en ligne.Zhan Tao, Directeur de l’ITIE de l’UNESCO a déclaré : « En tant que partie intégrante de l’UNESCO, l’ITIE travaille en étroite collaboration avec des partenaires du monde entier dans le cadre de l’initiative ‘Combat Covid-19″ : Continuez à apprendre ensemble, nous sommes en mouvement’ pour le partage d’expériences et de ressources. Continuons à travailler ensemble pour soutenir les millions d’élèves, d’enseignants et de parents dans le besoin avec passion, innovation et force collective. »Ann Thérèse Ndong-Jatta, Directrice du Bureau de l’éducation en Afrique de l’UNESO, a également déclaré : « La conférence a ouvert des possibilités pour répondre aux défis de l’engagement des enseignants et des professeurs pendant cette période de Covid-19, en particulier en Afrique, pour que l’apprentissage se poursuive. Les expériences réussies partagées et l’engagement de Huawei à travailler en collaboration pour faire avancer les solutions numériques et les compétences TECH4ALL donnent de l’espoir dans la construction des systèmes éducatifs résilients aujourd’hui et après la pandémie. »La perturbation de l’éducation due à la crise pourrait encore creuser les écarts d’éducation entre les différentes régions du monde et aggraver la fracture numérique. Pour résoudre ce problème, l’enseignement à distance en ligne apparait comme l’une des initiatives les plus efficaces. Des plates-formes de communication, des ressources pédagogiques appropriées, ainsi que des services de soutien rapides sont les clés de l’éducation en ligne. Huawei est pleinement mobilisé pour faire partager son expérience de l’éducation en ligne avec les universités et les organismes d’enseignement. Dans cette perspective, le Groupe augmentera les investissements dans le but d’améliorer la numérisation de l’éducation et garantir l’accessibilité d’un enseignement de haute qualité. À propos de HuaweiHuawei est l’un des principaux fournisseurs mondiaux d’infrastructures et d’appareils intelligents dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC). Avec des solutions intégrées dans quatre domaines clés – réseaux de télécommunications, informatiques, appareils intelligents et services en nuage – nous nous engageons à apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un monde intelligent et entièrement connecté. Le portefeuille de produits, solutions et services de bout en bout de Huawei est à la fois compétitif et sécurisé. Grâce à une collaboration ouverte avec des partenaires de l’écosystème, nous créons une valeur durable pour nos clients, en nous efforçant d’autonomiser les gens, d’enrichir la vie à la maison et d’inspirer l’innovation dans les organisations de toutes formes et de toutes tailles. Chez Huawei, l’innovation se concentre sur les besoins des clients. Nous investissons massivement dans la recherche fondamentale, en nous concentrant sur les percées technologiques qui font avancer le monde. Nous employons plus de 194 000 personnes et sommes présents dans plus de 170 pays et régions. Fondée en 1987, Huawei est une société privée entièrement détenue par ses employés.