Aux États-Unis, la possible candidature de Michael Bloomberg à la présidentielle se précise. Il vient de dépenser des millions pour une campagne de pub dans des États clés, même si le milliardaire maintient toujours le suspens.
Avec notre correspondante à New York, Loubna Anaki
Cela fait trois semaines que Michael Bloomberg laisse courir les rumeurs, mais ce ne serait plus qu’une question d’heures avant que sa candidature à la primaire démocrate ne soit officiellement annoncée.
Preuve en est, les 31 millions de dollars que l’ancien maire de New York vient de dépenser pour s’offrir du temps de publicité à la télé, à New York, Los Angeles ou encore des petites villes comme Biloxi dans le Mississippi. Une somme qui dépasse à elle seule le total de ce que les autres candidats démocrates ont dépensé jusque-là pour leur campagne.
Sans doute une façon pour Michael Bloomberg de montrer à ses éventuels rivaux sa force financière et jusqu’où il est prêt à aller pour gagner s’il se lance dans la course. La semaine dernière, le milliardaire avait déjà annoncé une campagne de publicité anti-Trump pour 100 millions de dollars sur internet. Des fonds qui proviennent de sa fortune personnelle.
Une stratégie vivement critiquée par la majorité des candidats démocrates. Bernie Sanders se dit, « dégoûté que Michael Bloomberg ou tout autre millionnaire pense pouvoir contourner le processus électoral et s’acheter l’élection ». La campagne de pub de Michael Bloomberg pourrait être diffusée la semaine prochaine. Certains experts estiment qu’il pourrait annoncer sa candidature lundi 25 novembre.
Ce dimanche 24 novembre 2019, Guillaume Kigbafori SORO, Président de Générations et peuples solidaires (GPS) et Charles Blé GOUDÉ, Président du du Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep) ont tenu une séance de travail à la Haye. Les deux leaders, ayant pratiquement le même âge et issu de la même génération estudiantine des années 90 ont jusque-là suivi des trajectoires opposées.
Aussi, ce rapprochement inattendu interpelle plus d’un, tant dans le camp du président Laurent Gbagbo, co-détenu de Blé Goudé à la Haye et, tout comme lui, suspendu à un éventuel appel de la procureure de la CPI, Fatou Bensaouda, que dans celui du président Alassane Ouattara, où l’on ne désespère pas de convaincre Soro de revenir dans la famille RHDP que dans celui du PDCI où le président Bedié multiplie les assauts d’amabilité envers Soro, au risque, dit-on, de froisser quelques lieutenants et candidats à la chefferie.
Que se sont dits les deux leaders politiques et ex-leaders de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI)? A l’heure où nous mettions sous presse, le mystère restait entier. “« Fidèle à la mission de recherche de la paix que je me suis librement imposée, pour respecter et mettre en pratique ma volonté inébranlable de rencontrer et écouter tous les acteurs majeurs de la classe politique ivoirienne, j’ai le devoir de vous informer qu’une rencontre est prévue ce jour dimanche 24 novembre 2019 entre monsieur Guillaume Soro président du GPS et monsieur Charles Ble Goude (moi), président du COJEP. La Côte d’Ivoire un tout qui a besoin de tous. Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire » a déclaré ce dimanche 24 novembre 2019, le président du COJEP, Charles Blé Goudé.
Pour sa part, Guillaume Soro, candidat déclaré aux présidentielles de 2020, n’a pas encore prononcé un mot. Le temps dira.
Communiqué conjoint
Voici le communiqué conjoint diffusé à l’issue de la rencontre entre les deux leaders:
Ce Dimanche 24 novembre 2019, conformément à la tradition africaine Monsieur Guillaume Kigbafori SORO, Président de GPS a rendu visite à la Haye aux Pays-Bas à Monsieur Charles Blé GOUDÉ, Président du COJEP pour lui témoigner sa compassion, sa solidarité et
son soutien.
Placée sous le signe de la recherche de la paix dans l’intérêt du peuple de Côte d’Ivoire, cette rencontre de retrouvailles entre deux camarades de lutte de longue date, a été l’occasion de longs et fructueux échanges emprunts de vérité sur la situation socio-poli- tique nationale.
1- Monsieur Guillaume Kigbafori SORO, Président de GPS et monsieur Charles Blé GOUDÉ, Président du COJEP saluent la mémoire de toutes les victimes des tristes et douloureux événements qui ont meurtri la nation et ont encore adressé leurs condoléances les plus attristées aux familles endeuillées ;
2- Monsieur Guillaume Kigbafori SORO, Président de GPS et monsieur Charles Blé GOUDÉ, Président du COJEP ont tenu à exprimer leur compassion et leur solidarité au peuple de Côte d’ivoire pour les traumatismes et les nombreux préjudices subis au cours de la crise que notre pays a vécue.
3-Monsieur Guillaume Kigbafori SORO, Président de GPS et monsieur Charles Blé GOUDÉ, Président du COJEP, s’engagent à œuvrer pour une réconciliation sincère et non propagandiste en Côte d’Ivoire.
Toutefois, les deux personnalités conviennent que la réconciliation doit se nourrir de vérité et de repentance, gage de tout pardon.
4-Monsieur Guillaume Kigbafori SORO, Président de GPS et monsieur Charles Blé GOUDÉ, Président du COJEP, réalisant qu’au regard de l’impossibilité pour les ivoiriens de demeurer perpétuellement dans la belligérance, ont émis le vœu que toutes les filles et fils de la Côte d’Ivoire se retrouvent au chevet de la mère patrie.
5- Monsieur Guillaume Kigbafori SORO, Président de GPS et monsieur Charles Blé GOUDÉ, Président du COJEP réaffirment la nécessité de privilégier la voie du dialogue, de la négociation et de la concertation dans la résolution des conflits et difficultés inhérents
à la marche de la Côte d’Ivoire.
6- Les deux leaders exhortent le régime d’Abidjan à organiser des assises politiques nationales inclusive en vue de vider tout le passif de la récente crise qui a endeuillé la Côte d’Ivoire afin de créer les conditions idoines pour une stabilité et une paix sociale durable.
Les deux personnalités ont convenu de poursuivre les échanges et initiatives pour le triomphe de la paix en Côte d’Ivoire.
Journaliste depuis 20 ans dans la presse économique africaine et auteur de plusieurs enquêtes et reportages. A couvert plusieurs sommets de l’Union Africaine, de la Commission économique africaine et de la Banque Africaine de Développement.
Les Bissau-guinéens ont commencé à voter dimanche 24 novembre pour élire leur nouveau président, avec l’espoir de lever les blocages dans lesquels s’est empêtrée depuis des années la classe politique.
« Je viens de voter, un geste très important pour moi et pour tout le pays car nous espérons que le pays tournera définitivement la page sombre de l’instabilité », a déclaré Victor Nafassa, président d’un bureau de vote de Luanda, un quartier de la capitale Bissau. Suivez le liens ci-dessous :
La Banque de développement des États de l'Afrique centrale est une institution financière internationale chargée de financer le développement des pays membres de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale.
La BDEAC dont la mission est le financement du développement de la sous-région, fait face à un gros problème de refinancement de ses emprunts par la Banque centrale (BEAC). Entre contraintes règlementaires, structurelles et humaines, les chefs d’Etat de la CEMAC qui avaient instruit une refonte de la BDEAC accompagnée par la BEAC, devront fixer un nouveau cap.
Le dossier était à l’ordre du jour de la réunion extraordinaire des ministres des Finances de la sous-région, le 19 novembre dernier, lors d’une rencontre à huis clos, en amont des échanges qui seront menés par les présidents de la République. Dans la presse camerounaise, il est simplement indiqué que « le financement des infrastructures communautaires a préoccupé » sans plus de détails.
Mais derrière ces termes simples, les arbitrages à faire sont complexes. « Il est clair que la situation préoccupe et on se demande s’il n’y a pas derrière ce problème structurel, un problème finalement de personne », a confié à l’Agence Ecofin, un haut responsable de la CEMAC. La BEAC estime en effet, qu’il est devenu risqué pour elle de continuer de soutenir sans contrôle la BDEAC. Elle évoque pour cela, plusieurs raisons légitimes.
Des contraintes majeures au soutien de la BDEAC par la BEAC
La première est d’ordre juridique. Selon des sources contactées au sein de l’institution d’émission et de contrôle de la monnaie, en sa qualité de premier actionnaire de la BDEAC avec 33,8% des parts, elle devrait ouvrir un compte courant associé d’un montant de 240 milliards FCFA. Cela a été fait, mais il reste un reliquat de 120 milliards FCFA qui est exigé par la banque de développement. Son président a donc sollicité la BEAC pour récupérer ce reste à approvisionner.
Mais le conseil d’administration de la BEAC s’est retrouvé contraint de refuser de faire ce décaissement dans une note prise en juillet 2019. L’argument évoqué est que cet engagement doit se faire selon les textes, dans la mesure des fonds propres disponibles. Or justement, les fonds propres de la Banque centrale ont fortement diminué, soit de 58% sur la seule année 2018.
2e édition de POLLUGAIA EXPO, salon International des Equipements, des Technologies, des Services de l’Environnement et du Développement durable en Afrique de l’Ouest, les 7, 8 et 9 mai 2020 à Dakar, Sénégal. Le plus grand rendez-vous des éco-acteurs en Afrique subsaharienne Le Sénégal accueille la 2e édition de POLLUGAIA EXPO, salon International des Equipements, des Technologies, des Services de l’Environnement et du Développement durable en Afrique de l’Ouest. Après le succès de la première édition, ce salon renforce la position du Sénégal de hub régional en la matière. Pas moins de 50 exposants venus d’une quinzaine de pays y sont attendus pour plus de 1500 autres éco-acteurs, institutions, donneurs d’ordre et journalistes.
Vitrine des solutions, Expertises et Solutions du Secteur
« PolluGaïa Expo» est la vitrine privilégiée des expériences, modèles, solutions, produits et offres africaines et internationales en équipements, services et technologies dans les secteurs de l’eau, des déchets, de l’air et de l’énergie…
Un haut lieu Business entre éco-acteurs du Nord et ceux d’Afrique de l’Ouest
«PolluGaïa Expo» met les rencontres business au cœur de sa stratégie. La 2e édition met une place une plateforme digitale de B2BMatching et travaille sur les besoins des partenaires exposants au cas par cas pour permettre et favoriser :
Les meilleures connexion Business
Les Meilleures concordances offres-demandes
Le meilleur Retour sur Investissement de la participation à l’édition.
Les secteurs ciblés:
•Traitement & Gestion des déchets – Recyclage-Valorisation (Luxiviat, déchets hospitaliers, déchets industriels…)•Traitement et Gestion de l’eau (eau potable, dessalement…)•Traitement des eaux usées & Assainissement•Traitement et gestion de l’air, et de la pollution,•Recyclage (eau, huile, plastique,…)•Energies Renouvelables•Instrumentation – Métrologie -Automation•Sites et Sols•Risques•Produit et Développement durable.
PolluGaïa Expo 2020, c’est :
40 exposants de haut niveau vent de +10 pays attendus.
Forte présences des éco-acteurs et donneurs d’ordre ouest-africains
4 Guest-Speakers de classe mondiale attendus pour partager leur expérience
La question sécuritaire au Mali n’est pas le seul combat des autorités gouvernementales. L’implication des citoyens, depuis longtemps, a été prônée dans la circonscription de Dioila.
Il est évident que les criminels ont changé de méthode et de cible. Pour cela, l’honorable Diarrassouba n’a pas baissé sa garde et sa dynamique de sensibilisation.
Vingt quatre heures après son retour de Kigali pour une mission, l’honorable Mamadou Diarrassouba s’est rendu ce dimanche à Fana pour discuter avec les populations sur le rôle capital qu’elles doivent jouer afin d’aider nos forces armées dans leur mission régalienne.
A travers cette visite l’enfant de Banico a aussi eu un entretien avec les autorités administratives. Il les a rassurées du soutien de tous les élus de la localité avant de leur prodiguer des conseils. Il leur a demandé d’aller au contact des populations afin de gagner leur confiance et leur adhésion.
Vendredi, peu après l’arrestation de deux présumés jihadistes à Bamako, un avocat Me Hassan Barry a été interpellé par la DGSE malienne pour les besoins de l’enquête. Selon les mêmes sources, « l’avocat coopère à la manifestation de la vérité ».
L’interpellation d’un avocat par les services de renseignement locaux après l’arrestation de deux jihadistes présumés a créé un vif émoi au sein de l’ordre des avocats du Mali. Ni le procureur général ni le président de la Chambre d’accusation, encore moins le bâtonnier n’ont été informés, précise le président de l’ordre Me Alassane Sangaré dans un communiqué officiel. Il parle de « violation de la loi » et va même jusqu’à comparer l’interpellation de son collègue Me Hassan Barry depuis ce vendredi à une séquestration.
Affaire liée au terrorisme
Côté source sécuritaire malienne, on dément toute séquestration et on explique qu’il s’agit d’une affaire liée au terrorisme et qu’en la matière l’efficacité et la rapidité sont décisives dans les enquêtes. Notre interlocuteur rappelle que l’état d’urgence est en vigueur au Mali, « justement pour donner des outils afin de protéger le pays tout en respectant les lois ». Selon la même source, très rapidement, les avocats pourront rencontrer leur collègue.
Plusieurs versions
Me Hassan Barry a été interpellé par la DGSE malienne un peu après l’arrestation à Bamako de deux présumés terroristes. Il les connaît, mais dans quel cadre ? Plusieurs versions circulent
La BDM-SA, a pris part à la deuxième édition de la Semaine de l’Inclusion financière dans l’UEMOA qui a eu lieu du 18 au 23 novembre 2019..
Organisée par la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Le thème retenu pour cette deuxième édition de la semaine est : « La digitalisation au service de l’inclusion financière : enjeux pour le secteur financier et les Etats membres de l’UEMOA ».
L’objectif principal de cette deuxième édition est d’échanger avec les parties prenantes sur les enjeux de la digitalisation des paiements pour le secteur financier et les Etats membres de l’UEMOA, les risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies financières ainsi que les mesures à mettre en œuvre pour protéger les consommateurs des services financiers.
Jumia, le leader du e-commerce en Afrique, s’apprête à fermer boutique au Cameroun. De bonnes sources, cette plateforme opérationnelle dans le pays depuis 2013, attend simplement de boucler les dernières commandes de ses clients, avant de plier bagage. Comme motif de son départ, sans être plus explicite, Jumia évoque l’immaturité du marché camerounais en matière de e-commerce.
Le départ de Jumia survient 3 ans seulement après celui de Cdiscount. Ce site français de e-commerce, appartenant au groupe de grande distribution Casino, avait lancé ses activités au Cameroun en décembre 2014 avant de les cesser en 2016.
Justifiant cette décision, Cdiscount avait mis à l’index de longs délais de passage des marchandises au port de Douala, ainsi que la concurrence farouche que lui livraient alors des sites locaux proposant des produits contrefaits ou bas de gamme, à des prix très bas.
Cdiscount parti, Afrimalin, start-up spécialisée dans le e-commerce, annonçait le lancement de ses activités dans huit pays, dont le Cameroun, le 15 septembre 2016. Trois ans plus tard, en dépit de la fusion (en février 2018) de ce site de petites annonces avec l’opérateur camerounais Kerawa, les résultats de l’expansion d’Afrimalin au Cameroun ne semblent pas crever l’écran.
Idem pour la start-up française Afrimarket qui, après la Côte d’Ivoire, a décidé de se lancer dans le e-commerce au Cameroun, au terme d’une opération de levée de fonds lui ayant permis de mobiliser une enveloppe globale de 10 millions d’euros (6,5 milliards FCFA) auprès d’investisseurs internationaux. Malheureusement, depuis septembre 2019, Afrimarket a demandé son placement en liquidation judiciaire au tribunal de Paris. Suivez ce liens ci-dessous :
La caisse nationale d’assurance maladie(CANAM) a débuté les travaux de son conseil d’administration ,19ème du genre mercredi 20 Novembre 2019 . La rencontre était placée sous la conduite de M .Moussa Alassane DIALLO, président du Conseil d’Administration en présence des autres administrateurs à l’image de M .Mahamane BABY, directeur général de la structure.
Les points inscrits à l’ordre du jour des travaux qui vont durer 48 heures portaient sur l’examen du procès-verbal de la18ème session ordinaire; l’état de mise en œuvre des recommandations de la 18ème session ordinaire ; l’examen et l’adoption du rapport d’activités 2018 et de l’état d’exécution du budget au 31 décembre 2018.
Les administrateurs se pencheront également sur l’ ‘examen et l’adoption du rapport d’activités 2019 et de l’état d’exécution du budget au 30 septembre 2019 entre autres.
La réalisation des activités en 2018 a permis à la Caisse Nationale d’Assurance Maladie, d’obtenir des résultats très satisfaisants et encourageants . cela s’est traduit par l’augmentation de la couverture des personnes assujetties portant le nombre de personnes enrôlées et immatriculées à 1 430 099; l’amélioration de l’accessibilité aux soins de santé de qualité par la signature de 97 conventions avec les prestataires des secteurs public et privé portant le nombre total des structures conventionnées à 1858; la production et la distribution de 261493 cartes d’assurés et récépissés au profit des assurés sociaux et leurs ayants droit; le renforcement des compétences et capacités du personnel de la CANAM et des membres du conseil d’ Administration à travers l’organisation et la réalisation de plusieurs formations thématiques sans oublier, l’amélioration des conditions de travail du personnel par l’acquisition de matériels informatiques, de réseau et de téléphonie, matériels techniques, du matériel et mobilier de bureau . dans son intervention, le PCA a indiqué concernant l’état d’exécution du Budget au 31décembre 2018 que , le montant des recettes mobilisées, toutes sources confondues, s’élève à 56 578 299 451 FCFA sur une prévision de 57 011 500 000 FCFA, soit un taux de réalisation d’environ 99%. Ces dépenses sont reparties en dépenses techniques, d’investissement, d’équipement et de fonctionnement.
Au 30 septembre 2019, sur 256 activités programmées, 165 ont été réalisées soit, 64,45%, 91 autres seront réalisées d’ici la fin de l’année. ‘’Ces activités, malgré les contraintes et difficultés rencontrées dans la mise en œuvre du programme d’activités, ont pu contribuer à l’amélioration de la gestion financière, de la gestion et du fonctionnement du régime, de la fourniture des prestations de qualité, aux renforcements des capacités du personnel et à ‘amélioration de son cadre de travail’’ a indiqué M .Moussa Alassane DIALLO avant d’indiquer par rapport à l’exécution du budget au 30 septembre 2019 que le montant des recettes mobilisées, toutes sources confondues, s’élève à 37 076 440 876 FCFA sur un montant prévisionnel annuel qui se chiffre à 61 239 000 000 FCFA, soit un taux de réalisation d’environ 61%. A la même période, les cotisations AMO reversées par les Organismes Gestionnaires Délégués (INPS et CMSS) pour le compte de la CANAM, ont atteint 35 410 617 187 FCFA soit un taux de réalisation d’environ 60% par rapport aux prévisions de 59 095 000 000 FCFA.
Les cotisations reversées par la Caisse Malienne de Sécurité Sociale (CMSS) à la CANAM se chiffrent à 18 695 871 318 francs CFA et celles reversées par l’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS) à 16 714 745 869 francs CFA, soit respectivement 53% et 47% des recettes techniques totales encaissés par la CANAM . Pour les cotisations encaissées au 31 décembre 2018 par la CANAM, le montant se chiffre à 54 737 417 903 FCFA sur une prévision de 55 000 000 000 FCFA, soit un taux de réalisation d’environ 99%. Sur la même période les dépenses ont été liquidées à hauteur de 56 251 965 460 FCFA sur un montant prévisionnel de 57 011 500 000 FCFA, soit un taux d’exécution d’environ 99%. Ces dépenses comprennent les dépenses techniques, d’investissement, d’équipement et de fonctionnement..Les dépenses ont été liquidées a hauteur de 38 654 219 968 FCFA sur un montant prévisionnel de 57 011 500 000 FCFA, soit un taux d’exécution de 68%.
Le montant total des dépenses techniques liquidées s’élève à 26 205 662 951 FCFA sur une prévision de 36 557 865 967 FCFA, soit un taux d’exécution de 72%. A la date du 30 septembre 2019, les dépenses ont été liquidées à hauteur de 41 189 438 562 FCFA avec un taux d’exécution d’environ 67% sur un montant prévisionnel annuel de 61 239 000 000 FCFA.