à 300 mètres de l’ambassade d’Algérie, une citerne remplie de carburant est en feu. Selon l’observateur Ali24, le chauffeur et son apprenti se trouvent à bord du véhicule. SELON UN POST D’UNE JOURNALISTE DE LA RADIO DES NATIONS UNIES en rapport avec le Camion citerne explosé à Bamako: on peut compter sur un premier bilan qui tourne autour de six (6) morts et près de 46 blessés.
Accident de la circulation routière : 6 morts et 46 blessés (bilan provisoire).
Selon un communiqué du gouvernement « Un accident de la circulation routière impliquant un camion citerne s’est produit ce mardi aux environs de 15 heures à Badalabougou (Comune V du District de Bamako). Le camion citerne de 14 mille litres qui transportait du carburant s’est renversé non loin du restaurant (Broad-Away) ».
Le bilan provisoire fait état de 6 morts et 46 blessés graves. Les blessés ont été transportés à l’hôpital Gabriel Toure et l’hôpital du Mali. Aussitôt après une délégation du Ministère des Transports et de la Mobilité Urbaine s’est rendue sur les lieux de l’accident.
Dans le dossier Aéronef, l’ancien Chef d’état-major général des armées, l’ancien chef d’état-major de l’armée de l’air, le directeur des finances et du matériel d’alors du ministère de la Défense devraient être entendus cette semaine par le procureur du pool économique et financier. Parmi les personnes qui ont reçu des convocations/invitations, l’honorable Soumaïla Cissé, chef de file de l’opposition, Ayant dénoncé cette question d’aéronef, le juge voudrait profiter de ses lumières.
En son temps, Soumaila Cissé a saisi par lettre, l’Assemblée nationale aux fins de la mise sur pied d’une commission parlementaire. Le président de l’URD voulait que la commission réponde à des questions précises. Se basant sur une déclaration du président IBK, et allant plus loin, il dénonçait l’achat des avions.
“Un premier hélicoptère Puma d’occasion, payé à près de 3,5 milliards de F CFA en violation de toutes les règles élémentaires de procédure budgétaire en la matière, est cloué au sol malgré l’achat de pièces de rechange à hauteur de 3 milliards de franc CFA.
Un second hélicoptère Puma a été acheté à 3,9 milliards de F CFA auprès d’Airbus sur la base d’un document contractuel “illisible“. C’est dire que les termes et conditions de ce contrat sont inconnus. Cet avion aussi est cloué au sol“ notait le député dans sa correspondance au président de l’Assemblée nationale.
Le procureur lui donne l’occasion de s’expliquer.
Tous les chefs militaires impliqués seront entendus. Selon nos sources, l’ancien premier ministre, Soumeylou Boubeye devra également s’expliquer devant le juge.
A l’heure où de plus en plus de maliens accèdent à la couverture médicale et où la capacité du système et la qualité des soins du système de santé publique laissent à désirer, le rush vers les cliniques privées s’accentue.
Si le corps médical admet que ces dernières ont un plateau technique plus étoffé que celui des hôpitaux publics, il reconnaît aussi que, dans bien des cas, l’éthique laisse à désirer.
Ce qui choque le plus souvent patients et médecins : surfacturation, mensonge, paiement au noir systématique même quand tout est pris en charge, usage de faux médicaments, surmédication, voire, plus grave, recours quasi systématique à certains actes chirurgicaux.
Le cas de l’hôpital « américain » Golden Life à Bamako (Badalabougou) est assez édifiant.
1 – Tout d’abord, Golden Life fait de la communication mensongère en affirmant qu’il s’agit d’un hôpital américain : Pour plus de détail suivez la suite le liens dessous
Il S’AGIT DE LA FONDATION EMPOWER MALI QUI A SPONSORISÉ ELITE WEST AFRICA A HAUTEUR DE 1.000.000 FRANCS CFA. C’ÉTAIT CE SAMEDI 21 DÉCEMBRE 2019.
Le Directeur exécutif de l’ONG Empower Mali, M.Yeah Samaké a eu le plaisir de remettre un Chèque d’un Million (1.000.000 F) Francs CFA à Madame Aissata Bocoum, Coordinatrice de Elite West Africa en guise de contribution à la Conférence Internationale de la Jeunesse pour la Paix.
Notons que cet éévénement initié par Elite West Africa aura lieu à Bamako, Mali 27 – 28 Septembre 2019 et a pour but de réunir la jeunesse Ouest- Africaine sans distinction afin de trouver des pistes de solutions pour la stabilité de la sous-région. Daouda Bakary Koné
L’Ethiopie prévoit d’inaugurer la centrale hydroélectrique de Genale Dawa III avant la fin de l’année 2019. Cette nouvelle a été annoncée par Moges Mekonen, le directeur de communication de l’Ethiopia Electric Power.
L’infrastructure d’une capacité de 254 MW est construite par la China Gezhouba Group Corporation sur le fleuve Genale Dawa, dans la région d’Oromia (sud-est du pays). Le coût de sa mise en place est de 450 millions $ dont 60 % ont été fournis par l’Exim Bank de Chine sous forme de prêt et les 40 % restants par l’Etat éthiopien. Sa production sera cédée au réseau électrique national.
La construction de cette centrale entre dans le cadre de la politique énergétique du pays qui ambitionne de faire passer sa capacité électrique de 4 200 MW à 17 300 MW, d’ici à 2020, en s’appuyant sur l’hydroélectricité, l’éolienne, la géothermie, la biomasse et le solaire. Le controversé barrage de Grande Renaissance (6 450 MW) est l’un des projets menés dans ce sens par le pays qui compte développer son industrie afin de devenir une économie à revenu moyen, d’ici à 2025.
Le Soudan s’apprête à négocier un financement de 2 milliards $ auprès de la Banque mondiale. C’est ce qu’a annoncé, cette semaine, Ibrahim Elbadawi (photo), ministre des Finances du pays, cité par Reuters.
Cette annonce intervient quelques semaines après que le gouvernement a annoncé son intention de mobiliser un financement du même montant en devises étrangères au cours des prochains mois. Un montant qui devrait permettre au pays de ralentir la dépréciation de sa monnaie et de la stabiliser.
En août dernier, le nouveau Premier ministre indiquait qu’environ 8 milliards $ seraient nécessaires au cours des deux prochaines années pour couvrir ses factures d’importations et relancer l’économie du pays en proie à une forte inflation et une dette élevée. Pour obtenir ce montant, le pays essaye de négocier une restructuration de sa dette envers le FMI et la Banque mondiale qui l’empêche d’obtenir de nouveaux prêts.
D’après le ministre Elbadawi, des pourparlers sont également en cours avec la Banque mondiale afin que l’institution soutienne et finance l’envoi de trois experts soudanais dans le pays. Ceux-ci apporteront leur appui à la Banque centrale et au ministère soudanais des Finances pendant les trois années que durera la transition politique.
L’Afrique du Sud a réalisé, cette semaine, sa plus importante émission d’eurobonds. Cinq milliards de dollars ont été levés sur le marché international de la dette par Pretoria, lundi dernier, ont annoncé les autorités sud-africaines.
Il s’agit de deux tranches assorties de différents taux d’intérêts et périodes de maturité. Une première tranche concerne un montant de 2 milliards $ assorti d’un taux d’intérêt de 4,85% tandis que la deuxième tranche concerne un montant de 3 milliards $ sur 30 ans, assorti d’un taux d’intérêt de 5,75%.
Cette nouvelle levée de fonds est supérieure de 25% aux 4 milliards $ que les autorités sud-africaines espéraient initialement mobiliser. Une situation due à la forte demande des investisseurs qui ont sursouscrit plus de deux fois aux obligations émises.
« Le gouvernement sud-africain interprète le succès de la transaction, considérée comme la plus importante jamais réalisée hors d’Afrique subsaharienne, comme l’expression de la confiance des investisseurs dans le cadre macroéconomique solide du pays et sa gestion budgétaire prudente », indique le Trésor national dans un communiqué relayé par Reuters. Ce, alors que les agences de notation Fitch et S&P Global Ratings classent la dette souveraine du pays dans la catégorie « junk » (à haut risque) contrairement à Moody’s qui la maintient dans la catégorie investment grade (faible risque de défaut).
La dernière euro-obligation émise par le pays remonte à mai 2018. La semaine dernière, le ministre des Finances Tito Mboweni annonçait que le pays manquerait probablement son objectif de 1,5% de croissance en 2019 en raison d’un « changement de conditions et de nombreux vents contraires qui soufflent sur l’économie nationale ».
Ecobank nomme Aissatou Djiba Diallo, précédemment en fonction à Microsoft, en tant que son nouveau conseiller senior en Fintech afin de renforcer de manière stratégique le soutien d’Ecobank au secteur des fintechs.
Dans ses nouvelles fonctions, Djiba dirigera les initiatives fintech du groupe et conseillera la direction générale sur la stratégie fintech du groupe bancaire. Sa nomination est une étape importante dans la mise en œuvre continue de la stratégie numérique globale du groupe et démontre l’engagement d’Ecobank à jouer un rôle majeur et de premier plan dans le soutien au secteur innovant du fintech africain et à conquérir une part de marché importante à l’échelle mondiale.
Avant de rejoindre le groupe Ecobank, Djiba était chargée des innovations chez Microsoft4Afrika, où elle a mis en place une stratégie qui permet d’identifier, soutenir et attirer sur la plate-forme Microsoft Cloud, des start-ups et partenaires majeurs africains en fintech tout en supervisant 50 pays. Elle a également travaillé comme responsable marketing et Lead Microsoft pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre des programmes de partenariat et de stratégie.
Eddy Ogbogu, Directeur des Opérations et de la technologie pour le groupe Ecobank, a déclaré : «la nomination de Djiba représente une étape importante dans l’agenda fintech et numérique du groupe Ecobank. L’expertise, la passion et l’innovation qu’elle apporte au poste nous permettront de franchir les prochaines étapes cruciales sur la voie qui nous permettra de renforcer notre position en tant que banque numérique leader en Afrique. ”
Le rôle de Djiba consistera en grande partie à développer l’initiative annuelle phare de la banque en matière de fintech – Ecobank Fintech Challenge – Ecobank Fintech Fellowship – grâce à laquelle le groupe Ecobank a promu les start-ups les plus prometteuses du secteur Fintech.
Le programme offre aux fintechs sélectionnées, l’opportunité d’accélérer leur croissance en établissant un partenariat commercial et une intégration de leurs produits sur la plateforme panafricaine uniformisée et intégrée d’Ecobank. Les programmes Challenge and Fellowship existent depuis deux ans (2017 et 2018) et devraient se développer en une troisième édition améliorée en 2020.
Djiba, qui a siégé au panel des deux éditions précédentes du Challenge and Fellowship, a déclaré : «Je suis ravie de faire partie de la vision du groupe Ecobank qui consiste à soutenir le développement des fintechs et à stimuler davantage le développement économique du continent. La technologie financière est un élément important de l’objectif de la banque en vue d’augmenter considérablement le nombre de ses clients sur son réseau d’implantation de 33 pays africains et d’ouvrir l’accès au marché et l’intégration de l’écosystème fintech africain ». Elle a ajouté : « ces trois dernières années, la banque a renforcé dans une grande mesure, son partenariat avec les fintechs et je suis ravie de ce que le Directeur général du groupe ainsi que les cadres dirigeants donnent la priorité à de nouveaux axes d’actions visant à élargir notre relation avec ces start-ups et à proposer une collaboration d’un tout nouveau genre, de type gagnant-gagnant, porteuse d’un impact positif sur les vies des peuples africains et la croissance des fintechs en Afrique. »
Djiba est titulaire d’une maîtrise en informatique de l’Université Pierre et Marie Curie (France) et est passionnée d’aéronautique.
Le groupe hôtelier Onomo, 100% Africain, a fait savoir qu’il a procédé officiellement à l’ouverture de son hôtel 3 étoiles dans la ville de Douala (Cameroun).
Dans son communiqué en fin de semaine, la structure a indiqué, «Avec un investissement de 15 milliards de FCFA, Onomo Hôtel Douala n’est que la première d’une série d’ouvertures prévues au Cameroun à l’horizon 2020 ».
Selon la même source, « l’établissement va procéder à l’ouverture d’autres complexes hôteliers de ce genre à Yaoundé et Kribi, ville balnéaire située dans la région sud du Cameroun ».
Érigé sur une superficie de 600 m², l’établissement hôtelier compte, entre autres, 152 chambres, 5 appartements équipés (restaurants, bars, piscines, salles de fitness, réunion…).
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Les travaux de construction ont duré, plus d’un an (25 avril 2018 à septembre 2019).
Présent dans 9 pays africains avec 12 hôtels, Onomo ambitionne de porter ce nombre à 28 à l’horizon 2020, pour devenir la première plateforme hôtelière panafricaine du segment mid-scale. Le groupe prévoit d’atteindre 3 700 chambres d’ici 2022.
Dans une « note au public » datée du 19 septembre 2019, la Banque centrale tanzanienne (BoT) a annoncé avoir infligé des sanctions pécuniaires de 1,88 milliard de shillings tanzaniens (plus de 800 000 dollars) à cinq banques commerciales pour « violation des règles 17, 22 et 28 de la Convention contre le blanchiment d’argent ». Il s’agit d’I&M Bank (655 millions de shillings), d’Equity Bank (580 millions), d’UBL Bank ( 325 millions), d’Habib African . suivez ce liens ci-dessous