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ogo : Moov-Togo offre aux conducteurs de taxi moto le tout premier service d’assurance mobile

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La filiale du groupe Maroc  télécoms, Atlantique Telecom Togo (Moov Togo) est  plus que déterminée à  accompagner  la digitalisation du  secteur de l’assurance au Togo.

En effet,  Moov-Togo, de concert avec  l’assureur NSIA-Togo a lancé, ce weekend, un service de Micro-Assurance sur mobile dénommé  « Zem Assur».

Cette initiative, est une première du genre  destinée aux conducteurs de taxi moto (Zémidjans) et usagers d’engins à deux et trois roues.

Cette plate-forme  offre  via Flooz, des  packages d’assurances aux assurés.

Dans un communiqué, l’opérateur privé de téléphonie  a indiqué que, « la souscription revient à 75F CFA/jour (à travers un portail USSD *155*433# de Moov Togo) et la prise en charge est assurée par la société d’assurance NSIA ».

Et de renseigner que , «  la victime devrait bénéficier d’une prise en charge de 100 000F CFA, à raison de 50.000 F CFA pour les premiers soins et 50.000 F CFA additionnels pour d’éventuels soins de traitement ».

« En cas de décès ou d’invalidité, annonce-t-on, un capital de 500 000 FCFA est garanti au titre de la prise en charge attendue », informé le document.

À propos de Atlantique Telecom Togo (Moov Togo)

“Atlantique Telecom Togo, filiale du Groupe Maroc Télécom, est une entreprise de télécommunication, qui propose et déploie une palette unique de services alliant des offres et des solutions sur-mesure : Téléphonie mobile, Internet, équipements internet et des objets connectés. Déjà adoptées par 3 000 000 d’abonnés, ces solutions simples et flexibles permettent aux clients Prepaid et Postpaid de nous faire confiance.”

Le fonds d’investissement TANA investit 200 millions MAD dans la filiale fruits rouges de PALMAGRI, Groupe Palmeraie Holding

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Tana Africa Capital (TANA), une holding d’investissement panafricaine issue de la joint-venture entre le Family Office sud-africain Mary Oppenheimer Daughters et Temasek Holdings de Singapour, opère un investissement de 200 MAD millions dans une filiale de PALMAGRI..

PALMAGRI est le pôle créé pour porter l’ambition du groupe Palmeraie Holding dans le secteur Agro- industriel. PALMAGRI opère dans différentes régions du Maroc à travers des exploitations arboricoles de fruits rouges, de palmiers dattiers et de rosacées.

Par cette transaction, TANA a acquis une part minoritaire du capital de la filiale fruits rouges de PALMAGRI, une prise de participation destinée à accélérer le développement de l’activité fruits rouges.

« Ce partenariat avec TANA permettra à PALMAGRI de renforcer sa position d’opérateur marocain de premier rang dans ce secteur, d’exploiter davantage son fort potentiel de croissance dans la filière fruits rouges et d’exécuter rapidement sa stratégie de croissance aussi bien dans la production que dans la distribution », a déclaré M. Saad Berrada Sounni, Président de Palmeraie Holding.

https://www.financialafrik.com/2019/09/23/le-fonds-dinvestissement-tana-investit-200-millions-mad-dans-la-filiale-fruits-rouges-de-palmagri-groupe-palmeraie-holding/

Pour rappel, Palmeraie Holding, également connu sous le nom Palmeraie Industries et Services, présidé par Mr Saad Berrada Sounni, est un groupe multisectoriel d’envergure présent au Maroc et en Afrique. Ses activités opérationnelles couvrent les secteurs de L’industrie&Distribution, de l’Automobile, de l’Education, des Mines et de l’Agro-Industrie.

Deloitte et Dentons ont agi en tant que conseil de TANA dans le cadre de cette opération. West Capital Partners et Sayarh & Menjra ont conseillé PALMAGRI.


https://www.financialafrik.com/2019/09/23/le-fonds-dinvestissement-tana-investit-200-millions-mad-dans-la-filiale-fruits-rouges-de-palmagri-groupe-palmeraie-holding/

Sénégal : croissance attendue de 7% en 2020-2021 (FMI)

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Le Fonds monétaire international (FMI) a indiqué, lundi 23 septembre, que la croissance économique du Sénégal devrait passer de 6% en 2019 à 7% entre 2020 et 2021.

Elle sera tirée par l’investissement privé « avant de connaitre un nouvel élan avec le début de la production commerciale des hydrocarbures en 2022 », précise l’institution dont les «perspectives économiques à moyen terme restent favorables » pour le pays d’Afrique de l’ouest.

« Le déficit de la balance courante augmenterait jusqu’en 2021 du fait des importations nécessaires pour la construction de projets d’hydrocarbures et enregistrerait une baisse au démarrage de la production et de l’exportation du pétrole et du gaz », ajoute le FMI.

Le Sénégal, futur producteur de pétrole et de gaz, avait annoncé, fin juillet, son prochain cycle d’octroi des licences pour octobre 2019. «Avec plusieurs découvertes pétrolières et gazières de classe mondiale, le Sénégal s’est bâti une excellente réputation au niveau mondial dans le secteur de l’énergie. Grâce à un nouveau cycle de licences et à une campagne d’investissements, nous sommes impatients de tirer parti de la solide expérience du Sénégal pour attirer de nouveaux opérateurs et explorer de nouveaux horizons», avait déclaré Mamadou Faye, directeur général de Petrosen, la compagnie pétrolière nationale sénégalaise.

https://www.financialafrik.com/2019/09/24/senegal-croissance-attendue-de-7-en-2020-2021-fmi/

Par ailleurs, le FMI a indiqué que le gouvernement sénégalais « entend maintenir la cible de déficit budgétaire de 3 % en 2019 comme pour les années à venir », tout en assurant le règlement de ses obligations envers le secteur privé. Le cadre budgétaire de 2019 comprend également une opération ponctuelle visant à régler les obligations impayées vis-à-vis de la société nationale d’électricité (Senelec), ajoute-t-elle. Et d’indiquer que des mesures de court terme ont été déployées afin d’accroître le rythme de recouvrement des recettes et d’atteindre les objectifs de la loi de finances rectificative de juillet 2019.

L’organisation internationale venait d’annoncer un accord de principe avec le Sénégal au titre de l’Instrument de Coordination des Politiques Economiques (ICPE) devant soutenir un nouveau plan triennal. Il s’agit d’un instrument introduit en 2017 « pour soutenir les pays qui peuvent bénéficier de l’accompagnement du FMI dans le cadre d’un programme, mais qui n’ont toutefois pas besoin d’un soutien financier de l’institution ».

https://www.financialafrik.com/2019/09/24/senegal-croissance-attendue-de-7-en-2020-2021-fmi/

Kenya : la monnaie locale va résister au choc pétrolier

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Kenya Central Bank Governor Patrick Njoroge speaks during an interview with Reuters in his office in the capital Nairobi, December 8, 2015. REUTERS/Thomas Mukoya/File Photo

Le gouverneur de la banque centrale du Kenya,  Patrick Njoroge  a fait savoir, mardi 24 septembre, que la flambée des prix du pétrole  (augmentation de 10% du prix du pétrole brut après la destruction d’un champ pétrolier en Arabie Saoudite)  aurait peu d’incidence sur l’inflation. Autrement,  indique-t-il,  le shilling kényan  fera  de la résistance  face aux devises notamment  l’euro et le dollar sur le marché des changes. S’exprimant,  lors d’un point de presse, le gouverneur .

https://www.financialafrik.com/2019/09/24/kenya-la-monnaie-locale-va-resister-au-choc-petrolier/

Urgent/Mali/APPEL D’OFFRE DE CONSTRUCTION DU SIEGE DE LA BNDA: Coris Bank International et BNDA en flagrant délit de fraude au profit de l’Entreprise chinoise Wietec

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Foulant au pied toutes les règles régissant les marchés publics en République du Mali, la commission de dépouillement du marché de construction du nouveau siège de la BNDA fait parler d’elle. En dépit de toutes les dénégations venant de sa part, la fameuse commission a fermé les yeux sur la fausse attestation bancaire fournie par Wietec Mali en complicité avec Coris Bank. Objectif, adjuger ledit marché à Wietec, à tout prix, en violation de toutes les règles de transparence en la matière.

Au regard d’une clause essentielle du dossier d’appel d’offre, Wietec Mali a fait du faux et usage de faux en présentant une attestation de garantie bancaire exigée par la commission. A travers un modèle inclus dans le dossier (voir facsimilé), Coris Bank international atteste que Wietec Mali a un compte bancaire domicilié chez elle et qu’elle est en même de satisfaire les conditions de l’appel d’offre. Tout paraît jusqu’ici normal sauf que ce fameux compte taillé sur mesure n’a ni numéro, ni adresse de la cliente. En plus, l’attestation porte le nom de Wietec international Economie et Technical Cooperative Co., Ltd, (la société mère basée en Chine). Cet aspect frauduleux réalisé en complicité avec Coris Bank et la commission de la BNDA suffit à lui pour l’exclusion pure et simple de Wietec.


Cette entreprise créée officielle en 2018, donc il y a juste un an, ne pouvait pas présenter de bilan de 3 dernières années, ni justifier des 3 dernières années d’impôts et de taxes comme l’exige le dossier d’appel d’offre. Pis, Wietec n’a même pas une adresse normale au Mali sur le répertoire des entreprises reconnues auprès de l’Agence de promotion des investissements du Mali (API-Mali).


Dans une précédente parution, nous avions levé le lièvre sur le doute qui pesait sur l’attribution du marché de construction du nouveau siège de la Banque nationale de développement agricole (BNDA), à l’ACI 2000 Hamdallaye. Plus d’un mois après, les faits les plus probants nous donnent raison. En effet, tout porte à croire que la sélection de Wietec qui ne respecte même pas les critères établis par le dossier d’appel d’offre, ne souffre d’aucun doute. Ainsi en ont voulu des sangsues de la commission composée des cadres de la BNDA dont des retraités.

Contentieux devant l’Autorité de Régulation des Marchés publics et des Délégations Des Services publics
L’indice le plus probant est que des membres de ladite commission viennent de boucler le mois d’août dernier, une visite de deux jours à Dakar au Sénégal. Ils étaient partis dans la valise de Wietec, pour dit-on, visiter sur place des chantiers supposés réaliser dans le pays de la Teranga par l’entreprise chinoise. Celle-ci aurait été rassurée sur place d’être la gagnante du marché, un choix qui devait être validé à Paris en France, lors du conseil d’administration de la banque verte. Selon les dernières informations, cette alternative a été reportée sans délai.
Ce qui blesse toute conscience humaine avec une règle de probité morale, c’est que ce marché est l’objet d’un contentieux devant l’Autorité des marchés publics et des délégations de services publics. Cette instance qui intervient sur la passation des marchés publics dans la forme est appelée à se prononcer sur le caractère frauduleux de la participation de Wietec à ce marché. La commission appelée par lettre par le président de l’Autorité de régulation des marchés publics, le Dr. Alassane Bah, traîne les pieds. Est-ce qu’elle défie l’autorité ? Rien n’est moins sûr.
C’est dans ce manque de transparence totale et surtout cette mascarade d’attribution de marché public que la fameuse commission a travaillé. Un marché taillé sur mesure en passe d’être accordé à Wietec comme un passe droit au détriment des entreprises qui ont respecté le cahier de charge sur toute la ligne et qui payent leurs impôts, emploient des Maliens.
Au nom de quelle logique, les autorités de la BNDA ont agi ainsi ? Pourquoi avoir établi des critères écrits noir sur blanc pour les violer ensuite ? Est-ce bien le gros chèque qui a fait pencher la balance du côté de ce quidam d’entreprise ? Autan de questions qui restent bien sûr posées.


Des entreprises nationales remplissant les conditions de la réglementation en matière de marché public et qui participent à la construction nationale par leurs impôts et taxes se voient injustement reléguées au second plan.


La commission de dépouillement composée de quelques cadres de la banque, est plus que jamais sur la sellette, car elle est en train de ternir sournoisement l’image de cette grande institution bancaire à des fins inavouées. Elle est mise au défi de prouver son innocence si elle n’a pas négocié avec Wietec pour lui attribuer le marché de manière frauduleuse.


Selon d’autres d’indiscrétions et accusations, la même commission trempée dans le délit d’initié, aurait trompé la vigilance de sa direction et de celle du Conseil d’administration de la BNDA au cours de sa dernière session à Paris pour valider la première qualification du premier dossier. Ce qui constitue déjà une faute lourde de conséquences à l’encontre des fautifs.
Wietec n’a contribué d’un copeck au développement de notre pays pour n’avoir jamais travaillé au Mali. Ce quidam d’entreprise ne peut et ne doit sous aucun prétexte remporter ce genre de marché au détriment d’autres entreprises connues sur la place pour leur expertise avérée et leur participation à l’œuvre de construction nationale. Si jamais une telle mascarade passe, ce serait un déshonneur pour la banque et la République.


La direction générale de la BNDA aussi bien que le premier ministre, le ministre de l’Economie et des Finances sont avisés. Ils sont les seuls à mettre un terme au bal des magouilleurs.

A suivre….

Rédaction

Forum économique FRANCE-NIGERIA: C’est du 26 au 27 Septembre 2019

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Réduction de 45 % pour les inscrits de la CICP !

Ce forum offre une plate-forme pour les entreprises et les dirigeants commerciaux du Nigeria et la France pour explorer les opportunités d’affaires ensemble et d’échanger des informations précieuses qui engendrerait des partenariats d’affaires et l’augmentation des relations bilatérales entre les entreprises françaises et leurs homologues nigérians.

Il est le plus important événement en France pour les entreprises françaises, chefs d’entreprise et les investisseurs intéressés par l’investissement et les opportunités d’affaires au Nigeria; attirer des participants de toute l’Europe et au Nigeria, y compris les cadres supérieurs, chefs d’entreprise et des organisations de bonne réputation. Il est un événement incontournable pour tout investisseur étranger / Société ayant des intérêts d’investissement ou d’affaires au Nigeria.

NB: Réduction de 45 % pour les inscrits de la CICP !

Site de l’événement et d’inscription:

https://spotlightnigeria-france.com

Finance climat : lancement d’une plateforme mondiale pour accompagner les pays les moins avancés

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Fonds vert pour le Climat, l’Agence internationale de l’énergie renouvelable (IRENA), le SEforAll et le Programmer des Nations unies pour le développement viennent de nouer un partenariat pour accélérer la mobilisation des investissements climatiques.

Dénommée Climate Investment Platform (CIP), cette plateforme ouverte à tous les acteurs, vise à aider les pays en voie de développement à financer l’atteinte de leurs ambitions climatiques.

« La Climate Investment Platform est une initiative cruciale qui simplifiera l’accès à la finance climatique. Elle permettra de catalyser les investissements pour la mitigation et l’adaptation dans les pays en voie de développement, en soutenant ceux qui ont le plus besoin d’une action climatique », a affirmé Yannick Glemarec (photo), le directeur exécutif du Fonds vert pour le climat.

Le premier service lancé sur cette plateforme est dédié à la transition énergétique qui permettra de réduire deux tiers des émissions globales en termes de CO2. D’autres services consacrés à l’adaptation, à l’usage des terres, aux villes et aux infrastructures seront lancés d’ici le premier trimestre 2020.

« Les énergies renouvelables sont la solution la plus efficace et disponible pour la réduction des émissions. Associées à l’efficacité énergétique, elles peuvent permettre 90 % des réductions d’émissions convenues dans le cadre de l’Accord de Paris. Mais pour y parvenir, il faudra augmenter de manière drastique, les investissements ainsi que leur déploiement », a affirmé Francesco La Camera, le directeur général de l’IRENA.

Les services fournis par le CIP couvrent quatre composantes de la chaîne de valeur du financement climatique. Il s’agit de l’assistance des gouvernements dans la précision de leurs ambitions et dans l’accroissement de leurs contributions déterminées, la mise en place de politiques énergétiques adaptées, l’assurance des risques financiers pour les projets énergétiques et la mise en place d’un marché connectant les investisseurs et les porteurs de projets.

Gwladys Johnson Akinocho

Suivez ce liens en bas

https://www.agenceecofin.com/energies/2309-69425-finance-climat-lancement-d-une-plateforme-mondiale-pour-accompagner-les-pays-les-moins-avances

Kayes (Mali): les logements sociaux en ruine avant leur attribution.

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Situés non loin de l’hôtel sahel et près du village SOS, ces logements de Kayes sont dans un état de délabrement très avancé. Il manque à beaucoup de ces maisons des fenêtres. Des materiels électriques et des lavabos ont été volés. Les excréments d’ânes et d’autres animaux tapissent le sol desdits logements.

En attendant leur attribution, les termites se nourrissent également des portes en bois.

Par Oumar Bagayogo, correspondant du journal Délibéré à Kayes.

Source : Le Délibéré

22 septembre 2019 au Mali: Le parti des nationalistes convaincus fête son 6 ans d’existence

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L’événement a été célébré hier au tour d’une conférence de presse au siège du parti sous la présidence d’Alassane Dembélé alias Alasko. 22 septembre 2013- 22 septembre 2019: notre parti a 6 ans.

Joyeux anniversaire à l’ANCD-Mali et à ses militants et Sympathisants.

59ème Anniversaire de l’indépendance du Mali : L’armée suscite l’espoir

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La cérémonie a commencé par la montée des couleurs. Le Chef d’Etat-major général des Armées, le général de division Abdoulaye Coulibaly a fait la revue de la troupe pour s’enquérir des dispositions prises par les différents chefs d’éléments.


Le Président IBK a déposé une gerbe de fleur au Monument du Soldat Inconnu, en mémoire aux pères de l’indépendance, aux militaires maliens et étrangers tombés pour la cause du Mali. Le Chef Suprême des Armées a salué le drapeau avant de procéder à la revue des troupes. Il s’est ensuite rendu à la tribune d’honneur pour saluer les invités de marques avant de s’installer pour la suite de la cérémonie.
Pendant que la troupe se mettait en place pour le défilé, la fanfare du Prytanée militaire assurait l’animation. Le défilé militaire, sous les notes de la Fanfare Nationale, était commandé par le lieutenant-colonel Malick Diaw, Chef d’état-major de la 3ème Région militaire.
L’ordre de bataille était le suivant : le drapeau et sa garde, l’Etat-major interarmes, le Prytanée militaire, les Anciens Combattants, l’AMA- SNJ, l’Administration Pénitentiaire, la Douane, la Protection de la nature, la Protection Civile, la Police Nationale, la Gendarmerie Nationale, la Compagnie de soutien, le Génie militaire, la Garde Nationale, l’Armée de l’Air, l’Armée de Terre avec une compagnie du MOC, la FORSAT, une section de l’unité cynophile de la Gendarmerie Nationale suivie de la Direction du Sport Militaire. Des véhicules blindés ont fermé la marche.


Ce défilé s’est déroulé sous les regards admiratifs des populations sorties massivement pour être témoins de ce grand évènement. Tous étaient en communion avec les Forces Armées et de Sécurités.

FaMas

Source : Croissanceafrique.com