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Infrastructures Routières: L’Etat doit agir à Kati et Kayes pour enfin libérer nos voies.

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La grogne des populations de Kayes et de Kati s’est fait entendre jeudi dès 00 heure au niveau de Diboli et de la ville de Kayes , de même qu’au niveau de la ville garnison de Kati par les voies coupées à tout passage sauf quelques ambulances par des jeunes mécontents de l’état de dégradation de la RN1 reliant Bamako à Kayes.

Le message est clair, montrer à l’état leur mécontentement et forcer la main du pouvoir à avoir une promesse ferme de démarrage des travaux de cette route ou mieux, obtenir le début des travaux.

Au départ beaucoup ont soutenu cette initiative et Vendredi à Kayes et Kati, les gros porteur ont été immobilisés engendrant le blocage de la circulation et une grande perte économique pour l’état. Le but des populations de ces localités était atteint et l’état lui-même a eu chaud. On croyait que le lendemain samedi la circulation reprendrait mais rien.

Savourant la victoire de la veille, les jeunes ont décidé de prolonger le blocus jusqu’à nouvel ordre, plongeant du coup tous les usagers de l’axe dans le désarroi. Les victimes de ce blocage sont en grande partis les commerçants et transporteurs qui voient leurs activités stoppées et leurs marchandises bloquées avec le risque de pourrir sous le soleil et la pluie.
J’ai pu me rendre sur l’axe et malheureusement sur place, il y’a aucun signe de vie de l’état, les jeunes sont sur le terrain en maître absolue et au niveau du poste de contrôle de Kati et aux nombreux checkpoints installés dans les rues de déviations, les jeunes raquettes les usagers motocyclisteset quelques rares véhicules personnels qui passent. Il faut payer 500f, 1000f ou 2000f pour desppaser leurs checkpoints. On paye sans reçu et sur aucune base légale.

KATI est devenue une jungle en l’absence totale de l’état. Aucun agent de sécurité sur place pour canaliser les nouveaux maîtres de la ville et encore moins pour sécuriser les milliers de camions entassés en chaîne aux abords du goudron. Le risque d’un grand pillage est grand si rien n’est fait.
Personnellement, un checkpoint m’a obligé à payer de l’argent pour passer et j’ai résisté mais c’est seulement ma carte de presse qui ma permis de passer sans payer comme les autres. Ce n’est pas normal et cette absence de réaction de l’état sur les manifestants ouvre la voie à ces jeunes qu’ils peuvent profiter de la faille et se faire de l’argent facilement. C’est la plus grande menacée pour le pays.

J’INTERPELLE LE GOUVERNEMENT A AGIR CAR LE DÉBRAYAGE GÉNÉRAL PART TOUJOURS DE PETITES CAUSES.

En 2012, c’est une simple réunion entre le ministre de la sécurité et des militaires de Kati qui a tourné mal qui a conduit à la mutinerie qui porta un coup à l’ordre constitutionnel, parce que nos gouvernants dans leurs calculs savants trop éloignés des réalités des manifestants n’ont jamais su faire la communication juste et poser les actes concrets efficaces.

Des solutions existent et il faut que l’état agisse et vite sinon ça va péter.

Signé par Seydou Oumar TRAORETRAORE/ Contribution.

Source: Croissanceafrique.com

Changements climatiques: Plantons chacun un arbre pour un Mali vert

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Il s’agit d’une serie de plantation qui etaient placée s ous l’initiative de la sous-section PACP de Ouelessebougou, nous avons procédé à la plantation d’arbres dans le Lycée Public de la ville. C’etait ce samedi 24 Août 2019.

Ces actions de reboisement s’inscrivent dans la droite ligne de l’initiative pour un Mali vert en ces temps compliqués de changements climatiques. C’était en présence du Président d’honneur du PACP Yeah SAMAKE , des habitants, de la Presse , des enseignants et des élèves de la ville.

La Politique de reboisement et la protection de l’environnement sont une priorité et occupent une place de choix dans le plan audacieux du PACP pour le Mali. Notons la presence du Segal Moriba Samake a été largement saluée par les membres du bureau politique national du parti pour l’action civique et patriotique (PACP). « Qui plante un arbre aura laissé une trace » selon Zbdramane Kaou Diallo.

Daouda Bakary KONE

TCAD7: La Première Dame du Mali, Championne de l’UNFPA pour la lutte contre la violence basée sur le genre, s’engagera à Yokohama

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La Première Dame du Mali, KEÏTA Aminata Maiga, Présidente de l’ONG AGIR, pour l’Assainissement et le cadre de vie , est arrivée lundi 26 Août 2019, à Yokohama au Japon , en compagnie de Son Époux KEÏTA Ibrahim Boubacar, Président de la République, Chef de l’Etat. La Première Dame du Mali , est l’invitée de la TICAD7 pour prendre part à l’événement de haut niveau sur les droits des humains et la violence basée sur le genre.

Cet événement est co-organisé par l’Organisation des Premières Dames d’Afrique pour le Développement (OPDAD) et le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) avec  la collaboration de l’Union Africaine.

Le thème est « Zéro violence basée sur le genre pour l’avenir de l’Afrique :Ensemble, nous pouvons ». L’Objectif de développement durable (ODD) 5 reconnaît que l’égalité des sexes est le fondement d’un « monde pacifique, prospère et durable » et que cela inclut un monde exempt de violence basée sur le genre. La Première Dame du Mali ,est depuis des décennies engagée et déterminée sur ce sujet qui constitue pou elle un combat de tous les jours pour le respect du droit humain.

La violence basée sur le genre (VBG) constitue un affront mondial aux droits de l’homme, à la sécurité humaine, et constitue une crise de santé publique ainsi qu’un obstacle majeur à l’amélioration des affaires et au développement économique. L’agenda de la TICAD, la vision japonaise de Womenomics, les agendas 2023 et 2030, respectivement de l’Union africaine et des Nations Unies ne peuvent être atteints si la violence sexiste n’est pas résolue. Profondément ancrée dans les inégalités entre les sexes, la violence basée sur le genre est un obstacle important à l’avènement de la paix et du développement économique. 
La session d’ouverture solennelle de l’événement sera marquée par le mot de bienvenue du Représentant du Gouvernement japonais, le discours d’ouverture de Mme Natalia Kanem, Secrétaire Générale Adjoint des Nations Unies et Directeur Exécutif de l’UNFPA, les allocutions de la Présidente de l’OPDAD, de celle de l’Union africaine; et du discours principal de Mme Mialy Rajoelina, Première Dame de Madagascar,Présidente de FITIA et championne de l’UNFPA pour la lutte contre la violence basée sur le genre.

Selon les organisateurs,  l’événement de haut niveau , enregistrera 200  participants , dont des Premières Dames, des dirigeants africains, l’UNFPA et des agences des Nations Unies, OPDAD, de hauts responsables gouvernementaux, la société civile et le secteur privé. Parmi les Premières Dames ; la Première Dame de la République du Kenya, la Première Dame de la République de Namibie.

Lors de son séjour dans la ville portuaire du Japon , la Première Dame du Mali , prendra part également à la cérémonie de présentation du Prix Noguchi et banquet commémoratif , et également sur la table sur le rôle des Premières Dames dans le processus de développement dans leur pays respectifs à travers leurs actions ou projets; et sera l’hôte à déjeuner de sa Sœur Madame Akie ABE, Épouse du Premier Ministre japonais.

Cellule de Communication et des Relations Publiques de la Presidence de la République

Arrivée du Président de la République à Yokohama: « Les préoccupations africaines sont devenues celles du Japon » selon IBK (TICAD7).

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Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA, Président de la République, Chef de l’Etat , accompagné de Son Épouse KEÏTA Aminata Maiga , Présidente de l’ONG AGIR est arrivé ce 26 août 2019 à Yokohama au Japon , à 10h50 temps local.

Le Président de la République est invité par S.E.M Shinzo Abe, Premier Ministre du Japon, à prendre part, à la 7ème TICAD, important événement de dialogue politique de haut niveau entre les dirigeants africains et leurs partenaires du japon dans le domaine du développement qui se tiendra au Centre de conférence Pacifico Yokohama Center . La Ville portuaire de Yokohama, accueille pour la troisième fois la TICAD , et IBK est à sa toute première participation à une TICAD. Le thème central de la TICAD 7 , est « Faire   progresser   le développement   de   l’Afrique   par   le   biais   de   la   technologie, de l’innovation et des ressources humaines».

A son arrivée à Yokohama, le Président de la République , très heureux a livré son sentiment sur la présence du Mali à ce grand rendez-vous entre l’Afrique et le Japon: « Je suis venu à un événement marquant car au fil des sessions , les préoccupations africaines sont devenues celles du Japon dans tous les domaines . Et, la particularité de cette session aussi est que les questions de Sécurité deviennent très importantes pour nous qui nous sommes du Sahel et particulièrement du Mali. Cela est évident. Les questions de développement ne peuvent pas s’entendre sans la paix. Que la TICAD ait choisi cela comme l’une des thématiques aujourd’hui à examiner ensemble africains et japonais, est un signe des temps . Nous sommes très heureux d’être ici ».

En marge de la TICAD 7 à Yokohama,  IBK , et ses pairs prendront part à la cérémonie de remise du troisième Prix Hideyo Noguchi pour l’Afrique.

La Conférence regroupera, les Chefs d’Etat et de Gouvernement, les représentants des pays africains, des organisations internationales, les pays donateurs, des entreprises privées, et la société civile, entre autres.

La session d’ouverture solennelle sera co-présidée par S. E. M. Shinzo Abe, Premier Ministre du Japon, S.E. M. Abdel Fattah el-Sisi, Président de la République Arabe d’Egypte (Président de l’Union africaine), S.E. M. António Manuel de Oliveira Guterres, Secrétaire-General des Nations Unies, S.E. M. Moussa Faki Mahamat, Président de la Commission de l’Union africaine , S.E. M. Achim Steiner, Administrateur du Programme des Nations Unies pour le Développement, et S.E. M. Philippe Le Houérou, Directeur Général de la Société Financière internationale.

La TICAD 7 , est co-organisée par le Japon , les Nations Unies, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), la Banque mondiale et la Commission de l’Union africaine (CUA).

Dans son agenda , le Président de la République, s’entretiendra en milieu d’après-midi du mercredi 28 Août 2019 avec le Premier ministre du Japon à Intercontinental Hôtel Yokohama. Le lendemain jeudi 29 Août 2019, en début d’après-midi, IBK recevra Nippon Fondation -Sasakawa Africa Association pour une visite de courtoisie .

Le Président de la République, prendra part également à tous les travaux en plénières en présence du Premier ministre Japonais . Entre autres thèmes à aborder lors de ces plénières ; Accélération de la transformation économique et amélioration économique du climat des affaires à l’innovation et à la participation du secteur privée , Dialogue commercial public-privé , Approvisionnement d’une société durable et résiliente, Renforcement de la paix et de la sécurité. Toujours dans le cadre de la TICAD 7,
IBK prendra part aux discussions sur les thématiques de l’Agriculture , le changement et réduction des risques de catastrophes, le développement des ressources humaines et éducation, Économie Bleue . Le Chef de l’Etat sera également l’hôte du Premier minsitre Japonais , pour prendre part à la réception de bienvenue .

Avant le retour à Bamako, le couple présidentiel se rendra au Palais Royal de Tokyo à l’invitation de Sa Majesté l’Empereur du Japon accompagné de l’Impératrice pour prendre part à une réception.

Cellule de Communication et des Relations Publiques de la Présidence de la République

Mali : Ce qui n’a pas été dit à l’opinion, concernant le tronçon Kati-Djdiéni-Kayes-Diboli, les causes du blocage des trains voyageurs

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Par tout dans la région de Kayes, plusieurs manifestants ont bloqué la circulation. A l’origine de ce mouvement de protestation, un accident meurtrier survenu en début de semaine. Il n’y a pas que les populations de la Région de Kayes, et même la majeure partie des citoyens lambda sont fâchés contre la promesse non tenue du gouvernement d’Ibrahim Boubacar KEITA. Mais au regard des faits, les revendications sont multiples car la région de Kayes dans sa globalité revendique le démarrage des trains voyageurs. Puisqu’il y a une année le gouvernement Malien avait lancé le démarrage du secteur ferroviaire à travers les nouveaux wagons, toute chose qui n’a pas été le cas. Alors qu’est ce qui bloque les terrains voyageurs ?

Tout d’abord, il faut annoncer que les barrages sont levés depuis ce samedi à 00h (minuit). Les protestants espèrent que les négociations pour les travaux seront ouvertes prochainement. D’ores et déjà dans un communiqué publié ce dimanche 25 aout 2019 (matin) sur la page Facebook du département en charge des infrastructures et de l’équipement « le ministère des infrastructures et de l’équipement dit avoir suivie avec un intérêt particulier les manifestations liées à l’état du réseau routier sur l’ensemble du territoire national ». Ce n’est pas tout car le département de Mme Traoré Zeinabou DIOP « se réjouit du déroulement sans incident desdits mouvement sociaux et rassure les usagers que des efforts sont consentis pour apporter des réponses durables à leurs préoccupations légitimes » a-t-on appris sur la page Facebook du ministère des infrastructures et de l’équipement.


Les causes du blocage des trains voyageurs


En ce qui concerne le blocage des trains voyageurs, notre source affirme que plusieurs causes sont liées à ce problème. « D’abord l’on se rappelle que depuis l’année 2018, le gouvernement du Mali à travers le ministère des transports avec à sa tête M. Soumana Mory Coulibaly avait annoncé le grand démarrage des trains voyageurs et cela en montrant sur les écrans de la télévision nationale, des nouveaux wagons. Toute chose qui avait donné un nouvel espoir aux populations riverains mais aussi, une bonne nouvelle pour l’économie Malienne.

Mais, ce que les Maliens n’ont pas compris, c’est qu’il s’agissait d’une caravane médiatique provoquée par les autorités afin de soutenir individuellement la candidature d’Ibrahim Boubacar KAITA aux élections présidentielles passées (2018). Sinon au regard des procédures administratives, le gouvernement à travers le ministre de l’économie et des finances n’était pas prêt pour annoncer le démarrage des trains voyageurs. Mais comme l’actualité obligeait, chaque ministre voulait montrer ses bonnes fois au chef de l’Etat (IBK), comme quoi, il (IBK) a leurs soutiens indéfectibles. Toute chose qui prouve que Dr Boubou CISSE non moins ministre en charge des finances en son temps n’était aucunement la cause de l’arrêt du secteur ferroviaire ».
Selon une source proche du gouvernement « en réalité, quand le ministre des finances a montré les deux locomotives, leurs arrivées rentraient dans le cadre d’une convention signée entre le Mali et ses partenaires. Il s’agissait d’installer une plate-forme au niveau de Nonsombougou et le ministre finances pensait à l’époque que la convention était déséquilibré pour l’Etat du Mali. Il demandera d’améliorer ladite convention avant qu’on puisse la mettre en œuvre, parce que cela pouvait nous ouvrir d’autres opportunités. Mais puisqu’on était à l’approche de la campagne tous les ministres voulaient montrer qu’ils ont un bilan, pour se faire maintenir dans le gouvernement », affirme une source sous l’anonymat. Ce qui prouve à suffisance que le gouvernement du Mali n’est prêt pour le démarrage du secteur ferroviaire, parce que tout simplement, il nous faut certainement la relecture de ladite convention précitée ci-dessus. Appelons le chat par son nom, le démarrage fantôme des trains voyageurs était du bluff, mais aussi un tapage médiatique émoustillé et fantasmagorique.

Le coût de la réhabilitation de la route Kati-Djidiéni-kayes-Diboli 


D’aucun diront que le financement de ce projet coûte la bagatelle de 350 milliards de F CFA concernent la réhabilitation globale de kati à Diboli, et d’autres parleraient de 170 milliards de franc CFA. Ils vont jusqu’à nous affirmer qu’il s’agit d’un partage de gâteau commandité par le ministre des finances et son cabinet. Pour le cas de 170 milliards, nous sommes désolés de vous dire qu’il s’agit bien, d’un mensonge historique fabriqué en ce qui concerne le financement globale de kati jusqu’à diboli. La seule somme qui est disponible est de 78 476 708 005 franc cfa juste pour kati-kolokani-Djidieni. Mais l’objectif des rumeurs ou mensonges etaient pour combattre les différents ministres et même Boubou CISSE en son temps ministre de l’économique et des finances. En effet, sur financement du budget national et long de 154 km, ce tronçon sera entièrement réhabilité pour un montant de 78 milliards 476 million 708 mille 005 F CFA (TTC). Le projet sera la première phase du processus de rehabilitation totale de la route Kati-Diéma-Kayes-Diboli.
Selon le Directeur National des routes du Mali, Mamadou Nama Keïta, les travaux de réalisations du tronçon Kati-Kolokani-Didiéni seront exécutés par l’Entreprise française SOGEA SATOM et le contrôle des travaux est confié à CIRA SA. Selon nos sources « ce qu’il faut préciser, c’est que SOGEA SATOM a obtenu ce marché compte tenu de sa rapidité et son efficacité dans le domaine des infrastructures. Pour plus de precision, la même source nous informe qu’un kilomettre sera bitumé 525 000 F CFA, fort de ce constat, ce dernier explique que la section Bamako-Kayes-Diboli fait 710 kilomettre. En attendant, l’heure est à l’impatience ! Nombreux riverains ne cessent de protester contre l’état désastreux de cette route qui représente plus de 60% de l’économie malienne. Qu’est ce qui bloque la réhabilitation de la route Kati-djidiéni-kayes-Diboli ? Selon la même source un petit problème lié à l’AGETIPE (Agence d’Exécution de Travaux d’Intérêt Public pour l’Emploi) serait la cause du blocage. Sinon le financement est disponible depuis plusieurs mois.

Sous IBK, la région de Kayes détient plusieurs nouveau projet encours de réhabilitations.


Il s’agit de la construction du nouveau pont de la ville de Kayes et la réhabilitation du tronçon Kenieba-Kayes. Deux projets important en phase de finition et qui seront bientôt inauguré au détriment de tant d’autres projets qui restent sans financement. La région de kayes est une zone économique par excellence. Elle est dotée de plusieurs usines de mines d’or et de cimenterie à Diamou. Et la plupart des projets sont financés par le gouvernement et ses partenaires à hauteurs des milliards de franc CFA. Mais ce qu’il faut retenir, c’est que « la non réhabilitation de la route kati-Djidiéni-Kayes-Diboli est dû à un petit problème administratif au niveau de l’l’AGETIPE (Agence d’Exécution de Travaux d’Intérêt Public pour l’Emploi) », selon nos sources sous l’anonymat.

Daouda Bakary KONE
Source : CROISSANCEAFRIQUE.COM

Urgent/Mali: Le ministre Amadou Thiam a lancé son nouveau parti politique (FDP-MALIKOURA)

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Voici la declaration de Sory Ibrahima Traoré

Chers amis(ies) après de longs mois de réflexion nous les soutiens de M.Amadou THIAM actuel ministre des réformes Institutionnelles et des Relations avec la société civile, ancien député et président sortant du parti ADP MALIBA avons décidé de créer un mouvement politique dénommé : Forces Démocratiques pour la Prospérité au Mali ( FDP Malikoura ).

Ce nouveau Bébé de la scène politique inscrit ses actions dans le soutien au Président de la République et de son Gouvernement pour la paix, la réconciliation et le développement durable de notre pays si chèr pour nous tous.
Pour l’atteinte de nos objectifs pour le Mali, nous sollicitons tres humblement l’accompagnement de toutes les maliennes, de tous les maliens et de tous les amis du Mali.

Puisse Allah le Seul Capable, le Puissant , le Misericordieux et le Maitre du destin Être notre Guide dans toutes nos actions.
Dieu Benisse FDP Malikoura, Dieu Benisse le Mali.

SORY IBRAHIMA TRAORÉ.

Par croissanceafrique.com

Ticad 7: Bientôt, le Japon abordera l’Afrique par l’innovation

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Distancé en Afrique par la Chine, les USA et l’Union Européenne, le Japon cherche les moyens de peser sur le marché africain des biens et services. La septième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 7) qui s’ouvre du 28 au 30 août 2019 à Yokohama. Le thème de la conférence en mesure les enjeux: «faire progresser le développement de l’Afrique à travers les hommes, la technologie et l’innovation».

La Banque Africaine de Développement (BAD) et l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) participeront aux échanges entre opérateurs privés africains et japonais prévus le 29 août en présence de quelques sommités dont Tony Elumelu, président de l’UBA, Tewolde Gebre Mariam Group CEO Ethiopian Airlines, Mbwana Alliy, fondateur de Savannah Fund, qui a levé 60 millions de dollars et investit dans 30 projets de 7 pays, l’égyptien Ahmed El Alfi, président fondateur de Sawari Ventures (qui a investi dans plus de 200 entreprises), Elizabeth Rossiello CEO & Founder BitPesa, plateforme numérique d’échange et de paiement sur 8 marchés en Afrique et en Europe, Obi Ozor, fondateur de Kobo360, opérateur logistique à vocation continentale, le tunisien Dr. Anis Sahbani CEO & fondateur de Enova Robotics, leader en Afrique sur la robotique ou encore Jacko Maree ancien patron de la sud-africaine Standard Bank Group, la plus grande banque en Afrique.

Côté japonais, l’on notera entre autres la présence de Satoshi Ozawa, de la chambre de commerce Japon-Afrique ( Japan Business Council for Africa et figure de Toyota Tsusho Corporation.

Il sera aussi question du financement des infrastructures en Afrique. La Banque Africaine de Développement estime que le continent présente des besoins en infrastructures entre 130 et 170 milliards de dollars par an, sans lesquelles il pourra difficilement “assumer le rythme élevé de sa croissance démographique, de son urbanisation et de la demande de consommation”.

La Conférence Internationale sur le Développement de l’Afrique de Tokyo (TICAD) est une conférence internationale sur le développement de l’Afrique qui est organisée à l’initiative du gouvernement japonais conjointement avec les Nations unies, le Programme des Nations unies pour le développement, la Commission de l’Union africaine et la Banque mondiale.

Plus de 4 500 participants sont attendus à Ticad 7, la plus grande conférence internationale organisés au Japon, incluant des chefs d’États et de gouvernements, ainsi que des représentants d’organisations internationales et régionales, du secteur privé, d’ONG et de la société civile.

Albert Savana

Journaliste depuis 20 ans dans la presse économique africaine  et auteur de plusieurs enquêtes et reportages. A couvert plusieurs sommets de l’Union Africaine, de la Commission économique africaine et de la Banque Africaine de Développement.

Algérie : un taux de croissance de 1,4% en 2018

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En Algérie, l’économie a réalisé une croissance annuelle de 1,4% de son PIB en 2018 contre 1,3% en 2017, d’après les comptes économiques en volume publiés par l’Office national des statistiques (ONS) entre 2015 et 2018.

Le pays doit cette légère hausse essentiellement aux secteurs de l’agriculture (5%), du bâtiment, travaux publics et de l’hydraulique (BTPH), des services et des travaux publics pétroliers (5,2%) et celui de l’Industrie (4,1%). Le taux de croissance du PIB, hors hydrocarbures, a atteint 3,3% contre 2,1% en 2017, ce que l’ONS qualifie de « performance appréciable ».

Par ailleurs, le PIB, en valeur courantes, serait passé de 18 575,8 milliards de dinars algériens en 2017 à 20 259 milliards (environ 170 milliards USD) en 2018, soit une hausse de 9,1%. Pour sa part, le PIB/habitant s’est établi à 4 080 dollars en 2018 contre 4 011,2 dollars un an plus tôt.

Encore très dépendante des hydrocarbures dont les exportations ont atteint 39 milliards de dollars en 2018 contre 33,5 milliards en 2017, soit une hausse de 16,6% en valeurs, l’économie algérienne est encore tributaire des prix du pétrole. Les réserves de changes ont fondu à 72,6 milliards de dollars à la fin du mois d’avril 2019, avec un balance commerciale déficitaire de 3,18 milliards de dollars durant le premier semestre 2019, contre un déficit de 2,84 milliards de dollars à la même période en 2018.

Coris Bank affiche de bonnes performances de gestion

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Coris Bank International a affiché au premier trimestre 2019 de bonnes performances sur ses indicateurs de gestion et financier comparés à la même période de 2018, selon les données annoncées par les dirigeants de cet établissement bancaire basé à Ouagadougou au Burkina Faso.

Le produit net bancaire (PNB) a ainsi connu une forte hausse de 32,97% durant la période sous revue, passant de 11,768 milliards de FCFA au premier trimestre 2018 à 15,648 milliards de F CFA.

Tunisie : les actionnaires d’Assurances Salim approuvent le changement d’identité

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Les actionnaires de la société Assurances Salim ont approuvé, en assemblée générale extraordinaire tenue le 8 août 2019, le projet de changement de dénomination proposé par le conseil d’administration.

Ainsi, la compagnie va désormais porter le nom de BH Assurance. BH tout comme l’actionnaire principal, la Banque de l’habitat devenue BH Bank depuis avril 2019 avec changement d’identité visuelle intervenu le 1er juillet 2019 dans le cadre de la politique du groupe.

Organisée autour de 2 pôles d’activités (assurance vie et non vie), Assurance Salim avait enregistré, en 2018, une hausse de 13% de son chiffre d’affaires (33,7 millions USD).