HILJOHN TECHNOLOGIES est une entreprise de services numériques et services d’ingénierie informatique. Elle développe de multiples activités afin de proposer une formule dite à «360° » aux entreprises cliente. Le consulting sur les domaines du management de données, déploiement d’ERP tout support, et conseil stratégique sur la Business Intelligence font partie des services de cette entreprise.
La Start-up dans l’optique de son développement, ouvre 20% de son capital équivalent à 2000 parts. La valeur d’une part est estimée à 350
Ces fonds que PJT souhaite lever permettrons la mise en œuvre du projet d’expansion de la Start-up PHILJOHN TECHNOLOGIES dans la sous-région d’Afrique Centrale. Pour ce faire, PJT envisage créer plus de 30 emplois directs et 200 indirects sur 3ans, afin de répondre au besoin de la clientèle.
Avec ces fonds, PHILJOHN TECHNOLOGIES prévoit également mettre en place un centre de formation d’excellence. Il s’articule principalement sur la formation des utilisateurs d’une entreprise et/ou à des étudiants sur des technologies Data Management (BI & Big DATA).
L’objectif étant de pouvoir créer de la valeur compétencielle locale afin de pouvoir la vendre à l’international et aussi de réaliser au minima la formation de 500 personnes chaque année.
Le nouveau commandant 14ème RM a pris le commandement du 14ème Régiment mixte de Ménaka le mardi 16 juillet 2019. Son prédécesseur, le lieutenant-Colonel Mamadou Konaté, lui a passé le flambeau lors d’une cérémonie présidée par le Commandant de la Région Militaire n°1 (RM-1), le colonel Yacouba Sanogo.
Cette unité est située à environ 217 kilomètres de Gao, dans une région sensible et d’une importance capitale dans la lutte contre le terrorisme. Le commandant de Régiment sortant, le Lieutenant-colonel Mamadou Konaté a salué le courage et la bravoure des éléments avant de remercier les partenaires qui n’ont ménagé aucun effort pour leur soutien au quotidien. Toute chose ayant contribué à la réussite de la mission confiée.
Il a aussi invité le nouveau Commandant de Régiment à pérenniser les rapports de franche collaboration avec les autorités administratives, politiques, coutumières dont le concours est tout aussi indispensable. Le nouveau commandant, le Chef de Bataillon Ousmane Guindo se dit conscient de la responsabilité. « J’ai beaucoup de projets et ambitions pour ce camp, nous allons évoluer tactiquement et techniquement. Des formations de renforcement physiques et intellectuelles seront organisées », envisage-t-il. Une rencontre sécuritaire des forces de défense et de sécurité au gouvernorat de Ménaka a mis fin à cette cérémonie.
Le régime fiscal de Casablanca Finance City va subir des changements. Le hub financier situé au coeur de la capitale économique marocaine taxera désormais de la même manière les activités locales et celles destinées à l’exportation, a déclaré à Reuters Saïd Ibrahimi, CEO de CFC. La réforme affectera le business plan des 180 entreprises établies dans cette zone spéciale. Une taxe forfaitaire basée sur les dépenses de fonctionnement sera également examinée, ajoute M. Ibrahimi, minimisant .
FBNBank Ghana annonce la nomination de Victor Yaw Asante au poste de directeur général de la banque en remplacement de Gbenga Odeyemi, qui se retrouve à la tête de FBNBank Sierra Leone.
Riche d’une expérience dans le milieu bancaire de 20 ans, Victor Asante devient le premier ghanéen à occuper ce poste. Précédemment, Asante était responsable des services bancaires aux grandes entreprises et aux institutions, avec la responsabilité de superviser les activités de banque commerciale chez First National Bank Ghana, une filiale du groupe First Rand en Afrique du Sud.
Il compte un passage à la Standard Chartered Bank en tant que directeur général de la banque et responsable des entreprises et des clients institutionnels de sa filiale au Botswana, ainsi que directeur général et chef régional de Transaction Banking, basé au Ghana, avec des responsabilités supplémentaires par rapport à d’autres pays d’Afrique de l’Ouest. y compris le Cameroun, la Côte d’Ivoire, la Gambie et la Sierra Leone. Victor a travaillé chez Merchant Bank (maintenant Universal Merchant Bank) et Unilever Ghana Limited.
Victor Asante est titulaire d’un MBA de la Business School de l’Université du Ghana et d’un baccalauréat en sciences (spécialisé) en économie agricole de l’Université Kwame Nkrumah des sciences et de la technologie (KNUST).
journaliste économique, titulaire d’un Master II en Communication et Journalisme de l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information et de la Communication de Dakar (ISSIC). Grande amatrice de lecture et de musique. Féministe dans l’âme et passionnée de mode.
Les engagements pris par le Groupe de la Banque mondiale pour aider les pays à améliorer leurs résultats de développement se sont élevés à 59,5 milliards de dollars sur l’exercice 2019 (clos le 30 juin dernier). Ces investissements, conjugués aux services de conseil et d’analyse offerts par le Groupe, aident les pays à progresser en matière de croissance, d’emploi, de réduction de la pauvreté, de gouvernance, de capital humain, d’infrastructure et de transparence de la dette. Une part de plus en plus importante des financements concernent en outre la lutte contre le changement climatique et la protection de l’environnement, ainsi que l’amélioration de la situation des femmes et des filles, et l’aide aux États fragiles ou touchés par un conflit.
Engagements du Groupe de la Banque mondialeExercices 2019 et 2018 (en milliards de dollars)
Ex. 19*
Ex. 18
23,2
23,0
21,9
24,0
8,9**
11,6**
5,5
5,3
59,5
63,9
* Chiffres préliminaires non audités au 8 juillet.
** Financements de long terme pour le compte d’IFC. Ces chiffres ne comprennent pas les ressources mobilisées auprès d’autres investisseurs (soit 10,2 milliards de dollars environ sur l’ex. 19 et 11,7 milliards sur l’ex. 18).
« Nous mobilisons l’ensemble des institutions du Groupe — BIRD/IDA, IFC et MIGA — pour renforcer davantage nos programmes d’activités dans les pays et améliorer ainsi leurs performances de croissance et de développement. Nous amplifions notre soutien en direction des pays à plus faible revenu et des États touchés par un conflit, soulignele président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass. Nous nous attachons à fournir plus de prêts, de financements et de garanties en faveur de résultats qui permettent d’augmenter les niveaux de vie dans les pays où ces ressources font le plus cruellement défaut. L’objectif est de s’attaquer efficacement aux problématiques qui sont au centre de notre mission d’élimination de la pauvreté et de promotion de la prospérité, en tenant compte du ralentissement mondial de la croissance, d’une montée de l’endettement qui ne s’accompagne pas de bienfaits réels, des graves lacunes en matière d’accès à l’eau potable, à l’électricité, à la santé et à l’éducation, des effets du changement climatique et de bien d’autres obstacles à l’amélioration de la condition des populations pauvres. »
Les engagements de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) ont totalisé 23,2 milliards de dollars sur l’exercice 2019, en hausse par rapport à l’exercice précédent où ils ressortaient à 23 milliards. Au cours de l’exercice écoulé, la BIRD a débuté la mise en œuvre des mesures liées à son augmentation de capital, dont notamment l’instauration d’une limite de prêt durable annuelle. Elle a par ailleurs émis pour 54 milliards de dollars d’obligations libellées dans 27 devises dans le but de financer des programmes qui promeuvent une croissance inclusive et des réformes visant à améliorer le niveau de vie des populations dans les pays à revenu intermédiaire.
Les engagements de l’Association internationale de développement (IDA), qui accorde des prêts sans intérêts, ou à faible taux d’intérêt, et des dons aux 75 pays les plus pauvres du monde, sont ressortis à 21,9 milliards de dollars durant l’exercice 2019. Le montant cumulé des engagements au titre des exercices 2018 et 2019, qui correspondent aux deux premières années du 18e cycle de reconstitution des ressources de l’IDA (IDA-18), s’élève à 45,9 milliards de dollars, ce qui marque une hausse de 31 % par rapport à la même période d’IDA-17 (35,1 milliards de dollars).
Les programmes de la Banque mondiale (BIRD et IDA) ont ainsi aidé un plus grand nombre de pays à se rapprocher de leurs objectifs de développement. La demande d’investissements dans le capital humain a continué de progresser, alors que les pays sont de plus en plus conscients de l’importance, à long terme, de ces financements pour une croissance sans exclus et pour la réduction de la pauvreté. Plus de 60 % des opérations de la Banque mondiale se sont efforcées de remédier aux disparités entre les sexes et d’encourager la pleine intégration des femmes dans l’économie des pays. Autre fait notable : les engagements de l’IDA en faveur de pays en situation de fragilité, de conflit et de violence ont atteint 8 milliards de dollars durant l’exercice 2019.
La Banque mondiale s’emploie à augmenter ses financements en soutien à des réformes économiques et institutionnelles visant à favoriser l’investissement privé et la création d’emplois dans les pays en développement. Le Guichet de promotion du secteur privé (PSW) mis en place dans le cadre d’IDA-18 a engagé un montant total de 578 millions de dollars, parallèlement au 1,3 milliard de dollars fournis par le biais d’investissements d’IFC et de garanties de la MIGA. Ces financements devraient permettre de lever 1,7 milliard de dollars supplémentaires auprès d’autres bailleurs de fonds, au sein du secteur privé notamment.
Au cours de l’exercice qui vient de s’achever, 30 % des engagements de la BIRD et de l’IDA ont promu des effets connexes positifs sur le climat, dépassant ainsi la cible de 28 % fixée par la Banque à l’horizon 2020. En novembre 2018, l’institution s’est donné pour objectif de consacrer 200 milliards de dollars à la lutte contre le changement climatique en cinq ans, en mettant sur le même plan prioritaire le financement de mesures d’atténuation et d’adaptation.
La Société financière internationale (IFC) a intensifié ses activités dans les pays les plus pauvres et les environnements fragiles, conformément à l’augmentation de capital avalisée par les actionnaires en avril 2018. Principale institution mondiale d’aide au développement dont les activités concernent exclusivement le secteur privé, IFC s’attache à créer des marchés et des opportunités d’investissement durable là où les besoins sont les plus importants. Selon des données préliminaires non auditées, IFC a engagé sur l’exercice 2019 près de 8,9 milliards de dollars d’investissements de long terme pour son propre compte et mobilisé environ 10,2 milliards de dollars auprès d’autres sources de financement, soit un montant total de plus de 19 milliards de dollars. Ces opérations complexes sont venues soutenir 269 projets de financement à long terme dans des pays en développement. Il faut y ajouter 4,5 milliards de dollars de crédits commerciaux à court terme, dont plus de la moitié (2,5 milliards de dollars) ont concerné des pays admissibles à emprunter à l’IDA ou en situation de fragilité et de conflit.
Dans le cadre des objectifs liés à son augmentation de capital, IFC recentre actuellement son approche pour développer ses activités en amont dans les pays les plus pauvres et créer ainsi un vivier de projets susceptibles d’obtenir des financements et attirer des investissements privés. Au titre de l’exercice 2019, IFC a apporté plus de 4,8 milliards de dollars de financements de long terme en faveur de l’accélération du développement dans les pays IDA (ressources mobilisées auprès d’autres investisseurs comprises). Ces pays ont représenté près de 25 % du montant total des engagements d’IFC. Les investissements dans des entreprises situées dans des États fragiles ou touchés par un conflit se sont élevés à plus de 500 millions de dollars (en incluant les fonds levés auprès d’autres investisseurs). IFC a continué de privilégier le financement de projets ne portant pas atteinte au climat et d’intensifier ses investissements dans des régions confrontées à de graves défis de développement. Les engagements d’IFC pour son compte propre en direction de l’Afrique, du Moyen-Orient et de l’Asie du Sud ont atteint une proportion record de 45 %. Enfin, IFC a élaboré des principes directeurs pour l’investissement à impact, posant ainsi les bases d’une augmentation des investissements dirigés vers des projets produisant des effets positifs sur le plan social et environnemental. Soixante-trois investisseurs internationaux ont adopté à ce jour les Principes directeurs en matière de gestion de l’impact.
L’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), principale source multilatérale de services d’assurance contre les risques politiques, a pour mission de faciliter les investissements directs étrangers dans les pays en développement. Elle a émis lors de l’exercice écoulé 5,5 milliards de dollars de nouvelles garanties, contribuant ainsi à mobiliser un montant total de 9,3 milliards. Les projets soutenus par la MIGA permettront d’assurer l’accès à l’électricité de quelque 3,6 millions de personnes et d’engranger 791 millions de dollars d’impôts et de redevances par an au profit des gouvernements concernés. Près de 30 % des garanties fournies par la MIGA au cours de l’exercice 2019 ont bénéficié à des projets situés dans des pays IDA ou des environnements fragiles, et quasiment les deux tiers ont favorisé l’adaptation au changement climatique ou l’atténuation des émissions de carbone. L’encours du portefeuille de garanties de la MIGA a doublé au cours des six dernières années, pour atteindre 23,3 milliards de dollars. Afin d’accroître son impact sur le développement, la MIGA a revu et normalisé ses contrats, tout en renforçant sa collaboration avec la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), la Banque asiatique de développement (BAsD) et la Société islamique d’assurance des investissements et du crédit à l’exportation (ICIEC), conformément à la préconisation du Groupe de personnalités éminentes du G20 sur la gouvernance financière mondiale.
Financial Afrik se propose de délivrer l’information financière stratégique aux cadres et dirigeants, à travers une newsletter quotidienne et un site web qui couvre toute la finance africaine.
Le président de l’Assemblée Nationale ,Issiaka Sidibé a effectué ce lundi 22 juillet 2019 une visite chez les victimes pour s’enquérir des faits.
Un fait qui relève du litige foncier qui oppose la famille Diakité à Monsieur, Mohamed Lamine Maîga . Ils sont tous résident du quartier Ouolofobougou Bamako.
Il faut rappeler que la famille Diakité a vu sa concession démolie suite à une décision de justice qui donne tous les droits à Mr Maïga.
En réponse aux cris de détresses de la famille Diakité, le Président de l’Assemblée Nationale du Mali, Honorable Issiaka Sidibé est venu leur rendre une visite.
Une visite porteuse d’espoir pour la famille Diakité dans affaire qui leurs dépasse aujourd’hui.
Il s’agit du début des paiements de la dette interieure dont les benefiaires ne sont d’autres que les operateurs économiques. Selon, plusieurs sources, l’Etat malien a ardonné le paaiement des operateurs économiques. Notre source dira que la somme de 500 millions d’euro serait encours de mobilisation pour éponger la dette interieure pour trois ans.
Le gouvernement a commencé l’apurement de la dette intérieure depuis la semaine dernière. Les paiements ont déjà commencé et il est attendu le payement de près de 103 milliards de CFA dans les jours à venir pour apurer et relancer l’activité économique.
En ce qui concerne la mobilisation des fonds pour eponger la dette interieure, l’Etat et ses partenaires seraient en etroite collaboration avec les partenaires dans ces derniers temps afin de trouver une solution aux problèmes de la dette interieure pour le bon, et cela, deux cabinets d’etude seraient engagés, à savoir un cabinet Canadien et celui d’ivoirien.
Répartition des paiements
Tranche de 101 a 200 millions : 10 574 202 465 F CFA
– Tranche de 201 a 300 millions : 6 784 557 299 F CFA
– Tranche de 301 a 400 millions : 6 097 503 431 F CFA
– Tranche de 401 a 500 millions : 4 959 755 433 F CFA
– Tranche de 501 d 1 milliard : 14 857 218 105 F CFA
– Tranche de plus de 1 milliard : 59 363 246 976 F CFA
IBK reçoit la Secrétaire d’Etat à la Défense du Royaume-Uni
Le Président de la République, Chef de l’Etat Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA , a reçu en audience au Palais présidentiel de Koulouba , Mme Penny Mordaunt Secrétaire d’Etat à la Défense du Royaume Uni, accompagnée par l’ambassadeur du Royaume Uni au Mali. Les questions sécuritaires et le renforcement des relations de coopération bilatérale étaient au centre des échanges.
A l’issue des échanges, le Secrétaire d’état du Royaume Uni a réitéré au Chef de l’Etat l’appui et l’assistance de son pays .« Nous sommes ici pour renforcer notre coopération bilatérale avec le Mali » a déclaré l’honorable Penny Mordaunt nommée à ce poste il y’a juste un trimestre . Vu la situation sécuritaire à laquelle notre pays est confronté dans ces dernières années, elle a souligné que son pays fera des annonces fortes pour aider le Mali à sortir de cette crise .
Un des axes prioritaires de renforcement de la coopération bilatérale entre nos deux pays sera également le déploiement dans notre pays d’hélicoptères de combat britanniques . Pour renforcer la capacité opérationnelle de nos hommes , la Secrétaire d’Etat à la Défense du Royaume Uni a indiqué que son pays mettra à la disposition du Mali 250 éléments de forces britanniques bien entraînés et très professionnels qui vont assurer la formation sur place des forces armées et de sécurité du Mali. « Nous pensons que le Président de la République, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA , a bien apprécié ces perspectives en terme de renforcement de notre coopération bilatérale et notre engagement militaire au Mali . Les résultats de cette coopération bilatérale seront ressentis très bientôt sur le terrain » a conclu la Secrétaire d’Etat, qui a administre
les forces armées britanniques et préside le Conseil de la Défense .
Cellule de Communication et des Relations Publiques de la Présidence de la République
« Notre jeunesse , nous ne la préparons pas à tendre la Sébile… vous ne venez pas d’un peuple mendiant , nous fûmes dans l’histoire » dixit IBK
Dans son mot à la presse , qui a suivi la cérémonie d’ouverture du Salon de l’entreprenariat, IBK a mis un accent particulier sur la prise de risques et l’audace d’essayer des acteurs du secteur public et du secteur privé, en n’ayant pas peur de l’échec et d’être humble pour développer le Mali qui vient de loin. Évoquant la volonté politique sans failles et énumérant les mesures gouvernementales favorables aux entreprises, entre autres la loi d’orientation agricole , la politique nationale de promotion des entreprises et des investissements, le CRED, IBK a rassuré tout le monde que: « Nous sommes là pour vous encourager, et pour vous aider à vous hisser ». Ayant placé la jeunesse au cœur de son second mandat , le Président de la République est revenu sur son engagement et sa détermination en faveur de cette jeunesse debout. « Mon ambition, c’était qu’un jour , parti à la décision nationale , je fasse tout pour que nous ayons nous aussi des capitaines d’entreprises à dimension continentale et mondiale car nous le pouvons , oui nous le pouvons » a insisté IBK.
Le Président de la République, malgré la réalité des difficultés actuelles que traverse notre pays a invité les institutions financières à faciliter l’accès au crédit aux banques. « La volonté politique est là et nous cherchons des financements partout où nous allons. Récemment nous avons eu 25 millions de dollars en Abu Dhabi pour précisément la promotion du secteur des jeunes . Et j ai souhaité que cet argent-là soit entièrement utilisé pour cela donc c’est un souci permanent » a évoqué le Chef de l’Etat.
IBK a vanté cette brave et vaillante jeunesse du Mali. « Nous n’aurions aucune chance de survie dans ce monde si nous n’avions pas cette intelligence là de vous préparer pour le monde dans lequel nous sommes déjà qui est un monde d’hyper compétitivité . Notre jeunesse , nous ne la préparons pas à tendre la Sébile , non, pas une jeunesse mendiante, vous ne venez pas d’un peuple mendiant , nous fûmes dans l’histoire . Si nous sommes prêts aujourd’hui à tous les sacrifices pour la survie du Mali , c’est pour le Mali ,et ce Mali , c’est vous qui en assurez la survie et la permanence. Déjà vous le faites de façon fabuleuse quand je vois les promesses d’aujourd’hui, les promesses d’avenir , ces jeunes visages si convaincants, si porteurs , si conquérants et c’est pour cela que j’ai dit que nous pourrons le faire inshallah parce que vous êtes notre espoir » a déclaré IBK.
IBK a voulu conclure sur un message de réussite et de responsabilité mais surtout d’espoir. « Nous sommes confiants en l’avenir de la robotique au Mali. Je ne perdrais jamais confiance en ce pays-la et quand je dis que la jeunesse , à laquelle je confie ce mandat-là , ce n’est pas de la démagogie, c’est la réalité et c’est elle le Mali . Je suis là pour travailler pour les jeunes pour qu’ils gagnent la bataille d’aujourd’hui et de demain , demain se prépare; aujourd’hui est fabuleusement pris en main ici. Si on m’avait dit que les jeunes maliens seraient dans la robotique et à un tel niveau je n’eus pas cru , mais je suis devant les faits aujourd’hui , c’est pourquoi je suis dans tous les états de bonheur réel ».
Le Président de la République a salué les délégations étrangères venues de la Côte d’Ivoire, du Togo et du Niger pour participer à cette première édition du salon de l’entrepreunariat PMI et PME au Mali. IBK n’pas manqué de saluer et de remercier également les partenaires techniques et financiers du Mali, le corps diplomatique et tous pour avoir honoré le Mali de leur présence à ce salon.
Cellule de Communication et des Relations Publiques de la Présidence de la République
Dans sin rapport 2018, le Bureau du vérificateur général ( BVG ) devoile que le Maire de la commune rurale de Baguinéda-camp, a utilisé des délibérations déplacées pour justifier des depenses de paiement de frais d’un montant de plusieurs centaines de millions.
Le Maire a accordé des autorisations de construire sans perception des frais. Pour ce faire veuillez lire les IRREGULARITES FINANCIERES RELEVEES par le Bureau du vérificateur général ( BVG ), des références tirées de son rapport 2018. Selon le rapport du BVG 2018 ‹‹ De 2015 à 2017, les recettes réalisées et les dépenses effectuées par la Rurale de Baguinéda-Camp se chiffrent respectivement à 1,89 milliard de FCFA et 1,88 milliard de FCFA.›› Les irrégularités sont comme suites: Le Receveur- Percepteur a irrégulièrement arrêté un quittancier de 2017 à 3,68 millions de FCFA alors que la somme des montants qui le composent, reconstituée par la mission, s’élève à 3,89 millions FCFA, soit un écart non perçu de 210 000 FCFA. • Le Régisseur de recettes n’a pas justifié « le stock de vignettes » non vendu d’un montant de 8,36 millions de FCFA. En effet, il a reçu de la Perception, des carnets de vignettes cachetées pour une valeur totale de 17,19 millions de FCFA. Sur ce montant, il a reversé 8,83 millions de FCFA à la Perception. Les carnets vierges de vignettes présentées pour justifier le stock non vendu ont des motifs et fonds différents de ceux reçus de la Perception pour la période concernée. • Le Régisseur de recettes n’a pas justifié des frais de délivrance d’actes d’état civil. L’examen des comptes administratifs et des comptes de gestion et la reconstitution, par la mission, des recettes à partir du cahier de transmission des copies d’extraits vierges entre le Régisseur de recettes et le service de l’état civil, donnent un écart non reversé, à la Perception, de 3,54 millions de FCFA. • Le Régisseur de recettes n’a pas procédé au reversement de recettes encaissées d’un montant de 2,07 millions de FCFA. Il s’agit d’un écart entre les états de versements de recettes collectées et les montants de quittances correspondants. Concernant les Autorisations de construire, l’écart relevé est de 532 500 FCFA. Au titre des Autres redevances d’utilisation du domaine, il est de 1,07 million de FCFA et, enfin, de 468 700 FCFA en ce qui concerne les Taxes sur les usages prevatifs du domaine. • Le Régisseur de recettes n’a pas justifié l’utilisation de formulaires de concessions Rurales d’Habitation d’un montant de 198,64 millions de FCFA. Ce montant correspond à la somme des valeurs de 4 926 formulaires de Concessions Rurales d’Habitation en 2016 non retracés – estimés à 197,04 millions de FCFA au prix minimum de 40 000 FCFA par moi – et de 24 autres en 2015 dont les recettes ont été perçues, mais non reversées pour 1,60 million de FCFA. • Le Maire a accordé des autorisations de construire sans perception des frais y afférents d’un montant de 7,57 millions de FCFA. En effet, la mission a constaté que le montant des autorisations de construire enregistré est de 5,72 millions de FCFA en 2016 et 7,84 millions de FCFA en 2017. Cependant, pour les mêmes exercices, les montants collectés sur quittancier sont respectivement de 3,13 millions de FCFA et 2,86 millions de FCFA. Les écarts correspondants aux montants non perçus par le Régisseur de recettes sont de 2,60 millions de FCFA et de 4,98 millions de FCFA. Le Maire a utilisé une délibération irrégulière pour justifier des dispenses de paiement de frais d’édilité d’un montant de 307,05 millions de FCFA. En effet, la mission a constaté, en 2017, que 5 266 Concessions Rurales ont été établies dont les frais d’édilité correspondent à 317,12 millions de FCFA. Sur ce montant le Régisseur de recettes n’a perçu et reversé que 10,07 millions de FCFA à la Perception. La délibération n°006 CC-CRBC du 24 décembre 2016 présentée par le Maire pour justifier l’écart, au titre des dispenses de paiement, a été contesté, par écrit, par plusieurs conseillers et les adjoints au Maire. • Le Maire a effectué un achat non retracé d’un montant de 2,30 millions de FCFA. En effet, la mission a constaté que 7 840 formulaires de Concessions Rurales d’Habitation ont été achetés par le Maire en 2015 pour un montant de 2,31 millions de FCFA sur lesquels, seulement, 48 formulaires ont été établis. Le reliquat de 7 792 formulaires correspondant à la somme de 2,30 millions de FCFA n’est pas retracé.