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Développement de l’entreprenariat national jeune et féminin : Bamako a abrité le lancement de la 1ère édition du Salon de l’Entreprenariat et des petites et moyennes entreprises du Mali.

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Promouvoir et accompagner les entrepreneurs

Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA a présidé dans la ni-matinée du lundi 22 juillet 2019, au Centre International des Conférences de Bamako CICB, l’ouverture solennelle de la toute première édition du Salon de l’Entreprenariat et des petites et moyennes entreprises du Mali. Le Salon de l’Entreprenariat  est organisé par le gouvernement du Mali à travers le Ministère de la Promotion de l’Investissement Privé, des PME et de l’entreprenariat national.

Ce premier salon de l’entreprenariat, dédié aux jeunes et aux femmes des petites et moyennes entreprises du Mali , à l’initiative des plus hautes autorités maliennes , est une opportunité et un cadre idéal pour les Jeunes investisseurs ou porteurs de projets , entreprises innovantes, à la recherche de fonds d’investissement pour contribuer au développement de l’entreprenariat national du Mali. Il se déroulera du 22 au 26 juillet 2019 au CICB. Le Président de la République, Chef de l’Etat IBK partout où il a passé à travers le monde a toujours mis en avant les opportunités du Mali et convaincu les investisseurs sur la destination Mali. IBK a placé également la jeunesse au cœur de ses priorités pour son second mandat 2018-2023. La semaine de salon devra permettre à impulser  une nouvelle dynamique dans la promotion et l’accompagnement des entrepreneurs au Mali.

Le Chef de file des partenaires techniques et financiers , Mme Soukeina Kane dans son allocution a déclaré « L’économie malienne a été affectée par la crise qui perdure depuis 2012, et les problèmes sécuritaires ont notamment contribué à fragiliser la situation du pays. L’environnement des affaires, en dépit de nombreuses initiatives que nous saluons, s’est dégradé.Les défis restent nombreux et la population est majoritairement jeune et rurale. Il est impératif de poursuivre les réformes et les efforts en matière d’amélioration du climat des affaires. Je puis vous assurer du soutien des partenaires techniques et financiers ». Profitant de la solennité de la cérémonie, elle a lancé un appel à tous les partenaires à soutenir le Mali en son processus de croissance et de développement. « Soutenir le Mali en misant sur ses ressources naturelles et humaines, le dynamisme et la créativité de sa jeunesse ainsi que la résilience de sa population, c’est lutter contre la crise multidimensionnelle et mettre le pays sur la voix d’une prospérité partagée pour tous » a-t-elle conclu.

La cérémonie de lancement officiel a été marquée par une visite guidée des stands par le Président de la République.

Cellule de Communication et des Relations de la Présidence de la République

Paix et securité: Paris abritera le forum sur la paix

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Le Forum de paris sur la paix est une organisation independante financée par des donnateirs internationaux. Une centaine de projets de gouvernance ont été sélectionnés pour être présentés à la
deuxième édition du Forum de Paris sur la Paix du 11 au 13 novembre 2019.


Une initiative mondiale et multi-parties prenantes, le Forum de Paris sur la Paix assure son indépendance grâce à un financement par des partenaires internationaux, pour la plupart non gouvernementaux.


Fondé en 2018 sous la forme d’une association (loi 1901), le Forum de Paris sur la Paix est une organisation indépendante articulée autour de trois instances de gouvernance : le Conseil exécutif, le Conseil
d’orientation et le Cercle des partenaires.
Le Conseil exécutif est composé des huit membres fondateurs de l’association.

Ils sont responsables de
l’organisation générale et de la mise en œuvre du Forum de Paris sur la Paix.


Le Conseil d’orientation est composé de seize personnalités internationales de haut niveau reconnues sur les questions de gouvernance mondiale. Ils accompagnent le Conseil exécutif dans la définition des
orientations stratégiques du Forum de Paris sur la Paix.


Le Cercle des partenaires est composé des partenaires bienfaiteurs, institutionnels et médias. Ils sont invités à apporter leurs recommandations au Conseil exécutif sur les orientations stratégiques du Forum de Paris sur la Paix.

DES SOLUTIONS INNOVANTES AU FORUM DE PARIS SUR LA PAIX

Le Forum de Paris sur la Paix continue de prouver que dans un contexte difficile pour le multilatéralisme et l’action collective, il reste possible de faire avancer les projets concrets et les initiatives nouvelles en associant mieux les États ainsi que les représentants des organisations
internationales et de la société civile.


Un appel à projets universel
À la suite de son appel à projets annuel, le Forum de Paris sur la Paix a reçu plus de 700 candidatures venues de 115 pays du monde entier. Les projets qui ont été sélectionnés sont déployés dans toutes les régions du monde.

Cette année, la plupart des projets choisis par le Comité de sélection sont mis en œuvre de façon globale, ou sur plusieurs continents simultanément (48 %). L’autre moitié des projets se déploie principalement en Afrique (12 %), en Asie (11 %), en Amérique latine (10 %) et au Moyen-Orient (7 %).


Une diversité d’acteurs de la gouvernance mondiale. Le Forum rassemble tous les acteurs de la gouvernance mondiale. Les projets retenus sont portés par de
nombreux types d’organisations venant de 36 pays différents.

Ils sont initiés notamment par des États (8 projets), des organisations internationales (17 projets), des ONG (34 projets), des entreprises (10 projets), des fondations (4 projets) et des think tanks (6 projets).


Des solutions pour dépasser les discours
Le Forum met l’accent sur ceux qui mettent en œuvre des solutions innovantes pour répondre aux défis transfrontaliers.

Les porteurs de projet sélectionnés pourront présenter leur solution de gouvernance du 11 au 13 novembre à la Grande Halle de La Villette à Paris. Cette deuxième édition sera pour eux l’occasion de concrétiser, développer et valoriser leur projet, en touchant des milliers d’acteurs de l’action collective.

Daouda Bakary KONE

Source: Croissanceafrique.com

Transport urbain : «J’ai éprouvé le besoin», le tricycle, une alternative économique

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Depuis quelques années, un nouveau moyen de transport est apparu dans les habitudes au Bénin. Jadis existants sous une autre forme avec autre appellation, le tricycle, intermédiaires entre la moto et le véhicule est souvent adopté par certains béninois à plusieurs occasion et pour diverses raisons.

Benin24television.com

Economique et pratique, les motos tricycles «communément dites ‘’cloboto’’ sont depuis peu entrées dans l’habitude des Béninois. Existant jusqu’à récemment en marque ‘’Vespa’’ et utilisées pour des besoins de taxi-moto ou de transport de marchandises, «taxi kanan», en langue goun, dans la capitale politique béninoise, les motos tricycles sont étendues à d’autres marques avec un peu plus qu’équilibre et d’espace voire de confort.

Intermédiaire entre les engins à deux, quatre roues et plus, les engins tricycles sont sollicités pour plusieurs besoins. Et ce choix est bien justifié par ceux qui le font. A les entendre, deux principales rasions motivent ce penchant pour les motos tricycles. Pour intégrer sa nouvelle résidence, Pascale Obossou a sollicité une moto tricycle pour l’aider dans le déménagement.

Comme lui, pour certaines sollicitations, Joachim Amah, sonorisateur et prestataire de bâches et chaises, adopte l’engin tricycle pour acheminer les appareils et autres nécessaires sur les lieux d’évènement quoique disposant aussi d’une bâchée. Chacun d’eux a cependant ses raisons, quoique convergentes.

Approché en effet, Joachim dit miser sur le côté économique en carburation. Il explique qu’avant, il lui fallait 10 litres avant de déplacer en aller et retour ses s sur les lieux d’invitation. Mais Il a fallu dit-il, qu’il échange avec un ami pour changer d’avis car, «depuis lors, j’ai éprouvé le besoin d’un tricycle» a-t-il fait savoir.

Il justifie ; «laissez-moi vous dire par exemple qu’avec ma bâchée, il me faut avoir au moins cinq litres de carburant avant de démarrer. Mais maintenant, même avec seulement deux litres, je peux démarrer ma tricycle». C’est donc un moyen économique, aspect qui a d’ailleurs convaincu Pascal à y recourir pour son déménagement.

«J’ai préféré une tricycle pour mon déménagement car, lui, il m’a dit 12.000 FCFA et fera deux tours alors que pour la bâchée, on m’a dit qu’on aura fait juste un tour mais à 18.000FCFA». C’est aussi en se fondant sur ce même principe mathématique que Mathieu Agbotomè, évoque les avantages de ce moyen de transport.

Distributeur des produits de la brasserie, Mathieu estime que la moto tricycle est pratique et économique. Au fait, «Avec 5 litres de carburant, je fais le tour de plusieurs clients avec une charge importante d’autant plus que j’ai complété mon porte bagage», justifie-t-il avant d’ajouter qu’avec un engin à quatre roues ou une bâchée, il dépenserait plus sans avoir encore évoqué la vidange qui, pour une moto tricycles, reste abordable comparativement à un véhicule.

Quant à un engin à deux roues, «c’est la croix et la bannière» s’est-il empressé de rétorquer au motif qu’il ne pourra pas transporter assez de charges. D’ailleurs, dans certaines contrées reculées, ces motos servent de moyen de transport en commun avec une capacité de charge qui, que ce soit d’être humain ou de marchandise, équivaut jusqu’au quintuple de ce que pourrait contenir une moto contre un besoin en carburation pourtant très réduit.

Toutefois, ce moyen vient pour concurrencer de plus en plus les conducteurs de taxi-motos qui perdent le contrôle sur nombre d’opportunités et les transporteurs au moyen de véhicule à quatre roues, victimes du caractère onéreux de leurs prestations face au tricycle.

Par Bidossessi WANOU

Mo Ibrahim : « Trop de chefs d’État africains se croient irremplaçables »

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Jadis pionnier de la téléphonie mobile, le milliardaire se veut aujourd’hui le chantre de la bonne gouvernance. De son Soudan natal à l’Algérie ou à la RD Congo, Mo Ibrahim sait qu’il a encore du pain sur la planche.

Cela fait plus d’un demi-siècle que Mohamed Ibrahim a quitté sa Nubie natale, mais il se plaît encore à citer les adages de ces confins du nord du Soudan. « Chez moi, il y a un très vieux proverbe qui dit que les linceuls n’ont pas de poche. Tu nais nu, tu mourras nu. Une chose est sûre : je n’emmènerai pas ma Mastercard dans la tombe ! »

« Mo » Ibrahim n’est pas un riche comme les autres. Forbes a estimé sa fortune à 1,1 milliard de dollars (près de 980 millions d’euros) mais c’est sans cravate et sans chichis qu’il reçoit dans le très chic quartier de Marylebone, en plein centre de Londres, où se trouvent les bureaux de sa fondation. Cet ingénieur en électronique a bâti sa fortune en créant les premiers réseaux de téléphonie mobile, en Europe puis en Afrique, alors que rares étaient ceux prêts à prendre de tels risques sur le continent. En 2006, un peu malgré lui, il vend son entreprise, Celtel, pour 3,4 milliards de dollars. « L’offre ne se refusait pas », racontera-t-il. Plusieurs de ses employés, actionnaires, deviennent millionnaires.À LIRE Portraits : qui sont les plus proches collaborateurs du milliardaire Mo Ibrahim ?

Bonne gouvernance

Mo Ibrahim commence alors sa seconde vie. Le voilà chantre de la bonne gouvernance en Afrique. Il crée une fondation, un index qui évalue les pays selon leur gouvernance et un prix devenu fameux : doté de 5 millions de dollars, il distingue les anciens dirigeants les plus vertueux du continent. Mais les candidats pouvant y prétendre sont peu nombreux et, en douze ans, la récompense n’a pu être décernée qu’à cinq reprises. À Joaquim Chissano (Mozambique), Festus Mogae (Botswana), Pedro Pires (Cap-Vert), Hifikepunye Pohamba (Namibie) et Ellen Johnson Sirleaf(Liberia).

D’Aliko Dangote, le roi du ciment nigérian, à l’ancien Premier ministre tanzanien, Salim Ahmed Salim, en passant par le Rwandais Donald Kaberuka, cet ami des puissants est aujourd’hui un de leurs plus féroces juges. Il parle démocratie avec Paul Kagame et troisième mandat avec Alassane Ouattara. D’un air débonnaire, sourire candide aux lèvres, il dénonce et pourfend avec un franc-parler étonnant. Ces derniers mois, il a suivi de près la chute d’Omar el-Béchir dans son pays – « Wonderful ! »s’enthousiasme-t-il. S’il n’imagine pas faire de politique, Mo Ibrahim, 73 ans, écarte néanmoins l’idée d’un départ en retraite. « Je ne vais tout de même pas passer mon temps à boire du champagne et à déguster du caviar dans mon jardin… Cela n’a aucun sens ! »

suivez sur ce liens https://www.jeuneafrique.com/mag/806089/politique/mo-ibrahim-trop-de-chefs-detat-africains-se-croient-irremplacables/

Côte d’Ivoire : 373 milliards FCFA pour sauver la SIR primée par Ouattara

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Un séminaire sur les Hydrocarbures s’est tenue à Yamoussoukro les 15 et 16 juillet 2019. Aboudramane Cissé, ministre du Pétrole, de l’Énergie et des Énergies renouvelables a annoncé qu’il faut 373 milliards de FCFA pour sauver la société ivoirienne de raffinage ( SIR). ”Etat des lieux et perspectives des secteurs pétrole et énergie” était le thème du séminaire.

Afriksoir.net

Selon le ministre en charge du pétrole, de l’énergie et des énergies renouvelables, Cette levée de fonds pour la SIR doit permettre à l’entreprise de retrouver son lustre d’antan. Il l’a indiqué en ces termes : « La finalisation de la restructuration de la dette financière de la Société ivoirienne de raffinage (SIR) va être faite par la levée des fonds par emprunt sur le marché national et international de 373 milliards de Fcfa».

A lire aussi : Yasmina Ouégnin aux diplomates européens : “N’utilisez plus votre argent pour financer des autocraties”

Aussi paradoxale que cela puisse paraître, la société de raffinage a été primée comme ”La meilleure entreprise du secteur des hydrocarbures (Pétrole)” le 6 août 2018 lors de la 6è édition du prix d’excellence notamment dans le domaine du pétrole et de l’énergie. Comment une société primée et félicitée par le président de la République puisse être autant financièrement mal en point, si bien qu’elle doit être secourue par une levée de fonds tant nationale qu’internationale ?

Par croissanceafrique.com

En tout état de cause, malgré qu’il soit conscient de la difficulté financière de la SIR, Aboudramane Cissé procédait à la remise des prix deux mois plus tôt notamment jeudi 9 mai 2019, à la salle des fêtes de l’immeuble Sciam, au Plateau, à la remise de prix d’excellence 2018. Ainsi, ce sont les entreprises classées deuxième et troisième des secteurs des Hydrocarbures et de l’Energie, la SMB (Société Multinationale de Bitumes), a été classée deuxième meilleure entreprise dans le secteur des Hydrocarbures. La troisième place est revenue à Petroci. Au titre du secteur Energie, la deuxième place de la meilleure entreprise est revenue à Ciprel.

Notons que ce n’est pas la première fois que la SIR est en difficultés financières. Adama Koné, ministre de l’Economie et des finances annonçait déjà en janvier 2018 que le gouvernement va lever 368 milliards de FCFA, pour « régler une partie de la dette de la SIR ».

Roxane Ouattara

Côte d’Ivoire : plus de 1 752 milliards FCFA obtenus sur plus de 20 022 milliards FCFA attendus, pour le financement du cacao

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Le ministre ivoirien de l’Economie et des finances, Adama Koné, a présidé, hier, au Sofitel Hôtel Ivoire, la Table Ronde des Bailleurs de Fonds pour le financement du Plan Directeur d’Aménagement des Corridors de l’Anneau de Croissance en Afrique de l’Ouest (Plan directeur cacao).

Par Afriksoir.net

Au cours de cette table ronde organisée par la Commission de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) en collaboration avec l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO),  à Abidjan du 16 au 18 juillet 2019, pour  le financement de 114 projets dans les domaines des Infrastructures, du Transport, de l’Energie, des Mines, de l’Agriculture, des Ressources animales, des TIC, du Commerce et de la promotion des échanges régionaux, inscrits dans ledit Plan Directeur les partenaires techniques et financiers et le secteur privé ont fait plusieurs annonces d’intention.

A lire aussi : Filière cacao en Côte d’Ivoire : La grosse injustice faite aux producteurs

Au terme de la table ronde, le montant global de 1752 milliards Fcfa a été enregistré. Soit 1400 milliards Fcfa promis par les partenaires techniques et financiers et 352 milliards Fcfa par le secteur privé. Le ministre Adama Koné a tout de même salué l’intérêt manifesté par les participants.

« L’objectif était de faire mieux connaitre les projets du portefeuille du plan directeur cacao, de susciter l’intérêt des partenaires techniques et financiers ainsi que du secteur privé et de solliciter leur appui pour le financement de ces projets.

A l’issue de ces travaux, je note avec satisfaction le vif intérêt des participants à contribuer à la promotion de la croissance économique dans la zone cacao, regroupant les 5 pays que sont le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo et le Bénin (…) Ainsi, les intentions de financement d’un montant global de 1752 milliards FCfa permettront la réalisation de la première phase des projets prioritaires dans le secteur de l’Agriculture, du Transports, des Infrastructures, de l’Industrie, des Mines, de l’Energie, des Technologies de l’information et de la communication et du Commerce. Je reste persuadé que les Institutions qui ne se sont pas prononcées aujourd’hui ne tarderont pas à le faire les jours à venir » a-t-il dit.

A en croire la tête de file, la BOAD et l’UEMOA, certains partenaires techniques vont réagir très rapidement avec des intentions, une fois rentrées chez eu au regard d’un programme communiqué lors des travaux. Le suivi sera fait au niveau de la BOAD et l’UEMOA pour que les montants recueillis auprès des PTF et le secteur privé soient communiqués dans un avenir très proche.

Au nom du président de la Commission de l’UEMOA, Paul Koffi Koffi, commissaire, chargé du département de l’aménagement du territoire communautaire et des transports a invité les bailleurs à faire davantage d’efforts et de garder grandes ouvertes les portes en vue de recueillir d’autres engagements.

Tout en recommandant aux bailleurs de poursuivre les efforts dans l’union et la solidarité, le commissaire, chargé des Infrastructures, représentant le président de la Commission de la CEDEAO, a annoncé qu’à l’instar de l’UEMOA, un évènement similaire sera lancé l’année prochaine par la CEDEAO pour la mobilisation de ressources.

Le directeur de cabinet, Adama Coulibaly, a indiqué le mardi dernier, à la rencontre des experts, que ce sont environ 20022 milliards Fcfa qui étaient attendus dans le cadre de la mobilisation de fonds au cours de cette table ronde pour le financement des 114 projets, dont le montant global pour le financement est estimé à 20822 milliards Fcfa, au profit de 5 pays membres et de l’UEMOA. A savoir 27 projets pour le Burkina Faso, 42 pour la Côte d’Ivoire, 13 pour le Ghana, 12 pour le Benin, 13 pour le Togo, et pour l’UEMOA.

F.B

Par Croissanceafrique.com

Cinq exposants de l’Expo 2019 de Beijing s’installent à Yanqing

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Le Centre d’innovation pour l’industrie horticole moderne de Zhongguancun a servi de cadre, le 11 juillet, à la cérémonie de signature des accords de coopération pour l’installation au parc scientifique et technologique de Zhongguancun (parc Zhongguancun) à Yanqing, de cinq parmi les entreprises ayant participant à l’Exposition horticole internationale de Beijing 2019 (l’Expo 2019 de Beijing).

Une fois installées à Yanqing, ces cinq entreprises joueront un rôle de pionnier dans les domaines de la recherche et du développement de la mésostase de sol et de la ressource de qualité des semences, de la plate-forme pour le commerce des semences, de la combinaison des plantes de l’empotement et de la production dérivée horticole.

A ce jour, 11 institutions des recherches scientifiques et 33 entreprises horticoles sont installées dans le district de Yanqing, ce qui constitue un avantage de rassemblement de l’industrie horticole moderne.

Le Centre d’innovation pour l’industrie horticole moderne de Zhongguancun

Le Centre d’innovation pour l’industrie horticole moderne de Zhongguancun

Il convient de rappeler que le Centre d’innovation pour l’industrie horticole moderne de Zhongguancun a effectivement débuté ses activités à Yanqing, en mai 2018, devenant ainsi la première plateforme d’innovation de l’industrie horticole au Parc Zhongguancun. Il deviendra également une nouvelle référence en matière d’innovation et de développement de l’industrie horticole moderne.

A noter que les 12 entreprises de ce Centre ont profité de l’occasion pour présenter leurs nouveaux produits dans les domaines de nouvelles technologies, variétés et œuvres.

Laurent GANGBES : une zone de coopération économique et commerciale avec la Chine en pleine préparation au Bénin

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Laurent GANGBES, directeur général de l’Agence béninoise pour la promotion des investissements et des exportations (APIEX), a accordé le 27 juin à China Media Group une interview.

Il a notamment parlé d’une zone de coopération économique et commerciale en préparation au Bénin qui a décidé d’engager des discussions avec des partenaires chinois. Son pays apprécie le modèle de la Chine qui a réussi dans le domaine du développement économique, a-t-il souligné. Il s’est ainsi exprimé à l’issue d’un séminaire organisé dans le cadre de la première Exposition économique et commerciale Chine-Afrique tenue à Changsha, capitale du Hunan.

Le leader chinois de l’alcool rapporte une forte croissance au premier semestre

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Kweichow Moutai, le leader chinois de l’alcool, a vu son chiffre d’affaires grimper de 18,24% sur un an au premier semestre de l’année, a-t-on appris de la société mercredi.

Les bénéfices nets de Moutai ont atteint 19,95 milliards de yuans (2,9 milliards de dollars), en hausse de 26,56% sur un an. Son chiffre d’affaires a atteint 39,49 milliards de yuans pendant cette période.

En 2018, la production de Moutai a atteint environ 70.200 tonnes, avec un chiffre d’affaires de 73,6 milliards de yuans et des bénéfices nets de 35,2 milliards de yuans, en hausse respective de 26,49% et de 30% sur un an.

Distillé dans le bourg de Maotai, dans la province du Guizhou (sud-ouest de la Chine), le Moutai, l’une des marques d’alcool leader de la Chine, est souvent servi lors de banquets nationaux.

Malgré son prix élevé, la demande domestique de Moutai a toujours dépassé l’offre.

Chine : le PIB en hausse de 6,3% au premier semestre de l’année

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Le PIB de la Chine a progressé de 6,3% en glissement annuel au premier semestre de l’année à environ 45.090 milliards de yuans (environ 6.560 milliards de dollars), selon des données publiées lundi par le Bureau d’Etat des statistiques (BES).

Cette croissance était en ligne avec l’objectif annuel du gouvernement fixé à 6 – 6,5% pour l’année 2019.

Au deuxième trimestre, le PIB du pays a augmenté de 6,2% par rapport à la même période l’année dernière, contre une hausse de 6,4% au premier trimestre, d’après le BES.

La performance économique était généralement stable et se situait dans une fourchette raisonnable, avec des progrès dans certains domaines, a indiqué le porte-parole du BES, Mao Shengyong, lors d’une conférence de presse.

Les recettes du secteur des services, qui représentent 54,9% du PIB, ont enregistré une hausse de 7% au cours de la première moitié de l’année, contre 3% pour le secteur primaire et 5,8% pour le secteur secondaire.

La consommation a continué de jouer un rôle plus important dans la promotion de la croissance économique. La consommation finale a contribué à hauteur de 60,1% de l’expansion économique durant la période janvier-juin.