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Mali: L’État veut promouvoir le développement inclusif, durable pour la réduction de la pauvreté et des inégalités

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Le cadre de relance économique et de développement durable  (CREDD) 2019-2023 a été examiné par le Conseil de Cabinet, présidé ce jeudi à la Cité administrative, par le Premier Ministre, Dr Boubou Cissé, a constaté l’AMAP.

L’objectif du CREDD est de promouvoir un développement inclusif et durable pour la réduction de la pauvreté et des inégalités dans un Mali uni et apaisé en se fondant sur les potentialités et les capacités de résilience en vue d’atteindre les objectifs de développement durable (ODD).

La 2ème génération  du cadre de relance économique et de développement durable (CREDD) vise à consolider et amplifier les résultats enregistrés au cours de la première phase (2016-2018) qui s’est achevé

AISSATOU TRAORE

Source: Croissanceafrique.com

Mali: Bamako a abrité la 9eme session du comité exécutif de l’agriculture, le bilan de la campagne écoulée est de 10 452 980 de tonnes

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Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Dr Boubou Cissé a présidé, ce vendredi 17 mai 2018, le 9e comité exécutif de l’agriculture, à la Primature. C’était en présence des acteurs de l’agriculture malienne tel que Bakary TOGOLA Président de l’APCAM et le ministre de l’Agriculture et celui de l’aménagement et de l’équipement rural M. Adama SANAGRE.

A l’issu des travaux, il ressort des conclusions de ce comité, qu’au cours de la campagne écoulée, 10 452 980 de tonnes,toutes céréales confondues ont été produites par les agricultures du Mali, soit une hausse de 12% par rapport à la campagne agricole 2017-2018 ( 9 295 874 tonnes).

Notons que le plan de campagne présenté au cours du comité sera examiné et adopté par le Conseil supérieur de l’agriculture sous la présidence du Président de la République, Chef de l’État, SEM Ibrahim Boubacar Keita.

Daouda Bakary KONE

Source: Croissanceafrique.com

Solidarité Ramadan : La BDM SA offre des vivres à 7 mosquées de Bamako d’une valeur de 9 millions de FCFA

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Les vivres sont composés de chacun d’un bœuf, 200 kg de riz, 250 kg de sucre, 40 litres d’huile de palme et des enveloppes symboliques d’une valeur de 150.000 F CFA. La valeur totale de ces dons ont coûté à la BDM d’une valeur de 9 millions de nos francs.

Tradition vielle de plusieurs années chez  les responsables de la banque au symbole de cauris, cette action de solidarité  de la BDM SA a pour objectif d’accompagner les fidèles musulmans, afin qu’ils puissent bien passer le ramadan. Une fois de plus, les responsables de la Banque Malienne de Développement du Mali n’ont pas dérogé avec leur principe de  partage et de solidarité à l’endroit des populations du  Mali

L’opération était conduite par le secrétaire général de la Banque, Moriba N’Faly Camara, du directeur des ressources humaines, Cheick Fantamady Keita, de la chargée de la Communication Madame Sow, du Secrétaire général du syndicat, Amadou Diallo et du chargé  des relations publiques de la Banque, Amadou Diallo.

En effet,  la BDM vient de procéder  à  la distribution gratuite de  vivres dans plusieurs mosquées de Bamako. Les vivres sont composés de 200 kg de riz, 250 kg de sucre, 40 litres d’huile de palme, 7 bœufs et des enveloppes  symboliques comme prix du condiment d’une valeur de 150.000 FCFA.

Ces vivres ont été répartis entre 7 mosquées à travers le district de Bamako dont deux mosquées sur la rive droite, et 5 mosquées sur la rive gauche. Il s’agit notamment de la mosquée 300 logements de Quartier Mali, la mosquée du Quartier Mali Torokorobougou, la vielle mosquée de Kalapo à Hamdallaye, de la Zawiya Thierno Tidiani Ibn Sidi Abdallah de Dar-salam, la mosquée de Nimaga à N’golonina, la mosquée Fula misiri à Djelibougou et la grande mosquée. 

En recevant ces vivres de la première banque de la sous-région,  les différents imams des mosquées bénéficiaires ont tour à tour  remercié  le donateur pour ce geste ‘’de grande solidarité envers toutes les communautés musulmanes du Mali’’. C’est le cas notamment de l’imam Malick Diallo de la mosquée de 300 logements. Ce dernier a, au nom de tous les fidèles de sa mosquée salué les responsables de BDM SA pour avoir perpétué une tradition de l’islam (la solidarité), chère au prophète Mohamed (PSL) pendant ce mois béni de ramadan. L’imam Diallo a profité de l’occasion pour faire des bénédictions pour le Mali et la prospérité de BDM. C’est le cas également de l’Imam Mahamadou Haidara de la mosquée Kalapo de Hamdallaye.

Selon l’Imam  Haidara, ce geste de la BDM arrive à point nommé, car dit-il, il coïncide avec la veille de la nuit dite nuit du destin ‘’achoura’’ (la nuit la plus bénie de toutes les nuits de l’année). A en croire l’imam de la mosquée Kalapo, le prophète a enseigné à ses disciples que la récompense du jeuneur n’est  connu de nul être humain et que celui qui apporte le repas de rupture à son prochain, que Dieu seul connait la récompense prévues à ce dernier. Il a fini par  remercier le donateur, avant de lui faire des bénédictions pour que pendant plusieurs années, l’initiative se perpétue.

Au nom du directeur général de BDM, Cheick Fantamady Keita, secrétaire général de la BDM a rassuré les différents imams de l’engagement de la banque à leur apporter de la continuité de l’initiative. Il leur a également demandé de continuer à prier pour le retour de la paix et de la stabilité dans le pays. Toute chose qui, selon lui, est gage de prospérité pour toutes les entreprises nationales, y compris la BDM.

Gaoussou Kanté

malijet.com

Le Niger prépare les états généraux de l’administration publique pour promouvoir la performance et l’efficacité des agents de l’Etat

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(Niamey et les 2 jours) – L’administration publique nigérienne va bientôt tenir ses états généraux. Un comité chargé de préparer ces assises a été installé, ce 16 mai, à Niamey.

Ces états généraux ont pour but « de faire un diagnostic de notre administration et voir quels sont les changements qui peuvent intervenir pour améliorer la qualité des services de l’administration publique, tant au niveau du ministère de la Fonction publique que dans les autres ministères et dans toutes les autres institutions de la République », a expliqué la ministre de la Fonction publique et de la réforme administrative, Dr Kaffa Rakiatou Christelle Jackou (photo).

Pour Me Ali Sirfi Maiga, médiateur de la république, c’est une manière de combattre la faible productivité et de promouvoir la performance et l’efficacité.

Ces assises permettront donc de dynamiser davantage l’administration nigérienne qui, selon le diagnostic réalisé par l’Etat, en partenariat avec le Lasdel (Laboratoire d’études et recherches sur les dynamiques sociales et le développement local), fait face à plusieurs maux. Entre autres, la lenteur et la lourdeur administrative, la mauvaise gestion des compétences, la corruption, l’insuffisance de la programmation budgétaire, l’absence d’évaluation des résultats, le problème du statut et de la gestion de la fonction publique.

Le taux de pénétration de la téléphonie mobile au Niger stagne à 45,54 % entre 2017 et 2018

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(Niamey et les 2 jours) – Alors que se célèbre ce 17 mai la journée mondiale des télécommunications, le taux de pénétration de la téléphonie mobile fait du surplace au Niger. Il n’a pas connu d’évolution entre 2017 et 2018.

Selon  le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Sani Maïgochi, ce taux se situe à 45,54 % en 2018. Comme ce fut le cas  en 2017.

Pourtant, entre 2016 et 2017, il y a eu une hausse de 6,91 % étant donné que ce taux était de 38,63 %. Le taux de couverture s’est quant à lui situé à 92,19 % en 2018 selon le membre du gouvernement.

Cependant, malgré cette stagnation, le ministre des Postes estime que de nombreux efforts ont été faits l’année dernière pour améliorer la couverture du réseau téléphonique au Niger. Notamment, l’adoption de la loi portant réglementation des communications électroniques et de la poste, celle portant sur les transactions électroniques et de la poste, ainsi que le projet de loi sur la cybercriminalité qui est en cours d’adoption.

Toutefois, il faut souligner que malgré les efforts consentis, le service rendu aux usagers demeure de piètre qualité. Du fait notamment de l’instabilité du réseau internet et téléphonique.

L’E-agribusiness du Togolais Dona Etchri, l’une des 35 start-up qui révolutionnent l’agriculture grâce à leurs services numériques

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(Togo First) – L’E-agribusiness du Togolais Dona Etchri (photo), étoile montante de l’entrepreneuriat dans son pays, est l’une des 35 start-up qui révolutionnent le secteur agricole grâce aux services numériques qu’elles offrent dans les pays d’Afrique Caraïbes Pacifique. Ceci résulte d’un classement dressé par le centre CTA, promoteur du concours Pitch AgriHack Talent.

La plateforme de mise en relation des producteurs agricoles et des débouchés se loge dans ce classement, parmi les jeunes entreprises qui assurent les « Liens vers le marché / e-commerce ». A l’édition 2018 de la compétition susmentionnée, elle a permis au jeune entrepreneur agricole de décrocher un prix dans la catégorie des solutions avancées, avec, à la clé, 15 000 $.

Plus de 15 autres jeunes entreprises intervenant dans cette même rubrique se retrouvent sur la liste : par exemple AgroInfoTech, Afrimash, Cassava, AgroCenta, L4F, Kitovu.

D’autres entreprises sont répertoriées dans les rubriques Conseils agricoles/production où on note de jeunes pousses comme Illuminium greenhouses, Agroinnova, Trotro Tractor, Agriinfo et les services financiers, notamment Develop Digitally, Smartfarm et Crop2cash.

Séna Akoda


Togo : le portefeuille actuel de la BAD se chiffre à 199,780 milliards FCFA

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(Togo First) – Au Togo, la Banque africaine de développement (BAD) engage environ un portefeuille évalué à 199,780 milliards FCFA, selon les données statistiques actualisées en mai 2019. Révélé par Sani Yaya, l’argentier du gouvernement togolais à la faveur de la revue hier jeudi, du Portefeuille de l’institution financière panafricaine au Togo, ce portefeuille se constitue de 12 projets. Son taux d’engagement s’est établi sur la période sous revue à 58,1%.

Les interventions de la BAD touchent les réformes économiques, le projet de transformation agroalimentaire du Togo (les agropoles), des projets de réhabilitation des routes et de protection côtière, etc.

La banque cible également le secteur de l’énergie où elle a consenti à soutenir l’ambition des pouvoirs publics togolais de parvenir à l’objectif d’un taux d’électrification de 40% à l’horizon 2022 avec une couverture de 300 000 ménages ; l’environnement et le secteur social.

Globalement, la revue a permis de relever certaines faiblesses que localise Georges Bohoussoua, représentant pays par intérim notamment au niveau du processus de passation des marchés, la non-justification à temps des fonds de roulement, le non-respect des calendriers de leur exécution. Mais en définitive, il convient de préciser qu’elle intervient après « la mission d’audit de la banque qui a conclu à une bonne performance des projets audités », selon Sani Yaya.

Séna Akoda

La SABC, filiale camerounaise du groupe Castel, va distribuer 15 milliards de FCFA à ses actionnaires pour le compte de l’exercice 2018

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(Investir au Cameroun) – La Société anonyme des brasseries du Cameroun (SABC) a tenu son assemblée générale (AG) ordinaire le mercredi 15 mai 2019 à Douala. Parmi les résolutions soumises au vote des actionnaires de cette entreprise agroalimentaire, cotée sur l’Euronext Paris, figurait la distribution de 15 milliards FCFA au titre de dividende brut pour le compte de l’exercice 2018.

L’AG a validé à l’unanimité cette résolution. Un geste que le top management cette filiale du groupe français Castel présente comme la récompense de la patience des actionnaires, après les moments difficiles de 2016 et 2017.

Des défis demeurent malgré tout. «Avec la crise anglophone et les problèmes dans l’Extrême-Nord du pays, nous avons des perturbations sur presque 35 % de notre marché. Dans les régions Nord-Ouest, sud-ouest, nos points de distribution évoluent dans des conditions très difficiles et dans notre engagement à rester fort face à ces défis, nous avons opté de ne pas licencier le personnel, mais de redéployer 250 d’entre eux. Nous sommes heureux que ces difficiles arbitrages aient porté le résultat que nous avons aujourd’hui. », confie Emmanuel De Tailly, le directeur général du groupe SABC. 

À son arrivée à la tête de l’entreprise, le nouveau DG s’était fixé pour objectif d’améliorer le niveau de marge nette sur le chiffre d’affaires. À la fin 2018, la SABC a effectivement progressé sur ce point par rapport à 2018, atteignant un ratio de 7,6 %. Un rendement meilleur que les près de 6,4 % de l’année précédente. Son bénéfice net en 2018 s’est chiffré à 25,6 milliards FCFA. Il est en hausse de 17 % comparé aux 21,9 milliards FCFA de 2017. Le top management de l’entreprise explique qu’il pourrait mieux faire dans un contexte d’exploitation amélioré.

Pression fiscale

Une des grosses batailles du groupe réside dans la fiscalité qui lui est appliquée. Le début de l’année 2019 a été le point culminant de cette bataille avec une position gouvernementale différente selon les départements. Au ministère du Commerce, les produits brassicoles sont considérés comme sensibles pour la stabilité sociale au même titre que le riz, le sucre ou encore le poisson. Alors que le ministère des Finances classe les produits des entreprises brassicoles dans la catégorie des consommations de luxe et les applique des taxes à la consommation en constante augmentation.

Dans cette dualité de position au sein de l’administration publique, la pression fiscale pour la SABC est passée de moins de 40 % il y a quatre ans à environ 58,7 % à la fin 2018. Le groupe s’attend donc à une année 2019 difficile. Mais il a foi que les choses devraient se stabiliser. La SABC déclare vouloir s’appuyer sur l’ensemble de nouveaux investissements réalisés et les nouveaux processus de gestion mis en place pour continuer de gagner des positions de marché, notamment sur la vente d’eau.

Idriss Linge

L’État du Cameroun rachète Afrimedia SAS, le diffuseur d’Africa 24

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(Investir au Cameroun) – Au terme de la restructuration d’Africa 24, le groupe a cédé sa filiale française Afrimedia SAS à la République du Cameroun. L’information vient d’être rendue publique par un communiqué de presse.

« Le Groupe Africa 24 se réjouit de la décision de justice du 30 avril 2019, qui, au terme d’une procédure de redressement judiciaire initiée volontairement le 30 janvier 2018, attribue par un plan de cession, le diffuseur technique de la chaîne, à son partenaire historique (l’État du Cameroun, NDLR). Cette décision de justice permettra à l’ensemble des entités du Groupe Africa 24 de se restructurer en mobilisant des investisseurs pour un déploiement optimal sur l’ensemble du continent africain. », peut-on lire dans le communiqué.

Le groupe a traversé ces dernières semaines, une situation compliquée qui aurait pu aboutir à l’arrêt des activités de la chaîne de télévision Africa 24. Placée en liquidation judiciaire par le tribunal du commerce de Nanterre, la maison-mère de la chaîne peinait à trouver des repreneurs. Grâce à l’État du Cameroun, cette crise semble désormais réglée.

Servan Ahougnon

Tunisie : 120 million d’euros de la Banque africaine de développement pour moderniser le secteur financier

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Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement a approuvé un financement de 120 millions d’euros pour mettre en œuvre la seconde phase du Programme d’appui à la modernisation du secteur financier (PAMSFI II) en Tunisie.

A travers l’appui au secteur financier dans son rôle de financement de l’économie, en faveur notamment des populations et acteurs économiques vulnérables, cette opération a pour but de favoriser les conditions nécessaires pour une croissance économique forte, résiliente et inclusive.

« Avec le PAMSFI II, nous consolidons les acquis avec plus de 389 millions d’euros mobilisés depuis 2016. C’est donc une étape décisive pour réussir la modernisation du secteur financier en Tunisie »a déclaré Mohamed El Azizi, directeur général de la Banque africaine de développement pour la région Afrique du Nord. Il a été rejoint par Stefan Nalletamby, directeur du département Développement du secteur financier à la Banque, qui a souligné que « le PAMSFI II contribuerait à améliorer le niveau d’inclusion financière avec un impact positif attendu sur les personnes à revenus irréguliers, les jeunes créateurs de start-ups, les PME en croissance ainsi que les grandes entreprises accédant aux marchés de capitaux. »

Le PAMSFI II vise à renforcer la contribution du secteur privé à la création d’emploi dans l’ensemble des régions du pays et à inscrire les populations défavorisées dans une dynamique de développement créatrice de valeur ajoutée. Dans ce cadre, le programme appuiera la mise en place des produits de garantie pour les petites et moyennes entreprises (PME), facilitera l’accès au financement des structures innovantes et aidera à la mise en place du fonds de restructuration des PME qui ciblera 600 structures.

« Cette nouvelle opération favorisera la transformation structurelle de l’économie tunisienne et renforcera son intégration dans les chaînes de valeur africaines et mondiales », a souligné la directrice générale adjointe de la Banque pour l’Afrique du Nord et responsable-pays pour la Tunisie, Yacine Diama Fal.

Répondant aux objectifs de la Tunisie en matière d’inclusion financière, le programme est aligné sur les priorités de la Banque. Il met l’accent sur les politiques et les réformes à entreprendre en vue de réduire le coût des facteurs de production et de renforcer la compétitivité des services financiers. Avec un double objectif : contribuer au financement de la dynamique d’industrialisation et améliorer la qualité de vie des populations.

Le partenariat entre la Tunisie et la Banque africaine de développement dure depuis plus d’un demi-siècle, totalisant un engagement financier de près de 9 milliards de dollars américains. Ces financements couvrent différents secteurs, dont l’énergie, l’eau, les transports, l’agriculture et le développement social.