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MALI: FESTIVAL SUR LE NIGER, L’ÉDITION DE LA CONFUSION.

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La ville de Ségou a abrité du 1er au 10 février dernier, la 15ème édition du festival sur le Niger ou encore la 2ème édition de Ségou Art’s. Pendant toute une semaine, Ségou est restée la ville de l’art, de la culture et du commerce. Des exposants venus du Mali et d’autres pays de l’Afrique ont animé la foire internationale de Ségou, foire du festival sur le Niger. Des artistes musiciens ont assuré l’effervescence aux différents scènes de musique. La ville de Ségou, pendant la semaine du festival était une véritable capitale de l’ambiance.

D’une façon générale, il est facile de de dire que la 15ème édition du festival sur le Niger a été une réussite. Malheureusement une analyse approfondie permet de comprendre que la 15ème édition du festival sur le Niger fut celui de la confusion totale. En réalité, les festivaliers ne savaient pas s’il s’agissait vraiment du festival sur le Niger. Sur les documents administratifs, il était écrit « Ségou Art’s » partout. Sur les affiches et autres posters, c’était aussi le cas. Selon à des endroits, il était mentionné, festival sur le Niger. Pourtant au regard des activités, rien ne démontrait qu’il ne s’agissait pas du festival sur le Niger. Aussi cette histoire de 2ème édition de Ségou Art’s semble flou. En tout cas, beaucoup sont les segoviens qui ne savent pas, c’était quand, la 1ère édition de Ségou Art’s.

Cette année, les choses étaient tellement incertaines qu’aucun ministre n’est venu ni pour l’ouverture de la foire ni pour celle de Ségou Art’s. Si à l’ouverture de la foire, c’est un membre du cabinet du ministre de la culture qui a présidé les travaux, à l’ouverture de Ségou Art’s, s’était le gouverneur de Ségou. Pendant les éditions précédentes, des ministres étaient là. En réalité, on dirait que cette année, les organisateurs ne croyaient pas beaucoup à la tenue de la rencontre annuelle de Ségou. Au niveau de la programmation musicale, les artistes vedettes n’étaient pas invités. Chose qui démontre d’ailleurs la diminution du prix du bracelet. De 10000 francs CFA les autres années, le bracelet était vendu à 5000 francs CFA, cette année.

En tout cas les organisateurs doivent être félicités malgré l’incohérence à plusieurs niveaux. Le festival sur le Niger est un patrimoine de Ségou. Donc sa tenue chaque année est une obligation malgré la situation d’insécurité dans la quelle se trouve le Mali. D’ailleurs, énumérer les avantages du festival sur le Niger à Ségou, n’est pas une chose facile. Il booste l’économie, vent l’image de Ségou, fait de la ville un site touristique…

Cependant félicitations aux organisateurs et bonne chance à eux. Seulement espérons que l’édition 2020 sera d’une réussite totale.

Doubs Dembélé

Source : Croissanceafrique.com

32ième Sommet de l’UA: Le Président rwandais Paul Kagame passe le témoin au Président égyptien Abdel Fattah al-Sissi

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Le Président de la République SEM Ibrahim Boubacar Keïta a pris part ce 10 Février 2019 à l’ouverture des travaux du 32 ieme Sommet ordinaire de l’Union Africaine à Addis Abeba en Ethiopie, avec pour thème: « Année des réfugiés, des rapatriés et des personnes déplacées: vers des solutions durables aux déplacements forcés en Afrique ».

Le Président IBK et ses pairs aborderont pendant ces deux jours de travaux, la réforme institutionnelle de l’UA, la zone de libre-échange continentale africaine, la paix et sécurité en Afrique, la governance, l’éducation, la santé ou encore les problèmes liés à la migration.

Le choix du théme de l’année « Année des réfugiés, des rapatriés et des personnes déplacées: vers des solutions durables aux déplacements forcés en Afrique » est d’une importance capitale pour le Mali en raison des conséquences de la situation politico sécuritaire survenue depuis 2012.
L’objectif du thème est d’amener les Etats à une plus grande conscience du phénomène de déplacements en luttant contre les causes originelles, en mettant en place des mécanismes nationaux de suivi et de prise en charge des personnes concernées tout en préservant leurs droits et libertés.

A la fin de la cérémonie d’ouverture du Sommet. Le Président rwandais Paul Kagame a passé le témoin au Président égyptien Abdel Fattah al-Sissi qui assurera la Présidence de l’Union Africaine pendant une année.

Avant la cérémonie d’ouverture du Sommet de l’UA 2019, les Chefs d’Etat se sont retrouvés à huis clos.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com

Mali: Les prix à la consommation des produits de première nécessité sont restés stables dans l’ensemble par rapport à la semaine dernière.

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Le comité de veille pour l’approvisionnement du pays en produits de première nécessité s’est réuni en session hebdomadaire dans la salle de réunion de la DGCC.
L’ordre du jour a porté sur la validation du compte rendu de la réunion passée, le point de l’approvisionnement du pays en produits de première nécessité et de l’évolution des prix sur les différents marchés. À l’issue de la réunion, il a été constaté ce qui suit:

Les prix à la consommation des autres produits de première nécessité sont restés stables dans l’ensemble par rapport à la semaine dernière.
Par rapport au mois passé, les prix moyens des produits de première nécessité sont restés stables dans l’ensemble. Cependant, ceux du riz local, du maïs, du sorgho et de l’huile ont enregistré des baisses respectivement de 1%, 5%, 5% et 8%.
Comparativement à la même période de l’année passée, les prix moyens ont connu une baisse pour tous les produits de première nécessité, sauf le riz importé et l’aliment bétail qui ont subi une hausse respectivement de 4% et 2%.
Cette semaine, les stocks disponibles sur le territoire couvrent 25 jours de consommation pour le riz, 239 jours pour le sucre, 50 jours pour le lait en poudre, 100 jours pour la farine de blé et 20 jours pour l’huile alimentaire.
Par rapport à la semaine écoulée, le taux de couverture a augmenté de 1 jour pour le riz et 02 jours pour le lait en poudre. Par contre ils sont baissés de 34 jours pour le sucre et 06 jours pour la farine de blé tandis que celui de l’huile alimentaire est resté stable.
Les stocks disponibles sur le territoire sont supérieurs aux seuils d’alerte respectifs, évalués à 43.350 tonnes pour le riz, 20.642 tonnes pour le sucre, 744 tonnes pour le lait en poudre, 2.532 tonnes pour l’huile alimentaire et 699 tonnes pour la farine de blé.

A titre de rappel, en vue d’assurer un suivi régulier de l’approvisionnement du pays en produits de première nécessité, un comité de veille composé de la Direction Générale du Commerce, de la Consommation et de la Concurrence, de l’Observatoire du Marché Agricole, de l’Office Nationale des Produits Agricoles du Mali, de la Direction Nationale des Transports Terrestres, Maritimes et Fluviaux, de la Direction Générale des Douanes , de la Direction Nationale des Productions et Industries Animales, de la Direction Nationale de la Pêche, se réunit hebdomadairement pour faire le point de l’évolution des prix et des stocks des produits de première nécessité.

Des comités de veille régionaux ont été installés au niveau de toutes les régions administratives du Mali.
Les structures de la Direction Générale du Commerce, de la Consommation et de la Concurrence procèdent au suivi régulier du marché pour le respect des mesures prises notamment en veillant à la disponibilité des produits, à l’application des prix consensuels fixés à l’issue des subventions octroyées par l’Etat et à la qualité des produits.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com

Mali, Soumeylou Boubèye Maïga Tance Mahamoud Dicko: «Ceux qui agitent sont les gens qui ont voté et qui ont fait voter contre nous »

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Le Premier ministre, Soumeylou Boubèye Maïga a profité hier d’une rencontre entre l’Ensemble pour le Mali (EPM) et le gouvernement sur les réformes politiques et institutionnelles pour réagir à l’affaire des 50 millions refusés par le président du Haut conseil islamique du Mali, Mahamdoud Dicko. Le PM estime que l’imam est dans une posture de règlement de compte politique.

Après un communiqué dans le 20 heures du vendredi, le ministre porte-parole du gouvernement a animé un point-presse le samedi 9 février, au cours duquel Amadou Koïta a reconnu la manifestation du gouvernement pour une cause normalement noble. Le 10 février, jour même de la fameuse journée de prière, le Premier ministre a réagi aux « agitations » de celui qu’il a refusé de nommer.

« Nous sommes dans une démocratie où le jeu se mène. Mais il se mène quelque fois de façon malicieuse et maligne. Il y a des gens chaque fois qu’ils ont vaincu sur un théâtre, il change de théâtre et mène toujours avec le même objectif. Comme vous tous, j’ai vu la théâtralisation assez visible par rapport à l’appui que le gouvernement s’est fait le devoir d’apporter à l’organisation d’une prière destinée normalement à appeler à la paix et à la réconciliation. Franchement, on n’avait vu rien de fondamentalement bizarre. L’État a toujours soutenu toute initiative de citoyens qui disent agir pour la paix », a soutenu le Premier ministre.pub

« Donc, quand l’État a été informé que le Haut conseil islamique voulait organiser une journée de prière pour la paix et la cohésion, nous avons fait ce qu’il fallait faire. Quand il nous est paru que ce n’était pas une initiative unitaire, tout en maintenant le principe de l’appui, nous avons revu le niveau de l’appui», a-t-il poursuivi. « Ceux qui agitent sont les gens qui ont voté et qui ont fait voter contre nous. Ils continuent d’agir contre nous et qui pensent trouver des interstices sur des passages pour continuer de nous affaiblir. Bon, nous continuerons de faire face, nous sommes mobilisés, vigilants et déterminés à faire face à tout ce qui peut éventuellement nous empêcher d’avancer », a conclu Soumeylou Boubèye Maïga.

Le vendredi dernier, le président du Haut conseil islamique du Mali et son chargé à la communication ont exhibé devant les cameras de télés privées des billets de banque, estimés à 50 millions de FCFA. La somme, selon Mahmoud Dicko, lui a été envoyée par le Premier ministre Maïga en guise de contribution du gouvernement dans l’organisation de sa journée de prière pour la paix au Mali. L’imam a renvoyé les sous au chef de l’Exécutif, prétextant que le meeting est un don de soi et qu’il n’a pas besoin d’aide du gouvernement. Le hic est que dans les vidéos tournées chez lui, l’imam affirme avoir été prévenu par le PM de l’arrivée de l’argent. « Le chef du gouvernement m’a annoncé 100 millions et il a envoyé 50 millions », a confirmé l’imam Dicko.

Oumar Konaté

La preuve du lundi 11 février 2019

Mali: Le premier ministre Français Édouard PHILIPE attendu à Bamako, les 22 et 23 Février 2019.

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C’est dans un communiqué de presse publié par la primature du Mali qu’annonce l’arrivée du chef du gouvernement de la République Française à Bamako. « A l’invitation de Monsieur Soumeylou Boubeye MAIGA, Premier ministre, Chef du Gouvernement, Monsieur Édouard PHILIPPE, Premier ministre de la République française effectuera du 22 au 23 fevrier 2019 une visite de travail au Mali », dit-il, le communiqué.

Le Chef du Gouvernement français sera accompagné du Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, M. Jean Yves Le Drian, de la Ministre des Armées, Mme Florence PARLY et d’une importante délégation du MEDEF.

La visite du Premier ministre Édouard PHILIPPE s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération bilaterale franco-malienne.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com

Kenya : la SFI offre des services de conseil technique à Equity Bank

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La Société financière internationale (SFI) a annoncé qu’elle offre désormais des services de conseil technique à Equity Bank dans le but d’aider la banque kényane à accroître son efficacité pour servir sa clientèle PME.

«Les services de conseil de la SFI aideront la banque à concevoir et à mettre en place un modèle d’activité efficace pour les PME, à améliorer les processus liés au crédit des PME et à former le personnel nécessaire pour servir efficacement les segments de PME ciblés », indique l’institution mondiale dans un communiqué, soulignant qu’Equity « est déjà la principale banque de PME du pays, son segment représentant près de 60% de son portefeuille de prêts ».

«Equity Bank est bien placée pour fournir des produits et services supplémentaires à ses clients PME, compte tenu de sa couverture nationale à travers un réseau de 177 agences et de plus de 32 000 agents et de ses canaux numériques innovants», indique pour sa part la banque kényane.

A noter que la SFI n’a pas révélé le coût de ce projet de conseil qui vise également le développement de nouveaux produits et services pour les PME.

Aissatou Traoré

Source : Croissanceafrique.com

Mali: IBK, DEPUIS BERLIN REPOND A L’IMAM DICKO : « Le Premier ministre fait bien son travail, c’est mon choix »

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Par Sory I Konaté -11 février 2019 Facebook Twitter

Dans une interview accordée le jeudi 8 février 2019 à une radio allemande lors de sa visite de travail en Allemagne, le président de la République du Mali, Ibrahim Boubacar Kéita, a renouvelé sa confiance au Premier ministre, Soumeylou Boubèye Maïga. Fier de son bilan, il a nié toutes « les rumeurs » concernant une probable mésentente entre eux.

« Aujourd’hui, mon Premier ministre fait correctement son travail. A son arrivée, il a été confronté à beaucoup de difficultés comme l’organisation de l’élection présidentielle qu’il a réussi à révéler », a-t-il affirmé.

Sur l’ambition du PM de lui succéder, IBK reconnait qu’un homme politique a toujours des appétits et que cela n’est pas un interdit. « Pourquoi il serait banni de telles ou telles ambitions ? Non », dira-t-il. Concernant les rumeurs faisant état d’une discorde être lui et M. Maïga notamment à cause du départ de certains députés du Rassemblement pour le Mali (RPM) vers l’Asma, le parti du Premier ministre, IBK a tout nié en bloc.pub

Selon lui, dans sa posture actuelle, il se met au-dessus de la mêlée. Et d’ajouter que cela est toujours une chance pour car, précisera-t-il, le Premier ministre et son parti sont membres de la majorité présidentielle et dans une « démocratie de bon alois, il (le PM) est le patron de la majorité présidentielle. Il n’a pas l’ombre d’un problème entre nous. C’est mon choix ».

Pour que nul n’en ignore !

La rédaction

30minutes.net

11 février 2019

PUB-N°4: INPS-MALI

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FARABANA MOUSTAPHE DIALLO A PROPOS DE L’HIPPOPOTAME ABATTU :<< JE L’AI FAIT À LA DEMANDE DE LA POPULATION ET DANS LES RÈGLES DE L’ART >>dixit

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Sévèrement critiqué par les internautes sur les réseaux sociaux, spécifiquement Facebook, suite à la publication des images le montrant sur un hippopotame abattu à la date du lundi 4 février, Moustapha Diallo alias ‘’ Farabana Moustapha’’ a décidé de sortir de son silence pour faire la lumière sur cette situation. « Je l’ai fait à la demande de la population et dans les règles de l’art » se défend t-il.

En effet, dans la matinée du lundi 4 février, Moustapha Diallo est apparu en image sur les réseaux sociaux avec un fusil, assis sur un hippopotame abattu. L’image a fait du buzz sur la toile. Les internautes s’indignent et le chasseur a été sévèrement critiqué.

En Tee-shirt rose, apparemment dans son salon, M. Diallo, un réputé chasseur et devin du Mali, résidant à Farabana, une localité située dans le mandé à 20 minutes de Bamako, a balancé vendredi 8 février un enregistrement vidéo d’une dizaine de minutes. Le chasseur visiblement surpris des critiques virulents des internautes à son encontre sur les réseaux sociaux, spécifiquement Facebook, a tenté de calmer les ardeurs en mettant les choses dans leur contexte.

« Que ceux, qui me critiquent, aillent demander aux cultivateurs de la localité pour se rendre compte des dégâts, que causaient cet animal abattu. Je n’ai pas été de moi-même, c’est la population, elle-même qui m’a sollicité, à travers les services des eaux et forêts » déclare le chasseur Diallo.

En connaissance des règles qui régissent la chasse au Mali, Moustapha Diallo, a voulu être plus concret en apportant avec lui les preuves légales de son acte. Dans ses mains, il brandi un carnet de forme rectangulaire, qui lui aurait été délivré par les services des eaux et forêts.

Dans ce carnet, dit-il, le chasseur a clairement édifié sur les animaux, qu’il est autorisé à abattre, de l’éléphant à la colombe. Selon lui, le nombre de ce carnet offert par les services des eaux et forêts dans l’année est connu. « Il coûte 37 000FCFA/unité et ne laisse rien confus au chasseur » a-t-il déclaré.

Ce seul carnet, est-il suffisant pour abattre un animal, de surcroît un hippopotame ? Pour le chasseur de Farabana, la réponse est non ! « Pour avoir accès à l’eau, le chasseur doit se munir d’un autre reçu dans un service des eaux et forêts contre le paiement de 75 000FCFA » a-t-il déclaré.

Selon lui, même avec l’autorisation des services des eaux et forêts, le chasseur sans l’aval des chefs de la confrérie des chasseurs traditionnels ‘’Donso Kountigui’’ et pécheurs traditionnels ‘’ Somono Kountigui’’ du village, ne peut se permettre de tuer quoi que ce soit.

Après avoir souligné, qu’il a bien honoré toutes ces procédures, Farabana Moustapha, a enlevé toute équivoque, sur la localité où l’hippopotame a été abattu. « Il s’agit de Djidian, dans une localité située entre la frontière Mali-Sénégal et non ici à Djicoroni Para » a-t-il spécifié.

Comment l’hippopotame a été abattu ?

Dans cette localité, explique-t-il, le fleuve est partagé entre le Mali et le Sénégal. « Arrivé au village au bord du fleuve, le ‘’Somono’’ qui m’orientait, m’a montré les hippopotames, ils étaient au nombre de sept. Parmi ceux qui dérangeaient les villageois, une seul hippopotame avec ses petits, était du côté malien » a – t – il martelé. Le souhait du ‘’Somono’’ était d’ouvrir le feu sur cette dernière. « J’ai refusé » a-t-il révélé.

En apportant, cette réponse à son guide, le chasseur savait ce qui lui restait à faire pour dénicher du lot, le vrai hippopotame dérangeur. « En tant que chasseur, j’ai fait mon savoir-faire dans l’eau. Suite à cela, l’hippopotame qui dérange le plus est venu avec foudre de la rive du Sénegal vers celle du Mali » a-t-il déclaré, tout en précisant qu’il a attendu le moment idéal pour abattre la bête.

A ce niveau, le chasseur de Farabana a soutenu que l’arme utilisée n’est nullement illégale. A ses dires, le fusil utilisé dans la chasse pour les animaux de poids considérable comme l’hippopotame, est du type 375. Cela, argumente-t-il, est le même dans les pays développés.

De façon très claire, M. Diallo, a insisté sur le fait de la légalité et la légitimité de cette opération du début jusqu’à la fin. « Je l’ai fait à la demande de la population et dans les règles de l’art » a – t-il fait savoir. Et d’ajouter : « Je ne ferais jamais une chose qui peut bafouer la dignité de ma famille ni celle de ma Nation ». Dansôgô !

Par Moïse Keïta

Source: Le Sursaut

Egypte : accord entre Fawry et PI Technologies sur leurs plateformes respectives

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Fawry, une société égyptienne de solutions de paiement électronique, et la société PI Technologies ont signé un partenariat avec afin de lier l’application Sales Buzz à Fawry FMCG, la plateforme dédiée aux marchands et aux sociétés de biens de consommation.

Selon Mohamed Okasha, membre du directoire de Fawry, ce partenariat vise à développer et à fournir des solutions aux entreprises de biens de consommation et aux commerçants. «La plateforme Fawg FMCG permet les paiements électroniques de diverses manières, y compris les portefeuilles bancaires électroniques, en plus d’autres services qui aident les commerçants et les entreprises de biens de consommation à augmenter leurs ventes», a –t-il déclaré dans un communiqué.

Fawry FMCG revendique près de 100 000 marchands et entreprises de biens de consommation. Pour sa part, l’application Sales Buzz regroupe plus de 30 000 représentants commerciaux d’entreprises de biens de consommation en Égypte selon ses responsables.

D’après les explications de Tamer Maher de PI Technologies, le partenariat permettra aux commerçants de commander électroniquement les produits des entreprises de biens de consommation par le biais de l’application, «ce qui facilite les communications et régit les transactions entre les entreprises de biens de consommation et les commerçants ».

Zangouna Koné

Source : Croissanceafrique.com