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Communiqué suite à la fermeture de la Radio Renouveau FM

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La rédaction de Croissanceafrique.com réitère son soutien au Groupe Renouveau (Rounouveau FM) qui vient d’être fermée par les autorités.

La rédaction demande aux autorités compétentes de bien vouloir diligenter la situation. La direction du magazine croissanceafrique.com condamne avec la dernière énergie la fermeture et l’interruption de diffusion de programme de ladite Radio.

La rédaction du magazine de l’économie Africaine reste rattaché aux principes fondamentaux de la liberté d’expression et de la liberté de la presse. La rédaction demande la réouverture pure et simple la Radio Renouveau FM afin que les travailleurs de la dite boite reprennent leur activités.

Daouda Bakary Koné
Dirpub
Bamako le 02 Août 2018

TAPA KONTE de la diaspora « Pour le pouvoir, c’est le théorème Bongo 《 on n’organise pas une élection pour la perdre 》 » pensent-il..

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QUE CE QUI ÉTAIT PROGRAMMÉ SE FASSE UNE FOIS POUR TOUTE!

Il était et est illusoire de croire que cet élection présidentielle allait ou va se tenir dans les conditions je ne dirai même pas d’optimales mais acceptables par tous.

La sagesse et l’intérêt du Mali aurait été de le dire et le reconnaître. La question était de savoir qui de l’opposition ou du pouvoir allait dégainer en premier au risque d’offrir le couteau avec lequel il se fera charcuter en cas de report ?

Le pouvoir qui a dormi pendant quatre et demi s’est réveillé à quelques mois et se rendre compte qu’il avait une élection à organiser dans un pays en guerre. L’honnêteté aurait été qu’il admette son incapacité mais, il n’allait tout de même pas servir l’opposition sur un plateau d’argent!
Donc il faut laisser cette dernière prendre la place de l’oiseau de mauvaise augure.

Quant à l’opposition qui ne s’est pas gênée durant le mandat d’appuyer là où ça fait mal au pouvoir, même si elle ne dis pas ce qu’elle aurait fait à la place, savait que sur ce coup il y a enguille sous roche. Dire clairement que l’élection ne pourra pas se tenir par incapacité du gouvernement alors que ce dernier n’a de cesse de dire que le délai constitutionnel sera respecté, c’est lui offrir carte blanche pour continuer. Il n’est donc pas question d’offrir le scénario Kabila à IBK.

La société civile y compris les chefs religieux étant considérée comme partiale d’un côté comme de l’autre, plus personne pour faire entendre raison. La communauté internationale qui se résume à la France est hantée par une seule chose, comment éviter l’Afghanistanisation quel qu’en soit le président à Koulouba?

Nous voilà devant le choix cornélien avec une issue aucune bon pour notre pays d’aller à l’élection. Mais pouvoir et opposition n’ont qu’une seule option: la victoire ou rien!!!

Pour le pouvoir, c’est le théorème Bongo 《 on n’organise pas une élection pour la perdre 》.

Du côté de l’opposition, on compte sur les raisons évidentes qui auraient dû nous conduire au report pour faire appel à la rue, en cas de proclamation de la défaite annoncée, afin de faire tomber le pouvoir et si le scénario Gbagbo pouvait se réaliser, ce sera la cerise sur le gâteau.

Au final, il n’y aura qu’une seule victime de ce jeu malsain et irresponsable c’est le Mali.
C’est pourquoi, ne comptez pas sur moi pour servir de combustible pour un quelconque foyer.

Source: Daouda Bakary KONE

Scrutin présidentiel du 29 juillet: l’UA appelle les candidats à accepter les résultats des urnes

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La Mission d’Observation Electorale de l’Union africaine (MOE UA) a publié, ce mardi 31 juillet 2018, son préliminaire donnant une première analyse du processus électoral. C’était en cour d’une conférence de presse animée par l’ancien président de la république du Benin Thomas Yayi Boni, chef de la Mission, à l’hôtel Radisson, en présence de Pierre BUYOYA, représentant spécial de l’Union Africain (UA) et l’ancien Premier ministre centrafricain, Julius Rufin Ngoude-BABA, coordinateur de la MOE UA.

Les observateurs ont noté que le matériel électoral était disponible et en quantité suffisante dans la plupart des bureaux de vote visités. Cependant, la Mission a constaté, tout comme son partenaire WANEP, le manque de matériel dans certains centres de vote du Nord et du centre, résultant soit des difficultés d’acheminement, soit des actes de vandalisme causés par des individus armés.
Dans sa déclaration liminaire, Thomas Yayi Boni a indiqué que l’élection présidentielle du 29 juillet 2018, de par ses enjeux, constitue une avancée significative dans la stabilisation du Mali. De même, a-t-il fait savoir, bien que perturbée par endroit à cause de problème de sécurité, le scrutin a été organisé dans les règles et a permis au peuple Malien de prendre part au choix de son président. Il s’est également réjouit, qu’en dépit des tensions perceptibles par moment, la concertation et le dialogue ont prévalu tout au long du processus. C’est pourquoi, la mission encourage le peuple Malien à poursuivre dans cette voie. Toute contestation issue du scrutin, a-t-il conseillé, devrait obéir aux règles de droit et être soumise aux juridictions compétentes.
De son intervention, il ressort que les observateurs de l’UA ont couvert le District de Bamako et les régions Kayes, Koulikoro, Sikasso, Ségou, Mopti, Tombouctou et Gao, grâce à l’appui logistique des Nation Unies (MINUSMA) pour ces trois dernières régions. L’UA n’a pas été à Kidal et à Ménaka.
L’UA a aussi déclaré que dans les localités où le vote a eu lieu, le scrutin s’est globalement bien déroulé et que le secret du vote a été respecté dans tous les bureaux où les isoloirs étaient bien disposés ; en fin, les observateurs affirment qu’ils n’ont pas constaté une utilisation abusive des procurations.
En somme, l’Union Africaine, UA, se réjouit surtout du fait qu’aucune crise politique ne soit venue se greffer à la crise sécuritaire déjà préoccupation.
Concernant la polémique, sur le fait certains états-majors ont annoncé des tendances favorables à leurs candidats avant la proclamation officielle, les observateurs de l’UA bottent en touche. «Ce qui ont fait des déclarations sur les tendances issues du scrutin sont dans leur rôle. Il ne nous appartient pas de commenter ces déclarations», a tranché Pierre BUYOYA.
A l’issue de ses observations, l’UA a fait une série de recommandations adressées au gouvernement du Mali, aux acteurs politiques, aux organisations de la société civile ainsi qu’à la communauté internationale.
Ainsi, l’UA recommande au gouvernement de mettre un accent particulier sur la formation des agents électoraux aux procédures et règles en matière de tenue du bureau de vote et de dépouillement et autres documents électoraux ; de prendre des mesures pratiques afin de faciliter l’accès au bureau de vote aux personnes handicapées ; faciliter l’identification des membres des bureaux de vote en les dotant de matériels et équipements de visibilité.
Il s’agit aussi de procéder à des reformes majeures du système électoral en vue de créer une structure autonome, unique de gestion des élections, animée par des personnalités de haute probité morale et intellectuelle. L’UA invite également le gouvernement à régler définitivement la question de l’effectivité des élections sur l’ensemble du territoire national, afin de sauvegarder ainsi, d’une part, l’unité du Mali, et d’autre part le droit au vote de tous les citoyens Maliens.

Source: croissanceafrique.com

Déclaration commune de 18 candidats : Cheick Modibo Diarra dément sa participation

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Après la conférence de presse collective des candidats à l’élection présidentielle du 29 juillet dans laquelle son nom est mentionné, le candidat Cheick Modibo Diarra, à travers son mandataire, a démenti son implication. Il affirme ne peut se reconnaitre dans ni dans la déclaration ni dans le communiqué. Pour savoir la véracité du communiqué qui a fait le tour des réseaux sociaux, nous avons cherché à joindre en vain le candidat en question, Cheick Modibo Diarra, et son directeur de campagne Moussa Mara. Lisez ledit communiqué.
ALERTE !!!!

Le Candidat Cheick Modibo Diarra ne se reconnaît pas dans le communiqué dit du Groupe des « 16 candidats » et par conséquent rien ne l’engage par rapport à la Conférence de Presse de ce jour, mercredi 1er Août 2018.

Modibo KELLY

Mandataire du Candidat Cheick Modibo Diarra

Déclaration commune de 16 candidats sur le scrutin du 29 Juillet 2018

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Nous, candidats à l’élection du Président de la République, soussignés :
1. Mohamed Ali BATHILY
2. Soumaïla CISSE
3. Aliou DIALLO
4. Cheick Modibo DIARRA
5. Mamadou Igor DIARRA
6. Dramane DEMBELE
7. Housseiny Amion GUINDO
8. Modibo KADJOKE
9. Modibo KONE
10. Choguel Kokalla MAIGA
11. Oumar MARIKO
12. Kalfa SANOGO
13. Mamadou O. SIDIBE
14. Modibo SIDIBE
15. Mountaga TALL
16. Hamadou TOURE
– Rappelant les discussions du 28 juillet 2018 avec Monsieur le Premier ministre autour du fichier électoral qui n’ont fait, à ce jour, l’objet d’aucune évaluation ;
– Rappelant aussi les graves accusations de corruption formulées contre la Cour Constitutionnelle qui n’ont fait l’objet d’aucun démenti, alors même que Madame le Président de ladite Cour est longuement intervenue le 30 juillet 2018 sur les antennes d’une radio locale ;
– Rappelant enfin que la même Cour a émis, dans le cadre du scrutin du 29 juillet sur l’élection du Président de la République, un avis dénotant très clairement son manque de rigueur et d’attachement au respect droit ;
– Constatant les graves et multiples anomalies qui ont émaillé le processus électoral avant et pendant le scrutin du 29 juillet 2018 sur l’ensemble du territoire national à savoir entre autres :
• Utilisation abusive des moyens de l’Etat par le président de la République sortant, Candidat à sa propre réélection
• Propagande de l’ensemble du Gouvernement sur le prétendu bilan du président de la République faussant ainsi de façon flagrante l’égalité de traitement des candidats en période électorale notamment par les médias publics,
• Retrait massif de cartes d’électeur par des personnes non titulaires et non habilitées,
• Corruption et achat du vote des électeurs à ciel ouvert,
• Bourrage d’urnes et attribution de résultats fantaisistes à des candidats,
• Absence des cartes d’électeur non distribuées dans de nombreux bureaux de vote en violation de la Loi électorale,
• Utilisation frauduleuse de certaines cartes d’électeur non retirées,
• Non affichage de listes électorales devant certains bureaux,
• Utilisation illégale de procurations dans certains bureaux de vote,
• Port de T-Shirts et casquettes par les partisans du candidat Ibrahim Boubacar KEITA au cours notamment de son meeting électoral tenu le 23 juillet 2018 à Libreville (Gabon),
• Graves perturbations des opérations électorales au Gabon et en France,
– Constatant par ailleurs que l’élection n’a pu se tenir dans de nombreuses localités encore imprécises en termes d’électeurs et de communes concernées ;
DEMANDONS INSTAMMENT :
1- Une évaluation de la mise en œuvre des mesures annoncées lors de la rencontre entre les candidats et le Premier ministre le 28 juillet 2018 ;
2- La publication de tous les résultats bureau de vote par bureau de vote ;
3- La publication du nombre de procurations utilisé par bureau de vote ;
4- Le démenti par la Cour Constitutionnelle de graves accusations portées contre elle et l’ouverture d’une enquête judiciaire ;
5- La publication de la liste détaillée des localités et des bureaux de vote ou l’élection n’a pu se tenir le 28 juillet 2018 ;
CONSIDERANT LA GRAVITE DES FAITS AINSI CONSTATES :
1- NOUS N’ACCEPTERONS PAS DES RESULTATS AFFECTES PAR LES IRREGULARITES ENONCES CI-DESSUS ;
2- APPELONS LES OBSERVATEURS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX A EXAMINER ET ANALYSER AVEC LA PLUS GRANDE NEUTRALITE NOS OBSERVATIONS ET CRITIQUES ;

Fait à Bamako le 31 juillet 2018
Ont signé :
Les Candidats suscités
Daouda Bakary KONE

Communiqué de presse: « L’Alliance Ensemble pour le Mali appelle l’opposition à la responsabilité »

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L’Alliance Ensemble pour le Mali (EPM), qui soutient la candidature de Monsieur Ibrahim Boubacar Keïta à l’élection présidentielle du 29 juillet 2018, a pris connaissance du communiqué de presse signé par certains candidats issus de l’opposition.

Dans ce communiqué, il est fait état de graves accusations de corruption contre des institutions de la République, ainsi que de cas de fraudes et de non respect de la loi électorale par le candidat Ibrahim Boubacar Keïta.

L’Alliance EPM dénonce ces procédés graves qui visent à discréditer un processus électoral transparent et salué comme tel par l’ensemble des acteurs internationaux et nationaux indépendants.

L’Alliance EPM s’insurge contre les propos tenus par certains candidats et leurs représentants qui visent à discréditer un scrutin dont les résultats semblent ne pas leur être favorables.

L’Alliance EPM rappelle que le candidat Ibrahim Boubacar Keïta et son équipe de campagne ont scrupuleusement respecté la loi électorale et qu’en aucun cas les biens de l’Etat n’ont été mis à contribution dans le cadre de cette campagne.

L’Alliance EPM exige de ces candidats qu’ils fassent preuve de responsabilité et se soumettent aux rigueurs de la loi en acceptant les résultats qui seront proclamés par les autorités, tout en présentant les recours qu’ils souhaitent devant les juridictions compétentes. EPM en fera de même pour ce qui est
des irrégularités qu’elle a constatées sur le terrain, le jour de l’élection.

L’Alliance EPM appelle toutes les Maliennes et tous les Maliens à ne pas tomber dans le piège tendu par ceux qui espèrent accéder au pouvoir par d’autres voies que celle des urnes. Le Mali n’a pas besoin d’une nouvelle crise, la stabilité de notre pays n’a pas de prix.

Dr. Bokary TRETA
Directeur de campagne Ensemble pour le Mali

INPS-Mali: CONSEIL D’ADMINISTRATION A L’OCCASION DE LA SESSION EXTRAORDINAIRE DU 1ER AOUT 2018

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Ce mercredi 01 Août 2018, l’Institut National de prevoyance Sociale (INPS) a tenu un conseil d’administration a location de sa session extraordinaire du premier août 2018. Cette rencontre a enregistré la présence du directeur général de l’INPS et le président du conseil d’administration M.Yacouba KATILE. C’était dans la salle de conférence de la dite structure.

Selon Yacouba KATILE, PCA de l’INPS « C’est pour moi un grand plaisir que de m’adresser à vous ce matin, pour vous souhaiter la cordiale bienvenue à cette session extraordinaire du conseil d’Administration de l’INPS » dit-il. Avant d’aller loin , il ajoute que « Votre assiduité aux sessions du conseil d’administration de l’INPS illustre parfaitement l’intérêt que vous attachez à la pleine réussite de la mission de notre Institution » a-t-il ajouté.

La présence session extraordinaire du conseil d’administration de l’INPS retient à son ordre du jour l’examen et l’adoption des états financiers de l’exercice 2017 de l’Institut National de Prévoyance Sociale, de la validation du rapport d’inventaire des immobilisations et l’examen de la note de présentation de l’étude actuarielle.

C’est pourquoi, au 31 décembre 2017, il ressort :Un total bilan de 192, 548 milliards de FCFA contre 172, 246 milliards de FCFA en 2016 soit, une hausse de 12%, un excédent des produits sur les charges de 10, 250 milliards contre 9, 670 milliards en 2016, soit une hausse de 6%. Des Réserves de 129,952 milliards à ajuster pour respecter les minima légaux conformément aux dispositions de la Conférence Interafricaine de la Sécurité Sociale (CIPRES), des actifs immobilisés de 76,551 milliards de FCFA,trésorerie active 43,048 milliards,un résultat de l’exercice qui se chiffre à 10,250 milliards contre 9,670 milliards en 2016, soit une hausse de 6%.

Concernant le rapport d’inventaire sur les immobilisations, le Conseil d’Administration, en sa 86éme session ordinaire du 28 décembre 2017 avait recommandé à l’INPS de procéder à l’inventaire des biens de l’Institut afin de prendre en compter les réserves formulées par les commissaires aux comptes.

Ainsi,selon Yacouba KATILE  » les résultats de cet inventaire sont contenus dans le rapport sur lequel, l’autorisation du Conseil d’Administration est requise afin de permettre à l’INPS de prendre en compte les sorties d’immobilisation proposées »,a-t-il précisé

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

Côte d’Ivoire : Noël Akossi-Bendjo « révoqué » de son poste de maire du Plateau

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Par Jeune Afrique

Figure du PDCI hostile au parti unifié, Noël Akossi-Bendjo est soupçonné de « grave déviation dans sa gestion et faux en écriture publique », a annoncé le porte-parole du gouvernement à l’issue du Conseil des ministres.

En sejour privé à Paris, Noël Akossi-Bendjo n’avait pas été prévenu de cette décision, tombée comme un couperet, ce mercredi 1er août. Le conseil des ministres a décidé de « révoquer » le maire du Plateau, une commune d’Abidjan, pour « graves déviations dans sa gestion et faux en écriture publique », a annoncé Sidi Tiémoko Touré, le porte-parole du gouvernement ivoirien. Il n’a pas souhaité préciser quels faits sont reprochés au désormais ex-édile du riche quartier d’affaire du centre d’Abidjan.

« Nous sommes dans la stricte application de la loi, il n’y a pas de révocation ciblé », a répondu Sidi Tiémoko Touré aux journalistes qui s’interrogeaient sur la légalité du renvoi d’un élu. Il a ajouté qu’aucun mandat d’arrêt n’avait pour l’heure était délivré.

Soupçons de règlements de compte politique
Décision légaliste ou punition politique ? Cette annonce a immédiatement fait surgir des soupçons de règlements de compte. Figure du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Noël Akossi-Bendjo ne se cache pas d’être l’un des plus fervents opposants au parti unifié, créé au forceps par Alassane Ouattara, le mois dernier.

Le président ivoirien n’a pour l’instant pas réussi à convaincre son allié, Henri Konan Bédié, de rejoindre son projet. Si, officiellement, l’alliance entre le Rassemblement des Républicains (RDR) et le PDCI n’est pas enterrée, ces dissensions créent depuis plusieurs mois de graves tensions au sein de la majorité présidentielle.

Ce n’est pas la première fois qu’un élu est ainsi mis à l’écart par le Conseil des ministres. Il y a un an jour pour jour, Jean-Louis Billon, un autre des tenants de la ligne anti-parti unifié, avait été suspendu de son poste de président du Conseil régional du Hambol.

Candidat à un nouveau mandat
S’il ne souhaitait pas s’exprimer dans l’immédiat, il y a de fortes chances que Noël Akossi-Bendjo poursuivra la bataille politique. Il a déjà annoncé qu’il souhaitait se porter candidat à un nouveau mandat à la tête du Plateau lors des élections municipales du 13 octobre prochain. Il fera notamment face à Fabrice Sawegnon, un influent communiquant à la tête de l’agence Voodoo, très proche d’Alassane Ouattara.
SOURCE JA

Maroc: Mohammed VI annonce un registre social unique

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Par Rédaction -Finacialafrik

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À l’occasion du discours marquant le 19eme anniversaire de son accession au trône, le Roi Mohammed VI a annoncé la mise en place du registre social unique regroupant tous les programmes sociaux.

Depuis Al Hoceima, ville symbole des revendications sociales qui ont dominé l’actualité en 2017 et 2018, le souverain a appelé à une réorientation de l’action sociale.

« Il est insensé que plus de cent programmes de soutien et de protection sociale, de différents formats et se voyant affecter des dizaines de milliards de dirhams, soient éparpillés entre plusieurs départements ministériels et de multiples intervenants publics », a déploré le roi dans son message du 29 juillet adressé aux marocains.

La refonte des différents programmes en un seul devrait accroître leur efficacité. »Les ménages habilités à jouir des prestations de ce régime, seront déterminés selon de rigoureux critères objectifs et grâce aux nouvelles technologies », a rappelé Mohammed VI.

Voici le texte intégral du discours royal :

‘’Cher peuple,

Par la grâce de Dieu, le Maroc a été, tout au long de son histoire séculaire, un pays providentiellement uni et une nation harmonieusement soudée, en tout temps et en toute circonstance.

La Fête du Trône, dont nous commémorons aujourd’hui le dix-neuvième anniversaire, est la célébration concrète de la Beia (allégeance) qui Me lie à toi. Elle symbolise le Pacte qui nous engage mutuellement à faire preuve d’une fidélité immuable aux constantes et aux symboles sacrés du Maroc et à consentir tous les sacrifices pour préserver son unité et sa stabilité.

Le pacte, ainsi scellé entre les Rois de ce pays et ses fils, sera toujours un rempart infranchissable dressé autour du Maroc pour le protéger des manœuvres des ennemis et des menaces de toute espèce.

Grâce à ce pacte, nous avons surmonté les difficultés rencontrées, nous avons œuvré dans un climat d’unité, de sécurité et de stabilité et ainsi, nous sommes fiers de ce que nous avons récolté et engrangé en termes d’acquis et de réalisations.

En effet, parce que le Maroc est notre patrie, notre maison commune, il est de notre devoir à tous de le protéger et de concourir à son essor et à son développement.

Le patriotisme, quand il est authentique, s’évertue à renforcer l’unité et la solidarité, particulièrement dans les moments difficiles. C’est pourquoi les Marocains libres ne se laissent jamais affecter par les aléas de la vie, pour accablants qu’ils puissent être parfois. Mieux encore, face aux vicissitudes, pour affronter les épreuves et relever les défis, leur foi s’en trouve fortifiée et leur détermination décuplée.

Je suis persuadé qu’ils ne permettront pas aux négativistes, aux nihilistes et autres marchands d’illusions d’user du prétexte de certains dysfonctionnements, pour attenter à la sécurité et à la stabilité du Maroc ou pour déprécier ses acquis et ses réalisations.

Car, en définitive, les Marocains ont conscience que c’est la Nation, aussi bien que les citoyens, qui paient toujours le plus lourd tribut au chaos et à la discorde.

Nous continuerons à marcher ensemble et à travailler main dans la main pour aplanir les difficultés conjoncturelles et objectives, et ainsi réunir les conditions favorables à la poursuite des programmes et des projets de développement, générateurs d’emplois et garants d’une vie digne.

Cher peuple,

Accomplir des réalisations, corriger les failles et remédier aux problèmes économiques ou sociaux, sont autant d’objectifs qui nécessitent une action collective, planifiée et coordonnée entre les institutions et les divers acteurs, plus particulièrement entre les membres du gouvernement et les partis qui le composent.

Il importe aussi de dépasser les différends conjoncturels, d’œuvrer à l’amélioration du rendement de l’Administration et de veiller au bon fonctionnement des institutions, car, in fine, il importe de renforcer le climat de confiance et de sérénité au sein de la société et toutes ses composantes.

De fait, les affaires des citoyens ne doivent souffrir d’aucun report, ni aucune attente, dans la mesure où elles ne se rattachent pas à une période spécifique. D’ailleurs, les formations politiques responsables sont celles qui se tiennent aux côtés des citoyens, dans les bons comme dans les mauvais jours.

Il est vrai que les partis s’efforcent de s’acquitter au mieux de leur tâche. Néanmoins, il leur faudra attirer de nouvelles élites et inciter les jeunes à s’engager dans l’action politique, les générations d’aujourd’hui étant les mieux placées pour connaître les problèmes et les nécessités de leur époque.

Les partis doivent également renouveler leurs méthodes de travail et rénover leurs modes de fonctionnement.

Il est attendu des différentes instances politiques et partisanes qu’elles se montrent réceptives aux doléances des citoyens, qu’elles interagissent sans délai avec les événements et les évolutions de la société, voire qu’elles anticipent leur émergence, et non qu’elles les laissent prendre parfois inopportunément des tours inquiétants, donnant ainsi l’impression qu’elles ne sont nullement concernées par ce qui arrive.

Cher peuple,

La question sociale retient toute Mon attention et M’interpelle vivement à la fois en tant que Roi et en tant qu’homme.

Depuis Mon Accession au Trône, J’ai toujours été à l’écoute de la société et prompt à cerner ses attentes légitimes. Constamment à l’œuvre, Je porte l’espoir inaltérable d’améliorer les conditions de vie des citoyens.

Au cours de deux décennies, les réalisations accomplies par le Maroc et les acquis engrangés en faveur des Marocains, constituent un véritable motif de satisfaction et de fierté. Pourtant, J’ai le sentiment que quelque chose continue à nous faire défaut en matière sociale.

Par la volonté de Dieu, Nous poursuivrons l’action menée dans ce domaine avec tout l’engagement requis et la rigueur nécessaire. Ensemble, il nous appartient d’identifier les faiblesses existantes et de leur apporter les remèdes adéquats.

L’ampleur du déficit social et les modalités de réalisation de la justice sociale et territoriale sont parmi les principales raisons qui Nous ont incité à appeler, dans le Discours d’ouverture du Parlement, au renouvellement du modèle de développement national.

En effet, il est insensé que plus de cent programmes de soutien et de protection sociale, de différents formats et se voyant affecter des dizaines de milliards de dirhams, soient éparpillés entre plusieurs départements ministériels et de multiples intervenants publics.

En fait, ces programmes empiètent les uns sur les autres, pèchent par manque de cohérence et ne parviennent pas à cibler les catégories effectivement éligibles.

Comment peut-on, donc, espérer que ces programmes répondent efficacement aux besoins des citoyens et impactent réellement leur quotidien ?

Il n’est nul besoin de rappeler ici que Nos critiques ne constituent pas une fin en soi, mais une incitation à l’autocritique, exercice vertueux et salutaire, si, à la parole, sont joints l’acte et la réforme proprement dits.

A cet égard, Nous estimons que la nouvelle initiative du « Registre Social Unique » (RSU) est un début prometteur, susceptible d’induire un accroissement progressif du rendement des programmes sociaux, à court et à moyen terme.

Ce Registre est un système national d’enregistrement des familles qui pourront bénéficier des programmes d’appui social. Les ménages habilités à jouir des prestations de ce régime, seront déterminés selon de rigoureux critères objectifs et grâce aux nouvelles technologies.

Il s’agit d’un projet social stratégique et ambitieux, qui touche de larges franges de la population marocaine. Sa portée dépasse de loin le cadre d’un programme gouvernemental pour un seul mandat et va au-delà d’une vision attribuée à un département ministériel, à un acteur partisan ou à un acteur politique.

Cher peuple,

L’ambition qui M’anime pour améliorer la situation sociale du pays, dépasse largement la simple mise en place d’un dispositif ou d’un programme, si important soit-il.

Par conséquent, J’invite le gouvernement et tous les acteurs concernés à entreprendre une restructuration globale et profonde des programmes et des politiques nationales d’appui et de protection sociale et à soumettre des propositions portant sur leurs modalités d’évaluation.

Pour cela, une approche participative est requise. Il convient également de faire preuve d’une certaine hauteur de vue, d’inscrire l’action envisagée dans la durée et d’user de célérité dans la phase d’exécution. Il importe aussi de procéder à la capitalisation des acquis et à la mise à profit des expériences réussies.

En attendant que cette réforme porte pleinement ses fruits, Nous incitons à adopter un ensemble de mesures sociales intermédiaires, en cohérence avec l’esprit de la Restructuration que Nous appelons de nos vœux.

J’engage donc le gouvernement à amorcer, dans les plus brefs délais, l’élaboration de telles mesures et à Me tenir périodiquement informé de leur état d’avancement.

Pour garantir un impact direct et tangible, J’insiste sur la nécessité de se concentrer sur les mesures d’urgence à mettre en œuvre dans les domaines suivants :

Premièrement : donner une impulsion vigoureuse aux programmes d’appui à la scolarisation et de lutte contre la déperdition scolaire, à partir de la prochaine rentrée scolaire, notamment au Programme « Tayssir » d’aide financière à la scolarisation, à l’enseignement préscolaire, au transport scolaire, aux cantines scolaires, aux internats.
Le but recherché est d’alléger les charges supportées par les familles et de les soutenir pour que leurs enfants puissent poursuivre leurs études et mener à terme leur formation.

Deuxièmement : lancer la troisième phase de l’Initiative nationale pour le Développement humain, en consolidant ses acquis et en recentrant ses programmes sur le développement du capital humain, la promotion de la condition des générations montantes, l’appui aux catégories en situation difficile, et en lançant une nouvelle génération d’initiatives génératrices de revenus et d’emplois.
Troisièmement : redresser les anomalies qui entachent l’exécution du Programme de couverture médicale «RAMED», et, parallèlement, refondre en profondeur le système national de santé, qui se caractérise par des inégalités criantes et une faible gestion.

Quatrièmement : œuvrer avec célérité à l’aboutissement du dialogue social. A cet égard, Nous exhortons les différents partenaires sociaux à tenir compte de l’intérêt supérieur du pays et à faire preuve de sens des responsabilités et d’esprit de consensus pour procéder à l’élaboration d’un pacte social équilibré et durable, à même de rehausser la compétitivité de l’entreprise et de renforcer le pouvoir d’achat des travailleurs dans les secteurs public et privé.

Je le dis au gouvernement : le dialogue social est un devoir et une nécessité ; il convient de l’instaurer et de le maintenir dans la durée et sans aucune interruption. Et Je lui dis également qu’il doit rencontrer régulièrement les syndicats et communiquer constamment avec eux, indépendamment de l’issue éventuelle de ce dialogue.

A ce propos, Je souligne avoir toujours été persuadé que la forme suprême de protection sociale est celle qui passe par la création d’emplois productifs et garants de dignité.

En fait, on ne peut espérer des créations d’emplois ni l’instauration d’un système de protection sociale moderne et décent, sans un bond qualitatif dans les domaines de l’investissement et de l’appui au secteur productif national.

Par conséquent, et plus spécifiquement, il convient de mener à bien trois chantiers majeurs :

• Le premier chantier consiste à faire adopter la Charte de déconcentration administrative, avant la fin du mois d’octobre prochain. Cet instrument donnera les moyens aux responsables locaux de prendre leurs décisions et d’exécuter les programmes de développement économique et social, en accord et en cohérence avec les visées de la Régionalisation avancée.

• Le deuxième chantier implique d’agir avec célérité pour faire entériner la nouvelle Charte de l’Investissement et activer la réforme des Centres Régionaux d’Investissement en leur accordant les prérogatives nécessaires pour remplir leur mission correctement. Citons particulièrement le mécanisme de décision à la majorité des membres présents, en remplacement de la règle d’unanimité actuellement en vigueur ; le regroupement des commissions concernées par l’investissement en une Commission régionale unifiée ; ce qui permettra de mettre un terme aux blocages et aux prétextes invoqués par certains départements ministériels.

• Le troisième chantier concerne l’adoption de textes juridiques :

o fixant, d’une part, à un mois le délai maximal accordé à certaines administrations pour répondre aux demandes qui leur sont adressées dans le domaine de l’investissement, tout en établissant que l’absence de réponse dans ce délai, tient lieu d’approbation ;

o et empêchant, d’autre part, toute administration publique de demander, de la part d’un investisseur potentiel, des documents ou des informations qui sont déjà en possession d’une autre administration publique. C’est, en effet, aux services publics qu’il revient d’organiser un échange coordonné des informations, grâce au recours à l’informatique et aux nouvelles technologies.

Notre souhait est que ces mesures décisives agissent comme un vigoureux catalyseur pour stimuler l’investissement, comme jamais auparavant, pour aider à la création d’emplois, améliorer la qualité des prestations offertes aux citoyens, endiguer les manœuvres dilatoires qui, tous les Marocains le savent bien, font le lit de la corruption.

Par ailleurs, ces mesures seront un levier de réforme de l’Administration : elles permettront en effet de rendre pleinement opérationnel le principe de reddition des comptes, d’identifier les dysfonctionnements qui empêchent le bon aboutissement de cette Réforme.

Il convient donc de rendre effectives ces mesures dans le domaine de l’investissement, dans la perspective de les généraliser à tous les niveaux de la relation entre l’Administration et les citoyens.

Toutefois, la bonne application des textes, aussi parfaits soient-ils, restera tributaire du sérieux et du sens de l’engagement que va y mettre chaque responsable administratif.

Nous insistons en outre sur la nécessité d’une mise à jour des programmes d’accompagnement destinés aux entreprises, en particulier ceux visant la facilitation de leur accès au financement, l’accroissement de leur productivité, et la formation et la mise à niveau de leurs ressources humaines.

Le but recherché est bien de rehausser la compétitivité de l’entreprise marocaine, de renforcer ses capacités exportatrices, et d’accroître son potentiel de création d’emplois. Une attention particulière doit être portée aux petites et moyennes entreprises qui représentent 95% du tissu économique national.

L’entreprise productive a aujourd’hui besoin de davantage de confiance de la part de l’Etat et de la société. C’est la voie à travers laquelle l’investissement pourra retrouver le niveau souhaité, et l’attentisme délétère cèdera la place à une dynamique marquée par la prépondérance d’un esprit d’initiative responsable et d’innovation.

En effet, le regain du dynamisme économique est tributaire du niveau d’engagement des entreprises, du renouvellement de la culture des affaires et d’une exploitation optimale des nombreux atouts offerts par le Maroc. Il convient également de prendre en considération les enjeux de la compétition internationale et, même parfois, de ceux des guerres économiques et commerciales.

Cher peuple,

Notre souci constant d’améliorer la situation sociale générale et de relever les défis économiques n’a d’égal que Notre engagement actif à préserver et à valoriser les ressources stratégiques de notre pays. En la matière, au premier chef, l’eau joue un rôle clé dans la dynamique de développement et dans la préservation de la stabilité.

Dieu dit dans le Saint Coran : ” Nous avons fait de l’eau toute chose vivante”.

A cet égard, le Plan national de l’Eau doit apporter des remèdes aux problématiques de gestion des ressources en eau, au cours des trente prochaines années.

En ce qui les concerne, le gouvernement et les institutions compétentes sont appelés à prendre des mesures d’urgence et à mobiliser tous les moyens disponibles pour traiter les situations urgentes liées au faible approvisionnement des habitants en eau potable et à la fourniture des volumes d’eau destinés à l’abreuvement du cheptel, particulièrement pendant la saison d’été.

C’est pourquoi Nous n’avons cessé d’insister sur la nécessité de poursuivre la politique de construction de nouveaux barrages, un domaine où le Maroc fait figure de pionnier.

A cet égard, J’ai tenu à perpétuer cette tradition, comme en témoignent les trente barrages de tailles différentes, qui ont été érigés durant les dix-huit dernières années.

Cher peuple,

Le devenir du Maroc, comme son passé et son présent, relève de notre responsabilité à tous.

Ensemble, Nous avons réalisé bien des choses, dans divers domaines.

C’est ensemble encore que nous saurons relever les défis nouveaux et concrétiser les aspirations qui nous tiennent à cœur. En revanche, rien n’est acquis sans l’unité, la solidarité et la stabilité du pays, sans la foi dans la communauté de destin qui nous unit dans la joie comme dans la peine, sans un patriotisme sincère et un civisme responsable.

Face aux développements que connaît notre pays, nous avons plus que jamais besoin de rester attachés à nos valeurs religieuses et nationales immuables. Nous devons aussi avoir constamment présents à l’esprit les sacrifices consentis par nos ancêtres pour que le Maroc reste uni, pleinement souverain et éminemment digne.

C’est, donc, tout naturellement que Nous sommes saisi en ce moment d’une pensée émue et déférente pour la mémoire immaculée des valeureux Martyrs de la Patrie, à leur tête Notre Auguste Grand-Père, feu Sa Majesté le Roi Mohammed V et Notre Illustre Père, feu Sa Majesté le Roi Hassan II, que Dieu les ait en Sa sainte miséricorde.

L’instant est également propice pour rendre un vibrant hommage aux Forces Armées Royales, à la Gendarmerie Royale, aux Forces Auxiliaires, à la Sûreté nationale et à la Protection civile, dans toutes leurs composantes, pour leur mobilisation constante, sous Notre commandement, afin de défendre l’intégrité, la sécurité et la stabilité du pays.

Nous tenons aussi à saluer l’action humanitaire et sociale des Forces Armées Royales, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Nous songeons en particulier à l’exemple de l’hôpital de campagne déployé à Gaza pour alléger les souffrances de Nos frères palestiniens et pour les appuyer dans leur lutte, et à celui de l’hôpital du Camp Zaatari. Ces missions viennent s’adjoindre au travail humanitaire et médical précédemment effectué par de Nos Forces Armées Royales dans plusieurs pays africains frères.

Je serai, cher peuple, comme tu M’as toujours connu, le premier à te servir, ayant toujours à cœur de répondre à tes préoccupations, réceptif à tes doléances, et garant de tes droits et de tes valeurs sacrées.

“Et quiconque craint Allah, Il lui donnera une issue favorable, et lui accordera Ses dons par des moyens sur lesquels il ne comptait pas.” Véridique est la parole de Dieu’’.

Le Groupe BGFIBank renforce son dispositif de contrôle et de surveillance

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Le Président Directeur Général du Groupe BGFIBank, Henri-Claude OYIMA, conforte les fonctions audit et contrôle pour générer une croissance maîtrisée.

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Groupe BGFIBank renforce son dispositif de contrôle et de surveillance avec la nomination de :
 Mme Stella BONGOTHA , Directeur de la Conformité Groupe,
 Mr. Youssouf DIAGANA , Directeur des Risques et Contrôle Groupe,
 Mr. Arnaud NGUIMBI, Directeur de l’Audit interne du Groupe.

En lien avec les ambitions affichées dans son projet d’entreprise « Excellence 2020 » avec comme objectif d’assurer la performance pour garantir la pérennité du Groupe, BGFIBank a fait le choix assumé de renforcer l’efficacité de son dispositif de contrôle et de surveillance en procédant à la nomination de nouveaux responsables des différents corps de contrôle au niveau de la société tête du Groupe, BGFI Holding Corporation.

Le contexte actuel de supervision sur base consolidée oblige le Groupe BGFIBank à renforcer une dynamique de renouvellement entamée, il y a plusieurs années. Ces nominations s’inscrivent de fait dans la volonté du Groupe de faire converger les filières Risques et Contrôle vers des standards alliant à la fois une vision groupe forte et des spécificités régionales et locales. C’est la voie choisie par le Président Directeur Général du Groupe BGFIBank, Henri-Claude OYIMA, pour générer une croissance maîtrisée.

Stella BONGOTHA a rejoint le Groupe en avril 2012 comme Responsable Corporate Management au sein de la Direction des Affaires Juridiques, Fiscales et de la Conformité. Elle a successivement occupé les postes de Responsable Gouvernance & Organisation et Responsable Administration Générale. Elle se voit confier le contrôle et le pilotage du risque de non-conformité au sein du Groupe et a pour principales missions de veiller au respect des lois, règlements et principes déontologiques spécifiques aux activités bancaires et aux services d’investissement exercés par le Groupe ; de veiller à la stricte application des règles de bonne conduite et de déontologie personnelle des collaborateurs ; ainsi qu’ à la prévention du risque de réputation au sein de BGFI Holding Corporation SA et de ses filiales.

Youssouf DIAGANA, a rejoint le Groupe en avril 2018. Il a été Chief Compliance and Operational Risk Officer chez Crédit Agricole Sénégal après près de dix (10) ans passés chez Mazars Sénégal, en tant que Chef de projet GRIC (Governance, Risk & Internal Control). Il a, à ce titre piloté des projets de grande envergure dans le domaine de la cartographie des risques et de l’amélioration des systèmes de contrôle interne pour le compte de groupes internationaux. La digitalisation des processus de Risk Management et de contrôle seront au cœur de sa mission.

Arnaud NGUIMBI est un pur produit du Groupe qu’il a intégré en 2011. Il a tour à tour occupé les postes de Chef de Département Audit Interne Groupe au sein de BHC en passant par BGFIBank GE où il occupera la même fonction. Il assure un suivi exhaustif du système de contrôle interne et veille à sa cohérence à travers l’évaluation des différents niveaux de contrôle au sein du Groupe. Il veille également à l’exécution, dans des délais raisonnables, des mesures correctrices décidées dans le cadre du dispositif de contrôle interne conformément aux règlements.

Tous ont reçu chacun un avis de non objection de la COBAC conformément aux dispositions règlementaires COBAC en vigueur et rejoignent ainsi le Comité de Direction de BGFI Holding Corporation.

A Propos

Le Groupe BGFIBank est un Groupe Financier International multi-métiers qui allie solidité financière, stratégie de croissance durable et maîtrise des risques, avec l’ambition d’être la banque de référence sur ses marchés en termes de qualité de service.

Fidèle à ses valeurs de Travail, d’Intégrité, de Transparence, de Responsabilité et d’Esprit d’Equipe, le Groupe place la qualité de service au cœur de son métier. Il accompagne ses clients particuliers, entreprises et institutionnels dans une relation durable, avec une gamme de produits et services élargie.
Le Groupe BGFIBank enrichit sans cesse son offre en s’appuyant notamment sur l’expertise de ses partenaires, s’ouvrant ainsi à de nouveaux domaines.

Plus de 2100 collaborateurs présents dans 11 pays accompagnent au quotidien une clientèle diversifiée au Bénin, au Cameroun, au Congo, en Côte d’Ivoire, en France, au Gabon, en Guinée Equatoriale, à Sao Tomé et au Sénégal.

Les équipes du Groupe BGFIBank proposent du conseil et des services à la clientèle autour des quatre métiers principaux que sont :
– La Banque commerciale
– La Banque d’investissement
– Les Services Financiers spécialisés – L’Assurance.