Accueil Blog Page 1966

Moussa reçu en audience par yeah Samake

0

Yeah Samake eu le plaisir de recevoir au Siège du PACP, le Général Moussa #Sinko Coulibaly, Président de la Plateforme pour le Changement.

Selon lui, que je cite « nous avons échangé entre autre sur l’urgence du renouveau de la classe politique au Mali, les aspects logistiques et sécuritaires de l’organisation de l’élection présidentielle de juillet 2018 et les grandes questions de la nation », fin citation.

 

BAMAKO CROULE SOUS LE POIDS DES ORDURES : 15 MILLIARDS DE F CFA POUR OZONE

0

 

 

 

Si rien n’est fait dans un bref délai, la société Ozone-Mali risque de couler, laissant ainsi en rade ses 1300 employés qu’elle ne parvient plus à payer, à cause d’arriérés de contribution des municipalités de Bamako, conformément à la convention qui les lie à Ozone. Les travailleurs étaient obligés de se faire entendre au siège de l’entreprise, lundi dernier, afin d’espérer rentrer en possession des salaires dus. Ce qui est moins probable, dans la mesure où Ozone-Mali, qui fait souvent appel à la société mère au Maroc pour financer son fonctionnement à Bamako, est au bout de l’asphyxie et risque de procéder à un arrêt définitif si les 15 milliards de nos francs qui lui sont dus ne lui sont pas payés. Comment en est-on arrivé là ?

La convention signée pour huit ans prévoit de verser à Ozone, chaque année, la somme de 9 milliards de nos francs, selon un montage financier qui fait intervenir l’Etat à hauteur de 4 milliards de Fcfa, la Mairie du district de Bamako devant régler le reliquat de 5 milliards, sur la base des recettes collectées au titre de la Taxe sur les ordres ménagères.

Ce contrat, rappelons-le, avait fait couler en son temps beaucoup d’encre et de salive et les pourfendeurs d’hier semblent avoir raison aujourd’hui, dans la mesure où plusieurs failles du dispositif entrainent la société Ozone dans une situation inconfortable qui pourrait être fatale à sa présence au Mali.

En effet, comment pouvait-on demander à la mairie du district de Bamako de participer à hauteur de 5 milliards de nos francs, en sachant qu’il y avait dans le circuit administratif un projet de loi la dessaisissant de la gestion des ordures dans la capitale malienne au profit des mairies des six communes de la capitale ? De la part de ceux qui pilotaient ce dossier, géré en son temps par le ministère de l’Environnement où se trouvait un certain Abdoulaye Idrissa Maïga, c’est un fait que l’histoire retiendra.

De toute façon, ce qui devait arriver arriva car une fois cette loi votée, la mairie du district de Bamako ne se trouvait plus liée directement par la Convention de gestion déléguée du traitement des ordures qui fonde la présence et l’intervention de la société Ozone à Bamako. Depuis lors, tout ce que peut faire le maire du District, c’est de saisir ses collègues des six communes afin que chacun d’eux puisse apporter sa contribution à la cagnotte.

De prime abord, la faiblesse de leurs moyens les empêche de répondre à ces sollicitations car la perception de la Taxe sur les ordures ménagères est loin d’être une réalité au Mali. En plus, ces mairies ne font d’ailleurs aucun effort parce que ne se sentant nullement engagées dans cette Convention qu’elles n’ont pas négociée.

Par ailleurs, si les ordures dérangent certains, elles nourrissent au contraire beaucoup d’autres gens. Et grassement d’ailleurs ! En effet, le traitement des ordures constitue un véritable business opaque, autour duquel tournent des associations et groupements d’intérêts économiques (GIE) qui constituent un pan important de la clientèle politique des élus municipaux, obligés parfois de sceller des pactes avec eux pour espérer leur soutien lors des élections communales. Entre les équipes municipales et les associations de collecte des ordures dans les quartiers, s’est installée une collaboration qui frise la complicité, de sorte qu’il ne faille pas s’attendre à voir ce topo disparaître par l’effet de la signature d’une convention, même si c’est avec une société dont la notoriété internationale en la matière ne se discute point.

Bamako ne sortira pas encore

de ce système rébarbatif de ramassage des ordures

C’est pour dire que, dès le départ, la société Ozone s’est trouvée en terrain miné et sa marge de manœuvre est actuellement si faible qu’elle ne parvient pas à déployer tout le potentiel prévu pour Bamako, notamment pour nettoyer les rues, collecter les ordures, nettoyer les dépôts de transit, curer les caniveaux et traiter les ordures collectées. Il était même prévu l’installation d’unités modernes de traitement des ordures à l’instar de ce que fait la société Ozone au Maroc.

Pour préserver les intérêts des GIE, la Direction de la société Ozone-Mali a eu à leur proposer un partenariat, notamment en faisant d’eux des acteurs pour Ozone qui les rémunère en contrepartie. Mais cette proposition a rencontré un niet catégorique. Comme quoi Bamako ne sortira pas encore de ce système rébarbatif de ramassage des ordures avec des charrettes tirées par des ânes et des pousse-pousse qui laissent une bonne partie de leur chargement sur le trajet qui mène au dépôt de transit, lequel à son tour ne cesse de grandir pour constituer une véritable montagne, avec ses désagréments sur l’environnement et les effets nocifs sur les populations avoisinantes. Certainement qu’un jour, des organisations sérieuses organiseraient les voisins des dépôts sauvages d’ordures pour initier des recours afin que leur droit à un environnement sain soit respecté. Et vu la stature du Mali au niveau des différentes rencontres internationales sur la question de l’environnement, il faudra commencer par nettoyer devant nos propres portes, avant de parler avec les autres.

De toute façon, l’Etat se débrouille pour honorer sa part du contrat avec Ozone et s’en arrête-là. Le ministre de l’Economie et des finances, qui n’est pas signataire de la Convention (une autre erreur), a d’autres priorités certes, mais lâche de temps en temps quelques centaines de millions pour solder les comptes au fil des jours.

Situation très critique

pour Ozone-Mali

De 2015, année d’installation de la société Ozone à nos jours, les arriérés se sont amoncelés pour constituer une montagne de près de 15 milliards de francs Cfa. Certainement qu’une montagne pareille ne gêne pas les créanciers qui trainent les pieds pour éponger les factures, au contraire des montagnes d’ordures pour lesquelles on met la pression sur Ozone pour s’en débarrasser.

La situation est à présent très critique pour Ozone-Mali qui ne peut continuer à fonctionner avec les fonds de la société-mère, Ozone-Maroc, alors qu’il y a plus d’un millier d’employés à payer. En plus, avec l’hivernage qui approche, le plan de curage des caniveaux nécessite le recrutement supplémentaire de près de 200 travailleurs.

Lundi dernier, tous les employés s’étaient donné rendez-vous au siège de l’entreprise à la Zone industrielle, au lieu de se rendre sur leur lieu de travail. Ils ont manifesté leur désir de se faire payer. Mais avec quel argent ? Voilà la grande question ! Surtout si l’on constate que l’énorme parc automobile de la société Ozone est en train de souffrir de la situation, avec les nombreuses pannes de camions-bennes et autres engins lourds dont la maintenance constitue un des postes importants du budget.

Nécessité de percevoir la Taxe sur les ordures ménagères

Rappelons que la convention signée avec Ozone par les autorités du pays était vantée en son temps comme étant un des grands exemples de la coopération vivante et exemplaire entre le Mali et le Maroc, puisque ce projet a été finalisé dans la foulée de la première visite du roi Mohamed VI au Mali, suite à l’investiture du président IBK. Il serait donc malheureux que l’exemple tant vanté se transforme actuellement en un énorme cauchemar, voire une désillusion qui déteindrait certainement sur l’image du Mali.

En un mot comme en mille, il faut trouver une solution à cet épineux problème pour rendre plus fluide la collaboration entre Ozone et les communes de Bamako afin que les populations, qui en ont marre d’être envahies par les ordures, puissent bénéficier de cet échange d’expériences sur fond de collaboration saine.

Mais cette crise a aussi le mérite de poser en filigrane la question de la nécessaire perception par les mairies de la Taxe sur les ordures ménagères, en trouvant des mécanismes judicieux de les recouvrer soit en intégralité soit de façon échelonnée sur l’année. Les moyens ne manquent pas parce que les associations qui s’activent dans le nettoiement des quartiers se débrouillent pour prendre l’argent des contribuables. Une chose est sure : le tout gratuit n’existe pas et il faut que les mairies commencent à le faire comprendre aux populations qui sont les premières à exiger le ramassage et le traitement de leurs ordures.

A.B. NIANG

Affaire de  Salif Diarra:le journaliste à été  arrêté dans le cadre du droit commun. 

0

 

 

Selon le procureur du tribunal de la Commune III,  le journaliste du site d’information Maliactu.net a été arrêté dans le cadre du droit commun, dit-il.

 

 

Pour  lui (le procureur)   notre confrère n’a pas été  arrêté dans le cadre d’un délit de  presse . Nous journalistes voulons que   les principes fondamentaux  de la démocratie et du respect  de la liberté d’expression au Mali soient respectés.

 

 

Selon nos émissaires, c’est à dire, les journalistes qui ont été désigné par le procureur afin de s’enquérir à  la situation et à l’évolution de la situation dont le journaliste de Maliactu.net, Salif Diarra sera ecouté au cours de la journée sans une  précission d’heure exacte.

 

 

Pour eux,  Salif Diarra pourra bénéficier une liberté provisoire et qu’à chaque semaine, il viendra se présenter au procureur de la commune III. Ils sont trois journalistes qui ont été désigné (émissaires)  par les confrères venus en soutient Salif Diarra.

 

 

Il s’agit entre autres d’Abdramane Sissoko du « le pays « , Mariam Moussa Hary Maiga du studio  Tamani et un autre journaliste appartenant également à  la communauté des blogueurs du Mali.

 

Selon les émissaires, d’autres suppects ont été arrêté en liens avec le dossier concerné, et le procureur affirme qu’il ne pourra donner des détails sur ces présumés suspects.

 

 

En ce qui concerne, la version du maire qui a port plainte,  il affirmerait qu’il avait déjà oublié le dossier et cela,  il ajoute qu’il n’est au courant de rien. Mais d’autres informations que nous avons appris c’est que la convocation à été déposé depuis le mois de novembre 2017.

 

 

 

 

En conclusion voici entre les motifs de son arrestation : Chantage, extorsion de fond et atteinte à la  privée en la personne du Maire concerné. Il faut noter qu’une journée sans presse sera décrétée dans les jours à venir selon le consortium de journalistes en soutient à notre confrère Salif Diarra du site d’information en continu Maliactu.net.

À suivre

 

Source: croissanceafrique.com

 

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali/Axe Kayes-Diboli : Bientôt un nouveau pont.

0

Suite à une pluie diluvienne qui s’était abattue dans la nuit du 21 au 22 juin 2017 dans la commune rurale de Falémé, le pont situé au point kilométrique (PK) 35 de l’axe Kayes-Diboli avait subi des dégâts importants. Pour éviter la rupture du trafic sur ledit corridor, une déviation avait été aménagée d’urgence.

La Ministre des Infrastructures et de l’Équipement a profité de sa tournée dans la région de Kayes pour s’enquérir de la fonctionnalité de ladite voie de déviation et lancer les travaux de construction d’un nouveau pont. Madame Traoré Seynabou Diop a également constaté la fin des travaux d’aménagement de la voie spéciale prévue pour le passage des équipements et engins lourds du projet Albatros qui va doter la région de Kayes d’une centrale thermique afin d’assurer la fourniture de l’électricité.

 

Source :croissanceafrique.com

 

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Urgent /Affaire Salif Diarra: le procureur de la commune 3 vient de demander aux journalistes de sortir dans les locaux du tribunal.

0

Le procureur de la commune 3 vient de demander à la presse venue soutenir SALIF DIARRA de sortir des laucaux de tribunal nous sommes donc dehors, mais déterminés la lutte continue.

« Un lundi sera décisif pour la presse malienne », a annoncé hier, Dramane Alou Koné, président de la Maison de la presse. Il a donné rendez-vous aux journalistes et aux amis de la presse demain au tribunal de la Commune III pour exiger la libération de notre confrère de maliactu.net. Dors et déjà Dramane Alioune est sur place. Notons que Salif Diarra du site d’information Mali actu.net n’est même pas sur place. Et jusque là l’audience na pas débuté.
La lutte continue!
LiberezSalifDiarrah

À suivre….

 

 

Koulikoro : Visite de chantiers des logements sociaux de N’tabacoro et Kambila

0

Samedi 24 févier 2018, Region de Koulikoro, N’Tabacoro et Kambila.Visite de chantiers des logements sociaux de N’tabacoro et Kambila.

Monsieur Cheick Sidiya SISSOKO, Ministre de l’Habiat et de l’Urbanisme et son collègue des Collectivités Territoiales, Monsieur Allasane AG MOUSSA ont effectué,en compagnie des chefs de sevices techniques relevant de leur département , une visite des chantiers des logements sociaux à N’Tabacoo et Kambila.

Cette visite avait pour objectifs notamment
– de constater l’état d’évolution des chantiers de logements sociaux de Kambila ;
– de suivre l’exécution des travaux de viabilisation hors site des 5643 logements sociaux de N’Tababacoro.

les ministes ont également visité la centrale de brique de la société SOPROMAC IMMOBILIERE. Cette centrale permet de faire le mixage des agrega6ts pour le dosage réglementaire en matière de construction,elle produit 2000 briques de 10, 15 et 20 et 5000 ourdis par jour.

 

C/COM

Source: croissanceafrique.com

 

 

Mail: croissanceafrik@gmail.com

 

 

Construction du plus grand aéroport d’Afrique au Rwanda

0

Située à 40 Km au sud de la capitale Kigali, la construction du nouvel aéroport de Bugesera répond aux impératifs du présent et de l’avenir. Cet aéroport permettra de recevoir plus d’avions et de créer plus de connectivité avec différentes parties du continent et du monde.

La première pierre de ce nouvel aéroport rwandais a été posée le 9 août 2017 par le président Paul KAGAME pour le lancement officiel des travaux qui seront menés par la division africaine de l’entreprise de BTP portugaise Mota-Engil.

 Le président Paul KAGAME pose la première pierre du nouvel aéroport de Bugesera

Avec une telle infrastructure, le Rwanda souhaite devenir un centre d’aviation pour l’Afrique selon Maciej Michalek, Directeur général de Mota-Engil.

 » Sur le terrain, nous prévoyons de développer une ville d’aéroport, y compris des bureaux, des hôtels et des espaces commerciaux. Bien sûr, cela sera progressivement échelonné. Le gouvernement du Rwanda envisage de développer davantage les zones avoisinantes en créant des zones économiques spéciales et un parc de divertissement, ce qui constituera un bon complément à l’industrie touristique en plein essor au Rwanda. »

Investissements déployés pour la réalisation du projet

Au Rwanda, on attend le nouvel aéroport, dont la construction comprend deux phases, pour décembre 2018. La première, avec un coût de 418 millions de dollars, comprend la construction et la livraison de l’aéroport qui devrait posséder une capacité d’accueil d’1,7 millions de passagers. La seconde, qui coûtera près de 400 millions de dollars, consistera à augmenter la capacité d’accueil de l’aéroport. Celle-ci passera d’1,7 millions à 4,5 millions de passagers par an.

En définitif, quelques 818 millions de dollars seront alloués par le gouvernement rwandais pour la mise en place du plus grand aéroport d’Afrique, un investissement primordial pour le Rwanda, et son Président Paul KAGAME, qui ambitionne de devenir un hub régional.

Batiboom

Source:croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

APPEL MALI dénonce les méthodes de rapt mises en avant pour interpeller les journalistes de Maliactu.net

0

 

« L’Association des Professionnels de la Presse En Ligne au MALI rallie sa voix à celle de la Maison de la presse et de l’UNAJOM pour dénoncer les méthodes de rapt mises en avant pour interpeller nos confrères ; et rappelle que le Mali est un pays de démocratie où la liberté d’expression est consacrée et garantie par la Constitution », indique un communiqué de presse publié le 23 février 2018. Lisez !

Le mercredi 21 février 2018, trois de nos confrères du site d’informations en ligne maliactu.net, ont été arrêtés par des hommes armés, au siège du journal à Hamdallaye ACI 2000.

En cette circonstance trouble et regrettable, l’Association des Professionnels de la presse en ligne au Mali (APPEL MALI) exprime sa profonde incompréhension et inquiétude face à ce qu’elle qualifie d’atteinte grave à la liberté d’expression et de presse au Mali.

Aussi, APPEL Mali rallie sa voix à celle de la Maison de la presse et de l’UNAJOM pour dénoncer les méthodes de rapt mises en avant pour interpeller nos confrères ; et rappelle que le Mali est un pays de démocratie où la liberté d’expression est consacrée et garantie par la Constitution.

APPEL Mali rappelle qu’elle suit de près le traitement de ce dossier et tiendra informée de façon constante l’opinion nationale et internationale.

APPEL Mali exprime sa disponibilité à aider les autorités maliennes pour lutter contre toute forme de cybercriminalité au Mali.

Enfin, APPEL Mali demande la libération immédiate de ses trois confrères incarcérés.

Bamako le 23 février 2018
Le Secrétaire général
Seybou KEITA

DANS LA LOGIQUE DE LA CONCURRENCE TELECEL-Mali offre les meilleurs services à sa clientèle .

1

Les abonnés aux services de Télécel-Mali, ont déjà le sourire super large. Une satisfaction attendue, mais pas avec une telle promptitude. Car, intervenant deux mois seulement après le lancement de ses opérations. Qui pour mieux le dire ? Son puissant Directeur commercial Mahamadou Okoboro qui, a fait l’insigne honneur de nous recevoir. C’était le 19 février dernier, dans les bureaux qu’il occupe à l’ACI, depuis l’ouverture du siège.
Manifestement, le Directeur commercial de Telecel-Mali, était aux anges la semaine dernière au cours d’une rencontre avec notre équipe de reportage. Au regard de l’appréciation que la clientèle fait de ses services et des produits quelques mois seulement après le début de ses opérations, rien ne pouvait servir d’obstacle à ce visage de rayonner.
C’est le début d’une belle et longue histoire avec des abonnés qui se bousculent déjà au portillon.
Au cours de la rencontre, le Directeur commercial Mahamadou Okoboro a tout d’abord passé en revue l’historique de la création du réseau Télécel qui, répond aujourd’hui et déjà à une forte préoccupation des Maliens soucieux des meilleures offres en matière de communication.
Pour sa part, « le réseau Telecel est la marque commerciale du réseau Alpha télécommunication ATEL SA, dirigée par le Burkinabé Apollinaire T. Compaoré, non moins président d’un groupe de société Planor Arfca ».
Avant de marteler qu’avec ATEL-MALI, le groupe PLANOR détient 100% de l’opération Telecel-Faso (Burkina-Faso) et 26% de l’opération MTN (Cote d’Ivoire).
Il s’agit pour lui, d’un esprit à l’allure altruiste permettant d’apporter une des meilleures réponses au développement harmonieux à travers la communication.
Monsieur le Directeur commercial a également apporté des précisions sur leurs produits qui sont en vente sur le marché à des prix déviant toute concurrence.
La commercialisation
Il s’est surtout appesanti sur la commercialisation des offres de telecel .Et nombreux sont les heureux du fait du bon prix et des surprises agréables avec une société de téléphonie n’ayant entamé ses opérations que les derniers jours de décembre 2017 à l’hôtel Laïco amitié de Bamako, « pour ne démarrer officiellement, la vente des produits que le 15 février dernier », s »est lamenté M. Okoboro de Télécel.
Il a indiqué que les services et offres de Télécel sont disponibles depuis le 15 de ce mois à l’agence principale sise l’ACI 2000, non loin des bureaux du Vérificateur général ou chez nos revendeurs qui sont un peu partout dans les différentes villes du pays.
« Ils sont 500 commerciaux à vendre nos produits sur le marché. Nous avons aussi des masters avec qui nous avons signé des contrats, qui sont chargés de distribuer nos SIM », a-t-il éclairé
Prix de la puce
Selon le Directeur commercial, le prix de la SIM est de 500FCFA et contient 4500 FCFA de crédit gratuit. Quelqu’un qui détient la SIM Télétel peut faire ses appels sur le même réseau ou sur d’autres à une tarification raisonnable à 1FCFA la seconde. Et de renchérir que le rechargement a lieu au siège de l’entreprise. Il commence à partir de 100 FCFA.
La meilleure nouvelle, c’est que 500% de bonus sont offerts à la première recharge de chaque mois pendant trois 3 mois. « C’est le tarif le plus moins cher du marché aujourd’hui », a dit le Directeur commercial.
Forfait internet
Il a aussi mis un accent particulier sur le forfait internet qui est autour hui très compétitif .En effet, 10 Méga à 100 FCFA avec une durée de validité 30 jours soit un (1) mois,100 Méga fait 400 FCFA valable un 1 mois, 1 Giga à 200 FCFA et 2 Giga à 9000 FCFA avec une validité d’un (1) mois et deux(2) mois.

Le directeur commercial Mahamadou Okoboro affirmera par la suite que, les agences de telecel seront multipliées à travers le Mali pour répondre la plus grande préoccupation de la population malienne.
« Déjà dans notre planning de trois 3 à 4 mois, nous commencerons l’installation de nos nouveaux sites, agence, dans la rive droite et gauche de Bamako et dans les autres régions du Mali », a-t-il dit

 

Source: croissanceafrique.com

 

croissanceafrik@gmail.com

Moussa Danioko, journaliste politique « Le Mali a besoin d’une alternance politique, de manière démocratique….. » dixit

0

 

Présidentielle de juillet 2018: pour une alternance politique au Mali et un changement qualitatif du personnel politique à la tête des institutions de la République

Après l’incapacité notoire des gouvernants de tenir les promesses électorales, ils doivent être contraints à se faire remplacer, dans les urnes, par d’autres compatriotes dans le respect des règles constitutionnelles.

L’affirmation du choix politique semble fragilisée aujourd’hui par la corruption et « l’achat de conscience ». Mais le peuple doit apprendre à sanctionner ses leaders politiques par « un vote sanction ». Il doit sortir massivement le jour du scrutin contre toutes les pratiques qui nuisent à l’émergence politique, économique et sociale.

Le Mali a besoin d’une alternance politique, de manière démocratique, d’un véritable changement qualitatif du personnel politique à la tête des institutions de la République. C’est la seule alternative de sortie de crise, après l’incapacité notoire des autorités actuelles de tenir les promesses électorales démagogiques.
Ces gouvernants doivent être contraints à se faire remplacer par d’autres compatriotes dans le respect des règles constitutionnelles et dans l’intérêt supérieur de la République.

Les partis politiques traditionnels ont montré leurs limites et il revient à la société civile de se mobiliser pour empêcher le tripatouillage des élections afin de permettre au candidat choisi d’accéder à la magistrature suprême.

L’échec de ce mandat présidentiel doit interpeller tous les patriotes, un mandat caractérisé par la mauvaise gouvernance et la corruption qui sont pour l’essentiel responsables des inégalités, des injustices sociales et des frustrations des populations.

Moussa Danioko

Source: croissanceafrique.com

 

Mali: croissanceafrik@gmail.com