Misr note que le nombre d’opérateurs contractés s’élève à 15 616 dans l’ensemble du pays, avec des transactions effectuées via les systèmes de point de vente (PDV) et de commerce électronique, pour un montant supérieur à 13,4 milliards de livres égyptiennes soit environ 746 millions de dollars par an.
L’institution fondée en 1920 par l’économiste égyptien Talaat Harb enregistre ainsi dans le système de paie automatisé de financement créé par l’Etat, un total des transactions de l’ordre de 48% soit 2,56 cartes, avec 895 entités gouvernementales sous contrat avec la banque. La valeur des salaires transférés annuellement aux secteurs privé et public s’élève à 75 milliards de livres égyptiennes (4,1 milliards de dollars).
« La Banque Misr dispose d’un réseau avancé de 2 292 guichets automatiques fournissant des services de dépôt et de retrait, ainsi que des services de change, de paiement de factures, de dons et de virement entre les comptes de clients de la banque jusqu’à concurrence de 20 000 EGP », souligne-t-elle.
Et d’annoncer qu’elle compte étendre sa présence au cours de la période à venir au Kenya (Nairobi) et dans d’autres pays africains, mais aussi en Italie (Milan), en Corée du Sud (Séoul).
Source : Financialafrik.com
Par croissanceafrique.com