Lorsque pour une question de patrimoine culturel des honnêtes citoyens sont menacés d’expropriation de leur terre acquis en bon et du forme !!!
Après avoir lu dans plusieurs presses et ayant écouté sur les ondes de nombreuses radios de la place, nous-nous sommes intéressés de cette affaire qui dévient plus qu’inquiétant. Aussi, avions mené notre petite enquête.
En effet, il ressort que suite à la décision prise en conseil des ministres, du 5 janvier 2018, en rapport avec le projet de décret portant classement du site historique du champ de bataille de Kodialanda, s’étendant à plus de 5000 hectares, dans le patrimoine culturel national, les risques d’une explosion imminente se dessine, si rien n’est fait pour prendre en compte la volonté de ses citoyens qui sont en danger.
Parmi les personnes touchées par cette décision, figure un érudit, et pas le moindre ! Il s’agit pour ne rien masquer de l’imam Cheick Wélé Diallo, propriétaire de 100 ha dont un investissement de plus de 500 millions de FCFA a été injecté de ses propres fonds pour faire de l’élevage dont il disposerait de plus de 200 têtes de vaches et autres bétails.
Pour ne rien arranger, cette décision ministérielle est plus que jamais contestée par les habitants de 35 villages de la commune Nossombougou-Kodialanda .
Pour sa part, l’imam Cheick Wélé Diallo, en homme de foi, prenant ALLAH en témoin, dénoncent la mauvaise délimitation de la zone. Il demande aux plus hautes autorités de dépêcher une délégation sur le site afin de régler cette affaire pour le bonheur de tous, toute chose qui selon lui pourrait éviter le pire.
Sur-ce, notre bien aimée ministre de la culture que nous nommons, dame N’Diaye Ramatoulaye, est interpellée à titre personnel à revoir sa copie !
Autrement, notre enquête révèle que l’imam Cheick Wélé Diallo, était sur le point de réaliser de gros investissement sur sa propriété terrestres, lorsque à sa grande surprise, le maire de Nonsombougou, de l’époque, lui intimant de sursoir aux travaux.
Devant les faits accomplis, Cheick Wélé Diallo aurait attaqué la décision devant le tribunal administratif et obtenu satisfaction du verdict , car procédant de tous les papiers depuis 10 ans signés Abdrahamane Coulibaly et Makan Doucouré.
A ses dires, ces dernières, sont propiètaires coutumiers des cette terre. Aussi, pour vérification, il dit s’être rendu chez le préfet de kolokani,qui lui a donné son assurance la véracité. C’est alors qu’ils ont ensemble établis de faire de notifications.
Toujours, selon l’imam, ils sont aussi eu l’assurance du l’ex ministre Bruno maîga de ce leurs parcelles n’étaient pas concernés par le site dite de patrimoine national.
Ce qui dérange encore plus l’imam dans cette affaire, c’est que d’autres restes intouchables, car bien qu’étant sur le même site, ils ne sont pas inquiétés, car procédant ; deux poids, deux mesures, a-t-il dénoncé !
Très mécontent de cette décision, Cheick Wélé Diallo a attaqué cette décision devant le tribunal administratif qui lui a donné raison en annulant l’acte du maire.
Mais dites-nous qu’est-ce qui se cache derrière cette affaire ? Seule madame le ministre N’Diaye Ramatoulaye a la réponse !
Vite et bien la justice doit faire valoir le droit au risque de promouvoir une autre zone de turbulence avec des dégâts incommensurable !!!
A bon entendeur salut !
Affaire à suivre!
Source : www.croissanceafrique.com