Au Mali, « l’ONG G-FORCE désignée « meilleure ONG humanitaire au Mali », par l’Association des Jeunes Premiers du Mali

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(CROISSANCE AFRIQUE)- Au Mali, le Groupe de Formation Consultation Études, communément appelé G-FORCE, représente une Organisation Non Gouvernementale (ONG) qui a vu le jour en juillet 1995. A la suite, d’une cérémonie qui s’est déroulée à Bamako, l’ONG « G-FORCE désigné « meilleure ONG humanitaire au Mali », par l’Association des Jeunes Premiers du Mali.

Cette initiative est née d’une prise de conscience aiguë parmi ses fondateurs donc Nouhoun Diarra et son équipe, qui sont animés d’une conviction profonde et d’une détermination sans faille à œuvrer pour la promotion d’un développement endogène et durable dans notre Pays. Aujourd’hui, je pense que l’ONG G-FORCE est la meilleure ONG humanitaire au Mali », selon Nouhoun Diarra, Président Directeur Général de l’ONG G-FORCE basée à Ségou.

En effet, l’ONG G-FORCE a été fondée dans le but de capitaliser sur les nombreuses expériences et expertises accumulées par ses promoteurs dans divers domaines, reconnaissant que les solutions aux défis de développement doivent être ancrées dans les réalités locales et tirées des richesses culturelles et sociales des communautés maliennes. Cette ONG s’engage donc à collaborer étroitement avec les acteurs locaux afin de favoriser une autonomisation qui garantit un avenir meilleur pour tous.

Basée dans la région dynamique de Ségou au Mali, et renforcé par sa présence dans presque toutes les zones géographiques et stratégiques du pays, l’objectif fondamental de l’ONG G-FORCE est de jouer un rôle crucial dans l’émancipation des communautés, en les aidant à prendre en main leur épanouissement sur les plans économique, social, culturel et environnemental. C’est dans cette optique que l’ONG G-FORCE a adopté un SLOGAN inspirant et motivant : « pour une maîtrise par les communautés de leur devenir », qui soulève l’idée de l’autonomisation communautaire. D’après les éclaircissements fournis par les responsables de cette structure engagée, l’ONG G-FORCE intervient activement dans toutes les régions administratives du Mali, démontrant ainsi son engagement à répondre aux besoins variés des populations locales.

Il faut signaler que le siège social de l’ONG G-FORCE, qui est situé à Ségou, a été stratégiquement choisi en raison de sa position géographique centrale et avantageuse, lui permettant d’établir une proximité optimale avec les communautés qu’il sert. Par ailleurs, la direction exécutive de G-FORCE est implantée à Bamako, la capitale, et dispose également de bureaux de coordination dans diverses autres régions, cercles, et communes, notamment à Sikasso, Mopti, Douentza, Nara, Konobougou, Boidiè, Bla, Diabaly, Dioila, Nossombougou, entre autres, plusieurs localités qui bénéficient ainsi de l’expertise et des ressources de cette organisation. Cette structure multifonctionnelle s’efforce donc non seulement de comprendre les défis uniques rencontrés par chaque communauté, mais également d’offrir des solutions concrètes et adaptées qui favorisent leur développement durable.

Au titre des domaines d’intervention identifiés, une note technique approfondie souligne que « les interventions de l’ONG GFORCE portent sur quatre grands secteurs essentiels au développement durable, à savoir l’Agriculture, l’Éducation, l’Environnement et la Santé ». Cette affirmation met en lumière l’engagement de l’ONG GFORCE à agir de manière ciblée et stratégique dans ces sphères vitales, chacune ayant un rôle crucial dans l’amélioration des conditions de vie des populations bénéficiaires. En ce qui concerne les groupes cibles, l’ONG G-FORCE s’emploie activement à accompagner une diversité d’entités qui comprennent les Organisations de producteurs telles que les Sociétés coopératives, les Unions, et les Fédérations, qui jouent un rôle prédominant dans la création de solutions agricoles durables.

De plus, l’organisation met un accent particulier sur les Organisations des femmes, incluant des associations variées et des groupements qui luttent pour l’égalité des genres et l’autonomisation féminine. Il est également essentiel de mentionner l’inclusion des Groupes vulnérables, englobant des catégories telles que les personnes âgées, les jeunes, les femmes, les enfants, ainsi que les personnes déplacées internes et celles en situation d’handicap, qui nécessitent un soutien spécifique et adapté à leurs besoins uniques. Enfin, l’ONG G-FORCE travaille en tandem avec les Organisations communautaires, telles que les Associations de Soin Communautaire (ASACO), les Associations de Parents d’Élèves (APE), les Comités de Gestion Scolaire (CGS), les Groupes de Solidarité et d’Action (GSAN), et les Comités de Participation Communautaire (CPC), parmi d’autres, afin d’assurer une approche inclusive et participative dans la mise en œuvre de ses projets et initiatives.

En ce qui concerne les carnets de PARTENARIAT et de COLLABORATION, la direction de l’ONG G-FORCE clarifie avec précision que de nombreux PARTENAIRES TECHNIQUES ET FINANCIERS ont été habilement tissés au fil du temps, créant ainsi un réseau solide et diversifié. Parmi ceux-ci figurent des organisations et agences de renommée internationale telles que l’OCHA (Bureau de la coordination des affaires humanitaires), l’UNICEF, le Programme alimentaire mondial (PAM), l’ex-USAID, ainsi que divers organismes non gouvernementaux comme l’ACDIVOCA, l’IRD, et l’OXFAM. De plus, la collaboration avec des ONG comme WORLD VISION et SAVE THE CHILDREN souligne l’engagement de G-FORCE à répondre aux besoins des populations vulnérables.

Toutefois, la direction mentionne également les relations établies avec des entités gouvernementales et internationales telles que la DRC (Coopération et développement), la DDC (Direction du développement et de la coopération), ainsi que des pays tels que les Pays-Bas et la Suède, sans oublier des organisations régionales comme l’ICRISAT (Institut international de recherche sur les cultures des zones sèches), le FIDA (Fonds international de développement agricole), l’EIRENE, la SNV (Fondation néerlandaise pour le développement), et ENABEL, qui sont toutes des acteurs essentiels dans la mise en œuvre de projets de développement durable.

Aussi, l’ONG G-FORCE a scellé un partenariat stratégique avec plusieurs structures étatiques, renforçant ainsi sa présence au sein de l’Administration publique, des services techniques, et des collectivités territoriales, qui jouent un rôle crucial dans le développement local. Ce partenariat avec le secteur privé est tout aussi significatif, car l’ONG G-FORCE et plusieurs institutions financières et bancaires ont uni leurs efforts dans le cadre d’un maillage territorial permettant de répandre efficacement ses projets et programmes à travers différentes régions.

Parmi ces partenaires se trouvent non seulement des banques établies et des institutions de micro-finance, mais également des légitimités traditionnelles qui ont une influence notable dans les communautés, des médias qui jouent un rôle essentiel dans la communication, ainsi que plusieurs autres parties prenantes variées. Il est également important de souligner le soutien précieux des partenaires techniques et financiers tant au niveau national qu’international, qui apportent des ressources et une expertise indispensables pour la réalisation des objectifs de l’ONG G-FORCE.

Avec une impressionnante expérience de 30 ans au service des communautés, l’ONG G-FORCE se distingue par sa solide expertise en gestion de projets et de programmes, notamment dans les domaines du développement, de l’humanitaire, et de l’intervention d’urgence. Cette expertise est en parfaite adéquation avec les grandes orientations des politiques et des programmes de développement du Mali, qui sont à la fois sectoriels et nationaux.

Cependant, ces initiatives ne sont pas seulement des interventions ponctuelles, mais visent à établir des changements durables et significatifs. Selon la direction générale de l’ONG G-FORCE, qui a son siège à Ségou, cette institution a su se positionner comme un acteur clé dans la transformation et le soutien des communautés maliennes. Par ailleurs, Nouhoun Diarra explique que « la stratégie de mise en œuvre de ces projets et programmes repose sur divers aspects essentiels, notamment les activités d’information, de sensibilisation, d’éducation et de communication, ainsi que sur la réalisation de diagnostics communautaires participatifs.

Ainsi, ce processus implique également le ciblage des bénéficiaires afin de s’assurer que ceux qui en ont le plus besoin puissent recevoir l’aide appropriée. L’élaboration des plans d’action communautaire, qui sont cruciaux pour une approche collaborative et inclusive, sera également au cœur de cette démarche. En parallèle, des plans d’action de prévention et de gestion des conflits ainsi que des stratégies de mitigation des risques de protection seront établis pour anticiper et résoudre les défis potentiels. Aussi, un accompagnement conseil de proximité sera offert par des experts qui fourniront des conseils personnalisés aux membres de la communauté. La formation sera un autre élément clé, visant à outiller les bénéficiaires avec les compétences nécessaires pour améliorer leur situation. Cela inclut également la distribution de vivres et d’aides monétaires, qui constituent des mesures immédiates pour pallier les besoins alimentaires urgents.

En outre, des investissements seront réalisés, accompagnés de visites d’échanges d’expériences qui permettront de partager des bonnes pratiques et de stimuler l’apprentissage mutuel. Des tests de démonstration, permettant d’expérimenter de nouvelles approches avant leur déploiement, seront également envisagés, tout comme la dissémination des textes et politiques pertinents pour informer et guider les parties prenantes. La valorisation des ressources locales, un aspect fondamental pour assurer la durabilité et l’efficacité, sera aussi au centre des efforts, » a-t-il expliqué.

« Avec une équipe pluridisciplinaire, cette structure a, depuis plusieurs années, engagé un parcours d’agressivité à la recherche de partenaires techniques et financiers, démontrant ainsi son engagement à servir des communautés de base. Cela est particulièrement crucial pour relever les défis en lien avec la sécurité alimentaire, le relèvement économique et la cohésion sociale dans un processus qui vise à transformer et améliorer les conditions de vie des populations vulnérables. »

Par la suite, il ajoute que « de façon générale, toutes les interventions de G-FORCE se situent dans une perspective d’appropriation/d’autonomisation des acquis par les groupes cibles à travers une application rigoureuse de l’approche participative et du principe de la subsidiarité », dit-il avec conviction et détermination. A cet effet, l’ONG G-FORCE a accumulé un vaste capital de connaissances et d’expériences précieuses qui lui « servent d’ancrage communautaire, institutionnel, juridique, culturel, social et économique », bien au-delà des normes habituelles. En tant qu’ONG nationale reconnue pour son travail acharné et ses contributions significatives au développement local, l’ONG G-FORCE joue un rôle crucial dans l’économie locale en contribuant à l’emploi de plus d’une centaine d’agents permanents chaque année.

Pour rappel , cette initiative est d’une importance capitale, car elle offre non seulement des emplois, mais aussi un véritable soutien au développement des compétences et des talents au sein de la communauté. De plus, la structure accorde une attention particulière à la formation et à l’encadrement des étudiants et stagiaires, dans le but de faciliter leur insertion socio-professionnelle et de les préparer adéquatement à faire face aux défis du marché du travail.

Notons que selon les responsables de l’OND G-FORCE, cette structure « est disposée à collaborer avec toutes les structures poursuivant les mêmes objectifs, notamment l’Etat, les Organisations professionnelles, les ONG nationales ou internationales, les bureaux d’étude et les firmes », ce qui témoigne de son engagement à travailler en synergie avec divers partenaires pour atteindre des résultats durables et bénéfiques pour la société. Cette approche collaborative est essentielle pour renforcer les liens entre les différentes parties prenantes et pour maximiser l’impact des interventions de l’ONG G-FORCE sur le terrain.

Daouda Bakary KONÉ

croissanceafrik
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Croissance Afrique (sarl) est un Média multi-support qui propose plusieurs rubriques axées sur l’actualité économique du continent. Le magazine est un journal (en ligne dont un mensuel disponible dans les kiosques à journaux) qui traite spécialement les informations financières dédiées à l’Afrique. Il est également le premier média malien spécialisé dans la production d’Informations Économiques, financières, Stratégiques, et orienté vers le reste du monde. Le Magazine a été fondé en Novembre 2017 à Bamako.

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