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Mali : voici les grandes réalisations de Modibo Koné, nouveau ministre de l’environnement, de l’assainissement et développement durable (Portrait)

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Par croissanceafrique

Né le 17 septembre 1958 à Markala dans la région  de Ségou, le nouveau ministre de l’environnement, de l’assainissement et du développement durable est un ingénieur des sciences appliquées obtenu en juin 1983 à l’Ecole nationale des ingénieurs (ENI) de Bamako. Aussi, Modibo Koné est détenteur d’un Diplôme d’Etudes Approfondies (DEA) en Hydraulique Agricole de l’Ecole Inter Etat d’Ingénieur et d’Équipement Rural de Ouagadougou. Par la suite, il obtiendra un Diplôme d’Etude Supérieure Spécialisée (DESS) en gestion des Entreprises spécialité Management des Projets de Développement du CESAG de Dakar, le tout couronné par l’obtention d’un Certificat en Évaluation des Ponts et Chaussées de Paris. Ces diplômes sont complétés par des Formations Spécialisées en Hydraulique en Génie Rurale et en Évaluation des Projets en Infrastructure.

Concernant son parcours professionnel au niveau du Mali, Modibo KONE a  servi dès 1984 à l’Office du Niger en qualité d’Ingénieur d’étude à la Direction générale et de responsable Gestion de l’eau et des travaux dans la zone de production de Molodo avec environ 5000 ha aménagés. En 2016, en patriote convaincu, Modibo Koné a répondu à l’appel du président de la République pour apporter sa compétence, son savoir- faire et son riche carnet d’adresses du milieu financier pour redonner l’espoir aux producteurs de coton en particulier, et aux Maliens en général. A la CMDT, Modibo Koné n’aura fait que 9 mois. Pendant cette courte période, l’expert-banquier a mis tout son savoir-faire au service de la compagnie et les résultats qui ont hissé le Mali au rang de premier producteur africain de coton resteront longtemps gravés dans les annales de la CMDT.

Toutefois, le nouveau ministre de l’environnement ; de l’assainissement et du développement durable a eu une riche carrière à  l’international, notamment en 1995 il est recruté par concours à la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) au service des Etats et des populations de l’UEMOA. Durant 20 ans durant, le ministre Modibo Koné a été le représentant du Président de la BOAD au Sénégal et en Guinée Bissau, Chef de Division puis Directeur du Développement Rural et des infrastructures ; Directeur des Opérations , Superviseur de 25 projets au Bénin, au Burkina-Faso, en Côte d’Ivoire, au Togo et au Mali; Chargé de suivi des projets à la division des infrastructures et de l’énergie à la BOAD et Chef de mission Résidente de la BOAD au Sénégal et en Guinée Bissau.

Par ailleurs, il a piloté des projets de grande envergure qui ont transformé durablement le paysage des pays touchés à savoir ; l’échangeur Multiple à Bamako; l’autoroute Bamako-Koulikoro, l’échangeur et les voiries de Ségou, le développement de la chaîne des hôtels AZALAI, le projet du grand contournement de la ville de Lomé, l’aménagement des périmètres agricoles à Molodo , Bewani et Ké Macina; le projet en Partenariat Public-Privé du Pont Henri Konan Bédié, l’échangeur du boulevard Giscard d’Estaing à Abidjan; et l’autoroute Dakar-Diamniadio, le nouvel Aéroport international Blaise Diagne de Dakar.

Au niveau du Mali, Modibo KONE a contribué en tant que facilitateur des procédures  de plusieurs projets. Par exemple  il a appuyé certaines organisations et structures notamment la réalisation des infrastructures routières ; la valorisation de certains périmètres à l’office du Niger ; la Réhabilitations des ouvrages, des pistes agricoles et hydrauliques villageoises ; renouvellement et l’extension des usines de transformation à Sikasso, Dioila, Koumatou; et deux nouvelles usines d’égrenage de coton à Kadiolo et à Kimparana.  

Pour ce qui concerne les différentes  innovations majeures, l’actuel ministre de l’environnement, de l’assainissement et du développement durable préconise la coton-culture irriguée du coton dans la vaste zone de l’office du Niger. C’est pourquoi, il a créé une direction de l’environnement.  Au plan social, il est vu comme un Musulman pratiquant, qui a construit des mosquées ; et facilité le pèlerinage à beaucoup de musulmans. Par la suite, il assiste beaucoup les couches en situation de vulnérabilité par des appuis multiformes.

Notons que par rapport au secteur privé malien, son projet de société est basé sur le mécanisme du « Partenariat Public Privé » (PPP) qui selon lui est le moyen le plus sûr d’assurer une relance de l’économie malienne par une implication effective des opérateurs économiques nationaux. Il a des partenaires surs et engagés à l’accompagner dans la mise en œuvre de son projet de société.

Pour rappel, Modibo Koné est considéré comme un homme de vision et de valeur, de terrain, d’actions et de résultats, un homme de consensus et de rassemblement. Toutefois, d’aucun lui considère comme un véritable homme d’état. Il  est le marié et père de cinq enfants dont quatre garçons et une fille, Modibo Koné aime le sport et pratique régulièrement la marche à pied et la lecture.

Daouda Bakary Koné

Mali : Mme Diéminatou Sangaré à la tête du ministère de la santé et du développement social (Portrait)

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Par Croissance Afrique

Au Mali, il s’agit d’une unanimité qui se dégage autour de la gouvernance de Diéminatou Sangaré, désormais ancienne directrice générale de la Caisse malienne de la sécurité sociale (CMSS). Sa  la rigueur et sa loyauté dans l’exécution de ses taches lui a valu un nouveau poste. Cette fois-ci, Diéminatou sangaré a une mission particulière. Celle de diriger le portefeuille de la santé et du développement Social. Pour rappel, Mme Dieminatou sangaré l’a démontré, prouvé partout où elle a servi l’Etat. Des qualités qui constituent un atout majeur pour le secteur de la santé et du développement Social de nos jours engagé dans des réformes.

C’est pourquoi, le ministère de la santé et du développement Social a besoin de sang neuf pour se conformer aux exigences du moment. Et ce moment n’est d’autre la réforme du secteur  de la santé et des affaires sociales. Conscientes de ce défi, les plus hautes autorités ont jeté leur dévolu sur un cadre compétent, rigoureux et un commis de l’Etat pour apporter de la plus-value aux reformes du secteur social. Qui mieux que Diéminatou Sangaré pour répondre à cette exigence du haut sommet?

Mme Diéminatou Sangaré est Inspectrice de sécurité sociale, et est parfaitement dans son élément où ses 28 ans d’expérience dans le milieu l’aideront dans ses nouvelles fonctions de ministre de la santé et du développement social. Une icône dans les domaines affaires sociales au Mali.

Par ailleurs, c’est un important challenge pour celle qui prend désormais les rênes du ministère de la santé et du développement social à un moment où le renouveau dans la gestion des affaires publiques est une exigence. Il faudra procéder à une refonte des réformes du secteur de la santé et doter les hôpitaux  du Mali à des équipements de dernières générations pour le bonheur du Mali

Avec ses brillants parcours académique et professionnel, Mme Diéminatou Sangaré réussira  certainement  sa mission. Ceux-ci sont des secrets de polichinelle car elle a fait la totalité de sa carrière professionnelle dans le domaine de la sécurité sociale, saura faire siens les principes de rigueur qui caractérisent la gouvernance au sein de cette structure.

Après avoir décroché  son diplôme d’Ingénieure économiste à l’Institut des Ingénieurs Economistes de Léningrad, actuelle Université d’État de Saint-Pétersbourg d’Ingénierie et d’Économie en 1991, elle fut la chargée des études et des statistiques au service informatique et de la statistique de l’Institut National de la prévoyance sociale (INPS).

Ensuite, Mme Diéminatou Sangaré passera d’abord à l’Université d’État de Tachkent en Ouzbékistan où elle effectua de 1985 à 1986 une  année préparatoire de langue Russe. Elle approfondira sa connaissance en système de gestion de bases de données relationnelles 1997, 1998 et 1999 au Canada et à Bamako. De 1997 à 2003, elle a été Cheffe Adjointe du service de l’informatique et de la statique de l’INPS dont elle prendra la tête de 2003 à 2011.

Inspectrice de la sécurité sociale depuis 2001, la nouvelle patronne du ministère de la santé et du développement social a été sollicitée hors des frontières du Mali. La forte implication et sa maîtrise des systèmes d’information de la Sécurité sociale ont motivé cet appel qui met en avant l’expertise malienne. Pour rappel, depuis  2014, Dieminatou Sangaré est membre du comité d’experts en charge de la mutualisation des systèmes d’information des Organismes de Prévoyance Sociale des pays membres de la zone CIPRES.

Ce n’est pas tout, Diéminatou Sangaré a intégré en 1999 le Centre Régional Africain d’Administration du Travail (CRADAT) à Yaoundé, pour des cours de perfectionnement des cadres supérieurs des institutions nationales de sécurité sociale. Ensuite ce sera le Centre Ivoirien de formation des Cadres de Sécurité Sociale qui la verra intégrer ses rangs en 2001 où elle sortira Major de la 11ème promotion des lieux. Le second de cette formation la conduira à l’Ecole Normale Supérieure de Sécurité Sociale de Saint Etienne en France. Là aussi notre compatriote de cinquantaine d’année écrasera la concurrence en s’imposant première du second cycle de la formation des cadres supérieurs de sécurité sociale. Son passage au cours de cette formation au sein de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale de la Côte d’Ivoire et de la Mutualité Sociale Agricole de Reims en France lui ont permis de renforcer ses connaissances pratiques des différents aspects de la gestion des organismes de protection sociale.

Mme Diéminatou SANGARE a également participé activement à différents ateliers de formation de la CIPRES, s’imprégnant ainsi des principes de gouvernance qui s’appliquent aux Organismes de Prévoyance Sociale de la zone CIPRES. C’est dire que le casting est indiqué pour sa nouvelle mission après 12 années au compte de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CANAM) et de la caisse Malienne de sécurité sociale (CMSS). Elle parle cinq langues à savoir le  Français, Russe, Anglais, Bamabara, et Peulh.

Daouda Bakary Koné

Au Mali, le nouveau gouvernement de choguel Kokalla Maiga rendu public (les détails)

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Le Premier ministre, Malien Choguel Kokalla Maïga est arrivé, ce lundi matin, à Abidjan.

Par Croissanceafrique

Il s’agit d’un consensus à la malienne. Outre qu’il est restreint, avec 25 membres et trois ministres délégués, le nouveau gouvernement du Dr Choguel Kokalla Maïga  reste surtout une étude pratique du Mali actuel.

Avec Dr Choguel Kokalla Maiga,  quatre militaires   figurent dans l’attelage de 25 membres. Il s’agit du colonel Sadio Camara ministre de la Défense et des Anciens Combattants, du colonel Ismael Wagué, ministre de la Réconciliation nationale, de la paix et de la cohésion nationale, chargé de l’accord pour la paix et de la réconciliation Nationale, du colonel major Daoud Aly Mohammedine ministre de la Sécurité et de la protection civile et du lieutenant-colonel Abdoulaye Maiga,  ministre de l’Administration territoriale et de la décentralisation. Comme pour dire que les civils se partagent le reste.

Ainsi, le ministère des Affaires étrangères et de la coopération internationale revient à l’ancien ministre d’IBK et ancien chef de cabinet de l’Union Africaine Abdoulaye Diop. Pour leur part, Mahmoud Ould Mohamed garde le ministère de l’Industrie et du commerce, Mahamadou Kansongué récemment procureur anticorruption au  pôle économique  s’occupera ministère de la Justice et des droits de l’homme,  Harouna Mamadou Toureh celui de la Communication et de l’économie numérique, et  Ibrahim Ikassa Touré, chapeaute quant à lui le ministère de la refondation de l’Etat, chargé des relations avec les institutions de République alors que Kader Sidibé officiera à l’entreprenariat national, de l’Emploi,  et de la formation professionnelle.

A ceux-là, il faut ajouter Mme Diéminatou Sangaré précédemment directrice générale de caisse Malienne de sécurité sociale, ministre de la Santé et du développement social. Pour sa part, Mme Dembélé Madina Sissoko s’occupera du ministère des Transports  et des infrastructures alors qu’Alousséni sanou signe son grand retour et aura la lourde tâche de piloter l’hôtel des finances (ministère de l’Economie et des Finances).   

Ce n’est pas tout, Monsieur Andogoly Guindo prend la place de kadiatou konaré, la fille de l’ancien président Alpha Oumar konaré au ministère de la Culture, de l’artisanat, de l’Industrie hôtelière et du tourisme, alors que Mme Sidibé Dedeou Ousmane  s’occupera du portefeuille de l’Education nationale. Le département de  l’Enseignement  supérieur et de la recherche scientifique restera dans les mains du professeur Amadou Keita.

Par ailleurs, le ministère de l’Agriculture change de nom, et il devient le ministère du développement rural, département  sera dirigé par Mahmoud Modibo Keita, une nouvelle tête. Toutefois, le ministère des Maliens  établi à l’extérieur et de l’intégration Africaine revient à Alhamdou AG Ilyenne, un proche des groupes armés signataire de l’accord de paix. Par ailleurs, les questions de l’environnement, de l’assainissement et du développement durable seront du ressort de Modibo Koné ancien PDG de la compagnie Malienne pour le Développement du textile (CMDTç alors que Mme Wadidié Founè Coulibaly aura la lourde tâche de piloter le département de la promotion de la femme, de l’enfant et de la famille.

En outre, le ministère stratégique des Mines, de l’énergie et de l’eau a été ré-confié à  Lamine Seydou Traoré qui a signé son grand retour, lui aussi, alors que Mossa Ag Attaher, un indépendantiste issu du mouvement de libération de l’Azawad,   dirigera le ministère de la Jeunesse et des sports. Le ministère des Affaires religieuses et du culte sera du ressort du docteur Mamadou Koné.  Il faut signaler que trois ministères délégués ont été créée par docteur Choguel kokalla Maiga, notamment le ministre délégué auprès du premier ministre, chargé des réformes institutionnelles Mme Fatoumata Dicko, le ministre délégués auprès du ministre de la santé et du développement social Monsieur Oumarou Diarra et le ministre délégué auprès du ministre du développement rural monsieur Touba Bah, un proche du chérif de Nioro et président du parti (ADP-Maliba) du milliardaires Aliou Boubacar Diallo

Cette  équipe gouvernementale aura pour mission de procéder à la refondation de l’Etat (Mali), d’organiser les élections présidentielles crédibles, de combattre l’insécurité sur toute l’étendue du territoire national, de combattre la corruption et de transférer le pouvoir à un président démocratiquement élu. Le tout dans un délai de neuf mois.

Daouda Bakary Koné

Mali-USA: Des Jeunes Leaders maliens se préparent pour la prestigieuse bourse Mandela Washington Fellowship

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Par croissanceafrique

L’ambassadeur américain Dennis Hankins a rencontré les lauréats maliens de la bourse Mandela Washington 2021 pour discuter de l’engagement des États-Unis en Afrique et du rôle essentiel que les jeunes joueront dans l’avenir du continent.

La bourse Mandela Washington est le programme phare de l’Initiative pour les jeunes leaders africains (YALI), créée en 2014 pour renforcer l’engagement des États-Unis auprès des jeunes en Afrique.
La discussion s’inscrivait dans le cadre d’une orientation de deux jours, visant à préparer les sept boursiers maliens au programme d’échange, qui commence le 21 juin et qui se déroulera virtuellement cette année en raison de la crise sanitaire.


Les sept participants ont été sélectionnés parmi plus de 320 candidats à l’échelle nationale. Ils représentent plusieurs secteurs essentiels au développement du Mali : l’agrobusiness et l’entrepreneuriat, la défense des droits des femmes et des enfants, l’éducation. Les boursiers sont originaires de Bamako, Mopti, Koulikoro et Tombouctou.


• Bakary Coulibaly (Koulikoro), étudiera le commerce et l’entrepreneuriat à Northwestern University. Il a fondé le Centre de formation en informatique de Safo (C.F.I.S) afin d’aider les jeunes de sa communauté à échapper à la pauvreté en leur donnant les compétences nécessaires pour trouver un emploi dans le domaine de la technologie.


• Mariam Doumbia, (Bamako), étudiera le commerce et l’entrepreneuriat à Purdue University. Mariam est directrice nationale d’OKO Finance, une entreprise sociale internationale qui fournit des solutions d’assurance aux agriculteurs ruraux. Elle est propriétaire d’une ferme de moringa, qui emploie des dizaines de femmes rurales des villages environnants.
• Seynabou Dieng, (Bamako), étudiera le commerce et l’entrepreneuriat à Clark Atlanta University. Précédemment PDG d’une société de conseil et de recherche au service des petites et moyennes entreprises et des organisations non gouvernementales, Seynabou a maintenant créé sa propre entreprise alimentaire “Maya”.
• Ezechiel Amagoron Douyon, (Mopti), étudiera l’engagement civique à Kansas State University. En plus de travailler à SNV Organisation néerlandaise de développement, Ezechiel a fondé une association qui renforce les capacités des jeunes et prône l’engagement civique. Il a cofondé une école: “le Complexe Solaire Douyon”.
• Diana Sididi, (Tombouctou), étudiera l’engagement civique à Kansas State University. Défenseur des droits des femmes et des personnes en situation de handicaps, Diana travaille comme consultante en communication au World Bank Group. Elle est également cofondatrice de Derhane, un blog vidéo qui prône l’acceptation de toutes les diversités.
• Salimata Sangare, (Bamako), étudiera la gestion publique à Texas Tech University. Salimata a une multitude d’expériences en matière de politique fiscale et de création de partenariats public-privé. Elle travaille actuellement à l’Agence malienne de promotion des investissements (API-MALI) en tant que directrice du guichet unique d’enregistrement des entreprises. Elle a dirigé des projets pour ONU Femmes et le Fonds d’équipement des Nations unies afin de promouvoir l’esprit d’entreprise des femmes.


• Boncana Maiga, (Bamako), étudiera la gestion publique à University of Minnesota. Boncana a plus de 10 ans d’expérience en tant que défenseur des droits enfants et espère un jour fonder sa propre organisation de lobbying, créer une école de plaidoyer et de lobbying.


L’ambassadeur Hankins a expliqué que l’autonomisation des jeunes est au cœur du partenariat entre les États-Unis et l’Afrique. « Notre mission est de nous associer aux Africains pour promouvoir la sécurité, la bonne gouvernance, la prospérité et les opportunités. Et nous pensons que ces objectifs sont tous liés les uns aux autres. Le programme YALI est un exemple de ce partenariat et aura un impact durable sur Afrique, car il continue de créer des opportunités pour la jeunesse africaine. »
Le programme YALI Mandela Washington Fellowship comprend six semaines de formation universitaire et de formation au leadership dans des universités américaines, axées sur l’une des trois filières suivantes : affaires et entrepreneuriat, leadership civique ou gestion publique. Cette formation est suivie d’un sommet auquel participent des dirigeants d’entreprises, de gouvernements et d’ONG. De retour dans leur pays d’origine, les boursiers continueront à développer leurs compétences grâce au soutien des ambassades américaines et d’autres partenaires américains.

Les boursiers ont accès à des opportunités de développement professionnel continu, au mentorat, au réseautage et à la formation, au service communautaire et au financement de démarrage pour soutenir leurs idées et leurs entreprises.


Aujourd’hui au Mali, plus de soixante anciens boursiers développent déjà des entreprises innovantes, forgent des réseaux durables avec de jeunes leaders à travers l’Afrique, et déploient leurs compétences dans leurs communautés. Les “Mandela Washington Fellows” du Mali viennent d’horizons très divers et de tous les coins du pays, mais ils sont tous unis par leur capacité de leadership et leur engagement envers l’avenir du Mali.


L’ambassade des États-Unis à Bamako félicite la toute nouvelle classe de YALI Mandela Washington Fellows pour tout ce qu’elle a accompli et tout ce qu’elle accomplira à l’avenir !

Source : US Ambassy communication

Braima Luis SOARES CASSAMA nommé en qualité de deuxième Vice-Président de la BOAD

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Par croissanceafrique

Le Conseil d’Administration de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), présidé par le Président Serge EKUE, annonce, le 9 juin 2021 à Lomé, la nomination de Monsieur Braima Luis SOARES CASSAMA en qualité de deuxième Vice-Président de l’institution pour un mandat de cinq (05) ans renouvelable.

Précédemment Conseiller économique à la Présidence de la République de Guinée Bissau, Monsieur SOARES CASSAMA a occupé en Guinée Bissau, plusieurs postes en lien avec la finance et l’économie, dont celui de Ministre délégué au trésor, chargé des affaires fiscales et des comptes publics. Il a par ailleurs officié en qualité d’adjoint au Directeur des institutions de crédit et de financement de l’économie, puis adjoint au Directeur des activités bancaires et des financements alternatifs au siège de la BCEAO à Dakar (SENEGAL).

Monsieur SOARES CASSAMA est titulaire d’un MASTER 2 en Economie Monétaire et Financière obtenu à l’Institut Supérieur de l’Economie et Gestion (ISEG) au Portugal, d’un Master 1 en Sciences Economiques de l’Université de Coimbra (Portugal), et diplômé du Centre Ouest Africain de Formation et d’Etudes Bancaires (COFEB) à DAKAR.

La nomination du deuxième Vice-Président de la BOAD intervient au moment où l’institution s’attèle au déploiement de son 3ème plan stratégique 2021-2025 (Plan DJOLIBA), et s’engage dans un vaste chantier de modernisation en vue de s’aligner sur les standards internationaux et renforcer ainsi, la qualité de ses interventions au service des Etats membres. A date, le total des engagements de la Banque depuis le démarrage de ses activités opérationnelles en 1976 se chiffre à 6 430,2 milliards FCFA.

Le président Macron annonce la fin de l’opération Barkhane au sahel

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Emanuel Macron de la France

Par croissanceafrique

À la veille du G7 au Royaume-Uni, Emmanuel Macron a annoncé que la France allait opérer une « transformation profonde » de sa présence militaire au Sahel, et la fin de l’opération Barkhane.

Annoncée ce jeudi soir en marge  d’une conférence de presse du  prochain G7 par Emanuel Macaron, la France opte pour  «la fin de l’opération Barkhane» au Sahel. En effet, le désengagement de l’armée française sera progressif, et les militaires resteront encore de longues années sur place pour «permettre une opération d’appui, de soutien et de coopération aux armées des pays de la région qui le souhaitent» et former la «colonne vertébrale» d’une «d’une alliance internationale « de forces spéciales » strictement concentrée sur la lutte contre le terrorisme», a-t-il expliqué, le président Françcais.

Par ailleurs, paris continuera de s’impliquer, mais dans un cadre nouveau d’appui aux forces armées locales et avec des effectifs moins importants. L’opération Barkhane s’appuie actuellement sur le déploiement de 5 100 soldats français, notamment au Mali et certaines de ses bases pourraient être fermées à moyen terme.

« La poursuite de notre engagement au Sahel ne se fera pas dans un cadre constant », a dit Emmanuel Macron en annonçant la « fin de l’opération Barkhane en tant qu’opération extérieure pour permettre une opération d’appui, de soutien et de coopération aux armées des pays de la région qui le souhaitent ». Par la suite,  le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian a justifié qu’ « Evidemment la France n’a pas vocation à rester éternellement au Sahel », et de rappeler que  la France a perdu 55 soldats depuis 2013.

Daouda Bakary Koné

L’éducation dans la lutte contre la pauvreté en Chine : n’abandonner personne

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Un vieux dicton chinois dit que « Pour creuser un puits, vous commencez par un trou peu profond, et vous finissez par en obtenir un profond ». Cela signifie qu’un long voyage, commence par un premier pas. Cette citation provient de « Liu Zi Chong Xue », un livre écrit il y a 1 500 ans.

Le Président chinois Xi Jinping considère l’éducation comme la première étape fondamentale pour « creuser le puits » vers l’élimination de la pauvreté extrême en Chine, qui a été atteinte en 2020. 

« Pour creuser un puits, vous commencez par un trou peu profond, et vous finissez par en obtenir un profond ». Les bâtisseurs et les successeurs du socialisme doivent avoir à la fois une noble culture morale et des connaissances. » 

– Xi Jinping, Président chinois

Prévention des transferts intergénérationnels de la pauvreté 

L’école primaire Espoir de Yangjialing – Fuzhou, située à Yan’an, ville de la province du Shaanxi, dans le nord-ouest de la Chine, a été rénovée en 1995 grâce aux dons provenant de la ville de Fuzhou, chef-lieu de la province du Fujian, après que Xi Jinping, alors Secrétaire du comité du Parti communiste chinois pour la municipalité de Fuzhou, a encouragé les entrepreneurs locaux à aider à construire des écoles dans les régions moins développées du pays.

« Ne laissez pas vos enfants perdre dès la ligne de départ », a déclaré Xi Jinping lorsqu’il a visité l’école en 2015, soulignant que l’éducation était un facteur clé du développement dans les régions pauvres. Avec l’appui du gouvernement et de la société, l’école, qui n’avait qu’un seul enseignant et une seule salle de classe installée dans une maison-grotte, a connu des changements rapides. Elle dispose maintenant d’un bâtiment de quatre étages équipé de salles de classe multimédia modernes, et les écoliers peuvent y être demi-pensionnaires gratuitement.

Les statistiques publiées par le ministère chinois de l’Éducation en 2020 montrent que l’investissement total dans l’éducation du pays, y compris les repas gratuits et l’amélioration des installations scolaires, a augmenté de plus de 8 % par an au cours des trois dernières années. 

Conformément au Livre blanc de la Chine sur la réduction de la pauvreté publié en avril, 108 000 écoles ont été rénovées depuis 2013 dans le pays, afin de renforcer l’enseignement obligatoire de neuf ans dans les zones pauvres. 

« La réduction de la pauvreté doit commencer par la réduction de l’ignorance. Par conséquent, donner une bonne éducation aux enfants ruraux est une tâche importante pour lutter contre la pauvreté, et un moyen crucial de mettre fin à la transmission de la pauvreté d’une génération à l’autre », a déclaré Xi Jinping.

Réduire les disparités en matière d’éducation 

Prenant l’égalité en matière d’éducation comme base de l’égalité sociale, Xi Jinping a souligné à maintes reprises la nécessité de réduire l’écart entre les ressources et la qualité de l’éducation urbaines et celles des zones rurales.

Selon le ministère chinois de l’Éducation, au cours de la période couverte par le 13e Plan quinquennal (2016 – 2020), le budget central de la Chine a alloué environ 749,5 milliards de RMB (soit 114,6 milliards de dollars américains) pour soutenir l’enseignement obligatoire, 90 % des fonds ayant été consacrés aux zones rurales. Par exemple, des élèves issus de familles rurales pauvres se sont vus accorder des allocations de subsistance par le gouvernement afin de les soutenir dans leurs études. 

Selon le livre blanc de la Chine sur la réduction de la pauvreté de 2021, il n’y a pas eu d’abandon scolaire dû aux difficultés économiques dans les zones rurales. Tous les enfants issus de familles rurales pauvres peuvent maintenant recevoir les neuf années d’enseignement obligatoire, avec un taux d’achèvement de 94,8 % en 2020.

Avec la numérisation de l’éducation en Chine, l’infrastructure Internet a également comblé le fossé éducatif entre les villes et les zones rurales – les écoles primaires et secondaires à travers le pays étant toutes connectées à Internet. 

Les élèves de l’école primaire Espoir de Yangjialing – Fuzhou ont maintenant la possibilité d’expérimenter les « salles de classe internet », à travers lesquelles l’école utilise internet pour suivre des cours en temps réel qui sont donnés dans les écoles partenaires des grandes villes.

Des politiques préférentielles sont également utilisées pour accroître le nombre d’admissions d’étudiants pauvres, augmenter l’emploi des diplômés et aider les étudiants à sortir de la pauvreté à travers l’enseignement professionnel. 

Plus de 8 millions de diplômés de collèges et de lycées issus de familles pauvres ont reçu une formation professionnelle. 5,14 millions d’étudiants issus de familles pauvres ont reçu un enseignement supérieur et 700 000 étudiants issus de zones rurales et pauvres ciblées ont été inscrits dans les établissements d’enseignement supérieur clés.

La commercialisation de la 6G est prévue vers 2030

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Le monde devrait voir la commercialisation de la 6G vers 2030, selon un rapport publié dimanche. 

La technologie de communication mobile de prochaine génération s’intégrera à l’informatique avancée, au big data, à l’intelligence artificielle (IA) et à la blockchain, selon un livre blanc publié par le groupe de promotion de l’IMT-2030 qui a été créé en juin 2019 sous la direction du ministère chinois de l’Industrie et des Technologies de l’information. 

Le rapport indique que le réseau 6G réalisera l’intégration profonde du monde physique réel et du monde numérique virtuel, et construira un nouveau monde de « connexion intelligente de tout et de jumeau numérique. »

Selon le rapport, l’organisation internationale sur les technologies des télécommunications 3GPP devrait lancer la recherche et le développement de la norme technique internationale 6G vers 2025 avant la commercialisation prévue vers 2030. 

La Chine a accordé des licences 5G pour une utilisation commerciale et a commencé la R&D 6G en 2019. Le pays a proposé de procéder à un aménagement prospectif de la technologie 6G. 

(Photo : VCG)

COVID-19 : La Chine va étendre la vaccination aux enfants de 3 à 17 ans

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DR photo google image

La Chine étend son programme de vaccination contre la COVID-19 aux enfants dès l’âge de 3 ans. Le pays a intensifié sa campagne de vaccination ces dernières semaines et plus de 700 millions de doses ont désormais été administrées. 

« Nous avons déjà approuvé la vaccination pour les personnes âgées de plus de 18 ans. Nous avons effectué des recherches et soumis les données préliminaires d’innocuité et d’efficacité pour les individus de 3 à 17 ans. Les résultats obtenus permettent de se prononcer en faveur de la vaccination de la population âgée de 3 à 17 ans. Mais le protocole d’approbation est encore en cours », a déclaré Zeng Yixin, directeur adjoint de la Commission nationale de la santé de la Chine.

(Photo : VCG)

Xi Jinping inspecte la province chinoise du Qinghai

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Le secrétaire général Xi Jinping s’est rendu lundi dans la province du Qinghai pour effectuer une inspection. Lundi après-midi, il est arrivé au Groupe de tapis Shengyuan, dans la ville de Xining, pour savoir comment l’entreprise profite des avantages des ressources en matières premières locales, innove le concept de design, renforce la compétitivité de ses produits et aide les habitants locaux à trouver le travail et à augmenter le revenu. Xi Jinping s’est rendu plus tard dans une communauté résidentielle pour inspecter les efforts pour renforcer l’édification du Parti au niveau local, améliorer la gouvernance locale et promouvoir l’unité ethnique.