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La RDC recevra la bagatelle de 1,5 milliards USD du Fonds Monétaire International (FMI)

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Par croissanceafrique

Le président congolais Félix Tshisekedi s’est entretenu avec la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, ce lundi 17 mai à Paris, sur le processus de négociations en cours pour la conclusion d’un Programme à moyen terme assorti d’une Facilité élargie de crédit (FEC) de 1,5 milliard USD et une autre enveloppe supplémentaire dans le cadre de la nouvelle allocation de droit de tirages spéciaux en discussion au G20.

En place depuis avril dernier, le nouveau gouvernement du premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde s’est engagé à relancer les négociations avec l’institution basée à Washington pour la conclusion d’un Programme formel, en appliquant les mesures  correctives convenues au dernier trimestre de 2020 du Programme intérimaire, le Staff monitored program (SMP). Celui-ci avait été conclu en octobre 2019 et s’est clôturé à fin mai 2020 dans un contexte de crise sanitaire internationale marquée par la pandémie de Covid-19.

Ces mesures correctives concernent, respectivement, le maintien de la stabilité macroéconomique sur la base des engagements pris dans le Pacte de stabilité macroéconomique et monétaire entre le gouvernement et la Banque centrale du Congo (BCC), la consolidation de la transparence minière avec en toile de fond la publication de tous les contrats miniers, et la mise en œuvre des mesures visant à renforcer la gestion de la dette extérieure.

Il s’agit aussi du parachèvement de la restructuration de la BCC qui passe, à la faveur de la nouvelle loi en vigueur, par la nomination des commissaires auxquels comptes, le renouvellement de son Conseil d’administration et la nomination des deux vice-gouverneurs; de la justification de l’appui budgétaire de 363 millions USD consenti à la RDC le 22 avril 2020 au titre de la Facilité de crédit rapide (FCR) pour aider le pays à faire face aux effets directs et indirects de la pandémie.

Au Mali, les magistrats dénoncent les deux poids, deux mesures de l’UNTM de Yacouba Katilé, le douanier cumulateur de postes

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Par croissanceafrique


Suite aux plaintes des syndicats des magistrats notamment le SAM (Syndicat Autonome de la Magistrature) et le SYLIMA (Syndicat Libre de la Magistrature) contre le célèbre chroniqueur Mohamed Youssouf Bathily alias Ras Bath, Me Kassoum Tapo et Me Mohamed Ali Bathily, accusés « d’outrage à magistrat » et aux nombreuses critiques de certaines organisations de la place, les 2 principaux syndicats de la magistrature du pays ont animé le lundi 17 mai 2021 une conférence de presse dans les locaux de la Cour Suprême.

Devant une centaine d’hommes de médias, les magistrats Mamadou Kassogué, Aba Maïga, Djakaridia Bakayoko, Mamadou Yattara … ont donné des précisions sur ces deux points qui font couler beaucoup d’encres et de salives au sein de l’opinion publique.


Face aux hommes de médias, les conférenciers ont d’emblée rappelé les droits et libertés accordés aux citoyens maliens par la constitution du Mali du 25 février 1992 dans son article 4 ainsi que leurs limites. Pour le respect de ces valeurs démocratiques, ils affirment que les syndicats des magistrats sont attachés à la jouissance des droits et libertés des citoyens qui leur sont garantis par la loi fondamentale et les autres principes de droit en vigueur en République du Mali.


Pourtant, au Mali, le code pénal définit « l’outrage à magistrat » et ses limites dans son article 147, précisent les conférenciers. Ainsi, il se définit comme toutes critiques visant directement le magistrat dans l’exercice de sa fonction et non les faits de justice. Ils rappellent par ailleurs que le magistrat dans l’exercice de sa fonction est protégé par la loi.

« La justice ne peut pas être contre les citoyens. Elle est rendue au nom du peuple », soulignent les conférenciers qui soutiennent que la justice constitue le dernier rempart, la digue pour éviter que la société ne s’écroule. « Nous ne sommes pas contre les critiques et n’avons jamais été contre les critiques », ajoutent-ils. Pour eux, elles doivent être faites dans les conditions définies par la loi.


Face à certaines contre vérités véhiculées sur les réseaux sociaux par certaines organisations, selon les conférenciers, ils ont saisi cette occasion pour éclaircir l’opinion publique sur cette situation. Ils reprochent ainsi à une centrale syndicale de la place d’avoir véhiculé des informations non fondées sur les magistrats notamment leur non soumission au contrôle de l’Office Central de la Lutte contre l’Enrichissement Illicite (OCLEI), leur connivence avec la Transition, les primes de plus de 2 millions FCFA accordées aux magistrats. Ils ont indiqué aux hommes de médias que les magistrats qu’ils sont, sont soumis au contrôle de l’OCLEI selon ses principes et affirment que des magistrats ont fait leur déclaration de biens auprès de cet instrument de lutte contre l’enrichissement Illicite.

Quant aux primes de 2 millions accordées aux magistrats selon certaines informations, les conférenciers affirment le contraire et soutiennent que les avantages qui leur ont été accordés datent du régime d’Ibrahim Boubacar Keita. « Les avantages accordés aux magistrats sont dus à l’importance de leur fonction », soulignent-ils.


Concernant les plaintes introduites contre le célèbre chroniqueur Mohamed Youssouf Bathily alias Ras Bath, Me Kassoum Tapo et Me Mohamed Ali Bathily dans l’affaire dite « Outrage à magistrat » les conférenciers n’ont pas souhaité apporter de commentaires devant les hommes de médias.

Pour rappel, Yacouba Katilé non moins secrétaire général de l’UNTM est l’un des cadres occupe de brochettes de postes dans les services publics au Mali. Il a fait fortune dans les Girondins de l’administration douanières. Il est syndicalistes dans l’âme. Par ailleurs, Yacouba Katilé est visé par les rapports de l’oclei, une structure qui lutte contre l’enrichissement illimite en République du Mali.


IB KONE

Les promesses de la Chine comptent, car elle tient ses engagements

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Il y a plus de 2 000 ans, Confucius disait « yan bi xin, xing bi guo », ce qui signifie « il faut être fidèle à sa parole et déterminé dans son travail ».

La civilisation chinoise souligne que « la parole doit être tenue, la promesse doit être tenue » et que « rien n’est fiable avec des gens malhonnêtes ».

  • Le président chinois Xi Jinping

La Chine est restée fidèle à l’expression tout au long de son processus de développement, et le plan quinquennal du pays est un exemple frappant de la manière dont les engagements sont tenus.

Des promesses tenues

Élaboré tous les cinq ans depuis 1953, le plan quinquennal, caractéristique majeure du système de gouvernance chinois, fixe des objectifs de croissance et définit les politiques de développement. Depuis lors, 13 plans au total ont été mis au point, à l’exception de la période allant de 1963 à 1965, et plus important encore, mis en œuvre.

Par exemple, la lutte du pays contre la pauvreté. Sortir tous les résidents ruraux de la pauvreté en 2020 faisait partie du 13e plan quinquennal de la Chine (2016-2020). Après huit ans de travail, les quelque 100 millions de résidents ruraux pauvres de Chine ne vivent plus sous le seuil de pauvreté actuel depuis 2020.

La Chine a également tenu ses engagements dans les affaires mondiales.

Lors du sommet de Copenhague en 2009, la Chine a annoncé deux objectifs qu’elle ambitionnait d’atteindre en 2020 : augmenter la part des énergies renouvelables dans la consommation à 15 % et réduire de 40 à 45 % l’intensité en carbone par rapport à 2005.

Les statistiques pour 2019 étaient respectivement de 15,3 % et 48,1 %, ce qui signifie que le pays a non seulement atteint les objectifs, mais les a dépassés.

Par rapport à 2005, les émissions de gaz à effet de serre par unité de PIB avaient chuté de 48 % en 2019 en Chine, selon le ministère chinois de l’Écologie et de l’Environnement.

Le 14e plan quinquennal de la Chine, de nouvelles promesses à tenir

Cette année, la Chine se lance dans un nouveau voyage vers la modernisation socialiste via le 14e plan quinquennal (2021-2025).

Les objectifs à atteindre au cours des prochaines années comprennent le maintien du taux de chômage urbain à moins de 5,5 % et une croissance annuelle de 7 % des dépenses de recherche et développement.

Le pays a également promis de réduire la consommation d’énergie par unité de PIB de 13,5 % et de réduire les émissions de dioxyde de carbone de 18 % pour bâtir une économie verte et ouvrir la voie à la réalisation de son objectif d’émissions de carbone d’ici 2030.

« La Chine s’efforcera d’atteindre un pic d’émissions de dioxyde de carbone avant 2030 et d’atteindre la neutralité carbone avant 2060 », a déclaré M. Xi lors du sommet des dirigeants sur le climat en avril dernier.

Avec des plans aussi ambitieux, la Chine a besoin d’un travail acharné pour tenir la promesse.

« Au cours de la période du 14e Plan quinquennal, nous devons adhérer à une philosophie centrée sur le peuple, qui leur permet de profiter des fruits du développement. Nous devons déployer des efforts solides pour améliorer les conditions de vie des populations tout en favorisant un développement de haute qualité. Et nous devons nous concentrer davantage sur les problèmes de subsistance qui préoccupent généralement les gens en adoptant des mesures plus ciblées, en les mettant en œuvre une à une et en travaillant dur année après année, afin que le peuple ait toujours un sentiment plus fort d’épanouissement, de bonheur et de sécurité, » dit Xi.

Action humanitaire : L’association « Devoir de Génération » au secours des enfants orphelins

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Par croissanceafrique


Le président de l’association « Devoir de Génération », Diby Keita à la tête d’une forte délégation a rendu visite le samedi 15 mai 2021 au Centre d’Accueil et de Placement Familial « La Pouponnière » sis à Niamana. Cette visite a permis au président Diby Keita et sa délégation de s’imprégner des réalités des lieux et d’apporter son soutien aux orphelins. Après la visite des locaux du centre, Devoir de Génération à procédé à une remise de don composé d’important lot de produits dont les enfants ont besoin notamment des produits alimentaires , des effets vestimentaires, des couches etc.
« C’est cruel de jeter un enfant dans une poubelle. C’est encore plus cruel qu’une nation essaie de se mettre en place sans tenir compte de ce phénomène », a laissé entendre Diby Keita qui pense quand on se dit croyant, on doit avoir une pensée particulière à ces enfants qui n’ont pas demandé à venir au monde. Pour lui, l’avenir d’une nation repose sur sa jeunesse et cette dernière ne peut qu’être le résultat d’une enfance réussie. Pour ce faire, ces enfants ont besoin d’assistance, de chaleur, de présence humaine, à indiqué le président de Devoir de Génération. « Arrêtons de nous focaliser sur autres choses, l’essentiel doit être comment bâtir une vraie nation avec ces enfants », a-t-il ajouté. Selon lui, ces enfants doivent avoir une bonne notion de la nation afin qu’ils puissent se souvenir du soutien de l’Etat en leur faveur. Par ailleurs, Diby Keita a remercié ces braves dames qui de manière la plus honorable et la plus respectable laissent tout pour donner leur énergie à ces enfants.
Quant à la représentante de la directrice du centre, Coulibaly Fanta Mady Diallo, ce geste humanitaire de Devoir de Génération est salutaire et exhorte les uns et les autres à œuvrer dans le même sens pour la réussite de ces enfants qui sont innocents.
Ce geste de l’association « Devoir de Génération » intervient au moment où la structure est confrontée à beaucoup de difficultés notamment les problèmes d’eau, d’électricité, de personnel, de médicaments, selon nos informations. La structure a environs 160 enfants âgés de 0 à 28 ans dont des handicapés pour environs 80 employés. Le Centre d’Accueil et de Placement Familial « La Pouponnière » a comme mission : l’accueil, l’entretien et l’éducation des enfants abandonnés ou de parents inconnus, des orphelins sans soutien, des enfants de mères  » malades mentales ».
Pour rappel, pour la célébration de la nuit du destin qui correspond à la nuit du 27ème jour du mois de Ramadan, l’association « Devoir de Génération » avait fait des remises de viande de bœufs à des personnes démunies notamment à l’hôpital de dermatologie de Bamako et à l’Association Malienne des Aveugles (UMAV).
IB KONE

Mali : FTN-TV, une nouvelle chaîne de télé chrétienne est lancée

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Par croissanceafrique


Considérée comme la dernière à émettre au Mali, le lancement officiel de la FTN-TV (Farafinna Tunkun Naani-TV) qui signifie en français « La télévision des quatre points cardinaux », a eu lieu le samedi 8 mai 2021 à l’immeuble EEPM à la cité UNICEF sous la présidence du ministre des affaires religieuses et du culte représenté par son chef de cabinet, Dame Seck. Y étaient aussi présents à cette cérémonie, le délégué général de l’AGEPEM, Dr Nouh Ag Infah Yattara et le directeur général de FTN-TV, Pasteur Thaddée Diarra.


En effet, la FTN-TV est un service privé de radiodiffusion télévisuelle non commerciale qui a vu le jour le 12 octobre 2018 et a commencé à émettre depuis le 1er avril 2019. La FTN-TV est un projet de SOAPP (Soleil d’Afrique pour la Paix et le Progrès) pour équiper les églises évangéliques du Mali d’une chaîne de télévision. SOAPP est une association chrétienne évangélique et dont l’objectif est de contribuer de façon soutenue et efficace intégral des communautés, en vue de réaliser le bien au développement de la personne humaine dans ses dimensions : physique, être différentes mentale et spirituelle, sans distinction de sexe, de race ou de religion, selon les responsables de cette nouvelle chaîne de télévision.
Pour le directeur général de FTN-TV, Thaddée Diarra, l’une des raisons principales de la création de cette chaîne religieuse est de pouvoir véhiculer le message du prophète Jésus Christ au sein de la population malienne. La deuxième raison est de sensibiliser les citoyens sur la bonne gouvernance. Pour lui, la mauvaise gouvernance est la principale cause de la crise au Mali depuis des années. Pour ce faire, des émissions sur la paix et la réconciliation nationale verront le jour. Il affirme que les cibles principales sont les femmes et les enfants qui constituent la majorité de la population malienne. Par ailleurs, le directeur général demande du soutien aux uns et aux autres qu’il soit financier ou matériel pour l’atteinte des objectifs assignés à cette chaîne.
Au nom du ministre des affaires religieuses et du culte, Dame Seck, chef de cabinet dudit département se dit très fier de la naissance de cette nouvelle télévision qui vient s’ajouter à une dizaine de chaînes religieuses au Mali et invite les téléspectateurs à apporter leur aide à cette chaîne. Il attend par ailleurs de cette chaîne des très belles communications pour renforcer la consolidation de la paix et l’apaisement des cœurs et des esprits des citoyens maliens.
IB KONE

Attribution du permis de recherches d’or et des substances à la société Little Big Mining à Ménankoto

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Par croissanceafrique

La procédure est bien conforme aux dispositions relatives aux procédures d’attribution des titres miniers
L’attribution du permis de recherches d’or et des substances à la société Little Big Mining à Ménankoto dans le cercle de Keniéba, a été faite dans les règles de l’art, contrairement à certaines informations répandues.

La procédure a été conforme aux dispositions pertinentes relatives aux procédures d’attribution des titres miniers de l’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 portant Code minier en République du Mali. Cette position est confortée par la décision de rejet de la Cour suprême relative à la requête en référé administratif de suspension de l’arrêté portant attribution du permis de recherche d’or à la société bénéficiaire du permis querellé de Ménankoto.
Il convient de rappeler que suivant les différents codes miniers du Mali de 1991 à 1999, le permis de recherche était attribué pour une période de trois ans renouvelable deux fois pour la même durée, soit neuf au total. Avec l’entrée en vigueur du code minier de 2012, ce délai a été ramené à sept ans (3ans, 2ans et 2ans) avec la possibilité de l’étendre à une année supplémentaire non renouvelable à titre dérogatoire.
C’est ainsi que conformément à l’article 38A4 du code minier de 2012, le ministère chargé des mines pouvait, à sa discrétion, accorder une prorogation de douze mois, non susceptible de renouvellement d’un permis de recherche afin de permettre à la Société demanderesse de finaliser son étude ou son rapport de faisabilité. La prorogation était accordée uniquement lorsqu’à la fin du deuxième renouvellement du permis, la société n’avait pas pu finir son étude ou son rapport de faisabilité.
L’article 38A4 du code minier de 2012 disposait en ces termes : «si à la fin du deuxième renouvellement, le titulaire du permis de recherche n’a pas pu finaliser son étude de faisabilité pour des raisons justifiées et vérifiées par l’administration chargée des mines, une prorogation dont la durée ne peut dépasser un an, peut lui être accordée. Si, à la fin de cette période de prorogation, le titulaire du permis de recherche n’arrive toujours pas à fournir son étude ou son rapport de faisabilité ledit permis devient caduc».
Le code minier de 2019, entrée en vigueur le 27 septembre 2019, est revenu sur la durée des neufs ans pour les permis de recherche. De ce fait, le principe de la prorogation ne se justifiait plus, du point de vue du législateur, et il a été donc supprimé. Conformément à l’article 205 A1 et A4 des dispositions transitoires et finales du code minier de 2019, la prorogation ne pouvait être accordée à la société demanderesse.
L’article 205 A1 dit que «les titres miniers et les autorisations en cours de validité avant la date d’entrée en vigueur du présent code, demeurent valables pour leur durée restant à courir et pour les substances pour lesquelles, ils ont été délivrés».
L’article 205 A4 stipule que «en dehors du bénéfice des conditions de stabilité, les titulaires des titres miniers et autorisations, doivent se soumettre à l’ensemble des dispositions du présent code». Au regard de tout ce qui précède et en application des dispositions de l’article 205 A1 et A4, aucune prorogation ne pouvait être accordée à la partie demanderesse.

La position du droit

Il est constant de noter les griefs suivants contre la partie demanderesse :
Le permis querellé (Ménankoto) faisant l’objet d’une entente illicite de cession entre deux sociétés multinationales opérant dans notre pays au détriment des intérêts supérieurs du secteur minier de notre pays ; la violation de l’article 32 de l’ordonnance n°2019-022 du 27 septembre 2019 qui consacre le principe du premier venu, premier servi (le dépôt de la demande a été fait avant que le permis querellé n’arrive à échéance) ; la société Ménankoto Sa, jugée défaillante après sept ans en tant que société détentrice du permis de recherche, est encore le même postulant pour le même permis pour une nouvelle durée de 3 ans renouvelable 2 fois et enfin la société B2Gold, entité juridiquement différente de Ménankoto Sa, n’a jamais postulé pour le permis de Ménankoto.
Au regard de tout ce qui précède, il est constant de noter que la procédure d’attribution du permis de Recherche de Ménankoto a été conforme aux dispositions pertinentes relatives aux procédures d’attribution des titres miniers de l’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 portant Code minier en République du Mali. Cette position est confortée par la décision de rejet de la Cour suprême relative à la requête en référé administratif de suspension de l’arrêté portant attribution du permis de recherche d’or à la société bénéficiaire du permis querellé de Ménankoto.


Diango Coulibaly, Le Reporter

Mali: le premier ministre Moctar Ouane démissionne, puis reconduit à son poste.

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Au Mali, le premier ministre Moctar Ouane a remis sa lettre de démission au président de la transition Bah N’Daw ce vendredi 14 mai 2021 à Bamako. Aussitôt, il a été reconduit à son poste. Désormais, Moctar Ouane est chargé de former un nouveau d’union nationale.


À 65 ans, il avait été nommé le 27 septembre 2020 à la tête ce poste stratégique  de l’administration Malienne.  Il doit maintenant former un nouveau gouvernement d’union nationale de large ouverture qui, selon nos informations, sera chargé de conduire le reste de la transition malienne jusqu’à l’organisation de nouvelles élections.


Pour rappel, Moctar Ouane est un ancien conseiller diplomatique des présidents Moussa Traoré (entre 1990 et 1991) et Amadou Toumani Touré (entre 1991 et 1992), le nouveau Premier ministre a officié durant sept ans en tant que ministre des Affaires étrangères, de 2004 à 2011. Il avait auparavant exercé diverses fonctions au sein de l’État, notamment en tant que conseiller puis en tant que chef de cabinet au secrétariat général de la présidence.


Notons qu’il a été le représentant permanent du Mali auprès des Nations unies de 1995 à 2002, Moctar Ouane a représenté le groupe africain auprès du Conseil de sécurité. Ces années à New York, ajoutée à son expérience au ministère des Affaires étrangères, lui ont permis de tisser des relations à l’international.


Daouda Bakary Koné.

Xi Jinping inspecte le Henan : le développement de la médecine chinoise est une priorité sur l’agenda du président

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Le président Xi Jinping effectue une tournée d’inspection dans la province du Henan, au centre de la Chine.

Il a visité la ville de Nanyang, où l’une de ses étapes était le musée de Zhang Zhongjing, l’un des premiers défenseurs de la médecine traditionnelle chinoise. Xi a ensuite visité la roseraie de Nanyang et un fabricant de produits d’armoise. Il a espéré que la plantation de rose et d’armoise créerait davantage d’emplois d’opportunités de carrière.

CANAM : Des agents pour mieux orienter les usagers AMO

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Dans le but d’orienter au mieux les Assurés AMO, la CANAM a déployé des agents au niveau du bâtiment Lamine N’diaye, sis à ACI 2000 non loin du Centre secondaire de l’INPS.

Arborant des tee-shirt et casquettes aux couleurs de l’organisme de gestion de l’assurance maladie obligatoire au Mali, ces agents vont s’efforcer de guider les assurés AMO dans les différents services de la CANAM.

Ils seront d’autant plus importants en ce moment où la Direction Générale a décidé de transférer les activités de l’enrôlement biometrique des assurés au niveau de l’INPS et de la CMSS.

Chers ASSURÉS AMO, pour toute information, adressez-vous à nos agents installés à l’entrée du bâtiment.

SERCOM-CANAM

Au Burkina Faso, le trésor public lève 49,500 millions d’euros sur le marché Financier de l’umoa

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L’Etat du Burkina Faso à travers sa Direction générale du trésor et de la comptabilité publique, a levé le 10 mai 2021 sur le marché financier de l’Union monétaire ouest africaine (UMOA) un montant de 33 milliards de FCFA (49,500 millions d’euros) au terme de son émission  de bons assimilables du trésor (BAT) de maturité 182 jours organisée en partenariat avec l’agence UMOA-Titre basée à Dakar.

« Cette levée de fonds rentre dans la stratégie du gouvernement burkinabé d’assurer la couverture des besoins de financement du budget de l’Etat. Pour le deuxième trimestre 2021, les intentions d’émissions de titres publics exprimées par les autorités gouvernementales  Burkinabés se chiffrent à un montant total de 300 milliards de FCFA contre 150 milliards de FCFA pour le premier trimestre 2021, soit une augmentation de 150 milliards« , rapporte Financialafrik

Par ailleurs, sur un montant global mis en adjudication de 30 milliards de FCFA, l’agence UMOA-Titres a répertorié 45,710 milliards de FCFA  de soumissions globales provenant des investisseurs, soit un taux de couverture du montant mis en adjudication de 152,37%.

Après adjudication, le Trésor Public burkinabé  a retenu 33 milliards de FCFA et rejeté les 12,710 milliards de FCFA restants, soit un taux d’absorption de 72,19%.

Toutefois, le rendement moyen pondéré s’est établi à 3,48% tandis que le taux moyen pondéré et le taux marginal se situent respectivement à 3,42% et 3,50%.

Notons que le remboursement des bons émis par l’Etat burkinabé interviendra le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 8 novembre 2021. Par contre, les intérêts sont payables d’avance et précomptés sur la valeur nominale des bons qui est d’un million de FCFA.

Zangouna Koné