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Mali: le docker Birama Togola, âgé de 79 ans, obtient une bagatelle de 10,5 millions de F CFA de la part des bonnes volontés

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Par croissanceafrique


Après le reportage émouvant de l’Office de Radio Télévision du Mali (ORTM) sur le vieux docker de 79 ans Birama Togola dans le cadre du 1er mai, journée internationale du travail, la somme collectée auprès des donateurs s’élève à 10, 5 millions FCFA dont 6 millions FCFA collectés par l’ORTM.

Cette remise a eu lieu le lundi 10 mai 2021 à son domicile sis à Darsalam en présence de deux membres du gouvernement notamment le ministre de la santé et du développement social, Fanta Siby et celle de la promotion de la femme, de l’enfant et de la famille, Bintou Founé Samaké et le directeur général de l’ORTM Hassane Diombélé.

Hassane Diombele DG de l’ORTm


A travers ce geste de solidarité des différents donateurs, le ministre Bintou Founé Samaké se dit très satisfaite du sentiment de solidarité qui anime les maliens. Elle invite par ailleurs les uns et les autres de se soutenir surtout les personnes qui en ont besoin dans ces moments difficiles afin de développer ces actions de solidarité entre les citoyens maliens. « Pensons à ceux qui nous entourent. Faisons attention aux plus faibles », souligne le ministre de la promotion de la femme, de l’enfant et de la famille .

Des ministres étaient présents


« La solidarité est un comportement, ce n’est pas un simple mot », selon le ministre de la santé et du développement social, Fanta Siby qui se dit très satisfaite de ce geste de solidarité en faveur du vieux docker Birama Togola. Elle a saisi cette occasion pour remercier les différents donateurs qui viennent renforcer le gouvernement dans ses missions et d’ajouter que cette action de la télévision nationale s’inscrit en parfaite ligne avec ses missions.


A l’entame de ses propos, le directeur général de l’ORTM, Hassane Diombélé a saisi l’occasion pour saluer les donateurs pour cet élan de solidarité pour Birama Togola grâce à une de ses équipes de reportage pour la célébration du 1er mai. « Nous ne faisons que notre travail au quotidien. L’ORTM, c’est la passion du service public, et à l’ORTM chacun compte », soutient Hassane Diombélé.


Quant au bénéficiaire, Birama Togola, il se dit très heureux de ce geste des maliens en sa faveur après de nombreuses années passées dans des conditions très misérables. Il a par ailleurs remercié notre confrère Tamsir Diabaté et son équipe de reportage qui ont favorisé cette action. Le retour de la paix au Mali, la cohésion sociale sont entre autres des vœux du bénéficiaire pour le Mali. Il affirme que ce geste de solidarité des maliens met fin à son travail de docker.


A noter qu’en plus de cette remise de la somme de 6 millions FCFA collectée par l’ORTM, 4,5 millions FCFA ont été également collectés par la famille de Birama Togola. Par ailleurs, des donateurs anonymes ont fait beaucoup de promesses notamment une maison à Kati, sa prise en charge durant le reste de sa vie, le recrutement de son enfant dans une entreprise privée.


Ibrehima KONE

Le permis de Ménankoto : Quand le ministre Lamine Seydou Traoré déjoue un complot contre l’Etat malien !

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lundi 10 mai 2021

Le jour de son investiture, tout comme le jour où il a reçu le Rapport du Vérificateur Général, le Président de la Transition Bah N’Daw a été on ne peut plus clair : il n’y aura plus de place pour la corruption, et l’or du Mali brillera pour les Maliens ! Donner un sens à cet engagement du Président de la Transition, tel est le leitmotiv du ministre des Mines, de l’Energie et de l’Eau, Lamine Seydou Traoré, engagé à assainir le secteur minier malien. C’est d’ailleurs fort de cet engagement qu’il vient de déjouer ce qui aurait pu être le plus grand scandale de tous les temps sur le dos de l’Etat malien !
En effet, d’aucuns tentent vainement de salir le ministre des Mines, de l’Energie et de l’Eau, Lamine Seydou Traoré, qu’ils accusent d’avoir voulu, par magouille ou par favoritisme, passer le permis de Ménankoto à une autre société au détriment de B2Gold à qui, il faut le dire tout net, le gouvernement n’a jamais cédé un quelconque permis en rapport avec Ménankoto, mais plutôt à la Société Ingénierie, Informatique, Exploitation Minière (S2IEM) !
Pour vous aider à comprendre ce dossier, il convient de rappeler que suivant les différents Codes miniers du Mali de 1991 à 1999, le permis de recherche était attribué pour une période de trois (03) ans renouvelable deux (02) fois pour la même durée, soit neuf (09) au total. Mais avec l’entrée en vigueur du Code minier de 2012, ce délai, ci-dessus cité, a été ramené à sept (07) ans (3ans, 2ans et 2ans) avec la possibilité de l’étendre à une (01) année supplémentaire non renouvelable à titre dérogatoire.
Aussi, conformément à l’article 38A4 du Code Minier de 2012, le Ministère chargé des Mines pouvait, à sa discrétion, accorder une prorogation de douze mois (12) mois, non susceptible de renouvellement d’un permis de recherche afin de permettre à la Société demanderesse de finaliser son étude ou son rapport de faisabilité. La prorogation était accordée uniquement lorsqu’à la fin du deuxième renouvellement du permis, la société n’avait pas pu finir son étude ou son rapport de faisabilité.
De même, l’article 38A4 du Code minier de 2012 disposait en ces termes : « Si à la fin du deuxième renouvellement, le titulaire du permis de recherche n’a pas pu finaliser son étude de faisabilité pour des raisons justifiées et vérifiées par l’Administration chargée des Mines, une prorogation dont la durée ne peut dépasser un (1) an, peut lui être accordée. Si, à la fin de cette période de prorogation, le titulaire du permis de recherche n’arrive toujours pas à fournir son étude ou son rapport de faisabilité ledit permis devient caduc. ».
Par ailleurs, le Code minier de 2019, entrée en vigueur le 27 septembre 2019, est revenu sur la durée des neufs (09) ans pour les permis de recherche. De ce fait, le principe de la prorogation, selon les recoupements que nous avons pu faire, ne se justifiait plus, en tout cas du point de vue du législateur, il a donc été supprimé. C’est pourquoi, conformément à l’article 205 A1 et A4 des dispositions transitoires et finales du Code minier de 2019, la prorogation ne pouvait être accordée à la société demanderesse.
En effet, l’Article 205 A1 stipule : « les titres miniers et les autorisations en cours de validité avant la date d’entrée en vigueur du présent Code, demeurent valables pour leur durée restant à courir et pour les substances pour lesquelles, ils ont été délivrés » ; et l’Article 205 A4 de préciser clairement : « En dehors du bénéfice des conditions de stabilité, les titulaires des titres miniers et autorisations, doivent se soumettre à l’ensemble des dispositions du présent Code ».
Au regard de tout cet arsenal juridique, et en application des dispositions de l’article 205 A1 et A4, aucune prorogation ne pouvait être accordée à la partie demanderesse qui est la Société Ingénierie, Informatique, Exploitation Minière (S2IEM), et non B2Gold !
Du point de vu de droit, il nous revient que la partie demanderesse n’est pas exempte de reproches. D’abord, le permis querellé (Ménankoto), a fait l’objet d’une entente illicite de cession entre deux (02) sociétés multinationales (Barrique Gold et B2Gold) opérant dans notre pays au détriment des intérêts supérieurs du secteur minier de notre pays, ou encore la violation de l’article 32 de l’Ordonnance n°2019-022 du 27 septembre 2019 qui consacre le principe du premier venu, premier servi. (Le dépôt de la demande a été fait avant que le permis querellé n’arrive à échéance…
Ce n’est pas tout, la société Ménankoto-SA, jugée défaillante après sept (07) ans en tant que société détentrice du permis de recherche, est encore le même postulant pour le même permis pour une nouvelle durée de 3 ans renouvelable 2 fois, dans la mesure où la société B2Gold, entité juridiquement différente de Ménankoto-SA, n’a jamais postulé pour le permis de Ménankoto !
Eh bien comme il est aisé de le constater, la procédure d’attribution du permis de Recherche de Ménankoto a été conforme aux dispositions pertinentes relatives aux procédures d’attribution des titres miniers de l’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 portant Code minier en République du Mali. Cette position est confortée par la décision de rejet de la Cour Suprême relative à la requête en référé administratif de suspension de l’arrêté portant attribution du permis de recherche d’or à la société bénéficiaire du permis querellé de Ménankoto !
En conclusion, comme vous avez pu le constater, la société B2Gold, entité juridiquement différente de Ménankoto-SA, n’a jamais postulé pour le permis de Ménankoto, et ne peu par conséquent se plaindre pour quoi que ce soit, contrairement aux informations véhiculées par certains illuminés dans le seul but de créer de la confusion dans l’opinion, et certainement pour régler des comptes avec le ministre Lamine Seydou Traoré !
Correspondance particulière

Mali: Huawei va former plus de 3 000 personnes dans le domaine des TIC

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Au Mali, le Président de la Transition, Bah N’Daw a reçu en audience, ce lundi, le Président de Huawei pour l’Afrique du Nord Terry HE, qui vient d’ailleurs de prendre fonction, se trouve dans une tournée de prise de contacts.

Le Représentant de la multinationale chinoise  a informé le Président de la Transition que « pour les 5 années à venir, Huawei entend former plus de 3 000 Maliens dans le domaine des Technologies de l’Information et de la Communication, tout en assurant aussi un programme de formation post universitaire », a-t-il affirmé.

A son tour,  le Chef de l’Etat Malien  a assuré son visiteur du jour de son soutien indéfectible. Par la suite, Bah N’Daw s’est félicité des différents programmes initiés en faveur du Mali et a souhaité qu’il puisse y en avoir d’autres.

Présente au Mali depuis 2005, l’entreprise chinoise emploie quelque 200 personnes, dont 80% sont des Maliens.Pour rappel, au cours des années passées, Huawei a eu à former de plus 400 jeunes maliens dans le domaine de la technologie.

Daouda Bakary Koné

Mali: Le Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur revendique la création d’une collectivité dédiée aux Maliens de l’extérieur

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Habib Sylla (Photo au micro), président du Haut conseil des Maliens de l'extérieur est un organisme consultatif à caractère associatif, apolitique, laïc, non discriminatoire et à but non lucratif créé à la suite de la Conférence nationale de 1991 puis agréé en 1993.

Par croissanceafrique


Après avoir participé à la concertation nationale après les événements du 18 août 2020, et leur représentation au sein du Conseil National de Transition (CNT) et du Comité d’Orientation Stratégique (COS), les maliens établis à l’extérieur sont naturellement considérés comme des acteurs et parties prenantes des réformes à tous les niveaux. Pour ce faire, la contribution des maliens de l’extérieur dans les réformes nécessaires à la refondation de l’Etat se situe à deux niveaux : les réformes politiques, administratives et institutionnelles ; et les réformes dans la gestion des maliens de l’extérieur. C’était au cours d’une conférence de presse le jeudi 6 avril 2021 au siège du HCME, animée par Habib Sylla, président de ladite institution.
En effet, la mission essentielle assignée à la Transition est d’engager les réformes nécessaires à la refondation de l’Etat et d’organiser une élection présidentielle crédible permettant de doter le pays d’institutions démocratiques conformes à la volonté du peuple malien.

Habib Sylla, président de HCME


Les maliens de l’extérieur et la refondation de l’Etat


La contribution des maliens de l’extérieur dans les réformes nécessaires à la refondation de l’Etat se situe à deux niveau. Il s’agit des réformes politiques, administratives et institutionnelles et celles dans la gestion des maliens de l’extérieur.
Au niveau des réformes politiques, administratives et institutionnelles, le HCME soutient les réformes dont le pays a besoin mais il ne s’agit pas de reformer pour reformer, selon son président Habib Sylla. Pour lui, ce qu’il faut revoir, c’est principalement la gouvernance politique et économique du pays qui a conduit dans une impasse avec une corruption endémique favorisée par le clientélisme et l’impunité.


Pour ce faire, la révision de la constitution de 1992 annoncée doit prendre en compte la représentation des maliens de l’extérieur, soit un tiers de la population active au sein du parlement (Assemblée Nationale et Sénat), tout en garantissant le principe de l’égalité des citoyens devant la loi. Le HCME opte également pour la révision du code électoral qui afin de définir les conditions de désignation de leurs représentants au sein des institutions de la république. Pour une représentation au prochain parlement, l’institution propose la création d’une collectivité publique dédiée aux Maliens de l’extérieur. Quant aux autres réformes dans le cadre du développement économique, social, culturel et la moralisation de la vie publique seront soutenues pour sortir le pays de la corruption et de l’impunité, affirme le conférencier.


Afin de baliser le terrain entre « Maliens de l’extérieur » et « Migrants de retour », le département des maliens de l’extérieur et de l’intégration africaine a initié une réforme des associations encadrant les maliens de l’extérieur. Le HCME a décidé de porter ce projet en mettant en place une union d’associations pour fédérer toutes les sensibilités au sein des organisations de la société civile de l’extérieur travaillant sur le champ « Migration et Développement », souligne Habib Sylla concernant les réformes sur la mise en place d’une structure unique de gestion des maliens de l’extérieur.
IB KONE

Célébration de la nuit du destin : L’association « Devoir de Génération » au chevet des personnes démunies

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Dans le cadre de la célébration de la nuit du 27ème jour du mois de Ramadan appelée « nuit du destin », l’association « Devoir de Génération » a procédé à une distribution de viande de bœuf aux personnes démunies notamment à l’hôpital de dermatologie de Bamako, à l’Association Malienne des Aveugles (UMAV). C’était le samedi 8 avril 2021 en présence de son président Diby Keita.
L’hôpital de dermatologie de Bamako est un site historique d’accueil des personnes vivant avec la maladie de la lèpre qui sont généralement rejetées par la société. Pour soulager ces personnes qui ont subi les lois de la nature, en ces moments de célébration de la nuit du destin, ce site a été choisi par l’association « Devoir de Génération », selon son président national Diby Keita. Pour lui, leur aspect physique impose à Devoir de Génération de les assister. Quant au choix de l’Union Malienne des Aveugles (UMAV), il affirme qu’il est symbolique vu la gravité de l’handicap avec lequel ces personnes vivent. « L’handicap visuel est le plus cruel de la vie », selon le président Diby Keita. Pour lui ce geste s’inscrit en droite ligne avec les missions de Devoir de
Le surveillant général de l’hôpital de dermatologie de Bamako, Joseph Camara se dit très heureux de ce geste de Devoir de Génération qui permettra aux bénéficiaires de bien célébrer cette nuit importante dans l’islam. « Qui dit malade de la lèpre dit problème », souligne Joseph Camara.
Quant à Sidiki Diarra, secrétaire général de l’Union Malienne des Aveugles (UMAV), ce geste de Devoir Génération en ce jour de la nuit sacrée est salutaire. Pour lui, ce geste intervient au moment où le besoin y est. Cette association des personnes handicapées qui s’occupe de la promotion des mal voyants et non voyants a comme objectifs essentiels : la lutte contre la cécité, l’éducation de l’enfant aveugle, l’insertion de l’aveugle en milieu rural et urbain.
De l’hôpital de dermatologie de Bamako à l’Union Malienne des Aveugles, la joie se sentait sur les visages des bénéficiaires qui ont beaucoup apprécié ce geste de Devoir Génération.
Pour rappel, Devoir de Génération avait procédé à des remises de don à plusieurs personnes au début de ce mois de ramadan afin de leur permettre de bien passer ce mois très important dans l’islam considéré comme mois de partage, de convivialité…
IB KONE

Afrique Francophone : AZA Finance acquiert Exchange4Free et devient le plus grand fournisseur de trésorerie FX non bancaire du continent

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Après avoir annoncé en mars son ambition d’étendre ses activités dans l’espace africain francophone, AZA Finance, plus grand courtier non bancaire de devises d’Afrique, confirme sa stratégie d’expansion avec le rachat de la fintech sud-africaine Exchange4Free. Cette fusion vise à doubler le volume des transactions annuelles en le portant à plus de 2,5 milliards de dollars, et à étendre les prestations de AZA Finance à 115 pays dans le monde.

L’acquisition d’Exchange4Free, le plus grand courtier en devises non bancaire sud-africain, permettra à AZA Finance de doubler le volume de ses transactions en les portant à à plus de 2,5 milliards de dollars en 2021, grâce aux synergies et aux opportunités de ventes croisées, tout en étendant la couverture géographique de la société à 115 pays en Afrique, Europe, Moyen-Orient, Asie-Pacifique et en Amérique.

Alors que la réponse au COVID-19 entraîne une augmentation des transactions commerciales en ligne et un éloignement de l’infrastructure physique des banques, l’Afrique – où les PME ont été confrontées à des processus extrêmement longs et coûteux – relève le défi face au système établi basé sur le dollar, et cela grâce à l’utilisation des API et autres technologies de réseau. À noter qu’au-delà de l’expansion du secteur, on y observe une course à la consolidation, comme le montrent des accords tels que l’acquisition par Santander d’une participation majoritaire dans Ebury l’année dernière ; idem sur le territoire traditionnel des banques d’affaires, par des sociétés comme Monzo, Revolut et Wise (anciennement TransferWise).

« Cette acquisition nous rapproche davantage de notre objectif d’ouvrir des flux de change en Afrique et dans les marchés pré-émergents »,

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 a déclaré Elizabeth Rossiello, PDG et fondatrice d’AZA Finance, ajoutant que « L’éthique et la solution innovante d’Exchange4Free conviennent parfaitement à AZA Finance. Elles permettent de développer l’infrastructure numérique de l’avenir et apportent innovation et efficacité, tout en répondant aux besoins de trésorerie FX des entreprises sur les marchés pré-émergents. »

Agréée par la FCA au Royaume-Uni et la Banque d’Espagne en Europe, AZA Finance propose une gamme complète « end-to-end » de produits de trésorerie et de change, pour les entreprises particulièrement actives sur les marchés pré-émergents.

Opérant depuis plusieurs bureaux en Afrique – Nigeria, Ghana, Sénégal, Ouganda, Afrique du Sud, Kenya – ainsi qu en Espagne, au Royaume-Uni et dans l’espace unique de paiement en euros (SEPA), le réseau de partenariats d’AZA comprend des opérateurs de transfert d’argent (MTO) comme Western Union, World Remit, Azimo et IDT (Boss Revolution).

L’acquisition qu’elle vient d’opérer permet à AZA Finance de tirer parti de la plateforme d’Exchange4Free et de ses services, y compris l’ensemble de ses API : fournissant aux entreprises un service complet de change, de trésorerie et de conformité réglementaire, et leur permettant d’effectuer des paiements transfrontaliers en Afrique du Sud, à partir de plus de 100 pays.

L’acquisition fait suite à un cycle combiné de financement par emprunt et fonds propres de série B au cours duquel AZA Finance a levé 35 millions de dollars pour l’extension de ses opérations au Moyen-Orient et en Afrique du Nord au cours des dix-huit derniers mois ; y compris une facilité de crédit de 15 millions de dollars de la Banque de développement de l’Afrique australe (DBSA) pour développer ses activités dans la région.

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À propos d’AZA Finance

AZA est un fournisseur mondialement reconnu de solutions pour le trading de devises permettant l’accès mondial aux marchés frontières grâce à une API et une infrastructure Web innovante. Ses produits phares, TransferZero et BFX, visent à réduire considérablement le coût des transactions et à accélérer les paiements des entreprises vers et depuis les marchés frontières. AZA est agréé par la FCA du Royaume-Uni et la Banque d’Espagne. Site : www.azafinance.com

À propos d’Exchange4free

Exchange4free est l’un des principaux fournisseurs de technologies de change, de transfert d’argent et de paiement au service de plus de 50 000 clients privés et professionnels dans le monde entier. Les solutions d’Exchange4Free permettent aux utilisateurs d’envoyer et de recevoir des transferts d’argent gratuits, 24h / 24 et 7j / 7 de/vers 100 pays. Site : https://exchange4free.com/

Burkina Faso: la mine d’or d’Essakane annonce une production de 113.000 onces au premier trimestre

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Gordon Stothart PDG d'IAMGOLD Corporation avec 30 ans de carrière dans le domaine minière en Afrique et dans le monde (Photo)

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La mine d’or du groupe Iamgold à Essakane, au Burkina Faso, a produit un total de 113.000 onces au cours des trois premiers mois de l’année 2021, selon une annonce faite par la compagnie minière canadienne.

Cette performance représente une hausse par rapport aux 93.000 onces produites au premier trimestre 2020, mais une baisse quand on la compare aux 114.000 du trimestre bouclé fin décembre dernier. Par ailleurs, Essakane annonce avoir vendu 114.000 onces d’or à un prix moyen de 1.793 USD l’once sur la période considérée.

« Comme au quatrième trimestre de 2020, la production d’or a bénéficié des effets favorables des hautes teneurs découlant de la séquence d’exploitation dans les zones enrichies au fond de la fosse principale et des frais de découverture incorporés moindres. Les hautes teneurs qui contiennent également du graphite ont donné une récupération inférieure et une consommation accrue de réactifs par rapport au premier trimestre de 2020. Afin d’atténuer l’incidence d’une composition complexe du minerai sur l’ensemble de la récupération, une optimisation du circuit gravimétrique était en cours tout au long du premier trimestre de 2021 », commente la société.

Les prévisions de la production attribuable à Essakane en 2021 demeurent entre 365.000 et 390.000 onces, indique le groupe Iamgold. « La production minière devrait se maintenir aux niveaux actuels, et le site commencera des agrandissements stratégiques qui feront augmenter les frais de découverture incorporés, au second semestre de l’exercice », précise-t-il.

Située dans la partie nord-est du Burkina, la mine d’or d’Essakane est détenue à 90% par la compagnie minière canadienne et à 10% par le gouvernement.

Mali : un dividende combiné de 80 millions USD versé par le complexe minier Loulo-Gounkoto au premier trimestre

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Mark Bristow, PDG de Barrick Gold Corporation (Photo en jaune au milieu)

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Au Mali, le complexe minier Loulo-Gounkoto de Barrick Gold Corporation a indiqué, dans un communiqué publié le 27 avril 2021, avoir versé un dividende combiné de 80 millions USD au cours du 1er trimestre. Ceci en raison d’une performance jugée « solide » et du prix de l’or relativement élevé.

« Loulo-Gounkoto reste un pilier de l’économie malienne et un moteur du développement économique local. Au cours des 24 dernières années, Barrick et son ancienne société Randgold Resources ont contribué à hauteur de 7,7 milliards USD à l’économie, dont 3 milliards sont allés à l’État sous forme de dividendes, d’impôts et de redevances. Notre long partenariat avec le pays et sa population témoigne de la façon dont une relation de ce type peut être mutuellement avantageuse », a déclaré Mark Bristow, PDG de Barrick Gold.

Sur la période considérée, le complexe minier indique avoir produit 193.014 onces d’or et déclare être en voie d’atteindre son objectif annuel (entre 640.000 et 700.000 onces).

Daouda Bakary Koné

Maroc: le prince héritier Moulay El Hassan fête son 18e anniversaire , un événement glorieux

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Par Khalid Cherkaoui Semmouni , Professeur à la faculté de droit à Rabat et à l’ISIC

La famille royale et le peuple marocain célèbrent , samedi, le dix-huitième anniversaire de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan. Le 8 mai 2003 est un glorieux événement et une date remarquable dans l’Histoire du Maroc où SAR le Prince héritier a vu le jour.


Depuis son plus jeune âge, l’héritier de la couronne du Maroc est sur le devant de la scène. Très proche de son père, SM le Roi Mohammed VI, Moulay El Hassan est sur la scène publique, tant au Maroc qu’à l’international. Il s’est vu confier, ces dernières années, d’importantes activités et missions , comme la présidence de grands événements officiels, inaugurations, et cérémonies.
Ce n’est pas par hasard si ces missions diversifiées lui ont été confiées par son père. Elles vont lui apprendre, à coup sûr, le métier de Roi. D’autant plus que le Prince est en train de s’habituer à l’exercice des responsabilités très sensibles : fréquenter les chefs d’Etat et les élites pour développer le sens et l’art de gouverner dans un Maroc en plein développement et en pleine mutation.
Digne héritier d’une très grande lignée royale, SAR le Prince Moulay El Hassan est de plus en plus présent sur la scène publique et s’apparente déjà à un leader qui se forme au métier de Roi sur les pas son père SM le Roi Mohammed VI, en s’inspirant de ses conseils et expériences de Royauté.
Bienveillance, intelligence, modestie et bonté sont des qualités intrinsèques d’un Prince qui héritera du trône un jour. Sans oublier que SAR le Prince héritier Moulay El Hassan, très apprécié des Marocains, est formé pour devenir un excellent Roi, grâce à une éducation royale sévère et rigoureuse, supervisée par son père.
Le prince a poursuit ses études, tout comme son père le Roi Mohammed VI l’avait fait, dans l’enceinte du Palais, au Collège royal, suivant des programmes d’enseignement quasi similaires à ceux qu’a connus son père. D’où, il a eu une solide éducation religieuse en parallèle à l’éducation moderne habituelle.
Aprés avoir obtenu son baccalauréat lors de la session de juin de l’année 2020, avec une mention très bien, s’est inscrit à l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P). Il va sans dire, que Choix d’accomplir son cursus universitaire dans une université marocaine est fort en symbolique car il témoigne de la confiance du SM le Roi Mohammed VI dans le système éducatif national.
Certes , SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan est éduqué pour devenir authentique, moderne et démocratique. En se préparant à pérenniser la dynastie chérifienne, Moulay El Hassan trace son avenir avec confiance en soi, dynamisme et grande volonté.
 
D’ailleurs, dans les pratiques du Royaume du Maroc, l’éducation du Prince héritier commence tôt, sans rituel précis, pour structurer son esprit, former son comportement et sa capacité de décider, l’accompagner dans son exercice du pouvoir… Cet enseignement pratique, concret, se bâtit dans l’imitation et l’observation, guidé par le Souverain.

Des Européens réfutent la théorie du « génocide » au Xinjiang

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Récemment, par le biais de la « Fondation transnationale pour la paix et la recherche future », le Norvégien Thore Vestby a publié un rapport spécial qu’il a écrit avec des universitaires néerlandais et danois intitulé « C’est une arrière-pensée de déterminer le génocide du Xinjiang – analyse critique du rapport de l’Institut Newlines pour la stratégie et la politique et du Centre Raoul Wallenberg pour les droits de l’homme ».

Pour eux, le rapport américain sur le Xinjiang est entièrement fondé sur la mentalité de la guerre froide. Le rapport est truffé d’informations et de données contrefaites. Il n’y a pratiquement aucune base académique. Le contenu est sérieusement déformé et ne peut pas prouver l’existence d’un « génocide » au Xinjiang.

L’Institut Newlines pour la stratégie et la politique et le Centre Raoul Wallenberg pour les droits de l’homme sont tout à fait cohérents avec les positions officielles des États-Unis. Les auteurs du rapport américain sont des gens qui ont longtemps été influencés par le fondamentalisme chrétien et l’ultra-conservatisme et sont souvent des anticommunistes et anti-chinois, ce qui fait douter de l’indépendance du rapport.

De plus en plus de faits ont prouvé que le rapport des États-Unis citait un grand nombre de données contrefaites et d’informations mal interprétées ou greffées intentionnellement. Les documents originaux sélectionnés font également preuve de préjugé et de sélectivité. Le rapport des États-Unis n’a aucune objectivité.

Le rapport américain soutient clairement la dure politique étrangère du gouvernement américain envers la Chine et l’utilisation des questions de droits de l’homme pour contenir et réprimer la Chine.

Les accusations contenues dans le rapport américain sur le Xinjiang ne sont pas propices aux relations sino-occidentales et ne sont pas non plus dans les propres intérêts des États-Unis. Pour les intérêts communs de l’Occident, de la Chine et du monde, nous devons essayer de parvenir à des résultats gagnant-gagnant et multi-gagnant grâce à la multipolarisation et à une coopération mutuellement bénéfique.

(Photo : VCG)