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Zoom sur le président Chinois, SE Xi Jinping et sa mère: six moments mémorables pour l’homme.

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«La tendre mère tient un fil dans sa main. Elle coud un vêtement pour son fils qui part en voyage. Elle fait des points serrés, répare avec soin. Car elle craint qu’il ne reste absent bien longtemps. Combien d’amour une herbe garde-t-elle dans son cœur, pour remercier le soleil printanier ?» C’est le poème le plus connu de Meng Jiao, poète des Tang (618-907) intitulé «Chanson du voyageur». Le secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois Xi Jinping l’a récité lors de la cérémonie d’échanges des vœux du Nouvel An chinois en 2015.

La plus grande attente d’une mère, c’est de voir ses enfants réussir et être heureux dans la vie. Et l’attente de Mme Qi Xin était beaucoup plus forte. C’est ainsi qu’elle plaça sur les épaules de son fils Xi Jinping, la responsabilité pour le pays et le peuple chinois.

Voici six moments entre la mère et son fils.

A l’âge de cinq ou six ans, Xi Jinping a reçu une bande dessinée de sa maman. Il s’agit de l’histoire de Yue Fei, célèbre patriote et général dans l’histoire chinoise. La mère de Yue Fei tatoua son fils de quatre caractères chinois dans le dos, qui pouvaient se lire «dévoue-toi corps et âme à la patrie». Après avoir appris cette histoire, Xi Jinping a dit à sa mère que le tatouage devait faire très mal à Yue Fei. Sa mère lui a dit que l’idée de se montrer loyal envers la patrie resterait à jamais gravé dans son esprit, en dépit des douleurs. Dès sa tendre enfance, Xi Jinping garde dans son cœur l’idée dudévouement à la patrie, et il en a fait l’objectif de sa vie.

Mme Qi Xin mène toujours une vie sobre, alors que son époux Xi Zhongxun était un cadre de haut rang du Parti. Elle avait refusé des privilèges, préférant confier ses enfants à la crèche et au pensionnat, au lieu d’engager des baby-sitters ou des femmes de ménage. Elle n’a jamais demandé d’être mutée à un endroit plus proche de son domicile. Elle a participé à une seule activité officielle en tant qu’épouse du vice-premier ministre chinois. Elle tient à verser régulièrement sa cotisation au Parti, même aux moments les plus difficiles.

Malgré ses responsabilités et devoirs de mère, Mme Qi Xin respectait son travail et ne rentrait pas à son domicile sans avoir fini ses tâches professionnelles. Un bon exemple qu’elle était en train de donner à ses enfants dont Xi Jinping. Sous l’influence de la tradition familiale, Xi Jinping maintient un style de vie simple.

Avant le départ de Xi Jinping pour le Shaanxi, Mme Qi lui a confectionné un nécessaire de couture, sur lequel elle a cousu trois caractères: «l’attachement de maman». Xi Jinping a travaillé pendant sept ans dans le village Liangjiahe du Shaanxi et il n’a jamais déçu sa mère. Il a établi des liens amicaux avec les paysans locaux.

Lors de la fête du Printemps de 2001, Xi Jinping, alors gouverneur de la province du Fujian, a passé un coup de téléphone à sa mère Qi Xin pour lui dire qu’il ne pouvait pas retourner à Beijing pour fêter ensemble. Mais la mère n’était guère ébranlée par les mots de son fils. Et elle lui a répondu : «Tant que tu fais bien ton travail, c’est la plus belle preuve d’amour pour tes parents. C’est aussi ta responsabilité envers la famille et toi-même. »

Au bureau de Xi Jinping, plusieurs photos prises avec ses parents jonchent l’étagère. L’une d’entre elles, lui rappelle un moment tendre de promenade dans un jardin avec sa maman.

La Chine et l’Europe devraient ignorer le bruit et s’entraider pour lutter contre l’épidémie de COVID-19

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Selon l’Associated Press, six dirigeants des Balkans (Serbie, Kosovo, Monténégro, Albanie, Bosnie-Herzégovine et Macédoine du Nord) ainsi que les 27 États membres de l’Union européenne, le président du Conseil européen Charles Michel, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et d’autres hauts responsables de l’UE ont tenu une vidéoconférence le 6 mai.

Lors de la réunion, l’UE a promis de formuler un plan d’aide économique de 3,3 milliards d’euros aux six pays des Balkans pour les aider à surmonter l’épidémie de coronavirus. Selon Reuters, le fait que certains pays des Balkans ont salué l’aide de la Chine et de la Russie pendant l’épidémie provoque « la colère au sein de l’UE ».

Au cours des cinq derniers mois, le COVID-19 sévit en Europe. Les pays européens, tels que l’Allemagne, la France, l’Italie et l’Espagne, sont trop occupés pour faire face à la crise épidémique pour aider les pays d’Europe centrale et orientale, confrontés à un manque de fournitures médicales. Le président serbe Aleksandar Vučić a déclaré que la solidarité européenne n’est qu’un rêve, alors que le dirigeant de la Bosnie-Herzégovine a affirmé que l’UE à laquelle « nous faisions confiance il y a 10 ans n’existe plus ».

En mars, la Chine, encore en proie à l’épidémie, a commencé à pourvoir la communauté internationale, notamment l’Union européenne et les pays d’Europe centrale et orientale, pour des fournitures médicales, mettant en œuvre le concept de la « Communauté de destin pour l’humanité ». Selon des statistiques provisoires, jusqu’à début mai, plus de 100 pays avaient reçu des fournitures de la Chine. La Chine a également envoyé des équipes d’experts médicaux en Italie, en Serbie et dans de nombreux pays moins développés pour les aider à lutter contre l’épidémie.

(Photo:Xinhua)

Cependant, cette bonne foi de la Chine a été intentionnellement mal interprétée par certains médias occidentaux plongés dans la géopolitique. Depuis mars, le site Web de la Brookings Institution, Forbes, Le Monde, Le Figaro et d’autres médias ont propagé la « diplomatie du masque » les uns après les autres, arguant que la Chine a utilisé les dons et l’aide pour gagner la confiance des autres et vanter les avantages de son système. Derrière cette théorie infondée, c’est le fait qu’ils considèrent l’Europe centrale et orientale comme la sphère d’influence géographique de l’Occident. On voit là une ignorance et une distorsion des initiatives Chine-Europe centrale et orientale « Coopération 17 + 1 » et « la Ceinture et la Route ». Cela va aussi à l’encontre de la coopération mondiale anti-épidémique.

Cette année, on marque le 45e anniversaire des relations diplomatiques entre la Chine et l’UE. S’exprimant lors de l’événement « Briefing de soixante minutes » organisé par le groupe de réflexion de l’UE le 16 décembre dernier, le conseiller d’État et ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a indiqué qu’une coopération mutuellement bénéfique entre la Chine et les PECO est un complément utile pour les relations Chine-UE et favorise un développement équilibré et le processus d’intégration en Europe. Depuis l’éclatement de l’épidémie du coronavirus, la Chine et l’Europe ont ensemble promu la coopération internationale sur la lutte contre l’épidémie et acquis de grands résultats.

Le Premier ministre britannique Winston Churchill dit : « Ne perdez jamais une bonne crise ». À travers la crise de l’épidémie de coronavirus, la Chine et l’Europe devraient ignorer les bruits issus de la vision géopolitique traditionnelle, éviter d’être l’otage des idéologies, trouver des points communs dans les initiatives de multilatéralisme et la coopération internationale, approfondir davantage la confiance mutuelle et promouvoir le partenariat.

Comme l’a déclaré le secrétaire général adjoint du gouvernement serbe Danielle Nikolic lors d’une vidéoconférence entre des experts médicaux de la Chine et de 17 pays de l’Europe centrale et orientale sur le COVID-19, « la Chine nous a montré que l’initiative ‘la Ceinture et la Route’ et le mécanisme de ‘Coopération 17+1’ ne se limitent pas au domaine économique, mais apportent également des avantages à toute l’humanité. » Cela devrait aussi s’appliquer à la coopération sino-européenne.

Xi Jinping appelle à une reprise progressive de la coopération pratique Chine-Sri Lanka

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Par croissanceafrique

Le président chinois Xi Jinping a déclaré mercredi que la Chine et le Sri Lanka, tout en garantissant la prévention et le contrôle du COVID-19, devaient commencer à relancer progressivement leur coopération pratique dans divers domaines, à faire progresser méthodiquement leurs grands projets de coopération et à promouvoir une construction de qualité de « la Ceinture et la Route ».


M. Xi a tenu ces propos au cours d’une conversation téléphonique avec le président sri-lankais Gotabaya Rajapaksa, tout en précisant que de tels efforts permettraient de donner un nouvel élan à la relance économique du Sri Lanka.
Il a rappelé que divers milieux de la société sri-lankaise avaient activement soutenu la Chine lorsque celle-ci traversait la période la plus critique dans la lutte contre l’épidémie du nouveau coronavirus, avec de nombreuses initiatives à la fois touchantes et réconfortantes.
Sous la direction ferme de M. Gotabaya, le Sri Lanka a réussi à contenir efficacement la propagation de l’épidémie, a indiqué M. Xi, ajoutant que la Chine était prête à continuer à accorder un soutien ferme et toute l’aide dans la mesure de ses moyens dont ce pays d’Asie du Sud aurait besoin.
Le président chinois s’est déclaré convaincu que le peuple sri-lankais arriverait à vaincre l’épidémie au plus tôt possible.

La BRVM organise sa première cérémonie virtuelle de sonnerie de cloche

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Ce vendredi 15 mai 2020, la Bourse des valeurs mobilières de l’UEMOA (BRVM) a organisé sa première cérémonie virtuelle de sonnerie de cloche. Les participants se sont tous connectés à distance. L’invité d’honneur de la BRVM en cette circonstance, le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique de Côte d’Ivoire, Dr Aouélé Eugène AKA, a sonné la cloche pour la clôture du marché depuis Aboisso, à 117 km d’Abidjan. “Cette sonnerie de cloche montre notre détermination à faire barrière à la pandémie COVID-19. Il s’agit pour nous de joindre notre voix à celle de nos Autorités pour la sensibilisation des populations de notre Union sur la réalité de cette pandémie dont la gravité et les conséquences prévisibles soulèvent d’importantes inquiétudes”, a déclaré le ministre.

La BRVM et le DC/BR ont mis en place un plan de sauvegarde depuis le début de la crise qui a permis la poursuite normale de nos activités. Nous continuerons d’offrir un service de qualité aux émetteurs, aux investisseurs et à nos adhérents tout en nous préparant activement pour la relance post COVID-19.

Bons Covid-19 : les pays de l’UEMOA ont levé plus de 1000 milliards de Franc CFA

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En vue de couvrir les décalages de trésorerie créés par la lutte contre la pandémie causée par le COVID-19 et ses conséquences, les huit pays membres du marché financier de l’Union monétaire ouest africaine (UMOA) ont levé durant la période du 27 avril au 14 mai 2020, un montant total de 1172,630 milliards de FCFA (1,759 milliard d’euros) sous forme bons assimilables du trésor (BAT) à 3 mois dénommé Bons Covid-19.

Ce montant global a dépassé de 28,63 milliards de FCFA le besoin prévisionnel de financement des Etats et qui se situait à 1 144 milliards de FCFA. L’adage qui dit que c’est en temps de crise que les solutions innovantes sont mises en branle par les humains, s’est vérifié avec les Bons Social Covid-19 qui se sont révélés, un mécanisme efficace de financement des Etats.

Le programme de titres sociaux des Etats de l’UMOA, initié par la BCEAO et l’Agence UMOA-Titres, s’inspire des principes gouvernant ces émissions publiées en juin 2017 par l’International Capital Markets Association (ICMA). L’ICMA est une association à but non lucratif, dont le siège est en Suisse et qui répond aux besoins d’un large éventail de sociétés membres sur les marchés mondiaux des capitaux. En mars 2020, elle comptait environ 600 membres dans 62 pays.

Parmi ses membres figurent des émetteurs des secteurs privé et public, des banques et des maisons de titres, des gestionnaires d’actifs et d’autres investisseurs, des fournisseurs d’infrastructures des marchés de capitaux, des banques centrales, des cabinets d’avocats etc.

Les bons Covid-19 ont été de véritables bouffées d’oxygène pour les pays de l’UMOA en ces temps de pandémie marqués par la rareté des recettes fiscales et douanières.

Locomotive du marché financier sous régional, la Côte d’Ivoire a, avec trois émissions, plus tiré profit de ce mécanisme en levant un montant total de 535 milliards de FCFA. Très loin derrière ce pays vient le Bénin avec 133 milliards de FCFA, suivi par le Sénégal  (103,130 milliards), le Niger  (110 milliards), le Togo (108 milliards),  le Mali  (88 milliards de FCFA), le Burkina  (80 milliards) et la Guinée-Bissau  (15,500 milliards).

L’émission des Bons Covid-19 est conçue comme étant un pont pour les ETATS en attendant la rentrée des fonds attendus dans le cadre de la lutte contre la pandémie. Ainsi, le plan de trésorerie des Etats pour rembourser leur dette est alimenté par les engagements de leurs partenaires techniques financiers.

A côté des bons Covid 19, les Etats de l’UMOA disposent également des émissions de titres publics pour financer leur besoins de trésorerie. Selon une note adressée aux investisseurs par le Directeur de l’Agence UMOA-Titres, le programme des émissions de ces titres par les Etatspour le deuxième trimestre de l’année 2020  fait état d’un montant de 1 675 milliards de FCFA à raison de 770 milliards de bons du trésor et 905 milliards d’obligations du Trésor.

SUNU Bank Togo: restructuration sous fond d’augmentation de capital

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Au Togo, Sunu Bank poursuit son programme de restructuration avec une perte de de 246,7 millions de FCFA au terme de l’année 2019. Cette perte annoncée par la société dans un avis de convocation des actionnaires de la banque à une assemblée générale virtuelle prévue le 27 mai prochain est consécutive à la décision d’assainir le portefeuille existant de l’ex BPEC et de procéder à la restructuration de la banque afin de la mettre à niveau par le renforcement du capital humain, la mise en place de projets informatiques et le lancement de produits digitaux.
Dans ce cadre, une augmentation de capital de 1,8 milliard de FCFA est en cours pour permettre à Sunu Bank de remonter ses fonds propres au dela du niveau requis. L’institution a, rappelons-le, changé de dénomination sociale par arrêté ministériel n°332/MEF/SG/DGEAE du 20 novembre 2019 et continue encore de déployer sa nouvelle identité sur le terrain.

Covid-19 / VISA prend des mesures pour sécuriser les achats en ligne

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Les achats et autres paiements en lignes sont devenus l’un des canaux d’échanges les plus usités du fait de la crise du Covid-19. Visa a donc  pris des mesures pour prévenir la fraude, protéger les données de ses utilisateurs.

Les mesures de distanciations sociales tels que les couvre-feux et les confinements, imposées par la crise du Covid-19 ont entrainé une digitalisation tout azimut dans tous les secteurs d’activité, modifiant, du coup, le mode de vie et le comportement d’achat des populations. Par conséquent, les achats en ligne beaucoup plus pratiques sont en ce moment très prisés. Malheureusement c’est également le moment propice aux cybers arnaques. Alors pour éviter que les acheteurs ne soient naïvement amenés à communiquer les informations ou données personnelles de leurs cartes bancaires à des cybers délinquants, Visa, les institutions financières et les fournisseurs de solutions de paiement ont pris des dispositions pour sécuriser les achats en ligne. ‘’ Bien que nous tirions parti des progrès technologiques pour prévenir, détecter et réduire les menaces, nous devons constamment poursuivre la sensibilisation et l’éducation des consommateurs’’, explique Ismahill Diaby, Directeur Général Afrique de l’Ouest et Centrale de Visa. La sensibilisation et l’éducation  des consommateurs sont donc  quelques-unes des stratégies mises en place. A cet effet d’ailleurs, voici ses conseils pratiques devant permettre aux consommateurs d’être en première ligne dans la protection de leurs données personnelles lors des paiements en via internet.   Tout d’abord , avant d’effectuer un achat, consulter la page Web du marchand, les politiques de confidentialité, ainsi que toutes les politiques de livraison et de retour pour s’assurer que les articles puissent être retournés s’ils sont reçus dans un état insatisfaisant ou aussi s’assurer qu’on  peut récupérer son argent au cas où les articles commandés ne seraient pas livrés. Puis suivre les cinq étapes ci-dessous :

1. Payer en ligne en toute sécurité – Lorsqu’on paye en ligne, utilise Visa Checkout qui offre une couche de protection supplémentaire et vérifier toujours l’URL pour s’assurer qu’elle commence par «https: //». Le “s” à la fin confirme une connexion sécurisée. On pourrait être amené à fournir un code unique (qui  sera envoyé sur son téléphone mobile ou à son adresse e-mail), une empreinte digitale ou une reconnaissance vocale lors d’un paiement. Cela peut être dû au fait que son achat ait quelque chose d’inhabituel et que la banque souhaite simplement être certaine que c’est  bien la personne qui procède au dit paiement.

2. Payer en toute sécurité sur les applications – Mettre à jour ses mots de passe avec un mot de passe fort et unique à chaque compte ou mieux encore, passer à la reconnaissance d’empreintes digitales ou faciale pour la connexion au compte et / ou les paiements si cette option est proposée.

3. Se méfier des escroqueries par phishing – Faire attention aux e-mails, SMS ou appels téléphoniques non sollicités et suspects. Ils peuvent avoir pour objectif de voler des informations personnelles telles que votre numéro de compte, votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. En cas de doute, ne cliquer sur aucun lien, et ne télécharger aucun fichier.

4. Mettre à jour ses logiciels et applications – Installer la version la plus actualisée avant de faire des achats sur son ordinateur, tablette ou téléphone. Ne pas oublier que lorsqu’on paye avec sa Carte ou identifiant Visa, on peut également obtenir de l’aide pour récupérer son argent si le bien commandé n’est pas livré ou ne correspond pas à ses attentes. Contacter sa banque pour plus d’informations sur la démarche à suivre.

5. Garder une trace de ses transactions et examiner régulièrement les relevés de compte – le consommateur peut s’inscrire au service d’alertes de sa banque afin de recevoir des avis à chaque paiement effectué à partir de sa carte puis informer rapidement sa banque s’il constate une transaction non autorisée ou reconnue.

Pour qu’ils paient des biens qu’ils ne recevront in fine jamais ou pour qu’ils partagent leurs informations ou données personnelles afin de les exploiter de manière frauduleuse des individus malintentionnés ne grugent les éventuels   peuvent en profiter et tromper les acheteurs pour qu’ils paient des biens qu’ils ne recevront in fine jamais ou pour qu’ils partagent leurs informations ou données personnelles afin de les exploiter de manière frauduleuse pour générer de manière illicite des gains financiers ultérieurs.

Ces criminels profitent des consommateurs distraits et dont la garde est baissée, en les incitant à leur remettre toutes informations personnelles ou financières qu’ils pourront par la suite utiliser pour commettre leurs vols.

C’est pourquoi nous pensons que l’éducation des consommateurs est essentielle dans la lutte contre la fraude et nous souhaitons les aider à repérer les activités frauduleuses, et protéger leurs informations sensibles d’autant plus que les paiements s’effectueront de plus en plus de manière digitale.

Maintenant, plus que jamais, il est essentiel pour nous tous de participer à la protection et la sécurité des paiements mais aussi de garder une longueur d’avance sur la fraude. Bien que nous tirions parti des progrès technologiques pour prévenir, détecter et réduire les menaces, nous devons constamment poursuivre la sensibilisation et l’éducation des consommateurs.

Les consommateurs sont la première ligne de défense, et nous pensons que ces conseils et ces pratiques de sécurité peuvent les aider à mieux protéger leurs paiements et leurs données personnelles. Restons Vigilants !

RDC-COVID-19 : Huawei prête à garantir une fourniture stable du réseau de telecommunications

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Fournisseur mondial des solutions TIC (techniques de l’information et de communication) et des terminaux intelligents, la société Huawei technologies est “prête” a offrir ses bons offices pendant cette dure période d’urgence sanitaire consécutive à la pandémie de Coronavirus.

La délégation de Huawei, conduite par le DG Adam Ma Quianli, l’a dit au ministre des Postes, Télécommunications, Nouvelles technologies de l’Information et de la Communication (PT-NTIC), Augustin Kibassa Maliba, qui l’a reçue.

Le ministre Augustin Kibassa Maliba a exprimé sa gratitude pour la qualité des services que Huawei offre et souhaite voir cette société honorer ses engagements et sa valeur sociale pour la RDC.

Le 19 février 2020, lors du Forum congolais sur l’investissement numérique, Huawei et le ministère des PT-NTIC avaient signé un protocole d’accord de coopération stratégique dans le domaine des TIC. Huawei avait promis d’intensifier ses actions en augmentant des investissements au niveau local et en aidant le gouvernement à bâtir un “Congo numérique”.

Lettre de 88 intellectuels africains aux dirigeants: “face au covid-19, il est temps d’agir “

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Un groupe d’intellectuels africains* appelle les dirigeants africains à agir pour contrer le coronavirus. Nous reproduisons leur appel en intégralité ci-dessous:


LES RISQUES QUI PLANENT SUR LE CONTINENT AFRICAIN, relatifs à la propagation du COVID-19, nous interpellent individuellement et collectivement. L’heure est grave. Elle ne consiste pas à juguler une énième crise humanitaire «africaine» mais à contenir les effets d’un virus qui vient bousculer l’ordre du monde et interroger les fondements de notre vivre ensemble. La pandémie du coronavirus met à nu ce que les classes moyennes et aisées vivant dans les grandes mégalopoles du continent ont feint de ne pas voir. Depuis près de dix ans, en effet, certains médias, intellectuels, hommes politiques et institutions financières internationales s’accrochent à l’image d’une Afrique en mouvement, d’une Afrique nouvelle frontière de l’expansion capitaliste. Une Afrique sur la voie de l’émergence économique ; une Afrique dont les taux de croissance positifs feraient pâlir d’envie plus d’un pays du Nord. Une telle représentation que l’on finissait par croire réelle à force d’en rêver se déchire désormais devant une crise multiforme qui n’a pas encore livré tous ses secrets.

Dans le même temps, l’ordre global multilatéral que l’on se figurait encadré par un minimum de traités se délite sous nos yeux, faisant place à une lutte géopolitique féroce. Ce nouveau contexte de guerre d’influence économique “du tous contre tous” laisse dans l’ombre les pays du Sud, en leur rappelant s’il le fallait le rôle qui leur échoit : celui de spectateurs dociles d’un ordre du monde qui se construit par-devers eux.

La pandémie du COVID-19 pourrait saper les bases des États et des administrations africaines dont les défaillances profondes ont trop longtemps été ignorées par la majorité des dirigeants du continent et leur entourage. Il est impossible de les évoquer toutes, tant elles sont nombreuses : sous-investissement dans les secteurs de la santé publique et de la recherche fondamentale, insécurité alimentaire, gaspillage des finances publiques, priorisation d’infrastructures routières, énergétiques et aéroportuaires aux dépens du bien-être humain, etc. Autant de sujets qui font pourtant l’objet d’une littérature spécialisée, désormais abondante, mais qui semblent avoir peu pénétré les cercles du pouvoir des différents États du continent. La preuve la plus évidente de ce fossé est fournie par la gestion actuelle de la crise.

De la nécessité de gouverner avec compassion

Reprenant sans souci contextuel le modèle de «containment» et des régimes d’exception adoptés par les pays du Nord, nombreux sont les dirigeants africains imposant un confinement brutal à leurs populations souvent ponctué, lorsqu’il est n’est pas respecté, de violences policières. Si de telles mesures satisfont les classes aisées, à l’abri de la promiscuité et ayant la possibilité de travailler à domicile, elles demeurent punitives pour ceux qui, pour utiliser une formulation répandue à Kinshasa, doivent recourir à «l’article 15», c’est-à-dire à la débrouille et aux activités dites informelles.

Soyons clairs. Il n’est nullement question d’opposer sécurité économique et sécurité sanitaire mais plutôt d’insister sur la nécessité pour les gouvernements africains de prendre en compte les conditions de précarité chronique vécue par la majorité de leurs populations. Cela, d’autant plus que le continent africain a une longueur d’avance sur le Nord en matière de gestion de crises sanitaires de grande ampleur, au regard du nombre de pandémies qui l’ont frappé ces dernières années. La nature ayant horreur du vide, plusieurs initiatives fragiles provenant de la “société civile” se mettent progressivement en place.

En aucun cas pourtant, le dynamisme d’individus ou d’acteurs privés ne peut pallier la désorganisation et l’impréparation chronique que seuls les États seraient en mesure d’endiguer à travers le continent. Plutôt que de subir et tendre la main à nouveau en attendant meilleure fortune, il serait d’ores et déjà souhaitable de repenser notre vivre ensemble en partant de nos contextes spécifiques et des ressources diverses que nous avons. Notre conviction est que l’urgence ne peut, et ne doit pas, constituer un mode de gouvernance. Il s’agit de saisir ce moment de crise majeure comme une opportunité afin de revoir les politiques publiques, de faire en sorte notamment qu’elles œuvrent en faveur des populations africaines et selon les priorités africaines. Bref, il s’agit de mettre en avant la valeur de chaque être humain, quel qu’il soit et quelles que soient ses appartenances, au-delà des logiques de profit, de domination et de monopolisation du pouvoir.

Au-delà de l’urgence

Les dirigeants africains doivent, et peuvent, proposer à leurs peuples une nouvelle idée politique d’Afrique. C’est une question de survie et non d’arguties intellectuelles comme on a trop souvent tendance à le croire. De profondes réflexions sont nécessaires sur la gestion et le fonctionnement des administrations nationales, de la fonction de l’État et de la place des normes juridiques dans la distribution et l’équilibre des pouvoirs à l’aune de systèmes de pensées adaptés aux réalités du continent. En effet, la seconde étape de nos indépendances politiques ne se réalisera que sur les terrains de l’inventivité politique et sociale, de la prise en charge par nous-mêmes de notre destinée commune. Des initiatives en ce sens existent déjà. Elles mériteraient simplement d’être écoutées, discutées et encouragées. Le panafricanisme aussi a besoin d’un nouveau souffle. Il doit retrouver son inspiration originelle après des décennies d’errements. Si les progrès en matière d’intégration du continent ont été faibles jusque-là, la raison est que celle-ci n’a été conçue que sur la base de la seule “doxa” du libéralisme économique. Or, la pandémie du coronavirus montre tristement l’insuffisance de la réponse collective du continent autant sur le volet sanitaire qu’ailleurs. Plus que jamais, nous sommes placés devant la nécessité d’une gestion concertée et intégrée de domaines relatifs à la santé publique, à la recherche fondamentale dans toutes les disciplines scientifiques et aux politiques sociales. Dans cette perspective, il est important de repenser la santé comme un bien public essentiel, de revaloriser le statut du personnel de la santé, de relever les plateaux techniques des hôpitaux à un niveau qui permet à tous, y compris les gouvernants eux-mêmes, de se faire soigner en Afrique. Cette lettre est un morceau de rappel, de rappel de l’évidence : le continent africain doit reprendre son destin en main. Or c’est dans les moments difficiles que des orientations nouvelles doivent être décidées et que des solutions pérennes doivent être mises en place.

Cette lettre est destinée aux dirigeants africains de tous bords, aux peuples africains et à ceux qui essaient de penser le continent. Nous les invitons à saisir l’opportunité de cette crise pour mutualiser leurs efforts afin de repenser l’idée d’un État au service du bien-être des peuples, de rompre avec le modèle de développement basé sur le cercle vicieux de l’endettement extérieur, de sortir de la vision orthodoxe de la croissance pour la croissance, et du profit pour le profit. Il s’agit pour l’Afrique de retrouver la liberté intellectuelle et la capacité de créer sans lesquelles aucune souveraineté n’est envisageable. De rompre avec la sous-traitance de nos prérogatives souveraines, de renouer avec les configurations locales, de sortir de l’imitation stérile, d’adapter la science, la technique et les programmes de recherche à nos contextes historiques et sociaux, de penser nos institutions en fonction de nos communes singularités et de ce que nous avons, de penser la gouvernance inclusive, le développement endogène, de créer de la valeur en Afrique afin de diminuer notre dépendance systémique. Surtout, il est primordial de ne pas oublier que le continent dispose de suffisamment de ressources matérielles et humaines pour bâtir une prospérité partagée sur des bases égalitaires et respectueuses de la dignité de chacun. L’absence de volonté politique et les agissements de l’extérieur ne peuvent plus constituer des excuses pour nos turpitudes. Nous n’avons pas le choix : nous devons changer de cap. Il est plus que temps !

Signataires

Wole Soyinka (Prix Nobel de Littérature 1986)

Makhily Gassama (Essayiste)


Cheikh Hamidou Kane (Écrivain)


Odile Tobner (Librairie des Peuples Noirs, Yaoundé)

Iva Cabral (Université lusophone de Mindelo)

Olivette Otele (Bristol University)

Boubacar Boris Diop (American University of Nigeria)

Siba N’Zatioula Grovogui (Cornell University)

Véronique Tajdo (Écrivain)


Francis Nyamnjoh (University of Cape Town)

Ibrahim Abdullah (Fourah Bay College)

Maria Paula Meneses (Université de Coimbra)


Amadou Elimane Kane (Institut Culturel Panafricain et de Recherche de Yene)

Inocência Mata (Université de Lisbonne)


Anthony Obeng (Institut Africain de Développement économique et de Planification)


Aisha Ibrahim (Fouray Bay College)


Makhtar Diouf (Université Cheikh Anta Diop de Dakar)


Koulsy Lamko (Écrivain)


Mahamadou Lamine Sagna (American University of Nigeria)


Carlos Nuno Castel-Branco (Économiste, Mozambique)


Touriya Fili-Tullon (Université Lyon 2)


Kako Nubupko (Université de Lomé)


Rosania da Silva (University Foundation for the Development of Education)

Amar Mohand-Amer (CRASC, Oran)


Mame Penda Ba (Université Gaston Berger)


Medhi Alioua (Université Internationale de Rabat)


Rama Salla Dieng (University of Edimburg)


Yoporeka Somet (philosophe, égyptologue, Burkina Faso)


Gazibo Mamoudou (Université de Montréal)


Fatou Kiné Camara (Université Cheikh Anta Diop)


Jonathan b (Witwatersrand University)


Rosa Cruz Silva (Université Agostinho Neto)


Ismail Rashid (Vassar College)


Abdellali Hajjat (Université Libre de Bruxelles)


Maria das Neves Baptista de Sousa (Université Lusíada de São Tomé e Príncipe)

Lazare Ki-Zerbo (Philosophe)


Lina Benabdallah (Wake Forest University)


Iolanda Evora (Université de Lisbonne)


Kokou Edem Christian Agbobli (Université du Québec à Montréal)


Opeyemi Rabiat Akande (Harvard University)


Lourenço do Rosário (Université Polytechnique du Mozambique)


Issa Ndiaye (Université de Bamako)


Yolande Bouka (Queen’s University)


Adama Samaké (Université Félix Houphouët Boigny)


Bruno Sena Martins (Université de Coimbra)

Charles Ukeje (University of Ile Ife)


Isaie Dougnon (Fordham University)


Cláudio Alves Furtado (Université fédérale de Bahia, Université du Cap-Vert)

Ebrima Ceesay (University of Birmingham)


Rita Chaves (Université de São Paolo)


Benaouda Lebdai (Université du Mans)


Guillaume Johnson (CNRS, Paris-Dauphine)


Ayano Mekonnen (University of Missouri)


Thierno Diop (Université Cheikh Anta Diop de Dakar)


Mbemba Jabbi (University of Texas)


Abdoulaye Kane (University of Florida)


Muhammadu M.O. Kah (American University of Nigeria & University of the Gambia)


Alpha Amadou Barry Bano (Université de Sonfonia)


Sean Jacobs (The New School of International Affairs)


Yacouba Banhoro (Université Ouaga 1 Joseph Ki-Zerbo)


Dialo Diop (Université Cheikh Anta Diop de Dakar)


Rahmane Idrissa (African Studies Center, Leiden)


José Luís Cabaco (Universidade Técnica de Moçambique)


Mouhamadou Ngouda Mboup (Université Cheikh Anta Diop de Dakar)

Hassan Remanoun (Université d’Oran)


Oumar Ba (Morehouse College)


Salif Diop (Université Cheikh Anta Diop de Dakar)


Narciso Matos (Université Polytechnique du Mozambique)


Mame Thierno Cissé (Université Cheikh Anta Diop de Dakar)


Demba Moussa Dembélé (ARCADE, Sénégal)


Many Camara (Université d’Angers)


Ibrahima Wane (Université Cheikh Anta Diop de Dakar)


Thomas Tieku (King’s University College, Western University)


Jibrin Ibrahim (Center for Democracy and Development)


El Hadji Samba Ndiaye (Université Cheikh Anta Diop de Dakar)


Benabbou Senouci (Université d’Oran)


José Luís Cabaço (Université technique du Mozambique)


Firoze Manji (Daraja Press)


Mansour Kedidir (CRASC, Oran)

Abdoul Aziz Diouf (Université Cheikh Anta Diop de Dakar)

Mohamed Nachi (Université de Liège)


Alain Kaly (Universidade Federal Rural do Rio de Janeiro)

Last Dumi Moyo (American University of Nigeria)

Hafsi Bedhioufi (Université de la Manouba)


Abdoulaye Niang (Université Gaston Berger de Saint-Louis) Lionel

Zevounou (Université Paris Nanterre)


Amy Niang (University of the Witwatersrand)


Ndongo Samba Sylla (Économiste, Sénégal)

Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim (Mahmudu Omar) a introduit plusieurs médias maliens dans l’erreur, en accusant l’homme d’affaire Hassan ZEIN pour rien, juste des mensonges grotesques

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Il y ‘a plusieurs année criminel international Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim (Mahmudu Omar), non moins Omar ne cesse de porter des accusations absurdes et fallacieuses contre Hassan Zein, opérateur économique de son état et résidant à West Legon, à Acrra(Ghana), parce que tout simplement ce dernier a joué un rôle capital dans son inculpation pour viol sur une fille mineure âgée de 13 ans du nom de Anoud Jibril Yousef Al Salami.

Pour se venger d’Hassan Zein qui a conduit à son inculpation, ce maliano-yéménite, portant plusieurs noms et nationalités comme l’indiquent ses différents passeports dont il est titulaire, orchestre une campagne médiatique de dénigrement dans le but de détruire sa réputation durement acquise.

 L’inculpation a permis de mettre à nu les activités frauduleuses, illicites et criminelles menés au Mali et au Ghana et ailleurs de Omar résidant quelque part dans le quartier Spintex/ Tema com 18 au Ghana qui se dit malien et déclarant évoluer dans le milieu du transport malien. C’est dire que cet homme est une véritable menace pour la sécurité nationale. Ce qui explique qu’il est activement recherché par Interpol depuis plusieurs mois. Vu l’ampleur de la chose, ce dernier impliquera une brochette de médias crédibles maliens dans son combat sans donner le maximum de détaille à son réseau de médias dont notre médias croissanceafrique.com

fakenews

C’est pourquoi, à son tour l’homme d’affaires M. Hassan Zein a lancé une attaque cinglante contre certains réseaux de médias au Mali dont le site croissanceafrique.com. Selon plusieur médias ghanéens « Au cours des derniers mois, certaines plateformes médiatiques dans ledit pays ont systématiquement réprimandé l’homme d’affaires sans raison apparente. Malgré leurs pratiques irresponsables visant à diffamer le personnage de M. Zein, les autorités maliennes n’ont rien fait pour rappeler à l’ordre les maisons de presse concernées. D’innombrables lettres au ministère malien des Affaires étrangères et à l’ambassade du Ghana et de Bamako se sont révélées vaines », ont-ils mentionné.

fakenews



Selon notre confères de kyfilla.com « Les actes des auteurs ont, dans une large mesure, affecté négativement l’homme d’affaires, ses entreprises ainsi que sa famille. L’homme d’affaires découragé a déclaré : « Je suis surpris que les autorités maliennes n’aient rien fait contre ce que je qualifie de journalisme irresponsable. Leurs reportages divers sont une honte pour le journalisme », a-t-il révélé dans sa parution du 09 mai 2020.

Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim (Mahmudu Omar)

Vu la violation de la liberté de l’éthique et déontologie journalistique notre rédaction après une réunion commune entre les membres de ladite société ont décidé en toute responsabilité de retirer les articles commandité contre l’homme d’affaire Hassan ZEIN, parce que tout simplement selon notre enquête, il n’est impliqué dans aucune affaire pareille.   

Les activités frauduleuses de Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim, mises à nu !

Selon notre confrères du site bamada.net « Face à l’inertie de la directrice générale du département des enquêtes criminelles(CID), le pot aux roses fut découvert petit à petit sur les activités de Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim. Il ressort de nos investigations, que celui qui se cache sous le titre de transporteur est une véritable menace pour la sécurité nationale du Mali et du Ghana et de toute la sous-région en général. En effet l’homme exploite un syndicat impliqué dans la cyber fraude, l’arnaque à l’impression de devises (principalement en dollars américains), le paiement anticipé, la fraude aux visas et le racket de passeports entre plusieurs autres crimes présumés pour lui et son syndicat« , révèle notre confrere.

Le même site publia encore que « pour ce faire ils fabriquent et / ou fournissent de faux passeports du Ghana, du Mali, du Niger, du Bénin, de la Côte-d’Ivoire  et du Togo, ainsi que d’autres pays à leurs clients souhaités (principalement des personnes de nationalité africaine, européenne, asiatique ou arabe d’origine et / ou d’autres criminels)« .

En outre, dans le cadre de la cyber fraude, l’arnaque à l’or, des faux dollars et des arnaques de paiement anticipé,  Omar et sa bande organisée ont réussi à escroquer des milliers de personnes à travers le monde entier. D’ailleurs  ses complices Béninois dont le chef de bande Kikissagbe Godonou Bernard alias KGB, sont actuellement emprisonnés et purgent des peines nécessaires.

Et depuis Omar est en fuite et ses victimes parcourent le sous-continent de l’Afrique de l’Ouest à la recherche de lui et, c’est ce qui l’a conduit au Ghana. Pour ceux qui ne le savent pas c’est ce même Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim dit Omar serait à l’origine de l’assassinat d’un envoyé américain, ambassadeur de son état en Libye et revendiquées par les nébuleuses organisations terroristes dirigées par Oussama Ben Laden et de Boko Haram. Et cela avait été rapporté par nos confrères des journaux  d’Aïr Info et du Républicain.

Notons que depuis plusieurs mois, ce dangereux homme est activement recherché par Interpol pour ses activités frauduleuses, illicites et criminelles menés au Mali et au Ghana et particulièrement dans les pays arabes.

Daouda Bakary KONE/Croissanceafrique.COM